Caterham vient de présenter un nouveau modèle pour le moins original, la Seven 360R. Si à première vue elle ressemble à n'importe quel autre modèle produit par la marque anglaise. Mais en réalité, sa carrosserie a été fabriquée à partir de pièces récupérées sur un Puma HC2, un ancien hélicoptère militaire de la Royal Air Force. Caterham va profiter du Grand-Prix de Formule 1 de Silverstone, ce week-end, pour dévoiler sa toute nouvelle voiture. « Toute nouvelle » est toujours un poil exagéré dans le cas de Caterham, étant donné que la Seven n'a pas bougé d'un iota depuis plus de 20 ans. Toutefois, celle-ci nous fait mentir… Cette Seven 360R a un petit quelque-chose de particulier. Serait-ce sa carrosserie composée de pièces récupérées sur un ancien hélicoptère de combat de la Royal Air Force ? La voiture reprend la couleur typique de la carlingue des appareils militaires anglais, le Vert Otan, avec en bonus le matricule du Puma HC2 (l'hélicoptère, suivez un peu) sur le profil. Certaines parties structurelles sont finies en Sable du Désert. L'ensemble repose sur des jantes noires en alliage de 13 pouces.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lotus Elan Speedster M200 : Prendre son élan à deux, séparément

Une Ford GT, c'est cher. Peu importe la génération, peu importe la version, c'est toujours cher. Mais il existe certaines séries spéciales qui sont tout simplement intouchables. Parmi elles, la Ford GT Carbon Series. On ne vous fait pas de dessin, tout est dans le nom… En 2017, Ford décide de donner une descendance à la GT de 2005, qui était elle-même un hommage à la mythique GT40 qui s'est imposée aux 24 Heures du Mans dans les années 60. Elle reprend les mêmes gimmicks mais inaugure en revanche un style général spectaculaire, avec des tunnels aérodynamiques derrière les portières, un aileron actif et une nouvelle motorisation. Et si la Ford GT « normale » ne vous fait ni chaud ni froid (vous avez certainement un problème, dans ce cas), Ford a pensé à tout et a produit quelques séries spéciales, dont la très méchante Carbon Series, allégée de 18 kg. Tout est dans le nom ! La carrosserie laisse apparaître de la fibre de carbone, notamment sur les bandes racing, les coques de rétroviseurs, les appendices aérodynamiques, le diffuseur et même les jantes. Certains éléments sont en titane, comme les écrous de fixation des roues et l'échappement. Pour rehausser le tout, un liseré rouge traverse la voiture de l'avant à l'arrière. Une couleur que l'on retrouve sur le dessus des rétroviseurs ainsi que sur les étriers de freins.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Les Ford RS200 et Escort Mk1 vont renaître grâce à Boreham Motorworks

La génération la plus récente de la Ford GT a déchaîné les passions lorsqu'elle est sortie, en 2017. Peu d'exemplaires ont été produits, dont certains avec des configurations exceptionnelles. C'est le cas de celui-ci, qui vient de changer de propriétaire contre la coquette somme de 1,006 million de dollars. Ceux qui ont déjà eu la chance de voir les dernières Ford GT de leurs propres yeux seront forcément d'accord pour confirmer que cette supercar est impressionnante. Cet exemplaire, qui dispose d'une configuration à couper le souffle, est tout simplement hors normes. Les bandes centrales, les coques de rétroviseurs, les appendices aérodynamiques et même les jantes sont en fibre de carbone. Un liseré rouge court de l'avant à l'arrière de la voiture. L'habitacle est tout aussi impressionnant, avec son volant à double méplat et ses éléments de mobilier en carbone. Il s'agit en fait d'une Ford GT Carbon Series, produite en quantité limitée. Grâce à l'emploi massif de matériaux composites, la voiture s'allège de 18 kg par rapport à la version normale. Le V6 3.5 biturbo conserve les mêmes spécificités, avec ses 660 chevaux. Avec seulement 16 miles au compteur, soit un peu plus de 25 kilomètres, cet exemplaire incroyable s'est échangé contre la bagatelle de 930.000 euros environ !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Cette semaine, Volkswagen a officiellement terminé le renouvellement de la gamme de sa Golf, en ouvrant les commandes des versions restylées des Golf GTI Clubsport et Golf R. Cette dernière se négocie à partir de 56.460 euros mais, bien entendu, le malus écologique alourdit la note… En ouvrant les carnets de commandes de sa nouvelle Golf R, Volkswagen vient de boucler la boucle. La plus puissante des versions de la compacte allemande revient une nouvelle fois, avec une concurrence de moins en moins fournie. La faute à un malus écologique qui n'incite plus les marques à commercialiser leurs modèles sportifs, ou tout au moins puissants, chez nous. Volkswagen persiste à vendre sa Golf R en France, même si le malus est plus dissuasif que jamais… Heureusement, elle échappe à la peine maximale des 60.000 euros. Toutefois, avec des émissions de CO2 homologuées à 184 g/km, elle écope quand même d'un peu plus de 30.000 euros de malus, soit presque la moitié de son tarif. La nouvelle Golf R s'affiche à partir de 56.460 euros, hors options. Pour ce prix, on a droit à un 4 cylindres 2.0 turbo de 333 chevaux, qui permet d'atteindre une vitesse de pointe allant jusqu'à 270 km/h.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen Golf R : elle est disponible à partir de 56.460 euros, attention au malus !

