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À partir d’avant-hierAutomobile

Extrait émission Turbo : Essai, Audi RS6 GT, une dernière pour la route

23 juin 2024 à 14:00
C'est la fin d'une époque… de plus de 20 ans de break sportif… de V10 et de V8 aux sonorités envoutantes… La mythique Audi RS6 tirera sa révérence très bientôt, remplacée par une inévitable variante 100% électrique. De la première RS6 de 2002 à l'actuelle, 4 générations se sont écoulées. Avec toujours la même philosophie : de la polyvalence pour la famille, des performances dingues et un look très reconnaissable ! Et que dire des jantes blanches de 22 pouces, impressionnantes mais à garer très loin des trottoirs. Bref, à l'extérieur, la RS6 GT assume totalement son ADN de compétition. Pour l'habitacle, c'est une autre histoire. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Une série extrêmement limitée, déjà toute vendue à 230 000 € pièce et sur dossier de candidature. Heureusement, un de ses heureux propriétaires a bien voulu nous faire la gentillesse de nous la faire essayer. Direction Monaco pour retrouver un habitué de Turbo, l'influenceur automobile GMK. Avec ses 2 060 kg à vide, la RS6 GT reste un très gros bébé. Toujours poussé par le V8 4.0 biturbo de 630 chevaux et 850 Nm de couple, elle se permet d'être légèrement plus performante : 305 km/h de vitesse de pointe et 3 secondes 3 pour foudroyer le 0 à 100 km/h. Plus qu'un gentil break, une fusée !  Plus que jamais l'Audi RS6 GT respecte donc sa tradition de break familial sportif. Avec une petite touche d'exclusivité et de sport auto supplémentaire. Sans doute pour que la pilule de l'électrique soit plus facile à avaler pour tous ses fans.   {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Extrait émission Turbo : Conso, aides à la conduite, ce qui va changer

23 juin 2024 à 13:00
Regardez bien une dernière fois cette Suzuki Ignis. Dans quelques jours, elle aura disparu des concessions, comme d'autres modèles sur le marché du neuf. La raison : l'évolution des normes de sécurité européennes, qui deviennent de plus en plus drastiques. Ça mérite quelques explications. On l'appelle GSR2. Derrière ce nom, se cache une nouvelle réglementation de sécurité qui entrera en vigueur dès le 7 juillet. Tous les véhicules neufs commercialisés sur le continent devront s'y soumettre, sous peine d'être interdits à la vente. Ces normes seront surveillées de près notamment par EuroNCAP. L'organisme indépendant et reconnu analyse la sécurité de nombreux modèles et leur attribue des étoiles. « Il y aura des mises à jour des exigences des crash-tests, mais aussi des dispositifs de sécurité active comme les systèmes de freinage autonomes en cas de détection de piétons ou cyclistes. Ils deviendront bientôt obligatoires pour que les voitures puissent être vendues en Europe, ce qui n'était pas le cas jusqu'à présent. »{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Objectif visé par l'Europe : diviser par deux la mortalité sur les routes d'ici 2030. Et si depuis deux ans, le système de maintien dans la voie et le freinage automatisé d'urgence sont devenus la norme, la nouvelle réglementation va plus loin, avec 8 équipements obligatoires. Exemple avec ce nouveau Dacia Duster. La reconnaissance des panneaux s'ajoute à la liste des nouvelles technologies embarquées par le Duster, mais aussi la Spring et le Stepway. À l'arrière, l'aide au parking passe par plusieurs caméras de recul. À l'intérieur, ont été ajoutés un QR-code à flasher avec des consignes de sécurité à suivre en cas d'accident ; un précâblage pour installer un éthylotest antidémarrage ; mais aussi un système similaire à la boîte noire d'un avion qui enregistre les données de conduite.  Intégrées pour vous guider et renforcer la sécurité, ces aides à la conduite peuvent aussi être désactivées, par un simple appui sur ce bouton, ou en les personnalisant via la tablette. Dacia, spécialiste du low cost, gagne ici en standing et n'a pas tellement fait grimper ses prix.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Mais tous les constructeurs n'ont pas fait ce choix de mettre à jour leur modèle. Bye bye donc à la Twingo, également à la Renault Zoé, remplacée par la R5 E-Tech à l'automne. Chez Alpine, on a choisi de baisser la production de l'A110 à 1500 exemplaires par an pour en être exempté. Au revoir aussi à des sportives, la Porsche Macan thermique et la Toyota GR86. Chez Suzuki, l'Ignis ne sera bientôt plus en règle. Même s'il restait confidentiel en France, ce SUV ultra compact était l'un des plus abordables du marché. Car oui, ces quelques véhicules bénéficieront d'une tolérance. Certains exemplaires pourront être vendus après le 7 juillet, dans la limite de 10% des ventes enregistrées sur les 12 derniers mois. Ce vendeur l'assure, de petites promotions seront ainsi proposées dans les prochains jours. De quoi sauter sur l'occasion du neuf à prix réduit, sans pour autant disposer des mêmes équipements de sécurité dont la nouvelle version de la Swift, elle, est équipée. Dans deux ans, trois normes de sécurité supplémentaires seront imposées, dont l'avertisseur avancé de distraction du conducteur, ainsi qu'une protection de tête étendue en cas de choc avec un piéton. Un rapport d'évaluation est prévu au plus tard le 7 juillet 2027 afin de s'assurer que ces mesures ont été efficaces et bien acceptées.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Extrait émission Turbo : Nouveauté Tourbillon, vent de changement chez Bugatti

