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Aujourd’hui — 25 juin 2024Automobile

BMW Z1 : le cabriolet parfait pour se démarquer pendant l’été !

25 juin 2024 à 15:00
L'été est enfin là ! Les amateurs de voitures en tous genres sont certainement plus tentés que jamais par l'achat d'un cabriolet pour aller rouler cheveux au vent. Les modèles neufs sont de plus en plus rares, mais le marché de l'occasion regorge de possibilités, dont la BMW Z1, un roadster pour le moins atypique. Chez BMW, la lignée des Z (à ne pas confondre avec les Z de chez Nissan) a toujours été relativement confidentielle. À vrai dire, seuls deux modèles ont été massivement diffusés, les Z3 et Z4. Ne cherchez pas de Z2, ça n'a jamais existé. Cependant, BMW a bel et bien commencé l'histoire avec la Z1, en 1988. Pourquoi Z ? Pour « Zukunft » (à vos souhaits), qui se traduit par « futur » en Français. À l'époque, les lignes étaient novatrices. Les proportions compactes de ce drôle d'engin lui permettaient de se montrer agile. La Z1 affiche un long capot avec, tout au bout, un bouclier assez fin. Les phares, très simples, évoquent ceux du coupé Série 8, à ceci près qu'ici, ils ne sont pas escamotables. La poupe est plus semblable à ce que produisait BMW à cette époque. Les petits rétroviseurs sont déportés sur les montants du pare-brise. Pourquoi ne pas les avoir fixés aux portières ? La raison est simple, ces dernières ne s'ouvrent pas comme sur n'importe quelle voiture…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW M5 : ça fait 40 ans qu'elle terrorise ses concurrentes !

PHOTOS - Plus de 100.000 euros pour la nouvelle Toyota GR Yaris, la belle affaire !

25 juin 2024 à 13:00
Six mois après l'avoir présentée, Toyota ouvre désormais les commandes pour sa nouvelle GR Yaris. La petite bombinette nippone a tout pour plaire, tant que vous n'habitez pas en France... Enfin une nouveauté qui n'est ni électrique, ni haute sur roues ! Toyota vient d'ouvrir les carnets de commandes pour sa compacte sportive, la GR Yaris. Celle-ci reprend un design musclé avec des proportions contenues, un habitacle racé et, surtout, une mécanique sympathique. Elle embarque un 3 cylindres 1.6 turbo de 280 chevaux, qu'il est possible d'associer au choix à une boîte manuelle ou une transmission automatique. Elle a tout pour plaire, alors ? Dans 99 % des marchés où elle est vendue, oui ! Mais pas en France. Chez nous, elle écope d'un malus écologique assassin de 60.000 euros, qu'il faut ajouter aux 46.300 euros de la version manuelle, et 48.800 euros pour l'automatique. Ce qui donne des tarifs de respectivement 106.300 et 108.800 euros. En cochant 2 ou 3 options, on dépasse les 110.000 euros, soit le prix d'une Porsche neuve d'il y a quelques années... Pas sûr que Toyota parvienne à écouler les 300 exemplaires prévus pour la France.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Plus de 100.000 euros pour la nouvelle Toyota GR Yaris, pas mal non ? C’est Français !