Les Aston Martin n'ont pas la réputation d'être abordables, même en occasion. Ça vaut pour les modèles produits en « grandes séries », mais aussi pour les séries spéciales, plus limitées. Alors, imaginez un peu combien coûte une Vanquish Zagato, produite à seulement 99 exemplaires… Il y a quelques jours, un exemplaire rarissime d'Aston Martin Vanquish Zagato a changé de main, contre la coquette somme de 468.000 dollars. Un joli petit paquet d'argent, qui n'a toutefois pas été dépensé pour acheter la banale Aston Martin de monsieur Tout-le-Monde. En effet, la Vanquish Zagato n'a été produite qu'à 99 exemplaires, entre 2016 et 2017. Voilà pourquoi les quelques voitures qui arrivent sur le marché de l'occasion n'y restent jamais bien longtemps et qu'elles s'échangent souvent à prix d'or… L'exemplaire en question est habillé d'une teinte Scorching Black. La carrosserie affiche de nombreux éléments en fibre de carbone, comme la lame avant, le diffuseur, les bas de caisse, les rétroviseurs ou encore les montants de pare-brise. L'ensemble repose sur des jantes en alliage de 20 pouces. La face arrière, voici la véritable particularité de cette voiture frappée du Z de Zagato. Le pavillon fuyant surplombe une lunette très inclinée. Le diffuseur intègre deux doubles sorties d'échappement. Enfin, les deux optiques sont spécifiques et semblent sortir des ailes.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Aston Martin Valiant : le nouveau joyau de la couronne, avec un V12 et une boîte manuelle !

L'un des rares exemplaires d'Aston Martin Vanquish Zagato vient de changer de propriétaire. L'heureux nouveau possesseur a dû débourser la bagatelle de 468.000 dollars pour s'offrir la belle anglaise et l'ajouter à sa collection. L'Aston Martin Vanquish Zagato est l'une des voitures les plus exclusives de ces dernières années. En tout, 99 exemplaires ont été produits, pas un de plus. Grosso modo, la recette est simple. Il s'agit ni plus ni moins d'une Vanquish classique, à laquelle la marque a greffé une poupe de break de chasse. Le résultat parle de lui-même, à croire que la voiture était faite dès le départ pour être dessinée comme ça. L'habitacle n'évolue que très légèrement. Étonnamment, l'espace arrière est complètement condamné par un arceau de sécurité en fibre de carbone. Heureusement, le coffre permet tout de même de loger un sac de voyage. Sous le capot, le V12 5.9 atmosphérique de 600 chevaux, associé à une boîte de vitesses automatique ZF à 8 rapports. La voiture n'affiche que 5.300 kilomètres environ. Elle sort de rodage... Son nouveau propriétaire a dû débourser la coquette somme de 468.000 dollars, soit environ 433.000 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Au royaume de l'ultra luxe, se démarquer est un incontournable pour séduire une clientèle exigeante. Ainsi Maybach sortit de son chapeau une S680 unique inspirée d'un yacht de 1939.  Pour concurrencer les marques de prestige, Maybach présente une S680 unique à l'inspiration nautique. Cette version-ultra exclusive de la limousine allemande rend hommage à un yacht construit en 1939 par les chantiers navals allemands Abeking & Rasmussen. De l'extérieur, elle se pare d'une peinture biton rouge et bleu séparée par un fin liseré blanc. La calandre spécifique est de la partie, tout comme le contour du vitrage, chromé à souhait. A bord, c'est bien sûr le luxe à outrance avec des surfaces parées de cuir Nappa blanc. C'est simple, les sièges, le ciel de toit, les contreportes et même les porte gobelets sont enrobés de cuir ! Présent à l'excès, le bois rappelle l'inspiration nautique du véhicule. On trouve donc du noyer sur la planche de bord ainsi que sur les sièges arrière évoquant le pont d'un bateau.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Des touches d'aluminium viennent également se bousculer ici et là pour ne laisser la place à aucun plastique. Sous le capot, rien ne change et ce n'est pas plus mal. Cette S680 unique conserve un V12 de 6.0 l développant 612 ch et 900 Nm de couple. On ignore l'identité de l'acheteur, tout comme le prix final du véhicule. 