23 juin 2024 à 12:00
Une longue attende qui suscite forcément beaucoup d'impatience et d'interrogations… à la mesure en somme de la rareté sportive que nous allons pouvoir découvrir. C'est un évènement, à l'image de Bugatti. Nous retrouvons Christophe Piochon, le président de Bugatti Automobiles, qui nous mène à la découverte du Graal…  Salle obscure, peu de personne avec nous, seul en fait est présent le nouveau designer en chef, Franck Heyl : Rapide présentation de l'histoire de la marque et de ses sources d'inspirations, avec en prime la découverte du châssis nu du tout nouveau venu. L'instant est presque historique, le rideau se lève enfin sur la Bugatti, bien nommée, TOURBILLON.  Osmose parfaite entre ingénieurs et designers pour concevoir châssis et robe de Tourbillon… Chaque détail esthétique sert à chaque fois la performance. « Comment pouvons nous encore améliorer les performances de notre voiture ? Et qu'avons nous besoin pour avoir de la vitesse ? C'est bien sûr la puissance moteur mais également l'aéro-dynamisme. Par exemple, on peut évoquer ici le dessin des optiques constituées de modules dont la hauteur n'est que de 12 millimètres. Ces modules sont si fins qu'ils nous ont permis d'intégrer en dessous une entrée d'air et ainsi permettre à l'air d'être dirigée vers le moteur pour le refroidir. »{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Oui l'habitacle parait fou… Un volant à moyeu fixe, pas d'écran ou d'information numériques mais de l'analogique de luxe pour que cette Bugatti perdure davantage dans la durée… Le numérique étant plus éphémère parce qu'il évolue sans cesse. Une Bugatti doit rester éternel.  Bugatti a débuté l'énorme travail d'orfèvrerie en 2021 avec la création d'un tout nouveau moteur : ce gigantesque V16 8,3 litres implanté dans une cellule monocoque en carbone. Un coeur hors norme de plus d'un mètre de long et qui développe à lui seul, tenez vous bien, 1001 chevaux. Et si l'ancien W16 était associé à 4 turbos, le nouveau V16 lui est atmosphérique. Pour Bugatti, le but étant de gagner du poids, le V16 pèse 200 kg de moins que le W16 qui culminait à 450 kg. La raison est simple Tourbillon est hybride et s'offre du courant pour compléter sa puissance.  Le matin on tente la Vmax à 445 km/h… vitesse souhaitée pour Tourbillon, et on pourra se rendre à l'Opéra avec l'usage des seuls moteurs électriques : 60 km d'autonomie… Bon, il faudra avant  avoir bien sûr signé à la démesure de Bugatti un chèque de 3,8 millions d'euros. Et il faudra même se dépêcher puisque Tourbillon ne sera produite qu'à 250 exemplaires avec possession des premiers modèles en 2026. Rien n'est trop rien n'est trop cher, l'adage d'Ettore Bugatti est respecté.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Extrait émission Turbo : Essai Nissan Qashqai, un restylage qui se voit

23 juin 2024 à 11:00
Si d'habitude les facelift sont assez léger chez les constructeur, cette fois Nissan en profite pour changer radicalement le visage du Qashqai, comme viennent de le faire aussi Renault avec le Captur ou CUPRA avec le Formentor et la LEON…. A croire que c'est une nouvelle mode ! Et cela s'accompagne de petite évolutions qui vont moderniser le best-seller de Nissan et qui a été, on l'oublie, le premier Cross-Over de l'histoire ! Alors direction la région de Faro au Portugal pour découvrir ce Qashqai version 3.5. Et contre toute attente, le Qashqai n'emprunte pas la nouvelle identité stylistique de Nissan inaugurée sur l'Ariya, son grand frère électrique, apparemment Nissan souhaite donner au Qashqai son identité propre… Problème, si le Qashqai se démarque du reste de la gamme, on pourrait maintenant le confondre avec la concurrence ! La face avant, les feu arrière, les jantes, des finitions supplémentaires… Mit bout à bout cela fait quand même beaucoup de nouveautés pour ce qui n'est je le rappelle qu'une mise à jour. En fait, il n'y a que sous le capot qu'il n'y a pas de changement ! Alors l'E-Power c'est quoi ? c'est un système hybride très particulier car le moteur essence n'est jamais en contact avec les roues, ce n'est pas le moteur à essence qui propulse la voiture et qui est secondé par un moteur électrique comme dans les autres hybrides…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Et même quand il se met en marche, il n'a pas besoin de monter très haut en régime comme dans une Prius par exemple… Rajoutez à cela que le châssis est très bien réglé, c'est-à-dire qu'en même temps il est assez confortable et en même il est très stable, il ne prend pas énormément de roulis… Pas étonnant que le Qashqai E-Power soit un tel succès ! Qui ne devrais pas se démentir car il a été mis à jour à l'extérieur, mais aussi dans l'habitacle ! Moderne dans sa technologie, efficace sur la route, et polyvalent comme ici en tout chemin dans le magnifique arrière-pays de l'Algarve, le Qashqai est reparti pour un tour ! Surtout qu'à 39 600 € pour cette version E-Power de 190 ch, il est plutôt bien placé en tarif et n'augmente quasiment pas. Si son nouveau look vous plaît, Il a tout pour vous séduire….  

