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Aujourd’hui — 25 juin 2024Automobile

McLaren, dernier rempart contre les SUV, pourrait céder avec l’aide de BMW

25 juin 2024 à 07:00
McLaren fait partie des derniers constructeurs à ne pas encore avoir cédé à la tendance des SUV. La marque anglaise résiste à cette mode, mais pour combien de temps encore ? Peut-être plus pour très longtemps, puisque l'on entend parler depuis quelques jours d'un futur modèle haut sur roues, qui pourrait reprendre une plateforme fournie par BMW… En 2002, quand Porsche a présenté le Cayenne, les puristes ont crié au scandale. Puis ils se sont habitués, à tel point que le modèle est actuellement l'un des plus vendus par la marque allemande. Face à ce succès, les autres marques de luxe ont suivi. Bentley et Rolls-Royce, mais aussi Aston Martin, Lamborghini, Lotus… Même Ferrari ! Mais en Angleterre, un petit constructeur résiste encore et toujours à l'envahisseur : McLaren. La marque de Woking déclarait il y a encore quelques années qu'un SUV n'était toujours pas au programme. Mais les chiffres ne mentent jamais. Si têtue soit-il, le constructeur voit bien qu'il y a encore un peu de place sur le marché des SUV pour s'engouffrer avec un nouveau modèle, pour aller se bagarrer avec les concurrents. Problème, McLaren n'a dans sa banque d'organes que des plateformes de coupés sportifs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Avec cette livrée hommage, la McLaren Senna n'a jamais aussi bien porté son nom !

Hier — 24 juin 2024Automobile

Les Ford RS200 et Escort Mk1 vont renaître grâce à Boreham Motorworks

24 juin 2024 à 17:00
Un préparateur anglais vient d'annoncer un projet qui devrait ravir les passionnés de sports mécaniques. Boreham Motorworks compte en effet relancer la production des Ford RS200 et Escort Mk1. L'entreprise a annoncé que ces deux modèles seraient reconstruits en quantité limitée. Et le plus beau dans tout ça, c'est que Boreham Motorworks a reçu la bénédiction de Ford ! Voilà une annonce qui devrait raviver des souvenirs chez les nombreux passionnés de sports mécaniques, qui suivaient assidument les rallyes de la fin du siècle dernier. Une petite officine anglaise, assez peu connue du grand public, vient d'annoncer la signature d'un accord de licence avec Ford. L'objectif ? Relancer la production d'anciennes icônes de la marque à l'ovale bleu, par le biais de séries « continuation ». Un peu à la manière d'Aston Martin avec sa DB5 Continuation.  Boreham Motorworks a donc la confiance, mieux, la bénédiction de Ford pour ce projet. Voilà qui annonce de belles choses pour l'avenir, d'autant que les modèles concernés sont iconiques : la Ford RS200 et l'Escort Mk1. L'une et l'autre ont brillé en championnat du monde des rallyes, plus particulièrement dans le mythique Groupe B pour la RS200.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : K39, la nouvelle arme de Kimera Automobili pour affronter Pikes Peak en 2025 !

CONCEPT OUBLIÉ - Audi Steppenwolf : quand Audi tâtait déjà le terrain pour les SUV

24 juin 2024 à 16:00
En 2000, Audi est arrivé au Mondial de l'Auto de Paris avec un concept original (pour l'époque) : le Steppenwolf. Le principe est bien connu de nos jours, il s'agissait en fait tout simplement d'un SUV, davantage destiné à arpenter les villes que les chemins boueux. Un peu de contextualisation s'impose. Évidemment, si Audi présentait ce concept sur un salon en 2024, personne n'y prêterait la moindre attention. Un SUV de plus ou de moins, après tout, personne ne le remarquerait. En revanche, quand la marque aux anneaux a présenté son Steppenwolf au Mondial de Paris de 2000, le concept a éveillé la curiosité des visiteurs. Et pour cause, à ce moment-là, les SUV ne couraient pas les rues, encore moins les modèles premiums. À l'époque, seuls le BMW X5 et le Mercedes Classe M étaient déjà commercialisés. On ne se doutait pas encore que ce type de véhicules allait finir par devenir une norme, dont il est aujourd'hui bien difficile de se débarrasser. Toujours est-il que face au succès que rencontrait BMW et Mercedes avec leurs modèles, Audi a décidé de leur emboîter le pas. Ou du moins de sonder sa clientèle…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Audi restyle son e-Tron GT et lui offre trois versions pour le prix d'une !

