La 92ème édition de Pikes Peak s'est achevée ce dimanche 23 juin 2024. L'occasion de revenir en images sur les meilleurs chronos du week-end. La Pikes Peak International Hill Climb, souvent surnommée "La course vers les nuages", est l'une des courses de côte les plus emblématiques et exigeantes au monde. Depuis ses débuts en 1916, nombreux ont été les constructeurs et pilotes à s'y rendre afin de repousser les limites de la technologie automobile. Son parcours unique s'étend sur une vingtaine de kilomètres, à une altitude de départ de 2.800 m et une arrivée à 4.300 m. Mais ce ne sont pas seulement ses 156 virages qui font sa complexité, ce sont également les conditions météorologiques pas toujours clémentes, complétées par un oxygène qui se raréfie au fur et à mesure de l'ascension.  C'est pour cela qu'établir un bon temps sur Pikes Peak est synonyme de pilotage très précis, mais surtout de voiture très résistante. Depuis quelques années, ce sont surtout les voitures électriques qui trustent les premières places. La raison est simple : la raréfaction de l'oxygène, au fil de la montée, n'a que peu d'impact sur les motorisations électriques, à l'inverse des motorisations thermiques, grandes consommatrices d'oxygène. Cette édition 2024 a d'ailleurs été marquée par la présence du Ford F-150 Lightning SuperTruck ou encore de la Hyundai Ioniq 5 N, deux véhicules 100 % électriques. Mais quelles autres voitures ont réalisé l'un des dix meilleurs chronos de Pikes Peak 2024 ? C'est ce que nous allons voir ensemble...{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Novitec vient de présenter une nouvelle création, basée sur la Ferrari 296 GTS. Le préparateur allemand n'a pas joué la carte de l'extravagance, l'Italienne reste bien reconnaissable, malgré quelques modifications esthétiques et une mécanique optimisée. Souvent plébiscité pour ses systèmes d'échappement qui tiennent plus d'un instrument de musique que d'une pièce mécanique, Novitec ne s'est pas contenté d'améliorer le chant de ce V6 hybride. Car préparation automobile oblige, cette Ferrari 296 GTS a également reçu quelques greffes de carbone ici et là, juste ce qu'il faut pour que les yeux les plus aguerris puissent deviner qu'un préparateur est passé par là.  Lire aussi : Ferrari 296 GTS Novitec : un cabriolet de près de 900 ch habillé de carbone ! Le seul véritable indice, c'est l'aileron arrière façon queue de canard qui vient remplacer l'aileron mobile du modèle de base. On peut également noter de nouvelles jupes en fibre de carbone qui s'étendent de l'avant à l'arrière. La voiture repose sur de nouvelles jantes en alliage de 21 pouces à l'avant et 22 pouces à l'arrière. La berlinette a également reçu un nouveau système de suspensions avec un mode lift qui l'abaisse de 40 mm. Côté moteur, le V6 3.0 biturbo reprogrammé de cette 296 GTS est passé de 830 à 868 chevaux. Tout est dit. Les informations sur les prix restent à venir.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Tout aussi attendue que le F-150 Lightning SuperTruck de Ford, la Hyundai Ioniq 5 N s'est attaquée à la célèbre montée de Pikes Peak. Sur les trois modèles engagés, la Ioniq 5 N TA (Time Attack) a effectué l'ascension en seulement 9 minutes et 30 secondes, établissant le meilleur temps de sa catégorie. Hyundai a remis les pendules à l'heure ce dimanche 23 juin 2024, en engageant trois Ioniq 5 N lors de la fameuse Pikes Peak International Hill climb. Ce sont donc deux modèles Ioniq 5 N Time Attack et une Ioniq 5 N de série qui ont participé à cette ascension mythique. Pour rappel, ce tracé, considéré comme l'un des plus exigeants au monde, est composé de 156 virages, répartis sur une vingtaine de kilomètres. Le tout avec un dénivelé positif de 1.438 mètres, d'où son nom de « course vers les nuages ». Lire aussi : VIDEO - Pikes Peak, victoire de Romain Dumas avec le Ford F-150 Lightning SuperTruck Des résultats à la hauteur des attentes