25 juin 2024 à 13:00
La nouvelle Toyota GR Yaris est enfin disponible en France. À l'occasion de l'ouverture des commandes, les tarifs ont été communiqués. Sans surprise, on frise le ridicule. La petite bombinette japonaise s'affiche à plus de 100.000 euros, grâce à notre fierté nationale : le malus écologique 2024 ! On entend souvent dire que les Français sont chauvins. Il faut pourtant reconnaître qu'on a de quoi l'être ! Nous produisons le meilleur vin du monde, on compte la plus grande variété de fromages différents, on est le pays de la gastronomie, de la baguette, du croissant, du coq, de la Tour Eiffel… Sans oublier ce qui est certainement notre plus grande fierté : le malus écologique. Vous pouvez chercher, taxer des voitures à 60.000 euros, soit plus que le prix du modèle en lui-même, ça n'existe nulle part ailleurs ! Un nouveau véhicule vient d'en faire les frais. Certes, on s'y attendait depuis sa présentation en début d'année, mais c'est toujours plus risible une fois que c'est concret. Toyota vient de communiquer les tarifs de sa toute nouvelle GR Yaris, une voiture dédiée au plaisir de conduire qui, sur la majeure partie des marchés, est disponible à partir de 46.300 euros en boîte manuelle et 48.800 euros en automatique. Chez nous, comptez plus du double…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Toyota GR Yaris : une série ultra limitée pour la France, accessible via un tirage au sort !

PHOTOS - L'Audi RS Q8 se paie un lifting mais quitte la France...

25 juin 2024 à 10:00
Audi vient de présenter son RS Q8 fraîchement restylé. Pour l'occasion, la marque fait évoluer le design très légèrement et conserve le même niveau de puissance. Presque 5 ans après son lancement officiel, l'Audi RS Q8 a droit au traditionnel restylage de mi-carrière, de rigueur pour rester dans le match face aux concurrents. Pour l'occasion, la marque aux anneaux lui offre des boucliers retravaillés, ainsi que de nouvelles teintes de carrosserie. Le catalogue des jantes s'enrichit également. À l'intérieur, pas de révolution. Le RS Q8 embarque toujours sa triplette d'écrans, pour l'instrumentation, l'infodivertissement et la climatisation. Le mobilier ne change pas, cependant de nouveaux packs optionnels sont disponibles. Sous le capot, le V8 4.0 TFSI reste à sa place et développe encore une fois 600 chevaux pour 800 Nm de couple. Audi annonce un 0 à 100 km/h en 3,8 secondes, tandis que la vitesse de pointe est bridée électroniquement à 250 km/h. Des packs permettent de faire grimper l'engin à 280, voire 305 km/h.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Mauvaise nouvelle, la marque ne proposera plus le RS Q8 sur le marché français. Bonne nouvelle, une inédite version Performance sera commercialisée chez nous, avec 40 chevaux supplémentaires, soit un total de 640 chevaux !

Audi RS Q8 Performance : le V8 fait de la résistance avec 640 chevaux !

25 juin 2024 à 10:00
Cinq ans après son lancement, l'Audi RS Q8 passe par la case restylage. Pour l'occasion, la marque lui offre une inédite version Performance qui délivre 640 chevaux, toujours tirés de son bon vieux V8 biturbo. Celle-ci est d'ailleurs la seule version survivante, puisque le RS Q8 standard se retire du marché français. Les commandes ouvrent à la fin du mois. On a d'abord eu assez peur en apprenant qu'Audi ne comptait pas reconduire le RS Q8 chez nous. Heureusement, on a vite découvert que la France aurait bien droit à nouveau au gros SUV sportif d'Ingolstadt, dans une version encore plus puissante. Après tout, tant qu'à faire, autant ne conserver que la meilleure des deux ! Le RS Q8 s'en va donc, mais est aussitôt remplacé par un inédit RS Q8 Performance. Esthétiquement, les différences avec un RS Q8 standard ne sont pas flagrantes. Les boucliers sont retravaillés et sont plus agressifs, aussi bien à l'avant qu'à l'arrière. La lame avant, le diffuseur et les coques de rétroviseurs sont finis en gris mat et peuvent être choisis en fibre de carbone, moyennant supplément. L'engin repose sur des jantes de 22 pouces à 10 branches. Des roues de 23 pouces, plus légères, sont proposées en option. Enfin, le nuancier s'enrichit de 3 nouvelles teintes : Rouge Chili, Bleu Ascari et Doré Sakhir.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Audi restyle son e-Tron GT et lui offre trois versions pour le prix d'une !

PHOTOS - Audi offre une version Performance de 640 chevaux à son RS Q8 !