La Bugatti Tourbillon cache un secret que personne n’attendait !

24 juin 2024 à 14:00
En fin de semaine dernière, Bugatti jetait un énorme (vraiment énorme) pavé dans la mare. La nouvelle hypercar alsacienne, baptisée Tourbillon, redéfinit les standards en matière de performance et de luxe, grâce à un V16 hybride de 1.800 chevaux, mais également grâce à son habitacle spectaculaire. Justement, un détail bien caché à l'intérieur de la voiture pourrait surprendre quelques puristes de la marque… La semaine dernière, Bugatti a fait sensation en dévoilant sa nouvelle hypercar, la Tourbillon. Celle-ci succède à la Chiron et, bien qu'elle en reprenne en partie le style, elle repousse encore les limites en matière de luxe et de performance. Elle est plus puissante, plus impressionnante visuellement, plus rare, plus chère… Les superlatifs ne manquent pas pour parler de cette nouvelle hypercar. Parmi les points qui ont le plus fait parler, on peut notamment évoquer l'habitacle. Un article complet ne suffirait pas à aborder tous les détails présents à bord. De la console centrale en cristal, au combiné d'instrumentation analogique composé de titane, de rubis et de saphirs, tout est absolument hors normes. Mais il y a un détail dont on n'a pas encore parlé…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Bugatti lève le voile sur son nouveau fleuron, la Tourbillon !

PHOTOS - Venturi 400 Trophy, notre Ferrari F40 nationale !

24 juin 2024 à 10:07
On pourrait la prendre pour une Ferrari F40, à première vue. Mais il s'agit pourtant là d'une supercar française, produite dans les années 90 : une Venturi 400 ! L'un des 10 exemplaires homologués pour la route est d'ailleurs actuellement en vente... Venturi est un constructeur français dont seuls les passionnés les plus avertis se souviennent. Fondée en 1985, la marque française a principalement produit des voitures de sport avec des lignes typiques de cette époque. On n'entend plus parler de Venturi depuis une bonne quinzaine d'années, hormis pour quelques concepts électriques qui n'ont jamais atteint le stade de la production. Cependant, il arrive que certains modèles des années 90 refassent surface sur le marché de l'occasion. C'est le cas de cette Venturi 400 Trophy. La marque avait produit 72 exemplaires de ce coupé, tous destinés à courir en compétition. Par la suite, 10 voitures ont été remises aux normes et converties pour un usage routier, dont celle-ci, qui est actuellement proposée à la vente. La 400 Trophy est dotée d'un kit carrosserie plus large, de boucliers spécifiques, d'un aileron arrière et de jantes Oz Magnesio. Cette version est plus agressive et rappelle inévitablement l'une de ses concurrentes de l'époque, la Ferrari F40.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} La Venturi 400 Trophy est motorisée par un V6 3.0 biturbo développant un peu plus de 400 chevaux, transmis aux roues arrière par une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports. Cet exemplaire, mis en circulation en 1993, n'affiche que 5.200 kilomètres au compteur. Le prix n'est pas communiqué, mais il doit se situer dans des sphères assez hautes...

Venturi 400 Trophy : la réponse française à la Ferrari F40 !