Le pilote français Romain Dumas repart en vainqueur de cette 102ème édition du Pikes Peak International Hill Climb (23 juin 2024), en signant un chrono de 8:53.553 min malgré un arrêt en pleine montée. A bord de son Ford F-150 Lightning SuperTruck, le pilote s'est imposé pour la cinquième fois lors de cette épreuve, même s'il ne bat pas son précédent record. Ford misait gros sur son F150 Lightning SuperTruck, en l'engageant lors de la 102ème édition de la mythique montée de Pikes Peak. C'est le multiple recordman de l'épreuve Romain Dumas qui a pris place derrière le volant de ce pick-up modifié, afin de tenter de battre son record. Une date plus que symbolique puisque le jour de la course, le pilote français fêtait le dixième anniversaire de sa première victoire à Pikes Peak. Lire aussi : Le Ford F-150 Lightning SuperTruck se dévoile enfin ! Une édition mouvementée

La toute nouvelle Bugatti, baptisée Tourbillon, vient de faire son arrivée en trombe sur la scène automobile mondiale. Elle délaisse le fameux W16 quadriturbo pour une nouvelle motorisation inédite : un V16 hybride. Mais avant elle, de nombreuses hypercars de la marque ont marqué leur époque. Voici une sélection des hypercars qui ont précédé la sortie de la Tourbillon. L'histoire de Bugatti commence en 1909, quand Ettore Bugatti fonde la marque à Molsheim, en Alsace. Les premiers modèles, comme la Type 35, ont dominé les courses automobiles dès les années 1920 et 1930 grâce à leur ingénierie en avance sur leur temps et leur design innovant. Après la mort d'Ettore Bugatti en 1947, la marque a connu une période de déclin, en proie à des difficultés financières. Raison pour laquelle l'entrepreneur italien Romano Artioli rachète Bugatti en 1987. Il a relancé la marque avec l'EB110 en 1991, marquant le retour de Bugatti dans le segment des supercars. Cependant, des difficultés financières ont de nouveau frappé la marque, et en 1998, c'est Volkswagen qui récupère Bugatti, initiant une nouvelle ère de prospérité. Sous la direction de Volkswagen, Bugatti a lancé la Veyron en 2005, une supercar qui a choqué la planète auto avec son moteur W16 quad-turbo, capable de dépasser 400 km/h. La Chiron, introduite en 2016, a fait prospérer cet héritage en embarquant le même moteur, mais avec de nombreuses améliorations technologiques et stylistiques. Bugatti a également produit des modèles ultra-exclusifs comme la Divo, la Centodieci, et La Voiture Noire, produits en de très petites quantités mais facturés plusieurs millions d'euros. Retour en image sur les hypercars les plus mythiques de la marque.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

La version la plus radicale du BMW X3, le M Competition (F97), a subi de nombreuses transformations de la part du préparateur Manhart. Baptisé MHX3 650, il gagne ainsi 140 chevaux et 150 Nm de couple, en plus d'un look encore plus musclé. BMW a été pris d'une fièvre de restylage ces derniers temps. Ces facelift récents ont concerné les séries 2, 3 et 4 mais également le X3. Dans sa version la plus radicale, badgée M Compétition mais pas encore restylée, le SUV n'avait pas grand-chose à envier à ses concurrents. Avec son six cylindres en ligne biturbo 3L de 510 chevaux et 650 Nm de couple, c'est « un jumeau de la M3 déguisé en SUV » pour reprendre les termes de Manhart. C'est la raison pour laquelle le préparateur allemand l'a choisi pour proposer une réinterprétation survitaminée. Son nom : MHX3 650. Lire aussi : MH8 5.0 V8 : un V8 de BMW M5 E39 dans une Série 8 E31, il n'y avait que Manhart pour y penser !

Cette série de photos vient mettre l'une des nouvelles préparation de Manhart. Ayant pour base le BMW X3 M Competition (F97), elle porte le doux nom de MHX3 650. Le BMW X3 M Competition, déjà impressionnant, a été transformé par Manhart. Baptisé MHX3 650, il embarque un six cylindres biturbo de 3L développant désormais 650 chevaux pour 800 Nm de couple. Plus musclé, abaissé de 30 mm, il bénéficie de nombreuses modifications comprenant notamment de nombreux éléments en fibre de carbone. A cela, viennent s'ajouter des jantes de 22 pouces, un échappement en acier inoxydable, ou encore à l'intérieur, un volant siglé Manhart, masquant des palettes de changement de rapport en fibre de carbone.