25 juin 2024 à 10:00
Audi vient de procéder au restylage de mi-parcours de son SUV ultra sportif, le RS Q8. La marque retire d'ailleurs la version standard du marché français. Pas de panique, une version Performance est prête à le remplacer ! En 2019, Audi présentait le nouveau vaisseau amiral de sa gamme RS, le RS Q8. Cette année, la marque le retire du marché mais ne laisse pas de case vide pour autant. Si la version "normale" s'en va, elle est immédiatement remplacée par un inédit RS Q8 Performance. Celui-ci reprend les mêmes lignes, mais devient encore plus agressif grâce à ses boucliers spécifiques. L'engin repose sur des jantes de 22 pouces à 10 branches. Des roues de 23 pouces sont également disponibles dans le catalogue d'options. L'habitacle n'évolue que très peu, même si de nouveaux packs de design sont proposés. Sous le capot, cette version Performance reprend le V8 4.0 TFSI. Toutefois, la puissance passe de 600 à 640 chevaux pour un couple de 650 Nm ! Le RS Q8 Performance revendique un 0 à 100 km/h  abattu en seulement 3,6 secondes et une vitesse maximale pouvant atteindre 305 km/h, en cochant les bons packs d'options...{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Audi ouvrira les commandes de ce nouveau RS Q8 Performance dès le 27 juin. Les tarifs sont fixés à 184.800 euros, hors malus bien sûr. Rappelons que ce mastodonte écope non seulement du malus écologique, mais également de la taxe au poids...

McLaren, dernier rempart contre les SUV, pourrait céder avec l’aide de BMW

25 juin 2024 à 07:00
McLaren fait partie des derniers constructeurs à ne pas encore avoir cédé à la tendance des SUV. La marque anglaise résiste à cette mode, mais pour combien de temps encore ? Peut-être plus pour très longtemps, puisque l'on entend parler depuis quelques jours d'un futur modèle haut sur roues, qui pourrait reprendre une plateforme fournie par BMW… En 2002, quand Porsche a présenté le Cayenne, les puristes ont crié au scandale. Puis ils se sont habitués, à tel point que le modèle est actuellement l'un des plus vendus par la marque allemande. Face à ce succès, les autres marques de luxe ont suivi. Bentley et Rolls-Royce, mais aussi Aston Martin, Lamborghini, Lotus… Même Ferrari ! Mais en Angleterre, un petit constructeur résiste encore et toujours à l'envahisseur : McLaren. La marque de Woking déclarait il y a encore quelques années qu'un SUV n'était toujours pas au programme. Mais les chiffres ne mentent jamais. Si têtu soit-il, le constructeur voit bien qu'il y a encore un peu de place sur le marché des SUV pour s'engouffrer avec un nouveau modèle, pour aller se bagarrer avec les concurrents. Problème, McLaren n'a dans sa banque d'organes que des plateformes de coupés sportifs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Avec cette livrée hommage, la McLaren Senna n'a jamais aussi bien porté son nom !

Hier — 24 juin 2024Automobile

Les Ford RS200 et Escort Mk1 vont renaître grâce à Boreham Motorworks

24 juin 2024 à 17:00
Un préparateur anglais vient d'annoncer un projet qui devrait ravir les passionnés de sports mécaniques. Boreham Motorworks compte en effet relancer la production des Ford RS200 et Escort Mk1. L'entreprise a annoncé que ces deux modèles seraient reconstruits en quantité limitée. Et le plus beau dans tout ça, c'est que Boreham Motorworks a reçu la bénédiction de Ford ! Voilà une annonce qui devrait raviver des souvenirs chez les nombreux passionnés de sports mécaniques, qui suivaient assidument les rallyes de la fin du siècle dernier. Une petite officine anglaise, assez peu connue du grand public, vient d'annoncer la signature d'un accord de licence avec Ford. L'objectif ? Relancer la production d'anciennes icônes de la marque à l'ovale bleu, par le biais de séries « continuation ». Un peu à la manière d'Aston Martin avec sa DB5 Continuation.  Boreham Motorworks a donc la confiance, mieux, la bénédiction de Ford pour ce projet. Voilà qui annonce de belles choses pour l'avenir, d'autant que les modèles concernés sont iconiques : la Ford RS200 et l'Escort Mk1. L'une et l'autre ont brillé en championnat du monde des rallyes, plus particulièrement dans le mythique Groupe B pour la RS200.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : K39, la nouvelle arme de Kimera Automobili pour affronter Pikes Peak en 2025 !