24 juin 2024 à 10:06
Dans les années 90, alors que Ferrari venait de mettre tout le monde d'accord avec sa légendaire F40, une petite marque française a répliqué avec un modèle au caractère bien trempé. Ce constructeur, c'est Venturi. Et ce modèle, la 400. Mais pas n'importe laquelle : la 400 Trophy, une bête échappée des circuits ! À l'heure actuelle, le nom de Venturi ne doit pas évoquer grand-chose hormis pour une poignée de passionnés automobiles. Pourtant, cette marque française fondée en 1985 a connu quelques moments de gloire, notamment avec deux modèles en particulier. La 300 Atlantique, pour commencer, un élégant coupé sport doté d'un V6 de 310 chevaux. Puis la 400 GT, qui se classe davantage comme une supercar. Mais cette dernière est en fait une version assagie de la 400 Trophy, une voiture homologuée pour la route dérivée d'un modèle de compétition, dont seuls 10 exemplaires ont été produits… Esthétiquement, difficile de ne pas faire le lien avec sa rivale de l'époque, la Ferrari F40 ! Le bouclier avant intègre une grande entrée d'air centrale, ainsi que des phares escamotables. D'impressionnantes prises d'air sont percées dans les ailes arrière. La poupe est surmontée d'un énorme aileron fixe. La voiture repose sur des jantes Oz Magnesio blanches. Tous les codes stylistiques de l'Italienne sont transposés sur la Française.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : K39, la nouvelle arme de Kimera Automobili pour affronter Pikes Peak en 2025 !

K39, la nouvelle arme de Kimera Automobili pour affronter Pikes Peak en 2025 !

24 juin 2024 à 08:39
Kimera Automobili vient de présenter sa nouvelle création, sobrement baptisée K39. En plus d'être très agréable à regarder, cette voiture a de grosses ambitions. Car si les réalisations précédentes de Kimera Automobili étaient des restomods au tempérament sportif, celle-ci est destinée à courir à Pikes Peak l'année prochaine ! Après les EVO37 et EVO38, Kimera Automobili revient à la charge avec une nouvelle voiture : la K39. Mais si les deux premières se présentaient sous la forme de jolis restomods de la Lancia 037, destinés à plaire aux passionnés, cette nouvelle venue aspire à autre chose. Avec elle, l'entreprise italienne confirme son intention d'aller concourir à Pikes Peak l'an prochain ! Visuellement, cette K39 peut être considérée comme une EVO38 en tenue de sport. Une tenue de sport assez exubérante, tout de même. La face avant est dotée d'un bouclier spécifique, avec une lame avant et des séparateurs d'air. Le capot est bardé d'extracteurs. Les ailes arrière affichent des prises d'air impressionnantes, tandis qu'un roofscop trône sur le toit. La poupe est toutefois bien différente de celle d'une EVO38, avec son diffuseur massif, son grand aileron et son large bandeau lumineux. La voiture repose sur des jantes aérodynamiques, chaussées de pneus Pirelli P-Zero. L'habitacle n'a pas été révélé, mais on peut s'attendre à une ambiance digne des voitures de course les plus radicales.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Kimera EVO37 Martini 7 : La Lancia 037 moderne la plus fidèle au Groupe B
À partir d’avant-hierAutomobile

CONFIG – Audi RS e-Tron GT Performance : ça fait cher la fausse Porsche Taycan !

22 juin 2024 à 16:00
En début de semaine, Audi présentait son e-Tron GT restylée ! Hasard du calendrier, on configurait mercredi une Porsche Taycan Turbo S… Alors autant organiser un match, en s'occupant cette fois de la version aux 4 anneaux ! Pour jouer le jeu à fond, on a choisi la RS e-Tron GT Performance, la plus puissante, mais aussi la plus chère. Aujourd'hui, si vous voulez vous offrir une berline électrique sportive, vous n'avez pas l'embarras du choix. Vous pouvez vous tourner vers Tesla, avec la Model S Plaid. Ou bien défendre le savoir-faire européen et aller frapper à la porte du groupe Volkswagen. Chez eux, Porsche et Audi proposent eux-aussi des jouets intéressants. Ou plutôt un jouet proposé avec deux emballages différents : la Taycan à Stuttgart et l'e-Tron GT du côté d'Ingolstadt. On est déjà allé voir chez Porsche, mercredi. On ne risque donc pas grand-chose à aller tâter le terrain chez Audi. On a choisi la version la plus puissante de la gamme, à savoir la RS e-Tron GT Performance. Cette dernière embarque 3 moteurs électriques pour un total de 925 chevaux. À titre de comparaison, sa jumelle de chez Porsche reste légèrement plus puissante, avec 952 équidés. Notre Audi peut expédier le 0 à 100 km/h en seulement 2,5 secondes et atteindre une vitesse de pointe de 250 km/h. Côté autonomie, elle offre jusqu'à 554 kilomètres en cycle WLTP, à condition bien sûr de ne pas avoir du plomb dans la chaussure de droite… Son prix ? 175.350 euros tout de même. En l'absence de malus, on a compensé en cochant quelques options.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Audi restyle son e-Tron GT et lui offre trois versions pour le prix d'une !