La société North American Electric Vehicles vient tout juste de dévoiler le Cyber Hummer, un restomod équipé notamment d'une batterie de Tesla. Avec une carrosserie en aluminium et 1.000 chevaux de puissance, il abat le 0 à 100 km/h en seulement 2,5 secondes… La marque GMC avait fait le choix en 2022 de dériver son best-seller en version électrique, avec le Hummer EV. Ce dernier, disponible en versions SUV ou pick-up, est proposé en diverses motorisations, allant de 600 à 1.000 chevaux et avec des batteries assurant 400 à 600 km d'autonomie. Les batteries de 246,8 kWh dont il est équipé font grimper le poids à vitesse grand V, avec plus de 4 tonnes au total sur la balance. Il nécessite donc, assez logiquement, un permis poids lourd pour être conduit. Mais ces kilos en trop ne sont pas entièrement dûs à la batterie, bien qu'elle ajoute tout de même 1,3 tonne sur la balance, soit le poids d'une Renault Clio… Car avec ses 5,5 mètres de long, pour 2,2 m de large et 2 m de haut, ce véhicule a les dimensions de certains appartements parisiens ! Malgré un tel poids, ce Hummer à piles atteint tout de même les 100 km/h en 5 secondes, un exploit. Mais pour North American Electric Vehicles, ce n'est pas suffisant. La société a donc décidé de créer sa propre version du Hummer H1 électrique, son nom : Cyber Hummer, un véhicule tout-terrain qui a pour particularité d'embarquer un cœur de Tesla.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDEO – Tesla Cybertruck VS Hummer EV, duel de (très) gros bébés électriques

Détentrice du record au tour pour une voiture compacte en 2022, depuis détrônée par la BMW M2 coupé, l'Audi RS3 est de nouveau sur la plus haute marche du podium. Grâce à une configuration améliorée du châssis et un meilleur comportement en virage, une version de présérie a bouclé le tour en 7:33.123 min, battant le record précédent de 5 secondes. Depuis toujours, les constructeurs automobiles ont pour habitude d'aller tester leurs véhicules sur le célèbre circuit du Nürburgring. Ce tracé, long de plus de 20 kilomètres et comportant 73 virages est très exigeant, autant pour les pilotes que pour les voitures. Etablir un bon chrono sur la Nordschleife signifie donc qu'un véhicule est très équilibré, et qu'il est à son aise sur toutes les sections du circuit, des virages en épingle aux longues lignes droites. Mais par souci d'équité, les records ont été regroupés en différentes classes : électriques, hypercars, SUV, grandes berlines, compactes… Et justement, la bataille dans cette dernière catégorie a toujours été très serrée et différents modèles se sont succédé sur la plus haute marche du podium. En 2022, c'était l'Audi RS 3 qui reprenait la tête, avec un temps de 7:40.748 min. Elle fût ensuite détrônée par la BMW M2 coupé, en 2023, qui bouclait le tour en deux secondes de moins. Mais la marque aux quatre anneaux est revenue à la charge, en récupérant sa couronne avec un modèle de présérie de la prochaine Audi RS3. A son bord, le pilote de course et de développement d'Audi, Frank Stippler, a établi un nouveau temps de référence dans la catégorie des voitures compactes, en signant un chrono de 7:33.123 min. Il bat ainsi de 5 secondes le précédent record détenu par la M2.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La Porsche 911 hybride est déjà très performante sur le Nürburgring

Bertone, devenue une marque automobile à part entière, vient de dévoiler son premier modèle. Cette hypercar, nommée GB110, a fait tomber le voile lors du salon Top Marques à Monaco, qui a eu lieu du 5 au 9 juin 2024. Une présentation à laquelle ont assisté entre autres Albert II, Prince de Monaco, ou encore Barbara Bertone, fille du légendaire Nuccio Bertone. Dans la longue, mais révolue période des grands designers automobiles, des noms tels que Scaglietti ou encore Pininfarina ont mondialement rayonné, en dessinant des voitures depuis restées dans la légende. Mais avec le temps, certains d'entre eux ont été contraints de cesser leurs partenariats historiques avec les marques, préférant gérer le design en interne. Pourtant, malgré les années, certains nom continuent de parler aux amateurs de belles automobiles, comme c'est le cas aujourd'hui pour Bertone qui voit désormais le sien associé à une hypercar des plus modernes, la GB110. Lire aussi : Bertone GB110 : l'hypercar italienne prend vie sur circuit La renaissance d'une légende

