Alors que les automobilistes cherchent à réduire les dépenses à tout prix, Ford propose un modèle doublement intéressant : le Kuga. Celui-ci profite d'un positionnement malin sur le marché, avec un prix d'appel fixé à 39.490 euros. Pour ce prix, le Kuga se dote correctement et embarque en plus une motorisation FlexiFuel, rarissime sur le marché, qui permet de carburer à l'E85. Lorsque l'on veut économiser de l'argent, on peut procéder de deux manières différentes. Soit on cible les modèles les moins chers du marché, soit on choisit un modèle intelligent. Le Ford Kuga, par exemple, n'est pas beaucoup plus abordable que ses concurrents. Affiché à partir de 39.490 euros, ce SUV s'affiche à peine quelques centaines d'euros plus bas que le Volkswagen Tiguan. Toutefois, le Kuga a une botte secrète : sa motorisation FlexiFuel mild-hybrid, qui peut carburer aussi bien avec du sans-plomb traditionnel ou de l'éthanol E85. L'ensemble est loin d'être indigent, avec 180 chevaux, et permet en plus de réaliser de belles économies à la pompe, l'E85 s'affichant largement moins cher que l'essence. Pour vous donner une idée, le litre d'éthanol s'affichait en moyenne à 0,809 euros la semaine passée, dans l'Hexagone.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Ford Kuga FlexiFuel (2024), sur la route des vacances : un plein à 40 euros, ça vous dit ?

Alpine vient de communiquer de nouvelles informations concernant la fameuse affaire des moteurs de Formule 1. La marque dieppoise semble bien décidée à arrêter la production de ces blocs, toutefois un nouveau site baptisé Hypertech s'apprête à ouvrir, à Viry-Châtillon. En plus de la R&D, on apprend que la future supercar d'Alpine y sera développée. Depuis quelques semaines, Alpine traverse une crise salariale. La marque au A fléché a en effet annoncé son intention de stopper le développement et la production de ses moteurs de F1, sur son site historique de Viry-Châtillon. La déception des passionnés a rapidement laissé place à de l'incompréhension, le moteur Renault étant l'un des plus titrés de l'histoire de la Formule 1. Les salariés sont dans une situation encore plus inconfortable, étant donné que leur avenir est encore incertain. Petite éclaircie à l'horizon, Alpine vient d'annoncer l'ouverture prochaine de son nouveau centre de recherche et de développement, baptisé Hypertech. Ce nouveau complexe sera situé à Viry-Châtillon. La marque a déclaré que tous les employés qui travaillaient sur les projets F1 se verraient proposer un nouveau poste, dans l'Hypertech.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alpine A390_β : le premier SUV de la marque sera présenté au Mondial de Paris !

Rolls-Royce vient de dévoiler la toute dernière création de son département de personnalisation Bespoke. La Spectre Lunaflair a été réalisée à la demande d'un client américain fortuné et ne sera produite qu'à un seul exemplaire. La teinte qui l'habille évoque le halo lumineux de la lune. Le département de personnalisation Bespoke de Rolls-Royce vient une nouvelle fois de montrer l'étendue de son savoir-faire, avec sa dernière réalisation : la Spectre Lunaflair. Le coupé luxueux 100% électrique a droit à une configuration sur mesure, correspondant au cahier des charges imposé par son acquéreur. La Spectre Lunaflair puise son inspiration bien loin de Goodwood, où la marque anglaise est installée. La voiture s'habille d'une teinte exclusive Lunaflair, spécialement conçue pour ce one-off. La peinture crée un effet d'hologramme qui évoque le halo lumineux de la lune. Cette couleur spécifique a nécessité plus d'un an de développement et est exclusivement réservée à cette Spectre Lunaflair, comme l'a précisé la marque. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Rolls-Royce Cullinan : le temple greco-anglais s'offre un restylage !