Lancia Delta Integrale Futurista : le coup de génie d’Automobili Amos !

21 juin 2024 à 17:00
En 2018, Automobili Amos a coupé le souffle de bon nombre de passionnés en présentant un restomod de la légendaire Lancia Delta Integrale. Baptisée Futurista, cette réalisation fait tout pour rester au plus près de la voiture d'origine, tout en revoyant sa fiche technique pour être plus performante. La Lancia Delta Integrale, c'est toute une histoire. Alors évidemment, lorsqu'un préparateur se lance dans un projet impliquant l'Italienne, tout le monde attends en retenant son souffle, pour savoir si les responsables doivent être lapidés en place publique. Il y a 6 ans, en 2018, un préparateur italien relativement méconnu, Automobili Amos, dévoilait un restomod qui a scotché tout le monde. Et surprise, les 2 propriétaires de l'entreprise sont toujours bien vivants, preuve que le restomod est réussi… Son nom ? Lancia Delta Integrale Futurista. Son objectif ? Reprendre la même recette que la Delta Integrale originelle tout en la remettant au goût du jour, subtilement. La carrosserie a été reproduite fidèlement en fibre de carbone, dont une partie est laissée apparente, autour de la calandre notamment. Les ailes sont légèrement élargies, sans tomber dans la caricature. Les optiques sont désormais à LED, à l'avant comme à l'arrière. La voiture repose sur des jantes semi-pleines finies en noir, évoquant des turbines. Enfin, un becquet en carbone surplombe la lunette arrière.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lancia Ypsilon HF : Le furieux Eléphant italien fait son retour … en tout électrique !

La millionième Chevrolet Corvette a une histoire hors du commun !

21 juin 2024 à 16:00
En 2014, le National Corvette Museum de Chevrolet avait connu un petit pépin : le sol de l'une de ses salles d'exposition s'était effondré et avait entraîné plusieurs modèles de la collection dans sa chute. Parmi ces voitures se trouvait la millionième Corvette produite par la marque, en 1992. Elle a depuis été sortie de son trou et entièrement restaurée. La Corvette est l'une des voitures sportives les plus produites de toute l'histoire de l'automobile. Chevrolet en a vendu plus de 1,7 million d'exemplaires depuis son lancement, en 1953 ! La cadence a certes ralenti depuis quelques années, mais la dernière génération continue de séduire de nombreux passionnés. Le modèle est si populaire que la marque lui a carrément consacré un musée dédié, dans lequel sont exposés tous les exemplaires les plus marquants de son histoire. À ce propos, l'histoire du musée en lui-même est assez originale. Le bâtiment, construit en 1994, se situe à Bowling Green dans le Kentucky. En 2014, un phénomène géologique a causé un effondrement du sol de l'une des salles d'exposition. Plusieurs voitures sont tombées dans un gouffre et ont été lourdement endommagées. Parmi elles, se trouvait la millionième Corvette à être sortie des usines Chevrolet, en 1992. Un cabriolet blanc, avec un intérieur rouge...{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Qui veut s'offrir l'ancienne Chevrolet Camaro Z28 de Paul Walker ?