ESSAI - Nissan Qashqai (2024) : I’ve got the e-power !

20 juin 2024 à 09:00
Un peu plus de trois ans après son lancement, le Nissan Qashqai profite du traditionnel restylage de mi-carrière pour moderniser son look et faire le plein en équipements. Le pionnier de la catégorie peut ainsi repartir de plus belle à l'attaque de ses concurrents directs récemment renouvelés. Et à l'heure du 100% électrique, pas vraiment idéal pour tous, ce Qashqai plus pimpant que jamais pourrait bien tirer son épingle du jeu avec son étonnante motorisation E-Power combinant les avantages de l'électrique et du thermique. Nissan n'aime pas faire comme tout le monde en matière de motorisations. Et avec plus de 360.000 unités vendus en Europe, force est de constater que le pari s'avère payant. En effet, cela fait près de dix-sept ans que le crossover japonais s'impose en tête de ventes de la catégorie, devant les Renault Scénic et Peugeot 3008. Le dernier argument inauguré en 2022 avec la troisième génération a clairement fait mouche auprès de la clientèle. C'est son étonnante motorisation hybride E-Power basée sur un moteur électrique alimenté par un moteur thermique. Mais nous y reviendrons ! Cette année, Nissan a principalement pris soin de lui refaire une petite beauté et de mettre à jour la dotation en équipements livrés de série. Au programme, un visage modernisé au travers d'une calandre élargie. On assiste également à l'arrivée de deux nouveaux niveaux de finition à l'esprit un peu plus sportif. Certains défauts pointés par des retours clients ont aussi été pris en compte et soigneusement améliorés voire corrigés. En revanche, rien de neuf côté mécanique. Nous avons donc pris le volant de l'incontournable version E-Power représentant 90% des ventes du modèle.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

PHOTOS - Notre essai du Nissan Qashqai E-Power (2024) en images

20 juin 2024 à 09:00
C'est l'heure du restylage de mi-carrière pour la troisième génération de Nissan Qashqai, qui consolide ses acquis avec une petite mise à jour stylistique lui permettant de retrouver un design dans l'air du temps. Le crossover japonais en profite surtout pour faire le plein d'équipements technologiques. C'est l'une de ses forces depuis toujours. D'ailleurs, il reconduit évidement aussi son excellente motorisation hybride E-Power faisant la part belle à l'électrique au travers du thermique. Si vous ne connaissez pas le principe, nous vous invitons à découvrir notre essai. A lire : ESSAI - Nissan Qashqai : I've got the e-power !

Extrait émission Turbo : Essai Lamborghini Revuelto, le V12 n'a pas dit son dernier mot !