CONCEPT OUBLIÉ - Audi Steppenwolf : quand Audi tâtait déjà le terrain pour les SUV

24 juin 2024 à 16:00
En 2000, Audi est arrivé au Mondial de l'Auto de Paris avec un concept original (pour l'époque) : le Steppenwolf. Le principe est bien connu de nos jours, il s'agissait en fait tout simplement d'un SUV, davantage destiné à arpenter les villes que les chemins boueux. Un peu de contextualisation s'impose. Évidemment, si Audi présentait ce concept sur un salon en 2024, personne n'y prêterait la moindre attention. Un SUV de plus ou de moins, après tout, personne ne le remarquerait. En revanche, quand la marque aux anneaux a présenté son Steppenwolf au Mondial de Paris de 2000, le concept a éveillé la curiosité des visiteurs. Et pour cause, à ce moment-là, les SUV ne couraient pas les rues, encore moins les modèles premiums. À l'époque, seuls le BMW X5 et le Mercedes Classe M étaient déjà commercialisés. On ne se doutait pas encore que ce type de véhicules allait finir par devenir une norme, dont il est aujourd'hui bien difficile de se débarrasser. Toujours est-il que face au succès que rencontrait BMW et Mercedes avec leurs modèles, Audi a décidé de leur emboîter le pas. Ou du moins de sonder sa clientèle…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Audi restyle son e-Tron GT et lui offre trois versions pour le prix d'une !

La Bugatti Tourbillon cache un secret que personne n’attendait !

24 juin 2024 à 14:00
En fin de semaine dernière, Bugatti jetait un énorme (vraiment énorme) pavé dans la mare. La nouvelle hypercar alsacienne, baptisée Tourbillon, redéfinit les standards en matière de performance et de luxe, grâce à un V16 hybride de 1.800 chevaux, mais également grâce à son habitacle spectaculaire. Justement, un détail bien caché à l'intérieur de la voiture pourrait surprendre quelques puristes de la marque… La semaine dernière, Bugatti a fait sensation en dévoilant sa nouvelle hypercar, la Tourbillon. Celle-ci succède à la Chiron et, bien qu'elle en reprenne en partie le style, elle repousse encore les limites en matière de luxe et de performance. Elle est plus puissante, plus impressionnante visuellement, plus rare, plus chère… Les superlatifs ne manquent pas pour parler de cette nouvelle hypercar. Parmi les points qui ont le plus fait parler, on peut notamment évoquer l'habitacle. Un article complet ne suffirait pas à aborder tous les détails présents à bord. De la console centrale en cristal, au combiné d'instrumentation analogique composé de titane, de rubis et de saphirs, tout est absolument hors normes. Mais il y a un détail dont on n'a pas encore parlé…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Bugatti lève le voile sur son nouveau fleuron, la Tourbillon !

PHOTOS - Venturi 400 Trophy, notre Ferrari F40 nationale !