Bugatti Tourbillon : c’est dans les détails que se cache l’excellence

21 juin 2024 à 14:00
Hier, Bugatti dévoilait sa toute nouvelle hypercar, la Tourbillon. Celle-ci, qui succède à la Chiron, revoit sa fiche technique en profondeur et profite toujours d'une robe élégante. Mais une fois la première claque visuelle passée, on pourrait passer des heures à admirer les détails qui composent la voiture, aussi bien dehors que dedans… Bugatti nous a fait veiller tard, hier soir. Mais on l'a fait de bon cœur, puisque ce n'est pas tous les jours que la marque alsacienne présente une nouvelle hypercar. Baptisée Tourbillon, celle-ci a la lourde tâche de succéder à la Chiron, qui est désormais entrée au panthéon des icônes de Bugatti. Elle en reprend partiellement les lignes, en affinant le trait et en mettant encore plus en valeur le patrimoine stylistique du constructeur. Rien n'est laissé au hasard, chaque détail a son importance. Lire aussi : Bugatti lève le voile sur son nouveau fleuron, la Tourbillon ! Un design extérieur 100 % Bugatti

Mercedes G63 AMG 6X6 : le parpaing qui valait 700.000 euros

21 juin 2024 à 11:00
Un collectionneur a eu la riche idée de dépenser 778.000 dollars pour s'offrir une voiture très exclusive : un Mercedes G63 AMG 6X6. Cela dit, l'exclusivité n'est pas synonyme de bon goût, surtout quand on achète un engin pareil. Les 4,5 tonnes de ce monstre vont certainement passer le plus clair de leur temps à arpenter les rues des quartiers huppés… On aime rappeler à quel point la fiscalité française en matière d'automobile est punitive, surtout pour certains « petits » modèles. Mais même si le fameux malus écologique est souvent considéré comme du racket par certains, il faut bien se dire qu'il n'est pas apparu par magie. On peut notamment accuser certaines marques, qui ont poussé le curseur si loin que c'en est ridicule. Et parmi elles, Mercedes tient certainement la palme… Entre 2013 et 2015, la marque à l'étoile a eu une idée de génie. Elle s'est associée à Magna Steyr pour convertir une centaine de Classe G, des G63 AMG plus précisément, en pickups à 6 roues. La légende dit que la température sur terre a augmenté de 2 degrés au moment même de l'annonce du projet. Et le plus beau dans cette histoire, c'est qu'en dépit des capacités remarquables de l'engin en off-road, la majorité des exemplaires produits ne sert qu'à une seule chose : se montrer dans les quartiers les plus huppés des grandes villes… Un sans-faute, carton plein comme on dit.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mercedes-Benz 190E 2.5-16 Evolution II : même kilométrée, elle coûte plus de 300.000 euros !

PHOTOS - 730.000 euros pour un tank badgé Mercedes, une blague de mauvais goût

21 juin 2024 à 11:00
Admettons que vous ayez 700.000 euros à disposition. Quelle voiture vous offririez-vous avec cette somme ? Un beau modèle de collection, ou bien une supercar, à coup sûr. Eh bien, figurez-vous qu'un individu au mauvais goût certain vient de dépenser ce paquet d'argent pour s'acheter un Mercedes G63 AMG 6X6... Pour ceux d'entre vous qui auraient raté un épisode, Mercedes et Magna Steyr ont décidé d'un commun accord qu'il serait intéressant de convertir des G63 AMG en version pick-up à 6 roues. La production s'est étalée entre 2013 et 2015, une centaine d'exemplaires ayant vu le jour. Outre l'impact écologique désastreux de cette chose, la majorité de ces monstres ne faisant que circuler entre les trottoirs des quartiers huppés de Miami, Los Angeles ou Dubaï, on peut s'accorder à dire que le design n'est pas franchement heureux... Sous le capot, ce G63 AMG 6X6 embarque un V8 5.5 biturbo de 544 chevaux. Une puissance qui peut sembler importante, mais qui l'est beaucoup moins une fois que l'on apprend le poids total de l'engin : plus de 4,5 tonnes ! {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Un parpaing posé sur 6 roues vaut-il réellement 778.000 dollars ? C'est en tout cas ce qu'a pensé l'acheteur de cet exemplaire, qui a déboursé cette coquette somme, qui équivaut à environ 727.500 euros. Se pavaner dans les quartiers huppés n'a donc pas de prix, visiblement...