Alors qu'elle avait été dévoilée en début d'année, Fiat vient maintenant d'ouvrir les commandes de sa nouvelle Panda Classic. La citadine conserve tout ce qui faisait son charme jusqu'à présent, avec une petite bouille sympathique et des tarifs accessibles. Appelez-là désormais Panda Classic ! Pourquoi ? Parce-que la Panda normale n'existe plus, pour l'instant. Fiat planche actuellement sur une Grande Panda, dérivée de la Citroën C3. Mais la version de l'ancien monde fait de la résistance et revient pour ce qui devrait être la dernière danse. La recette ne change pas, on retrouve une citadine au gabarit contenu à l'extérieur, mais relativement généreux à l'intérieur. Une seule motorisation est proposée, à savoir un bloc 1.0 essence de 70 chevaux. Deux niveaux de finitions sont disponibles : Panda City et Pandina. L'entrée de gamme est déjà dotée des radars de stationnement arrière, du régulateur de vitesse, du système de lecture des panneaux et d'une instrumentation numérique. La finition Pandina ajoute en plus les jantes de 15 pouces, les phares à LED et un écran central de 7 pouces, intégrant Apple CarPlay et Android Auto. Les tarifs débutent à 15.900 euros pour la Panda City, contre 17.900 euros pour la Pandina.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Fiat vient d'ouvrir les carnets de commandes pour sa nouvelle Panda Classic. Celle-ci n'évolue pas énormément mais revoit sa dotation en équipements. La gamme ne compte que deux niveaux de finition, les prix débutant à 15.900 euros. L'heure est à la transition chez Fiat. La marque s'apprête à lancer son inédite Grande Panda, dérivée de la Citroën C3. Mais l'ancienne citadine n'a pas dit son dernier mot. C'est même tout l'inverse, puisqu'elle revient plus mignonne que jamais, avec une dotation en équipements mise à jour. La gamme est pour le moins simplifiée. Elle s'articule autour de deux niveaux de finition : Panda City et Pandina. L'une et l'autre sont d'office équipées d'un modeste bloc 1.0 essence de 70 chevaux. La Panda Classic est donc taillée pour la ville. On peut imaginer que l'agrément offert par cette motorisation sera limité en usage péri-urbain.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Fiat Grande Panda : elle pourrait bien éclipser la Citroën C3 !

Il y a quelques années, un exemplaire de Rolls-Royce Silver Cloud a beaucoup fait parler de lui. Plusieurs raisons à cela, à commencer par son look extérieur défraîchi, qui témoigne d'un entretien négligé. Mais aussi à cause de ce qui se cache sous le capot, à savoir un V8 Chevrolet de plus de 500 chevaux. Comme si la reine d'Angleterre oubliait soudain les bonnes manières… Pas besoin d'être un grand expert en automobile pour se rendre compte que quelque chose cloche avec cette Rolls-Royce Silver Cloud de 1958. Car la belle et noble anglaise a fait une halte dans les ateliers du préparateur californien Icon 4x4. Cette officine, relativement peu connue du grand public, a une spécialité pour le moins originale. En effet, plutôt que de lustrer à outrance la carrosserie des voitures qui sortent de ses ateliers, le préparateur mise sur l'aspect vieillissant de ses réalisations. Voilà déjà ce qui explique pourquoi cette Rolls-Royce Silver Cloud ne semble pas avoir vu de polish depuis bien longtemps. La patine a volontairement été laissée. Cela ne signifie pas que la voiture est en mauvais état, mais cela permet de lui conférer un petit supplément d'âme et de se démarquer des autres Rolls qui, il faut bien le dire, sont un peu coincées. À l'image de la peinture, les chromes sont légèrement ternis.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Rolls-Royce Cullinan : le temple greco-anglais s'offre un restylage !