La Dodge Viper, c'est tout un pan de l'histoire du pays de l'Oncle Sam, mais également en quelque sorte le rêve américain. Ce fameux rêve n'est d'ailleurs pas si inaccessible que ça, puisqu'un exemplaire de la supercar s'est échangé contre un peu plus de 60.000 dollars, alors qu'il totalisait moins de 500 miles. Parmi les voitures américaines, la Dodge Viper est certainement la plus extravagante, la plus méchante, la plus terrifiante... Bref, elle répond à tous les superlatifs possibles et imaginables. Avec son design si particulier, son énorme V10 et sa tendance à vouloir tuer son conducteur, la Viper s'est taillée une solide réputation sur le marché des voitures de sport. Toutefois, sa valeur sur le marché de l'occasion reste inférieure à celle de ses rivales européennes, plus polyvalentes et, reconnaissons-le, mieux finies. Pour autant, le tempérament fougueux et les sensations de conduite que l'Américaine procure en font un produit quasiment unique en son genre. Produite à plusieurs dizaines de milliers d'exemplaires depuis 1992, la Viper n'est pas spécialement rare. Certaines s'échangent régulièrement sur les plateformes d'enchères en ligne, pour des tarifs assez raisonnables (pour une voiture de ce calibre). C'est notamment le cas de cette Viper GTS de 1998, qui a changé de propriétaire sur le site Bring a Trailer. Cette dernière dispose d'une configuration somme toute assez classique, avec sa peinture Viper Silver et ses bandes racing bleues. Elle est également équipée d'un échappement Borla. À l'intérieur, les sièges sont recouverts d'une sellerie en cuir noir.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sous l'immense capot avant, le V10 8.0 envoie ses 450 chevaux sur les roues arrière, via une boîte manuelle à 6 rapports. La voiture est dans un état absolument irréprochable, et pour cause : elle n'affiche que 270 miles au compteur, soit environ 434 kilomètres ! Elle a ainsi rejoint son nouveau propriétaire, contre la somme de 62.053 dollars, soit un peu plus de 55.000 euros. Le rêve américain est finalement envisageable...

Il y a quelques jours, Renault présentait un concept-car étonnant baptisé R17 Electric. La marque a rapidement précisé que la voiture ne serait jamais produite en série, toutefois on ne peut s'empêcher d'éprouver quelques regrets. Mais son sort est-il véritablement scellé ? Le concept R17 Electric, présenté par Renault début septembre, a fait sensation. Dessinée en collaboration avec le designer français Ora Ïto, la voiture surfe sur la tendance néo-rétro, dans la veine de la E-Legend dévoilée en 2018 par Peugeot. Malheureusement, pour éviter les polémiques liées à cette dernière, Renault a rapidement précisé qu'aucune version de série n'était envisagée. Le concept sera exposé au Mondial de Paris et rejoindra donc par la suite l'entrepôt dans lequel il prendra la poussière. Mais la décision de Renault est-elle vraiment arrêtée ? Après tout, la marque au losange a déjà réussi à convertir un concept en voiture de série, avec la R5 E-Tech. De plus, la R17 est déjà pensée pour être électrique. En d'autres termes, elle coche déjà les bonnes cases…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Peugeot E-Legend : Stellantis pourrait-il la ressortir des cartons ?

Les joueurs du Real Madrid viennent de recevoir leurs nouvelles voitures, dans le cadre du partenariat entre le club et BMW. Les membres de l'équipe pouvaient choisir parmi différents modèles. Kylian Mbappé a opté pour un BMW XM, alors même qu'il n'a toujours pas son permis de conduire ! Dans le milieu du football, il n'est pas rare que les clubs soient sponsorisés par des constructeurs automobiles. Audi a longtemps été le partenaire du FC Barcelone, par exemple. De son côté, BMW sponsorise le Real Madrid. Le club madrilène vient justement de recevoir ses nouvelles voitures de fonction. Les joueurs avaient le choix parmi plusieurs voitures. Les modèles électrifiés ont été largement privilégiés, avec notamment des BMW i5, i7, mais également quelques iX2 et iX. De son côté, Kylian Mbappé a jeté son dévolu sur le XM, comme bon nombre de ses coéquipiers.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG – BMW XM Label : le SUV parfait pour les influenceurs !