PHOTOS - Une Saleen S7 vient de s'échanger contre la bagatelle de 715.000 dollars !

21 juin 2024 à 09:00
La Saleen S7 n'est pas la plus connue des supercars des années 2000. L'Américaine n'a jamais réussi à sortir de l'ombre des références européennes, malgré tout cette voiture a de sérieux arguments, qui viennent justement de convaincre un passionné de s'offrir l'un des rares exemplaires. il ne s'agit pas de n'importe quelle Saleen S7. Cet exemplaire date de 2005 et est doté de 2 turbos avec, en plus, le Pack Compétition. En tout, seules 2 S7 ont été produites avec ces spécifications, ce qui fait de cet exemplaire une véritable rareté. La voiture est encore plus radicale que la version "de série", avec des appendices aérodynamiques en carbone, dont un grand aileron fixe. L'habitacle est brut de décoffrage, avec ses sièges baquets à harnais et son volant de course. En position centrale arrière, cette Saleen S7 Twin Turbo Pack Competition embarque un V8 7.0 biturbo de 1.000 chevaux. Le bloc a été retravaillé et accepte même de boire de l'E85 ! La voiture est dotée d'une boîte manuelle à 6 vitesses qui envoie la puissance sur l'essieu arrière. Et même si elle est sortie d'usine il y a 19 ans, cette supercar peut abattre le 0 à 100 km/h en 2,8 secondes et pourrait attendre, selon certaines sources, plus de 400 km/h !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Cet exemplaire ne totalise que 1.770 kilomètres. Il vient justement de changer de propriétaire, contre 715.000 dollars, soit environ 670.000 euros. Pas si cher, quand on compare cette somme au prix des équivalents actuels...

Saleen S7 : la supercar qui en a fait rêver plus d’un dans les jeux vidéo

21 juin 2024 à 09:00
Un exemplaire rarissime de la Saleen S7 vient de changer de main, contre la bagatelle de 715.000 dollars. La supercar américaine n'a jamais bénéficié de l'aura de ses rivales européennes, mais offre tout de même des performances ahurissantes, du haut de ses 19 ans. Il est possible que certains ne connaissent pas la Saleen S7. Cette supercar américaine, produite à une grosse quarantaine d'exemplaires entre 2000 et 2006, avait pour ambition de concurrencer, voire de surpasser, les références européennes. Et elle n'était pas loin de réussir son coup. Il lui a simplement manqué cette petite chose en plus, qu'on appelle la réputation. Car à l'époque, Saleen était davantage connu pour ses voitures de sport basées sur la Ford Mustang. Et c'est bien dommage, car la S7 mérite d'être connue ! Surtout cet exemplaire précis, une S7 Twin Turbo équipée en plus du Pack Competition. Celle-ci est sortie d'usine en 2005. La voiture reprenait l'esthétique de la version « de base », en ajoutant toutefois encore plus de carbone, notamment pour les appendices aérodynamiques. La voiture repose sur des roues en alliage forgé de 19 pouces à l'avant et 20 à l'arrière. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mercedes-Benz 190E 2.5-16 Evolution II : même kilométrée, elle coûte plus de 300.000 euros !

Bugatti lève le voile sur son nouveau fleuron, la Tourbillon !