24 juin 2024 à 10:07
On pourrait la prendre pour une Ferrari F40, à première vue. Mais il s'agit pourtant là d'une supercar française, produite dans les années 90 : une Venturi 400 ! L'un des 10 exemplaires homologués pour la route est d'ailleurs actuellement en vente... Venturi est un constructeur français dont seuls les passionnés les plus avertis se souviennent. Fondée en 1985, la marque française a principalement produit des voitures de sport avec des lignes typiques de cette époque. On n'entend plus parler de Venturi depuis une bonne quinzaine d'années, hormis pour quelques concepts électriques qui n'ont jamais atteint le stade de la production. Cependant, il arrive que certains modèles des années 90 refassent surface sur le marché de l'occasion. C'est le cas de cette Venturi 400 Trophy. La marque avait produit 72 exemplaires de ce coupé, tous destinés à courir en compétition. Par la suite, 10 voitures ont été remises aux normes et converties pour un usage routier, dont celle-ci, qui est actuellement proposée à la vente. La 400 Trophy est dotée d'un kit carrosserie plus large, de boucliers spécifiques, d'un aileron arrière et de jantes Oz Magnesio. Cette version est plus agressive et rappelle inévitablement l'une de ses concurrentes de l'époque, la Ferrari F40.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} La Venturi 400 Trophy est motorisée par un V6 3.0 biturbo développant un peu plus de 400 chevaux, transmis aux roues arrière par une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports. Cet exemplaire, mis en circulation en 1993, n'affiche que 5.200 kilomètres au compteur. Le prix n'est pas communiqué, mais il doit se situer dans des sphères assez hautes...

Venturi 400 Trophy : la réponse française à la Ferrari F40 !

24 juin 2024 à 10:06
Dans les années 90, alors que Ferrari venait de mettre tout le monde d'accord avec sa légendaire F40, une petite marque française a répliqué avec un modèle au caractère bien trempé. Ce constructeur, c'est Venturi. Et ce modèle, la 400. Mais pas n'importe laquelle : la 400 Trophy, une bête échappée des circuits ! À l'heure actuelle, le nom de Venturi ne doit pas évoquer grand-chose hormis pour une poignée de passionnés automobiles. Pourtant, cette marque française fondée en 1985 a connu quelques moments de gloire, notamment avec deux modèles en particulier. La 300 Atlantique, pour commencer, un élégant coupé sport doté d'un V6 de 310 chevaux. Puis la 400 GT, qui se classe davantage comme une supercar. Mais cette dernière est en fait une version assagie de la 400 Trophy, une voiture homologuée pour la route dérivée d'un modèle de compétition, dont seuls 10 exemplaires ont été produits… Esthétiquement, difficile de ne pas faire le lien avec sa rivale de l'époque, la Ferrari F40 ! Le bouclier avant intègre une grande entrée d'air centrale, ainsi que des phares escamotables. D'impressionnantes prises d'air sont percées dans les ailes arrière. La poupe est surmontée d'un énorme aileron fixe. La voiture repose sur des jantes Oz Magnesio blanches. Tous les codes stylistiques de l'Italienne sont transposés sur la Française.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : K39, la nouvelle arme de Kimera Automobili pour affronter Pikes Peak en 2025 !

K39, la nouvelle arme de Kimera Automobili pour affronter Pikes Peak en 2025 !

24 juin 2024 à 08:39
Kimera Automobili vient de présenter sa nouvelle création, sobrement baptisée K39. En plus d'être très agréable à regarder, cette voiture a de grosses ambitions. Car si les réalisations précédentes de Kimera Automobili étaient des restomods au tempérament sportif, celle-ci est destinée à courir à Pikes Peak l'année prochaine ! Après les EVO37 et EVO38, Kimera Automobili revient à la charge avec une nouvelle voiture : la K39. Mais si les deux premières se présentaient sous la forme de jolis restomods de la Lancia 037, destinés à plaire aux passionnés, cette nouvelle venue aspire à autre chose. Avec elle, l'entreprise italienne confirme son intention d'aller concourir à Pikes Peak l'an prochain ! Visuellement, cette K39 peut être considérée comme une EVO38 en tenue de sport. Une tenue de sport assez exubérante, tout de même. La face avant est dotée d'un bouclier spécifique, avec une lame avant et des séparateurs d'air. Le capot est bardé d'extracteurs. Les ailes arrière affichent des prises d'air impressionnantes, tandis qu'un roofscop trône sur le toit. La poupe est toutefois bien différente de celle d'une EVO38, avec son diffuseur massif, son grand aileron et son large bandeau lumineux. La voiture repose sur des jantes aérodynamiques, chaussées de pneus Pirelli P-Zero. L'habitacle n'a pas été révélé, mais on peut s'attendre à une ambiance digne des voitures de course les plus radicales.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Kimera EVO37 Martini 7 : La Lancia 037 moderne la plus fidèle au Groupe B
À partir d’avant-hierAutomobile