Bertone a dévoilé sa première hypercar, la GB110, lors du salon Top Marques à Monaco qui s'est déroulé du 5 au 9 juin 2024. La petite fille de Nuccio Bertone, fondatrice de la marque, en a profité pour exprimer sa joie de voir Bertone se transformer en une marque automobile à part entière. La GB110, limitée à seulement 33 exemplaires, célèbre le 110ème anniversaire de Bertone. Elle embarque un moteur V10 biturbo de 5,2 litres produisant 1.124 chevaux et un couple de 1.100 Nm, lui permettant d'atteindre les 300 km/h en 12,9 secondes. Rien que ça… Lire aussi : Bertone GB110 : la première hypercar du carrossier légendaire Cette hypercar se distingue non seulement par ses performances, mais aussi grâce à l'utilisation d'un carburant fabriqué à partir de déchets plastiques. Pour cette voiture, Giovanni Sapio, chef de projet et de design, a conçu chaque détail comme une œuvre d'art, allant de sa carrosserie en carbone à ses combinaisons de couleurs inspirées des concept-cars historiques de Bertone. La boucle est bouclée.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Après Goodwood en 2022, l'hypercar électrique McMurtry Spéirling Pure a de nouveau battu un record, cette fois sur le circuit de Hockenheim , en Allemagne. Pour ce faire, un ancien pilote de Formule 1 s'est glissé derrière le volant pour exploiter sa technologie hors normes. Dans l'univers ultra-compétitif des hypercars électriques, rares sont les modèles qui se démarquent vraiment en termes de performance. Mais la McMurtry Spéirling Pure en fait indéniablement partie. Cette hypercar électrique a de nouveau marqué les esprits en établissant un nouveau record, pour une voiture fermée, sur le légendaire circuit de Hockenheim. Avec un temps de 1:24.43 min, réalisé à seulement 75 % de sa puissance et de son appui aérodynamique, la Spéirling a pulvérisé de 14,1 secondes le précédent record détenu par la Mercedes-AMG One sur ce tracé de 4,6 kilomètres. Cette prouesse, accomplie lors du Dörr Group Trackday le 8 juin 2024, est due en partie à l'ingénierie incroyable qu'embarque cette voiture. Le système de Downforce-on-Demand de la Spéirling, générant une force d'appui constante grâce à des ventilateurs tournant à 23.000 tr/min, lui fournit une adhérence et une stabilité folles. Ce qui lui permet de prendre des virages aussi vite qu'une F1, dépassant parfois les 3G de force latérale. Mais ce n'est pas tout, avec son poids plume de 1.200 kg et ses plus de 1.000 chevaux (745 kW), la Spéirling Pure tient plus de la fusée que d'une voiture !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Vidéo – La Rimac Nevera plus forte qu'une Formule 1 et que la monstrueuse McMurtry Spéirling

Il y a des voitures qui ne laissent personne indifférent. C'est le cas de la Mercedes-Benz 190E 2.5-16 Evolution II, dont un exemplaire vient d'être acheté pour la modique somme de 305.000 euros aux enchères. Certains sont prêts à dépenser des sommes folles pour l'acquérir, même avec près de 100.000 kilomètres au compteur… L'arrivée de ce modèle mythique n'est pas une coïncidence. L'objectif pour Mercedes-Benz était de créer une voiture qui pourrait tenir tête à la redoutable BMW M3 Sport Evolution lors de la saison 1989 du Deutsche Tourenwagen Meisterschaft. C'est ce qui a donné naissance à la 190E Evolution II, produite en 1990 à des fins d'homologation. Elle a débarqué avec plus de puissance et de nombreux appendices aérodynamiques améliorés comme des élargisseurs d'ailes plus agressifs, un splitter avant ou un aileron arrière ajustable.  Sur les 502 exemplaires produits, tous sauf les deux derniers ont été finis en Blue Black Metallic, incluant celui-ci. Cet exemplaire très particulier est le châssis 211 sur les 502 produits, ce qui explique son prix exorbitant de 305.000 euros aux enchères. Et ce, malgré un usage assez prononcé, car cette voiture affiche tout de même près de 95.000 kilomètres au compteur.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mais pourquoi cette BMW M3 Sport Evolution coûte si peu cher ? Des technologies avancées pour l'époque