20 juin 2024 à 20:22
L'attente a été interminable, mais c'est maintenant terminé ! Bugatti vient de présenter officiellement sa toute nouvelle hypercar, qui succède à la Chiron. Baptisée Tourbillon, celle-ci reprend une partie du langage stylistique de sa devancière, mais inaugure un inédit V16 hybride développant 1.800 chevaux. La Tourbillon pousse également le curseur de l'exclusivité encore plus loin. Cela fait déjà 8 ans que la Chiron est arrivée sur le marché très fermé des hypercars. 500 exemplaires ont été produits depuis, mais l'heure est maintenant venue pour elle de passer la main à sa remplaçante, baptisée Tourbillon. Bugatti annonce que le système d'appellation de ses modèles, qui consistait à rendre hommage à des pilotes iconiques, est désormais révolu. Le nom de cette nouvelle hypercar a été choisi parce qu'il incarne parfaitement la philosophie de la voiture, selon la marque. Esthétiquement, la Tourbillon semble n'être qu'une grosse évolution de la Chiron. Seulement à première vue du moins. La face avant est bien plus massive, avec sa calandre en fer à cheval plus large qu'auparavant. Les optiques sont plus fines et adoptent une nouvelle signature lumineuse. Le capot avant est marqué par une arête centrale, qui se prolonge grâce à l'unique essuie-glace, positionné à la verticale. Ce même pli de carrosserie se prolonge sur le toit et s'estompe juste avant le logo Bugatti, positionné à l'arrière. La signature lumineuse s'inspire de celle de La Voiture Noire. La Tourbillon se pare d'un diffuseur imposant et de 2 doubles sorties d'échappement très étirées. Certains gimmicks de la Chiron sont toujours visibles, notamment la ligne en forme de C qui encadre les portières, sur le profil. Et en parlant de portières, celles-ci sont désormais dotées d'une ouverture en élytre !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : 10 anecdotes que vous ne savez peut-être pas sur la Bugatti Chiron

PHOTOS - Bugatti Tourbillon : la nouvelle reine des hypercars est arrivée !

20 juin 2024 à 20:21
Après des mois et des mois d'attente, Bugatti lève enfin le voile sur la remplaçante tant attendue de la Chiron ! Cette dernière tire donc officiellement sa révérence et passe le flambeau à la Tourbillon. Huit ans après son arrivée sur le marché, la Bugatti Chiron laisse sa place à la relève. Et cette relève, elle s'appelle Tourbillon ! En 2016, quand la Chiron avait été lancée, son design était bien différent de celui de la Veyron. Là, la transition se fait plus en douceur, avec des codes stylistiques déjà vus soit sur la Chiron, soit sur La Voiture Noire, soit sur la W16 Mistral. La face avant est plus large, avec une calandre plus massive, qui reprend tout de même le dessin en forme de fer à cheval. À l'arrière, la signature lumineuse relie les deux ailes. À l'intérieur, là encore, il y a beaucoup de changement ! À commencer par le sublime combiné d'instrumentation, évoquant l'horlogerie. La console centrale est toujours agencée de manière très verticale mais, pour la première fois, elle intègre un écran. Celui-ci est parfaitement dissimulé et peut s'extraire de la planche de bord à la demande du conducteur.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} La pièce maîtresse de cette nouvelle Bugatti Tourbillon se cache bien sûr sous le capot arrière. Le W16 s'en est allé, mais le nouveau bloc compte tout autant de cylindres. Il s'agit d'un V16 8.3 atmosphérique, associé à 3 moteurs électriques. L'ensemble fournit la bagatelle de 1.800 chevaux, dont 1.000 rien que pour la partie thermique. Détail intéressant, cette nouvelle Tourbillon revendique une autonomie de 60 kilomètres en 100 % électrique ! Bugatti annonce que seuls 250 exemplaires seront produits, soit moitié moins que pour la Chiron. Côté tarifs, il faudra compter 3,8 millions d'euros. Bien entendu, chaque élément de personnalisation choisi entraînera une rallonge...

Qui veut d’une étrange Volkswagen Golf GTI transformée en pick-up ?