​Il y a quelques semaines, Peugeot ouvrait les commandes pour la version hybride rechargeable de son nouveau 3008. En attendant de pouvoir l'essayer, nous avons pris le volant de la version mild-hybrid de 136 chevaux, direction le Loir-et-Cher ! L'air de rien, le Peugeot 3008 a une couronne à récupérer. La précédente génération avait fait si fort, tant en termes de qualité que de volumes de ventes, que le nouveau cru va avoir un sacré défi à relever. Pour ce faire, le 3008 se diversifie avec, sous le capot, de l'électrique, de l'hybride rechargeable et du mild-hybrid. On a d'ailleurs pu essayer cette dernière motorisation, avec son 3 cylindres 1.2 PureTech électrifié de 136 chevaux, qui permet de réduire les consommations sur les longs trajets et même de rouler partiellement en électrique en ville. Après avoir parcouru un peu moins de 1.000 kilomètres à son volant, on peut dresser un bilan de notre expérience. Et déjà dire qu'on a été bluffé par l'évolution de l'engin par rapport à la précédente génération, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur. Les proportions et les dimensions évoluent. L'habitacle pourrait bien devenir une référence sur le segment, du moins une fois qu'on a pris le coup de main avec le système de raccourcis déportés sous l'écran. Les impressions de conduite ? On aura l'occasion d'y revenir plus en détails dans l'essai complet, mais on a été agréablement surpris par le dynamisme de cette version (qui n'est pourtant que "l'entrée de gamme") tant pour le châssis que pour le moteur en lui-même. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Attachez vos ceintures, on vous embarque pour un week-end sous le soleil du Loir-et-Cher !

Dans les années 80, Renault était en plein renouveau. La gamme a eu droit à une refonte complète, avec notamment un nouveau style pour terminer le 19ème siècle en beauté. Parmi les voitures phares du constructeur au losange, impossible de passer à côté de la R19. Et plus particulièrement de la R19 16S, la version plus turbulente de la berline… En 1988, Renault présente la voiture qui doit remplacer les R9 et R11. La Renault 19 rejoint donc les rangs et ne tarde pas à avoir droit à une version plus sportive, en 1990, baptisée 16S. Comme la R19 standard, celle-ci se décline en 3 et 5 portes, mais également en cabriolet.  La version 16S avait droit à quelques raffinements exclusifs. Les boucliers sont spécifiques et sont plus enveloppants. Ils intègrent des blocs optiques rectangulaires. Idem à l'arrière, le pare-chocs est percé pour laisser passer les deux sorties d'échappement. Un aileron prend place sur le coffre. Étonnamment, la Renault 19 16S est dépourvue de jantes en alliage, contrairement à ses rivales de l'époque. Lors de son restylage de 1992, la R19 16S perd la plupart de ses éléments distinctifs, mais gagne un capot avec une prise d'air. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Clio R.S. : 5 anecdotes sur la citadine sportive du losange !

Aujourd'hui, Volkswagen vient d'ouvrir les commandes de la version la plus puissante de sa Golf, la R. Cette dernière embarque un 4 cylindres 2.0 turbo de 333 chevaux. Elle s'affiche à partir de 56.460 euros mais, avec des émissions de CO2 de 184 g/km, elle écope d'un malus salé… La gamme de la Golf est officiellement complète, chez Volkswagen. La marque allemande vient d'ouvrir les carnets de commandes pour les deux dernières versions manquantes, la GTI Clubsport et la plus puissante R. La première est disponible à partir de 53.210 euros mais, pour ceux qui veulent encore plus de puissance, la Golf R s'affiche à environ 3.000 euros de plus. 33 chevaux, voilà ce qui sépare la Golf GTI Clubsport de la Golf R. Cette dernière a droit au même bloc que l'Audi S3 restylée, à savoir un 4 cylindres 2.0 TSI développant 333 chevaux. La puissance passe aux 4 roues grâce à la boîte à double embrayage DSG à 7 rapports. Volkswagen annonce un 0 à 100 km/h abattu en 4,6 secondes.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Volkswagen Golf R : le petit démon de 333 ch est de sortie !