Un exemplaire de Mercedes-Benz 190E 2.5-16 Evolution II vient de se vendre pour 305.000 euros aux enchères, avec 95.000 km au compteur. Ce modèle, produit en 1990 pour rivaliser avec la BMW M3 Sport Evolution, se distingue par une puissance améliorée et une aérodynamiques largement retravaillée. Lire aussi : Plus de 300 000 euros pour une Mercedes-Benz 190E 2.5-16 Evolution II kilométrée En plus d'un moteur 4 cylindres en ligne de 2,5 litres développant 232 chevaux, cette voiture embarquait des technologies avancées pour l'époque, telles qu'une suspension électroniquement pilotée ou ses freins à disques ventilés dotés d'ABS. Le tout avec un intérieur en cuir Anthracite mêlé à une console centrale en bois. Quelle merveille…

La Maserati MC20 Cielo est récemment passée par les ateliers du préparateurs Novitec. Le résultat est pour le moins impressionnant, aussi bien esthétiquement que techniquement ! Novitec a radicalement modifié la Maserati MC20, apportant de nombreux ajouts aérodynamiques, tels qu'un splitter avant, des prises d'air latérales et un spoiler arrière. Les sorties d'échappement ont également été retravaillées, avec certaines versions comportant une légère couche d'or. Novitec a également développé des jantes exclusives de 21 pouces en partenariat avec l'entreprise américaine Vossen. Lire aussi : Quand Novitec s'attaque à la Maserati MC20 Cielo, mieux vaut s'écarter Mais si la robe de la belle italienne a reçu quelques retouches, son cœur a également été revu. Le V6 biturbo de 3,0 litres a été poussé à 711 chevaux et 818 Nm de couple, améliorant le 0 à 100 km/h à 2,8 secondes et portant la vitesse maximale à 325 km/h. Pour la personnalisation intérieure, Novitec offre aux clients une flexibilité totale pour répondre à leurs moindres désirs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Connu pour ses préparations survitaminées des meilleures supercars de la planète auto, Novitec a cette fois jeté son dévolu sur la Maserati MC20 Cielo. Malgré de nombreux ajouts d'inserts en carbone, sur une carrosserie monocoque elle-même en carbone, c'est sous le capot que la magie opère. Le V6 Nettuno passe désormais à 711 chevaux et 818 Nm de couple, comme si la fiche technique originelle ne suffisait pas… Maserati a tenté de renouer avec son passé, en présentant en 2020 son coupé sportif MC20. Ce dernier est né de la volonté de la marque au trident de rejoindre à nouveau le cercle vertueux des supercars italiennes. Et pour ce faire, Maserati a choisi une sportive à moteur central, embarquant un V6 biturbo de 3,0 L, dit V6 Nettuno. Pour rappel, ce dernier développe la bagatelle de 630 chevaux et 730 Nm de couple, qui sont disponibles dès 3.000 tr/min. Outre le rendement exceptionnel pour une telle cylindrée et une structure monocoque en carbone tirée de la compétition, ce modèle a surpris par ses performances fulgurantes. Les chiffres ne sauraient mentir : 2,9 secondes pour atteindre les 100 km/h, 8,8 secondes pour passer les 200 km/h. Deux ans plus tard, la marque au trident a refait surface avec la version découvrable de cette dernière, baptisée MC20 Cielo. Techniquement très similaire au coupé, cette version à toit ouvert ne prenait que quelques dizaines de kilos de plus sur la balance, mais subissait une légère perte en rigidité.   {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Maserati MC20 Icona et MC20 Leggenda : bon anniversaire chère MC12 !

L'hypercar Nilu27, dont nous avons déjà pu observer l'arrière dans un teaser, tombe le voile petit à petit. Ce monstre, équipé d'un moteur thermique avec un rupteur à 11.000 tours/minute, est l'oeuvre d'un certain Sasha Selipanov, ancien chef du design chez Koenigsegg, passé également par Bugatti. En ce moment, il n'est pas rare de voir de nombreuses marques automobiles naître, avant de s'éteindre soudainement sans jamais sortir de modèle. Encore plus dans le monde des hypercars. Mais cette fois-ci, ce n'est pas un initié qui a décidé de se lancer, car il s'agit ni plus ni moins de Sasha Selipanov, ancien chef du design chez Koenigsegg, ayant également travaillé pour Bugatti. Il est, entre autres, le papa de la Chiron ou de la Gemera, rien que ça… Et pour changer, son objectif avec sa nouvelle marque Hardline27 est de « concevoir des voitures super performantes, loin des distractions actuelles que sont la digitalisation ou l'électrification ».  Car selon le fondateur, bien que l'électrique présente de nombreux avantages, elle apporte surtout son lot de points négatifs, comme un poids élevé, une autonomie relativement basse sur circuit, un temps de recharge plutôt long, mais surtout… l'absence d'âme ! Il est donc assez facile d'en déduire que cette hypercar embarquera un moteur thermique sous le capot (sans oublier sa ligne d'échappement à trois sorties). La marque se défend ainsi en expliquant que « l'électrique joue un rôle crucial dans la décarbonation de l'industrie automobile, mais ce n'est pas adapté au monde des hypercars, étant donné leur impact relativement bas sur l'environnement ».{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : On connaît la date de présentation de la remplaçante de la Bugatti Chiron ! L'ADN sportif de l'hypercar semble se confirmer