16 juin 2024 à 12:00
Nom de code : LB 744 … pour désigner secrètement la remplaçante de l'Aventador, la Lamborghini Revuelto, nouveau symbole de l'hyper-sportivité de Santa a Gata à motorisation V12... Un Pur sang désormais hybride de nouvelle génération que nous avions découvert il y a presqu'un an an déjà à l'occasion des 60 ans du V12 Lamborghini en Italie. L'occasion pour nous enfin de l'essayer sur la route et de vous en faire profiter… La Revuelto c'est un nouveau taureau de combat, rebelle, excité nerveux, bestial, une machine aussi spectaculaire forte de 4 moteurs d'une puissance jamais atteinte par le constructeur. Direction l'Italie, et les très mauvaises routes bitumés de la région de Santa a Gata Bolognese qui accentuent forcément l'effort et le domptage.  Il aura donc fallu clairement être doublement patient, d'abord parce que l'Aventador, sa devancière, aura effectué 12 années d'exploitation. Ensuite parce que l'homologation sur route de la Revuelto aura été deux fois plus longue à obtenir qu'habituellement. Sa technologie en est la cause. Ce qui explique aussi son accessibilité tarifaire. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Un V12 atmosphérique à l'air libre, sublime coeur mécanique fièrement exposé, le plus léger et le plus puissant de son histoire, 218 kg seulement et tourné à 180° pour intégrer autour de son fonctionnement, la nouvelle boîte et un moteur électrique. Le 6,5 litres est aussi supporté par deux moteurs électriques à l'avant, alimentés par une batterie, située en lieu et place de l'habituelle transmission. Trois moteurs au total de 150 ch chacun qui se conjuguent avec le V12, pour une puissance phénoménale…  L'aérodynamique joue un rôle primordial. La nouvelle Revuelto utilise la fibre de carbone à outrance. Le berceau arrière est en aluminum et l'avant un mixte de matériaux composites. Du coup on se jette à corps perdu à l'intérieur… Il y a même une inter-connectivité d'informations techniques entre les écrans, par un simple glissement de doigts, utiles à la conduite. Sympa.  Allez, il est temps de découvrir ce Taureau plus révolté que jamais sur les routes sinueuses de Ponte Samone… Le moteur électrique arrière sert d'alterno démarreur, de générateur, et quelques fois il alimente les roues arrières pour avoir une 4 roues motrice 100% électrique. Mais le système préfère user en priorité des seules roues avant. Ok très bien, de quoi passer inaperçu en ville, quoique, et d'être raisonnable en conso; mais moi c'que je préfère c'est lorsque le V12 se mêle à la bagarre. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} C'est vrai que les routes ne sont plus vraiment adaptées aux conditions d'utilisation sportive de ce Taureau de combat, et que les accélérations franches sur circuit nous auraient permis de voir cet OVNI abattre ses cartes dans une arène adaptée… Dommage, mais c'est déjà un sacré privilège d'avoir pu conduire ce monstre à un demi million ‘euros.   

Extrait émission Turbo : Essai Renault Rafale, le Losange chasse sur les terres du premium

16 juin 2024 à 11:00
Dans l'inconscient général quand on parle du Rafale on pense à ça ! Le fleuron des avions de chasse Français le Dassault Rafale, un bijou de technologie au performances exceptionnelle ! Alors quand Renault donne ce patronyme à son tout nouveau modèle, on imaginerait plutôt une supercar, un avion de chasse de la route… Et non, le Rafale chez Renault c'est une nouvelle génération de SUV, et oui encore ! Mais un SUV Coupé, plutôt racé ! Pourquoi Renault a choisit ce nom, que vaut ce modèle inédit pour le constructeur français et mérite t'il ce nom symbole de puissance et de performance ? Pour le déterminer  nous avons fait appel à un vrai pilote de Rafale… Alors le Rafale est-il juste du marketing ou un SUV de haut vol ? Direction les jolies routes de l'Andalousie pour un essai de haute-voltige ! Renault gardait donc le nom Rafale sous le coude depuis les années 30, et a décidé de le ressortir aujourd'hui pour ce tout nouveau modèle. Plutôt ambitieux de la part de Renault de donner un nom aussi prestigieux à son dernier rejeton alors nous allons le mettre à l'épreuve du feu, et pour cela le soumettre à un pilote, mais pas un pilote automobile, un pilote de Rafale, du vrai Rafale ! Il s'appelle Ate Chuet, c'était son indicatif de pilote de l'aéronavale ! Aujourd'hui les passionnés d'aviation profitent de ses connaissances d'ancien pilote de chasse sur sa chaîne Youtube… Alors un Renault Rafale, il valide ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} C'est donc un catapultage tranquille pour le Rafale sur 4 roues ce qui laissera le temps aux autres conducteurs d'admirer son design qui surprise se démarque fortement de l'Australe et de l'Espace dont il dérive pourtant. On notera l'originale grille de calandre texturée et surtout cette ligne de coupé à l'arrière qui marque son caractère. Et c'est vrai qu'il est confortable et l'habitacle de notre Rafale, il reprends beaucoup d'éléments des Renault actuelle mais avec une petite touche particulière comme le revêtement en ardoise sur certaines finition et surtout le toit vitré Solarbay là aussi une version plus sophistiqué de la verrière qu'avait Ate Chuet avait sur son Rafale… Alors nous laissons Ate Chuet aller préparer ses prochaines vidéos sur Youtube et voyons ce que le SUV coupé de Renault vaut sur les petites route sinueuse espagnoles… Les 4 roues directrices du Rafale ont un autre effet… Au final on a une auto qui a un nom original, avec un design plutôt cool, qui est hyper sympa à conduire et qui, à 45 000 € en version hybride 200 ch est assez bien placé en prix, donc on peux le dire, le Rafale de Renault a touché au but ! 