Il y a quelques semaines, Volkswagen présentait la version restylée de la Golf GTI. Pour l'occasion, la marque allemande a ressorti une Golf GTI Clubsport, célébrant les 50 ans du modèle. Les commandes viennent d'ouvrir, il faudra compter 53.210 euros, avec un malus écologique relativement acceptable. On n'a pas 50 ans tous les jours. Alors cette année, pour fêter le demi-siècle d'existence de sa compacte iconique, Volkswagen a mis les petits plats dans les grands et a décidé de dépoussiérer l'appellation Clubsport. La Golf GTI reprend donc cette dénomination sur sa version restylée et voit la puissance de son 4 cylindres 2.0 turbo passer à 300 chevaux, contre 265 pour la Golf GTI standard. La version Clubsport se distingue avec ses boucliers redessinés. La voiture est chaussée de jantes en alliage de 19 pouces, laissant entrevoir des étriers de freins rouges. Elle est équipée de projecteurs Matrix LED avec le fameux liseré rouge qui traverse la calandre. À l'arrière, le bouclier laisse apparaître deux sorties d'échappement ovales.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen Golf GTI Clubsport : 300 chevaux pour se rapprocher de la Golf R !

Depuis le début de l'année, alors que les ventes de voitures électriques sont en berne, le Tesla Model Y parvient à se maintenir parmi les 20 modèles les plus diffusés dans l'Hexagone. Il conserve donc son titre de voiture électrique la plus vendue en France. Il faut dire que la formule qui a fait son succès n'a pas changé, il est toujours proposé dès 44.990 euros, avant déduction du bonus écologique. L'année dernière, Tesla créait la surprise en plaçant son Model Y sur la plus haute marche du classement des ventes de voitures neuves. Un sacré exploit, puisque pour la première fois de l'histoire de l'industrie automobile, une voiture électrique se plaçait devant les modèles thermiques. Preuve que le Model Y est bien en forme, il a poursuivi sur sa lancée. Et même si ses ventes se sont légèrement essoufflées par rapport à l'an dernier, il fait toujours partie des 20 modèles les plus vendus en France depuis le début de l'année. Pour enfoncer le clou, Tesla lançait une nouvelle version de son petit SUV : Propulsion Grande Autonomie. Cette dernière offre un rayon d'action pouvant grimper à 600 kilomètres, le tout pour un tarif de 46.990 euros, soit 42.990 euros bonus déduit. Pour rappel, le reste de la gamme s'affiche entre 44.990 et 57.990 euros. Des tarifs qui, pour les versions d'accès, sont plus ou moins similaires à ceux des rivaux français, notamment le Renault Scénic E-Tech.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Tesla Model Y : la nouvelle version Propulsion Grande Autonomie est moins chère que prévue !

Ces dernières années, on assiste à l'émergence de nouvelles marques, notamment sur le marché de l'hypersportivité et de l'hyperluxe. Voici d'ailleurs Naran Automotive, un tout jeune constructeur anglais qui vient de présenter sa première voiture : la Naran Hyper Coupe. Et elle n'est pas là pour vendre des cravates. Les amateurs de sensations fortes en ont pour leur argent, depuis quelques mois. Rien que cette année, on a eu droit à une nouvelle Bugatti, la Tourbillon, mais également à la première supercar portugaise, ou encore la De Tomaso P72. Et le programme ne s'arrête pas là, puisque d'autres marques jusqu'à présent inconnues viennent se mêler à la fête, chacune avec son nouveau jouet surpuissant. C'est le cas de la firme britannique Naran Automotive. La marque anglaise vient de présenter sa toute première voiture, une hypercar baptisée Naran Hyper Coupe. La face avant plongeante affiche un regard aiguisé, grâce à ses phares en forme de crochets qui rappellent ceux de la Ferrari SF90 Sradale. La voiture est dotée d'une lame avant proéminente avec un séparateur d'air. Le capot nervuré contribue à l'appui aérodynamique, tout comme l'aileron et le diffuseur à l'arrière. L'habitacle n'a pas encore été révélé, on sait toutefois que la voiture offre 4 places. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfaholics GTA-R : le restomod qui crie son amour à l'Alfa Romeo Giulia

Sébastien Loeb vient d'annoncer qu'il serait de retour sur les routes sinueuses du rallye du Mont-Blanc Morzine. Pour l'occasion, le pilote français prendra le volant d'une Alpine A110 GT+, avec ses 330 chevaux. Sébastien Loeb n'est pas du genre à prendre sa retraite. Il la prendra forcément un jour, mais visiblement, le plus tard possible sera le mieux ! Après s'être frotté au très exigeant et éprouvant Paris - Dakar en début d'année, le nonuple champion du monde des rallyes va donc logiquement rempiler, cette fois dans les Alpes françaises pour le rallye du Mont-Blanc Morzine. Pour l'occasion, le Français s'offre une monture pour le moins adaptée à l'environnement qui l'attend là-bas : une Alpine A110 GT+ ! La bombinette dieppoise est habillée d'un kit carrosserie spécifique, avec des appendices supplémentaires qui génèrent encore plus d'appui.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alpine A290 : la R5 énervée est enfin là, jusqu'à 220 chevaux !