À première vue, cette Ford Mustang pourrait faire sensation auprès de n'importe quel passionné. Toutefois, en y regardant de plus près, quelques détails trahissent le véritable pédigrée de la voiture. En réalité, cette Mustang a des origines allemandes, puisqu'elle est basée sur une BMW M3 E92 ! Un étrange exemplaire de Ford Mustang est actuellement en vente en Afrique du Sud. Si les photos peuvent convaincre presque n'importe qui, c'est bel et bien en regardant le nom de la voiture que les premiers soupçons arrivent. En effet, l'annonce indique une BMW M3 E92 de 2008. Aussi étrange que cela puisse paraître, ce n'est pas une erreur ! En s'intéressant à la description du véhicule, on apprend que la M3 qui a servi de base à cet étrange projet a été entièrement habillée de panneaux de carrosserie de Ford Mustang des années 60. Et plus particulièrement une GT500. Le résultat est si réaliste que n'importe quel amateur pourrait se laisser convaincre. Il ne reste plus aucune trace de l'Allemande visuellement.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Une Ford Mustang fait une sortie de route et termine dans le salon d'une maison !

Cette magnifique BMW Z8 a récemment changé de propriétaire. La belle allemande a été adjugée contre la somme rondelette de 413.000 dollars, soit environ 370.000 euros. La raison de cet engouement ? Cet exemplaire est dans un état impeccable et profite d'une configuration rare. Au début des années 2000, BMW agrandit sa gamme Z par le haut et présente la Z8. Cet élégant cabriolet ne restera au catalogue que pendant 3 ans et verra sa production s'arrêter en 2003, après un peu plus de 5.700 exemplaires vendus. Celui-ci fait justement partie des derniers à avoir quitté les usines, avec sa teinte Topaz Blue. Cette Z8 dispose d'une configuration élégante, mais surtout très rare puisqu'elle est livrée avec une capote en toile Crema, assortie à la sellerie qui habille l'habitacle, mais également avec un hard-top amovible qui reprend la teinte de la carrosserie. Ce qui permet de changer l'apparence de sa voiture en fonction de ses humeurs quotidiennes ! Sous le capot, cette Z8 reprend le V8 4.9 atmosphérique de la BMW M5 E39. Le bloc délivre 400 chevaux pour 520 Nm de couple aux roues arrière, par le biais d'une boîte manuelle à 6 vitesses. Outre son esthétique néo-rétro, la Z8 jouissait d'une belle dotation en équipements, avec entre autres les sièges électriques et chauffants, les projecteurs au xénon, la hi-fi Harman Kardon ou encore la climatisation.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Cet exemplaire a été rigoureusement suivi et entretenu depuis sa mise en circulation en 2003. Le carnet d'historique est complet. La voiture totalise un peu plus de 2.700 kilomètres. Elle fera le bonheur de son nouveau propriétaire, qui a tout de même dû débourser la bagatelle de 370.000 euros pour pouvoir repartir à son volant.

Quand BMW a levé le voile sur la nouvelle génération de la M5, les puristes lui ont réservé un accueil plutôt tiède. Voire froid, en fait. La version break Touring, arrivée plus récemment, n'a pas déplacé les foules non plus. Mais on a quand même eu envie de la configurer, pour faire avancer la science. Résultat : on est fauché, mais on a un break de plus de 2,5 tonnes qui peut servir d'appartement et de missile supersonique. De nombreux débats cruciaux agitent le monde actuellement. Doit-on dire pain au chocolat ou chocolatine ? Faut-il emprisonner ceux qui mangent de la pizza à l'ananas ? Faut-il lapider en place publique les gens qui regardent les films en VF ? Mais plus important encore, peut-on encore aimer BMW ? Les puristes de la première heure diront que non, pourtant certains modèles sont encore extrêmement passionnels. L'actuelle M2 continue d'être proposée en boîte mécanique, tandis que les M3 et M4 offrent les meilleures sensations de conduite de leur catégorie. Mais ces arguments sont-ils suffisants pour contrebalancer les points négatifs, que sont entre autres les BMW XM, iX et autres M5 pachydermique ? Pour en avoir le cœur net (et comme on avait de l'argent à dépenser), on a décidé de faire avancer la science en allant faire un tour sur le configurateur en ligne de BMW. On s'est attelé à la M5 Touring, affichée à partir de 162.050 euros. Ça fait tousser, n'est-ce pas ? Heureusement, à ce prix, l'Allemande offre une puissance très respectable de 727 chevaux tirés d'un V8 4.4 biturbo hybride rechargeable. La noblesse en prend un coup, mais le portefeuille dit merci grâce à la disparition magique du malus écologique !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle BMW M5 Touring : avec 727 ch, elle bombe le torse !