PHOTOS - Notre essai de la BMW i5 Touring en images

15 juin 2024 à 10:00
BMW a dévoilé une nouvelle génération de Série 5 l'année dernière. D'abord présentée en berline avec des motorisations thermiques, puis électriques, la grande routière à l'Hélice débarque aujourd'hui en carrosserie break baptisée Touring. Premier constructeur premium à dégainer dans la catégorie break 100% électrique, BMW mise sur deux motorisations au lancement avec l'entrée de gamme eDrive40 forte de 340 ch et 560 km d'autonomie, ainsi que la version M60 xDrive affichant 601 ch et 506 km en cycle WLTP, avec leurs batteries de 81,2 kWh. Pour cette première prise en main réalisée en Bavière sur ses terres natales, nous avons pris le volant de la plus raisonnable eDrive40. Voici les photos de notre essai. Lire aussi : ESSAI - BMW i5 Touring : l'unique break premium électrique du marché

ESSAI - BMW i5 Touring : l’unique break premium électrique du marché

15 juin 2024 à 10:00
Quelques mois après le lancement de la berline i5, BMW décline sa grande familiale électrique en version Touring. Vendue 1.500 euros de plus, cette carrosserie apporte du style, du volume et un aérodynamisme plus performant.  Lancée en 2023, la nouvelle génération de Série 5 gagne aujourd'hui une variante break, au nom de code G61. Une déclinaison de carrosserie qui représente la majorité des suffrages dans l'Hexagone (environ 58% des ventes de Série 5). Et pour la première fois de son histoire, la bavaroise s'offre les services d'une motorisation électrique, ce qui en fait une proposition unique sur le marché de l'électrique où il existe finalement peu de break. Sa concurrente directe, la Mercedes EQE est exclusivement proposée en berline. L'écart de prix pour passer de la berline au break est de 1.500 euros avec un prix de départ à 77.700 euros. 

PHOTOS - Notre essai de la Mini Cooper SE en images

11 juin 2024 à 17:00
La Mini s'est toujours imposée comme la citadine la plus audacieuse du marché, avec ses ambiances chics et son tempérament pour le moins dynamique. Mais qu'en est-il de la nouvelle génération 100% électrique, conçue en Chine sur une plateforme partagée avec le groupe Great Wall Motors ? La Mini conserve-t-elle ses qualités avec un poids à vide 1.605 kg ? Offre-t-elle toujours un accueil digne de son rang et le même plaisir au volant ? Réponses au volant de la version la plus turbulente baptisée Cooper SE et forte de 218 ch. A lire : ESSAI - Mini Cooper SE : retour aux sources

ESSAI - Mini Cooper SE : retour aux sources

11 juin 2024 à 17:00
Mini s'était fait la main sur la précédente génération de Cooper, qui était en réalité une adaptation du modèle thermique existant. Le constructeur britannique lance aujourd'hui sa « vraie » première voiture électrique. Bonne nouvelle, non seulement l'ADN est conservé, mais on assiste également à un véritable retour aux sources avec un design épuré et un habitacle aussi élégant que charismatique.  La nouvelle génération de Mini, la cinquième d'une lignée sexagénaire, pose les fondements d'une nouvelle stratégie de marque. A savoir, établir une gamme 100% électrique d'ici 2030, étendre sa présence en Asie et étoffer sa gamme. La nouvelle venue coche pratiquement toutes les bonnes cases puisqu'elle est produite en Chine, sur une plateforme partagée avec le groupe Great Wall Motors. Cela signifie aussi qu'en France, avec l'entrée en vigueur du score environnemental, elle ne peut bénéficier du bonus écologique. Notez que la Mini thermique (C), elle, est fabriquée en Angleterre, à Oxford.

VIDEO - Audi S3 (2024) : nos premières impressions

10 juin 2024 à 13:00
Aujourd'hui nous sommes à Palma de Majorque aux Baléares pour découvrir le restylage de l'une des compactes sportives les plus désirables du moment. L'Audi S3 reste proposée en deux types de carrosserie : Hatchback, en version 5 portes avec un hayon. Ou Berline, en quatre portes avec une malle. On découvre une mise à jour stylistique relativement légère, principalement composée d'une nouvelle calandre abandonnant les traditionnels nids d'abeille. On observe également que la position du logo s'est légèrement surélevée pour affleurée le capot moteur. Parallèlement, les optiques Matrix LED affinées accueillent désormais des feux de jour pour offrir une signature lumineuse personnalisable (quatre configurations possibles) afin que les propriétaires de S3 puisse se démarquer des autres modèles qu'ils croiseront sur le route. Au chapitre des optimisations, on constate que le châssis a été abaissé de 15mm. On note l'arrivée de nouvelles jantes au catalogue, ainsi que de nouvelles options, telles que le système d'échappement Akrapovic qui équipe notre modèle d'essai. Néanmoins, si cet échappement impressionne, sa sonorité se révèle pourtant bien plus discrète que nous l'aurions imaginé. En fait, Audi semble même avoir privilégié le son moteur. Une excellente chose selon moi, pour rendre cette S3 aussi polyvalente qu'elle en a l'air. Vos voisins vous remercieront !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Après nos premiers tours de roues, nous avons pu observer que la S3 conserve ses qualités intrinsèques. Cela commence par une grande facilité de prise en main. L'auto semble plus légère qu'elle n'en a l'air. A mettre en partir au compte d'une direction très directe. Il faut dire aussi que la puissance ne manque pas avec désormais 333 ch délivrés aux quatre roues par le quatre cylindres 2.0 litres turbo, soit 23 ch de plus qu'avant restylage. Le couple maxi augmente également avec 420 Nm. De quoi lui permettre d'abattre le 0 à 100 km/h. Soit un petit dixième de seconde de gagné. En outre, l'efficacité est plus au rendez-vous que jamais avec le nouveau différentiel arrière guidé électroniquement. Issu de sa grande soeur la RS3, celui-ci est capable de gérer le couple individuellement entre les roues arrière. Concrètement, la système augmente la vitesse de rotation de la roue extérieure au virage pour aider à mieux enrouler. En pratique, il nous faudrait un circuit pour bien l'apprécier. Mais l'efficacité est exceptionnelle. La S3 se positionne ainsi comme une sportive très différente de ses rivales directes la Mercedes A45 AMG et la BMW M2. Malheureusement, Audi en a profiter pour augmenter un peu le tarif de cette version restylée (et mieux équipée). La S3 démarre désormais à partir de 60.000 euros. Et il faut compter 30.000 euros environ de malus. La note est salée !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Extrait émission Turbo : Nouveauté, Cupra Tavascan, la promesse d'une nouvelle ère