20 juin 2024 à 16:00
Une Volkswagen Golf GTI est actuellement en vente sur le site d'enchères Ebay. L'exemplaire en question, produit en 1990, a été lourdement modifié. Mais ici, l'originalité a semble-t-il primé sur la recherche de performance, la compacte se transformant en un parfait mix de cabriolet et de pick-up. On ne peut pas dire que la Volkswagen Golf GTI soit une voiture rarissime. Les exemplaires proposés à la vente sont nombreux, que ce soit dans les garages spécialisés dans les voitures anciennes ou sur internet. En revanche, ce qui est moins commun, c'est de tomber sur une Golf GTI complètement transformée en pick-up. A moins que ce ne soit un cabriolet ? Ou un peu des deux ? Contrairement à ce que suggère l'apparence de la voiture, il s'agit bien d'une Golf GTI de deuxième génération. Cet exemplaire est sorti des usines Volkswagen en 1990 et, à l'origine, il ne ressemblait pas du tout à ça ! Le toit a été retiré, tandis que les places arrière ont été supprimées. À la place, on retrouve un espace de rangement dissimulé sous une plaque de protection. L'ensemble de la voiture est peint en orange. Elle repose sur des petites jantes polies, finies dans une teinte cuivrée. Le pare-chocs arrière est percé au centre pour laisser passer la seule sortie d'échappement.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen Golf GTI : 6 anecdotes que vous ne connaissiez peut-être pas !

Citroën C3 Aircross : que vaut-il face au Dacia Jogger !

20 juin 2024 à 14:00
Citroën vient tout juste de présenter la nouvelle génération de son C3 Aircross. Celui-ci grandit à l'extérieur et ça se voit à l'intérieur, puisqu'il propose désormais jusqu'à 7 places, le tout accessible pour environ 20.000 euros. Ce qui le place presque en face d'un certain Dacia Jogger, qui ne voudra certainement pas se laisser marcher sur les pieds… Depuis un moment, Citroën adopte une stratégie très offensive pour vendre toujours plus. Pour ce faire, la marque aux chevrons pratique une politique tarifaire imbattable, ou presque. Pour preuve, le nouveau C3 Aircross, présenté cette semaine, s'affiche à partir de 19.400 euros seulement ! Certains de ses cousins du groupe Stellantis frisent les 30.000 euros. À ce prix, le C3 Aircross est bien en dessous de la majeure partie de ses concurrents sur son segment. Mais il en reste tout de même un : le Dacia Jogger. Comme le Citroën, lui aussi offre jusqu'à 7 places, pour un prix plus que contenu. Il s'affiche à partir de 17.990 euros seulement. Il adopte néanmoins une approche différente, avec d'autres types de motorisations, mais également un niveau d'équipement plus pragmatique. Pour tenter de les départager, nous les avons comparés sur différents critères : leur habitabilité, leurs motorisations et, le nerf de la guerre, leurs tarifs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Citroën C3 Aircross (2024) : 7 places à prix serré, le nouvel ennemi du Dacia Jogger ? Habitabilité : peut-on envisager de voyager à leur bord ?

PHOTOS - Le nouveau Citroën C3 Aircross cherche des noises au Dacia Jogger. Y'a-t-il vraiment match ?

20 juin 2024 à 11:00
Citroën vient de présenter la toute nouvelle génération de son C3 Aircross. Cette nouvelle mouture revoit ses dimensions à la hausse, avec 7 places et des tarifs toujours aussi contenus. En proposant des modèles toujours plus accessibles, Citroën se positionne de plus en plus comme une marque concurrente de Dacia. Le nouveau C3 Aircross en est la preuve, lui qui propose jusqu'à 7 places pour des tarifs débutant à 19.400 euros. Citroën ne l'a pas dit clairement, mais il semble bien que le Dacia Jogger soit dans la ligne de mire de son nouveau petit SUV. Leurs approches sont différentes, mais ils se rejoignent sur quelques points importants. Tous les deux sont proposés à moins de 20.000 euros, du moins dans leurs versions d'appel. Ils offrent également jusqu'à 7 places et sont pensés pour les familles. Alors, s'il ne fallait en choisir qu'un, lequel gagnerait le duel ? Pour tenter de les départager, nous les avons comparés sur plusieurs critères, notamment leurs gammes de motorisations, leur habitabilité ainsi que leurs prix.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}
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