CONFIG – Audi RS e-Tron GT Performance : ça fait cher la fausse Porsche Taycan !

22 juin 2024 à 16:00
En début de semaine, Audi présentait son e-Tron GT restylée ! Hasard du calendrier, on configurait mercredi une Porsche Taycan Turbo S… Alors autant organiser un match, en s'occupant cette fois de la version aux 4 anneaux ! Pour jouer le jeu à fond, on a choisi la RS e-Tron GT Performance, la plus puissante, mais aussi la plus chère. Aujourd'hui, si vous voulez vous offrir une berline électrique sportive, vous n'avez pas l'embarras du choix. Vous pouvez vous tourner vers Tesla, avec la Model S Plaid. Ou bien défendre le savoir-faire européen et aller frapper à la porte du groupe Volkswagen. Chez eux, Porsche et Audi proposent eux-aussi des jouets intéressants. Ou plutôt un jouet proposé avec deux emballages différents : la Taycan à Stuttgart et l'e-Tron GT du côté d'Ingolstadt. On est déjà allé voir chez Porsche, mercredi. On ne risque donc pas grand-chose à aller tâter le terrain chez Audi. On a choisi la version la plus puissante de la gamme, à savoir la RS e-Tron GT Performance. Cette dernière embarque 3 moteurs électriques pour un total de 925 chevaux. À titre de comparaison, sa jumelle de chez Porsche reste légèrement plus puissante, avec 952 équidés. Notre Audi peut expédier le 0 à 100 km/h en seulement 2,5 secondes et atteindre une vitesse de pointe de 250 km/h. Côté autonomie, elle offre jusqu'à 554 kilomètres en cycle WLTP, à condition bien sûr de ne pas avoir du plomb dans la chaussure de droite… Son prix ? 175.350 euros tout de même. En l'absence de malus, on a compensé en cochant quelques options.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Audi restyle son e-Tron GT et lui offre trois versions pour le prix d'une !

Lancia Delta Integrale Futurista : le coup de génie d’Automobili Amos !

21 juin 2024 à 17:00
En 2018, Automobili Amos a coupé le souffle de bon nombre de passionnés en présentant un restomod de la légendaire Lancia Delta Integrale. Baptisée Futurista, cette réalisation fait tout pour rester au plus près de la voiture d'origine, tout en revoyant sa fiche technique pour être plus performante. La Lancia Delta Integrale, c'est toute une histoire. Alors évidemment, lorsqu'un préparateur se lance dans un projet impliquant l'Italienne, tout le monde attends en retenant son souffle, pour savoir si les responsables doivent être lapidés en place publique. Il y a 6 ans, en 2018, un préparateur italien relativement méconnu, Automobili Amos, dévoilait un restomod qui a scotché tout le monde. Et surprise, les 2 propriétaires de l'entreprise sont toujours bien vivants, preuve que le restomod est réussi… Son nom ? Lancia Delta Integrale Futurista. Son objectif ? Reprendre la même recette que la Delta Integrale originelle tout en la remettant au goût du jour, subtilement. La carrosserie a été reproduite fidèlement en fibre de carbone, dont une partie est laissée apparente, autour de la calandre notamment. Les ailes sont légèrement élargies, sans tomber dans la caricature. Les optiques sont désormais à LED, à l'avant comme à l'arrière. La voiture repose sur des jantes semi-pleines finies en noir, évoquant des turbines. Enfin, un becquet en carbone surplombe la lunette arrière.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lancia Ypsilon HF : Le furieux Eléphant italien fait son retour … en tout électrique !