9 juin 2024 à 13:00
Regardez bien cette voiture : elle a un design spectaculaire, elle est racée, elle dégage un indéniable charisme. C'est une Cupra, le blason sportif de la marque espagnole Seat.    Cette voiture, c'est le Tavascan, le tout premier SUV Coupé 100% électrique de Cupra. C'est un modèle ultra important pour la marque. Parce qu'elle ambitionne de dépasser les 500 000 ventes par an d'ici 5 ans, ça fait quasiment un x2 par rapport à aujourd'hui. Et c'est le Tavascan qui doit impulser ce mouvement ascensionnel très fort. Ah il a la pression pépère hein ! Mais il a aussi de sacrés arguments. Habitabilité, comportement, autonomie, je vous dis tout sur celui qui pourrait bien devenir une des nouvelles stars européennes du segment. Le Tavascan est un SUV compact 100% électrique. C'est un concurrent direct du Tesla Model Y, la référence de la catégorie, du Skoda Enyaq Coupé ou encore du Volkswagen ID.5. D'ailleurs, il reprend la base technique de ces deux derniers, la fameuse plate-forme MEB. Mais la comparaison s'arrête là avec ces modèles. Franchement, vous avez vu cette gueule de malade ? Dans cette grande famille du groupe Volkswagen, le Tavascan, c'est un peu le p'tit cousin tatoué, qui fait d'la muscu, et qu'a pas peur d'la ramener. Lignes agressives, angles marqués, capot nervuré, il affiche la couleur : si vous voulez passer inaperçu, un p'tit conseil : oubliez-le ! C'est plus simple.    Le Tavascan, il est fier de ses origines. C'est pour ça que le logo Cupra est éclairé à l'avant, comme à l'arrière où on retrouve aussi un beau bandeau lumineux qui reprend le motif en triangle visible un peu partout sur la voiture. Les jantes sont grosses, de 19 à 21 pouces, avec un design lui aussi très agressif. Mais le Tavascan est également capable de subtilité avec une surface vitrée censée évoquer un casque de pilote, de profil là, grâce aux montants de pare-brise noirs qui se font très discrets. Certains y verront aussi un clin d'œil à la mythique Lancia Stratos de 1973. Une voiture très discrète aussi, si vous vous rappelez. Belle référence en tout cas.   Avec 4,64 m de long, le Tavascan est dans la moyenne du segment, mais avec 1,60 m de haut, il fait partie des plus bas, ce qui lui donne ce côté un peu bad boy, bien posé au sol. Comme c'est un SUV Coupé, sa partie arrière est très inclinée, pour donner une impression de dynamisme, ce qui en revanche pénalise un peu l'optimisation du volume de coffre. Avec 540 litres banquette en place, il manque un peu de profondeur.    Dans l'habitacle, ambiance ostentatoire et impression confirmée de la montée en gamme opérée par Cupra. Même si le niveau n'est pas encore comparable à celui d'une Audi, il faut reconnaître la belle qualité des matériaux et de leur assemblage, mais aussi et surtout la grande originalité du style intérieur. Admirez par exemple la planche de bord en forme de “vague”, la console centrale suspendue en forme de “T”, sans oublier les magnifiques sièges quasi-baquets, ou encore les garnitures de portes recouvertes de LED. L'ambiance se rapproche d'un univers à la fois spatial et sous-marin. Si vous aimez les films Abyss ou Alien, vous kifferez.    Rien d'original en revanche en ce qui concerne les écrans. Comme sur les Volkswagen ID5 et Skoda Enyaq Coupé, on retrouve la petite dalle face au conducteur pour les informations de conduite, et la grande tablette tactile de plus de 15 pouces au-dessus de la console centrale pour le reste. Il n'y a quasiment plus de boutons, sauf sur le volant, où ils sont à retour haptique, vous ressentez un petit bruit quand vous appuyez dessus, et juste au-dessous de la grosse tablette centrale, avec cette barrette sensitive pour régler la climatisation ou le volume de la radio. Ouais, ok. Alors c'est très chouette pour le design. Après, tout ça, c'est pas c'qu'il y a de plus pratique quand on roule. Mais bon, c'est la mode, tout le monde le fait, et ça évite d'avoir à fabriquer des boutons. Economie contre ergonomie, vous avez compris qui gagne aujourd'hui !   Le Tavascan est disponible en deux versions. La première, Endurance, est équipée d'un seul moteur électrique, sur l'essieu arrière. C'est donc une pure propulsion : 286 chevaux et 550 kilomètres d'autonomie. La seconde, notre version VZ, dispose, elle, d'un moteur électrique supplémentaire sur l'essieu avant, 109 chevaux, pour une puissance totale cumulée de 340 chevaux, en 4 roues motrices cette fois, et avec 520 kilomètres d'autonomie.    340 chevaux, c'est une puissance conséquente. Et forcément, même si la voiture est lourde, largement plus de 2 tonnes. Ça se ressent sur les performances. Vous voulez voir ? Préparez votre chrono ! Oh, on ressent bien la poussée... Attention. Top ! 0 à 100 km/h : 5,6 secondes. Ça va, le Tavascan est aussi démonstratif sur la route que son look le laisse imaginer. Surtout, il dispose de suspensions plus typées sport également qui permettent de limiter les mouvements de caisse et de gagner en précision de conduite. Bon, c'est pas non plus une sportive ultra light, on est bien d'accord, mais au volant, il s'passe un p'tit truc. Plus en tout cas qu'au volant de ses cousins...   Rassurez-vous, le Tavascan dispose également de 6 modes de conduites, du plus sport au moins énergivore, en passant par un mode personnalisé. Son rayonnement de plus de 500 kilomètres, valeurs WLTP fait partie des meilleurs de la catégorie, mais comme pour tout véhicule électrique, cette valeur peut rapidement chuter en fonction des conditions de conduite    Pour la recharge de sa batterie de 77 KWh, comptez 30 minutes sur une borne de 135 KW pour passer de 10 à 80% de charge, ou seulement 7 minutes pour vous offrir un minimum de 100 km. Honnêtement, si ces chiffres sont dans la moyenne du segment, ils déçoivent un peu pour un modèle qui arrive après les autres.    Reste son prix : à partir de 46 990 euros pour une version Endurance, non éligible au bonus, parce que fabriqué en Chine, à mettre en parallèle des 44 990 euros demandés pour une Tesla Model Y très compétitive. Et à partir de 64 930 euros pour notre version VZ, à mettre en parallèle cette fois des 65 400 euros demandés pour un Volkswagen ID.5 GTX. Ce Tavascan a donc out pour devenir un acteur majeur de ce segment ô combien stratégique aujourd'hui des SUV compact full électriques coupés.   