Après la version classique, la Citroën C3 débarque en déclinaison allongée Aircross. Trois motorisations sont au programme, dont une électrique ë-C3 annonçant jusqu'à 300 kilomètres d'autonomie. Les familles pourront aussi compter sur une version 7 places. La première génération du Citroën C3 Aircross est apparue en 2017 et avait la lourde tâche de remplacer le C3 Picasso, en opérant une mutation typée SUV. Cette troisième mouture poursuit sur la même voie, et reprend le look (et la base technique) de la "simple" C3 tout juste renouvelée. Le développement de ce nouveau C3 Aircross a d'ailleurs été mené en commun avec Opel, cousin du groupe Stellantis (chez l'allemand, il a pris la forme du nouveau Frontera). Malgré une base commune, le style général diffère totalement. Le C3 Aircross adopte de son côté les nouveaux codes de style de Citroën, annoncés par le concept Oli et introduits avec la nouvelle C3.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Fiat Grande Panda : elle pourrait bien éclipser la Citroën C3 ! Une version 7 places pensée dès le début

Ford Performance a récemment dévoilé le F-150 Lightning SuperTruck, qui participera à la célèbre montée de Pikes Peak, le 23 juin 2024. Il sera alors piloté par Romain Dumas, recordman de l'épreuve. On a hâte ! Ce nouveau van monstrueux est une amélioration du F-150 Lightning Switchgear, présenté en 2024. Ce dernier, basé sur le Ford F150 de série, a été adapté pour le tout-terrain avec une suspension renforcée, des panneaux en carbone et des protections supplémentaires. Eh bien le F-150 Lightning SuperTruck, en est une version encore plus performante, destinée à la piste. Et pour démontrer ses capacités routières, c'est Romain Dumas qui en prendra les commandes lors de la mythique course de côte de Pikes Peak. Le pilote français a notamment à son actif une montée au volant du Supervan 4.2 réalisée en un temps record de 8:47.682. Développé avec Stard, le Ford F-150 Lightning SuperTruck se distingue par ses nombreuses améliorations aérodynamiques : un splitter massif, des évents sur le capot, des jupes latérales, un diffuseur arrière et un gigantesque aileron, générant jusqu'à 2.700 kg d'appui à 240 km/h. Des éléments essentiels pour maîtriser les 156 virages de Pikes Peak.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Enfin, pour arriver au sommet le plus rapidement possible, Romain Dumas pourra compter sur les 3 moteurs électriques qui équipent le Ford F-150 Lightning SuperTruck, avec à la clé une puissance phénoménale de plus de 1.400 chevaux.

La BMW M3 est bien plus qu'une simple voiture, c'est la voiture de rêve de bon nombre de passionnés de la marque. Depuis son introduction en 1986, elle a évolué et s'est diversifiée, tout en gardant son ADN de grande sportive. Voici cinq anecdotes qui pourraient vous surprendre sur cette légende roulante. Née pour homologuer la BMW E30 en tant que voiture de tourisme de compétition, la M3 a vu le jour avec la version E30, devenue légendaire pour sa maniabilité et son agilité. Ensuite est venue l'E36 dans les années 1990, qui a apporté plus de puissance et de raffinement. La décennie suivante a été dominée par l'E46, tandis que les versions E92 des années 2000 et F80 des années 2010 ont continué de repousser les limites avec leur moteur V8, avant de revenir à un six cylindres en ligne turbocompressé pour les suivantes. Retour sur cinq anecdotes que vous ne connaissez peut-être pas sur cette voiture mythique. Lire aussi : BMW peaufine sa surpuissante M3 Competition avec 20 ch de plus Les versions pickup de la E30 et E92