La millionième Chevrolet Corvette a une histoire hors du commun !

21 juin 2024 à 16:00
En 2014, le National Corvette Museum de Chevrolet avait connu un petit pépin : le sol de l'une de ses salles d'exposition s'était effondré et avait entraîné plusieurs modèles de la collection dans sa chute. Parmi ces voitures se trouvait la millionième Corvette produite par la marque, en 1992. Elle a depuis été sortie de son trou et entièrement restaurée. La Corvette est l'une des voitures sportives les plus produites de toute l'histoire de l'automobile. Chevrolet en a vendu plus de 1,7 million d'exemplaires depuis son lancement, en 1953 ! La cadence a certes ralenti depuis quelques années, mais la dernière génération continue de séduire de nombreux passionnés. Le modèle est si populaire que la marque lui a carrément consacré un musée dédié, dans lequel sont exposés tous les exemplaires les plus marquants de son histoire. À ce propos, l'histoire du musée en lui-même est assez originale. Le bâtiment, construit en 1994, se situe à Bowling Green dans le Kentucky. En 2014, un phénomène géologique a causé un effondrement du sol de l'une des salles d'exposition. Plusieurs voitures sont tombées dans un gouffre et ont été lourdement endommagées. Parmi elles, se trouvait la millionième Corvette à être sortie des usines Chevrolet, en 1992. Un cabriolet blanc, avec un intérieur rouge...{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Qui veut s'offrir l'ancienne Chevrolet Camaro Z28 de Paul Walker ?

Bugatti Tourbillon : c’est dans les détails que se cache l’excellence

21 juin 2024 à 14:00
Hier, Bugatti dévoilait sa toute nouvelle hypercar, la Tourbillon. Celle-ci, qui succède à la Chiron, revoit sa fiche technique en profondeur et profite toujours d'une robe élégante. Mais une fois la première claque visuelle passée, on pourrait passer des heures à admirer les détails qui composent la voiture, aussi bien dehors que dedans… Bugatti nous a fait veiller tard, hier soir. Mais on l'a fait de bon cœur, puisque ce n'est pas tous les jours que la marque alsacienne présente une nouvelle hypercar. Baptisée Tourbillon, celle-ci a la lourde tâche de succéder à la Chiron, qui est désormais entrée au panthéon des icônes de Bugatti. Elle en reprend partiellement les lignes, en affinant le trait et en mettant encore plus en valeur le patrimoine stylistique du constructeur. Rien n'est laissé au hasard, chaque détail a son importance. Lire aussi : Bugatti lève le voile sur son nouveau fleuron, la Tourbillon ! Un design extérieur 100 % Bugatti

Mercedes G63 AMG 6X6 : le parpaing qui valait 700.000 euros

21 juin 2024 à 11:00
Un collectionneur a eu la riche idée de dépenser 778.000 dollars pour s'offrir une voiture très exclusive : un Mercedes G63 AMG 6X6. Cela dit, l'exclusivité n'est pas synonyme de bon goût, surtout quand on achète un engin pareil. Les 4,5 tonnes de ce monstre vont certainement passer le plus clair de leur temps à arpenter les rues des quartiers huppés… On aime rappeler à quel point la fiscalité française en matière d'automobile est punitive, surtout pour certains « petits » modèles. Mais même si le fameux malus écologique est souvent considéré comme du racket par certains, il faut bien se dire qu'il n'est pas apparu par magie. On peut notamment accuser certaines marques, qui ont poussé le curseur si loin que c'en est ridicule. Et parmi elles, Mercedes tient certainement la palme… Entre 2013 et 2015, la marque à l'étoile a eu une idée de génie. Elle s'est associée à Magna Steyr pour convertir une centaine de Classe G, des G63 AMG plus précisément, en pickups à 6 roues. La légende dit que la température sur terre a augmenté de 2 degrés au moment même de l'annonce du projet. Et le plus beau dans cette histoire, c'est qu'en dépit des capacités remarquables de l'engin en off-road, la majorité des exemplaires produits ne sert qu'à une seule chose : se montrer dans les quartiers les plus huppés des grandes villes… Un sans-faute, carton plein comme on dit.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mercedes-Benz 190E 2.5-16 Evolution II : même kilométrée, elle coûte plus de 300.000 euros !