Extrait émission Turbo : Essai, Lancia Ypsilon, une renaissance à l'italienne

9 juin 2024 à 12:00
C'est l'histoire d'une renaissance à l'Italienne ! Celle d'une marque mythique, Lancia ! Une belle endormie depuis 2011 qui revient enfin en Europe. L'Ypsilon, c'est toute une histoire. Lancée en 1985, cette petite citadine chic n'a cessé de séduire les automobilistes. Sa dernière génération était d'ailleurs la troisième voiture la plus vendue en Italie l'année dernière. Un beau succès pour un modèle qui n'était plus exporté nulle part ailleurs.  Pour son retour en Europe, l'Ypsilon change tout ! Et ça se voit notamment à l'avant, avec cette grande surface noire sur laquelle on retrouve le calice en Y cher à la marque. Sans oublier les grandes écritures Lancia en inox et les écussons sur les custodes noires.  Dans l'habitacle, Lancia a également tenté d'apporter sa touche italienne. Bon, c'est vrai, de nombreux éléments sont vus et revus. Les écrans sont ceux du groupe Stellantis, l'habitabilité arrière est aussi réduite que sur une 208 et le coffre identique. Mais heureusement, il y a quand même du nouveau !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Et qui dit citadine, dit petit moteur. 156 chevaux pour l'électrique et 100 pour la version 3-cylindres hybride avec boîte automatique à double embrayage, la Ypsilon qui sera sans aucun doute la plus vue dans les centres-villes.  A l'aise en ville, ça c'est plutôt logique ! Mais sur la route, les metteurs au point de chez Lancia ont voulu lui donner son propre tempérament routier. Ils ont donc élargi ses voies, recalibré la direction et revu sa suspension.  La référence des citadines premium, c'est ce qu'annonce Lancia à propos de son Ypsilon ! Un poil optimiste dirons-nous ! De manière plus réaliste, la petite italienne réussit à se démarquer de sa cousine Peugeot 208 grâce à un style plus original et un rapport prix/équipements plus compétitif. Un bon moyen pour la marque italienne d'assurer son retour en France, avant la renaissance d'autres noms historiques comme Gamma ou Delta.   {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Extrait émission Turbo : Magazine, Le Mans, les français à l'assaut des 24H