La semaine dernière, BMW dévoilait la nouvelle génération de la M5. La grande berline sportive se réinvente avec un nouveau design et, surtout, une motorisation hybride rechargeable reprise au grand SUV XM. La M5 entre donc dans une nouvelle ère. On y entre à pieds joints en configurant notre premier exemplaire ! Chez BMW, la M3 et la M5 sont de véritables monuments. La seconde fête cette année ses 40 ans d'existence et, hasard du calendrier, la nouvelle génération abandonne sa motorisation 100% thermique et cède à l'hybridation. Rassurez-vous, hybride rechargeable n'est pas synonyme de 4 cylindres (hey Mercedes). Non, la M5 conserve 8 cylindres. Elle embarque un V8 4.4 biturbo assisté par un bloc électrique logé dans la boîte de vitesses. Ça vous dit quelque chose ? Bien vu, c'est le groupe motopropulseur du XM ! Ici, l'ensemble développe 727 chevaux pour 1.000 Nm de couple. La voiture est équipée d'office d'un transmission intégrale xDrive, toutefois l'essieu avant est toujours déconnectable. Cette nouvelle mouture abat le 0 à 100 km/h en 3,5 secondes. La performance a un prix, puisque BMW affiche sa nouvelle M5 à partir de 159.000 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle BMW M5 : plus de 700 chevaux et pas de malus écologique !

Depuis plus de 50 ans, Renault convie des artistes à venir apposer leur vision de l'art sur certaines voitures. La dernière en date, c'est la R5 E-Tech. Le Britannique Dan Rawlings a donc passé quelques semaines dans l'usine de Douai, pour transformer la nouvelle citadine électrique de Renault en œuvre d'art roulante… Lorsque l'on évoque l'art dans l'automobile, on pense aux BMW Art Cars en premier lieu. Mais il semble que l'expression artistique ne soit pas exclusivement bavaroise. Munich n'en a pas le monopole, et Renault vient de nous le rappeler. La marque au losange a en effet fait appel à l'artiste anglais Dan Rawlings, pour transformer une R5 E-Tech flambant neuve en quelque-chose d'unique. Dan Rawlings est principalement connu pour ses œuvres atypiques, qui se composent de morceaux de métal découpés et peints. Le sujet de prédilection de l'artiste ? La nature. Et ça se voit sur la R5 qui lui a servi de « toile vierge ». Il précise d'ailleurs : « C'est la première fois que je travaille sur un modèle de véhicule neuf. Je n'avais jamais démonté un véhicule électrique avant ni travaillé dans un site industriel comme Douai ». Une belle initiation, alors !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La Renault 5 E-Tech s'invite dans les jeux vidéo grâce à des mods !

Dans le milieu très tendance du restomod, l'Alfa Romeo Giulia est certainement l'un des modèles les plus en vogue. Totem Automobili occupe le devant de la scène, mais il serait bien dommage de ne pas prêter attention à d'autres petites officines, comme Alfaholics. Alfaholics compte déjà plusieurs restomods dans son portfolio, dont la magnifique GTA-R de 2020. Celle-ci se base sur une Alfa Romeo Giulia 2000 GT Veloce, mais revoit sa copie. La carrosserie est composée de certains panneaux en fibre de carbone, tandis que les ailes sont élargies et la calandre revue. Les pare-chocs sont tout simplement retirés, pour renforcer l'aspect sportif de l'engin. L'intérieur est entièrement personnalisable. L'exemplaire visible ici dispose d'un habitacle entièrement tendu de cuir brun, ainsi que de tissu tressé. Sous le capot, la GTA-R embarque un 4 cylindres retravaillé en profondeur, avec une nouvelle injection notamment. Le bloc de 2,1 litres développe 230 chevaux et est associé à une boîte manuelle à 5 vitesses qui envoie la cavalerie aux roues arrière. Alfaholics précise que tous les exemplaires étaient produits à la main. Les prix n'ont jamais été communiqués.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}