PHOTOS - 730.000 euros pour un tank badgé Mercedes, une blague de mauvais goût

21 juin 2024 à 11:00
Admettons que vous ayez 700.000 euros à disposition. Quelle voiture vous offririez-vous avec cette somme ? Un beau modèle de collection, ou bien une supercar, à coup sûr. Eh bien, figurez-vous qu'un individu au mauvais goût certain vient de dépenser ce paquet d'argent pour s'acheter un Mercedes G63 AMG 6X6... Pour ceux d'entre vous qui auraient raté un épisode, Mercedes et Magna Steyr ont décidé d'un commun accord qu'il serait intéressant de convertir des G63 AMG en version pick-up à 6 roues. La production s'est étalée entre 2013 et 2015, une centaine d'exemplaires ayant vu le jour. Outre l'impact écologique désastreux de cette chose, la majorité de ces monstres ne faisant que circuler entre les trottoirs des quartiers huppés de Miami, Los Angeles ou Dubaï, on peut s'accorder à dire que le design n'est pas franchement heureux... Sous le capot, ce G63 AMG 6X6 embarque un V8 5.5 biturbo de 544 chevaux. Une puissance qui peut sembler importante, mais qui l'est beaucoup moins une fois que l'on apprend le poids total de l'engin : plus de 4,5 tonnes ! {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Un parpaing posé sur 6 roues vaut-il réellement 778.000 dollars ? C'est en tout cas ce qu'a pensé l'acheteur de cet exemplaire, qui a déboursé cette coquette somme, qui équivaut à environ 727.500 euros. Se pavaner dans les quartiers huppés n'a donc pas de prix, visiblement...

PHOTOS - Une Saleen S7 vient de s'échanger contre la bagatelle de 715.000 dollars !

21 juin 2024 à 09:00
La Saleen S7 n'est pas la plus connue des supercars des années 2000. L'Américaine n'a jamais réussi à sortir de l'ombre des références européennes, malgré tout cette voiture a de sérieux arguments, qui viennent justement de convaincre un passionné de s'offrir l'un des rares exemplaires. il ne s'agit pas de n'importe quelle Saleen S7. Cet exemplaire date de 2005 et est doté de 2 turbos avec, en plus, le Pack Compétition. En tout, seules 2 S7 ont été produites avec ces spécifications, ce qui fait de cet exemplaire une véritable rareté. La voiture est encore plus radicale que la version "de série", avec des appendices aérodynamiques en carbone, dont un grand aileron fixe. L'habitacle est brut de décoffrage, avec ses sièges baquets à harnais et son volant de course. En position centrale arrière, cette Saleen S7 Twin Turbo Pack Competition embarque un V8 7.0 biturbo de 1.000 chevaux. Le bloc a été retravaillé et accepte même de boire de l'E85 ! La voiture est dotée d'une boîte manuelle à 6 vitesses qui envoie la puissance sur l'essieu arrière. Et même si elle est sortie d'usine il y a 19 ans, cette supercar peut abattre le 0 à 100 km/h en 2,8 secondes et pourrait attendre, selon certaines sources, plus de 400 km/h !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Cet exemplaire ne totalise que 1.770 kilomètres. Il vient justement de changer de propriétaire, contre 715.000 dollars, soit environ 670.000 euros. Pas si cher, quand on compare cette somme au prix des équivalents actuels...
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