9 juin 2024 à 11:00
La présence remarquée et remarquable des constructeurs français impressionne pour cette nouvelle édition des 24 heures du Mans, à une petite semaine seulement de la plus incroyable course d'endurance au monde. Historiquement la Sarthe n'a jamais accueilli autant de constructeurs mondiaux que cette année... Une dizaine en hypercar, la catégorie Reine, soit 23 voitures qui auront à cœur d'en découdre...    Alpine fait son grand retour avec une jeune A424, Peugeot, redouble avec une toute nouvelle 9x8... Et un constructeur étranger, italien, a sollicité, pour sa toute première participation en Hypercar, les faveurs d'un spécialiste français, aguerri à la compétition : Ligier qui a mis au point, pour le compte de Lamborghini en partie sa toute nouvelle SC63. Il y aura cependant plus de perdants, que de vainqueurs... Alors comment se sont préparés cette année l'armada Française ? L'image d'une victoire au Mans sera sans doute le principal enjeu... Un enjeu forcément aussi marketing.    Après deux années d'absence au plus haut niveau, Alpine revient avec un beau projet, 45 ans après sa dernière victoire dans la Sarthe. Faire connaître ses produits dans le monde, et le vecteur, c'est le sport auto. Et si le constructeur ne dépense pas comme en F1 plus d'un demi milliard d'euros par saison, le constructeur de Dieppe a mis le paquet dans ce nouveau programme d'endurance.    Le constructeur est venu à Jerez, en Espagne, sur une phase d'essais, il y a quelques mois, avec plus de 60 personnes, dont 20 ingénieurs, rien que cela, pour gérer et emmagasiner des milliers de données... Mise au point du châssis, du système hybride, fiabiliser les pièces, l'electronique et le moteur venu d'une Formule 2, un inédit V6 mono turbo hybride, comme en F1, modifié aux exigences de l'endurance.   Et Parmi les pilotes, Alpine s'est offert les services de Mick Schumacher, venu de la F1, mais également en majorité de jeunes pilotes français, comme Charles Miliesi, à peine 22 ans, ou Paul Loup Chatin, mais très loin d'être inexpérimentés. Objectif avoué... Le Mans.  « Chez Lamborghini, on reste réaliste, on a les pieds sur terre, nous devons beaucoup apprendre mais nous ne refusons aucun Challenge, et nous voulons prouver que nous sommes, malgré tout, compétitifs ». De son côté, le constructeur de Santa a Gata, spécialiste du GT et du Super Trofeo, se lance pour la première fois cette année dans l'aventure Hypercar associé au constructeur français Ligier....  Marque cinquantenaire, installée dans la Nièvre, près de Magny cours, Ligier a été créée à l'origine par une figure du sport automobile Guy Ligier et qui a fait en son temps rouler des Formule 1 et des Prototypes en endurance. Aujourd'hui, Ligier est un grand pourvoyeur de voitures de courses à tous les niveaux. Leur collaboration étonnante s'est quan même faite naturellement. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} « Moi en tant que fan de sport automobile, je connais déjà Ligier depuis plusieurs années et c'est la combinaison parfaite entre nos deux compagnies, dont la philosophie est la même, parce que Lamborghini est encore une petite structure.  Depuis le départ, avec Ligier ça colle super bien, c'est un excellent partenaire, expérimenté, et ensemble,  nous seront que plus fort...    Le moteur c'est Lamborghini évidemment, un V8 3,8 litres hybride... qui pourrait bien servir de base à la série pour la futur Huracan. Et pour être totalement performant, l'équipe italo française a choisi comme beaucoup, des pilotes venus de divers championnats, jusqu'à Romain Grojean qui grâce à son expérience en Formule 1 et en Indy apporte beaucoup... Le pilote français, encore un, sera présent aux 24 heures du Mans pour supporter cette jeune équipe.    Reste Peugeot. Le Lion est présent pour la deuxième fois au Mans cette année avec sa somptueuse 9X8. L'Année précédente, le construteur français avec son hypercar V6 hybride quatre roues motrices, avait fait un choix drastique : d'élaborer une voiture sans aileron dont le soubassement faisait beaucoup sur le plan aérodynamique. Peugeot avait été pénalisé, par une réglementation qui leur imposait des pneumatiques identiques au chaque coin de la voiture. Cette année, le règlement leur a permis de transformer cette 9x8 pour être plus performante.   On a le sentiment chez Peugeot que le constructeur mise beaucoup sur Le Mans, une course qui ne ressemble à aucune autre... L'image, le marketing de vente pour la grande série, par l'intermédiaire du sport auto, reste l'objectif numéro 1 pour tous les constructeurs, Peugeot aussi, bien évidemment... Rendez donc pour les 101 ans des 24h du Mans, une course fantasmatique que chacun rêve de gagner... L'un des Français sera t il sur la plus haute marche du podium ?
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