Si vous êtes passionné d'automobile et amateurs de modèles sportifs, alors le label Nismo ne vous est certainement pas étranger. Néanmoins, contrairement à ce que beaucoup de personnes ont tendance à croire, la griffe sportive de Nissan ne date pas du début des années 2000… Voici tout ce qu'il faut retenir sur le blason Nismo ! Nissan Motorsport, ça vous dit quelque-chose ? Peut-être pas formulé comme ça, mais vous connaissez forcément. Et si on compresse tout ça en Nismo ? Ah, voilà. La branche sportive de Nissan a vu le jour en 1984 et a accouché de certaines des voitures les plus performantes de leurs époques respectives. Parmi les plus emblématiques, comment ne pas citer les R390, Skyline R34 GT-R, 350Z, 370Z et, enfin, la déjà culte GT-R R35 ? Le Nissan Aryia Nismo ? Allons, ne parlons pas des choses qui fâchent… Oh, et puis parlons-en. Inévitablement, Nismo va devoir revoir sa copie et se mettre à l'électrique, comme tous les constructeurs à travers le monde. La branche sportive de Nissan s'y est déjà mise, avec l'Aryia Nismo, un SUV à batterie qui reprend la plateforme du Renault Scénic E-Tech. Voilà pourquoi on ne voulait pas forcément en parler…{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Hier, Mclaren prenait tout le monde de court et annonçait l'arrivée imminente de sa nouvelle hypercar, qui doit remplacer la P1. Pour l'heure, une courte vidéo a été publiée sur les réseaux sociaux de la marque. On ignore encore à quoi ressemblera ce modèle, toutefois on vient d'apprendre son nom : W1. Après avoir enflammé la toile hier suite à la publication de la vidéo annonçant l'arrivée de sa nouvelle hypercar, McLaren nous offre aujourd'hui un deuxième cadeau. La marque vient en effet de dévoiler le nom de la bête, qui s'appellera W1. La remplaçante des mythiques F1 et P1 a donc droit à un patronyme similaire. Pourquoi « W » ? Pour célébrer les 50 ans du premier titre remporté par la marque en Formule 1. C'était en 1974, lorsque Emerson Fittipaldi remportait le championnat des pilotes, offrant du même coup le trophée constructeurs à McLaren. « W » comme « World Champion », donc. Un choix à la symbolique forte, d'autant plus que l'écurie McLaren mène actuellement le championnat du monde de F1, devant Red Bull, et pourrait donc être couronnée cette année !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO - Alerte générale, McLaren présentera la remplaçante de la P1 le 6 octobre !

Il y a quelques jours, sortait l'ultime épisode de l'émission The Grand Tour. Du moins, le dernier animé par le légendaire trio composé de Clarkson, Hammond et May. Et si l'avenir du show était incertain, rien n'ayant officiellement été communiqué, Jeremy Clarkson espère que l'émission continuera. Il souhaite qu'Amazon poursuive l'aventure avec des animateurs passionnés, de la nouvelle génération. Le 13 septembre dernier, Amazon Prime Video diffusait le dernier épisode de l'émission The Grand Tour. Un véritable déchirement pour les passionnés de voitures, qui avaient grandi en suivant les aventures de Jeremy Clarkson, Richard Hammond et James May. Les trois compères avaient en effet été réunis pour la première fois dans le cadre de l'émission anglaise Top Gear, au début des années 2000. Après quelques accrocs avec la chaîne BBC, le trio avait alors signé un contrat avec la plateforme de streaming Prime Video, pour produire une émission semblable à Top Gear, baptisée The Grand Tour. Malheureusement, l'aventure vient de se terminer, l'épisode du 13 septembre étant le dernier à être animé par le trio culte. Mais est-ce la fin du show pour autant ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Comme Top Gear, The Grand Tour devrait se poursuivre sans Clarkson, Hammond et May

On le sait, Ferrari a toujours offert à ses modèles différentes séries spéciales, plus ou moins limitées en termes d'exemplaires. La 599 GTB avait par exemple reçu une déclinaison HGTE, avec une esthétique revue, ainsi que des spécificités mécaniques visant à la rendre plus performante. On en a justement déniché un exemplaire, équipé d'une boîte de vitesses manuelle ! Visuellement, il faut avoir l'oeil pour distinguer une Ferrari 599 GTB d'une 599 HGTE. À l'extérieur, les changements se concentrent principalement au niveau des jantes. Celles-ci sont plus grandes (20 pouces) et sont pourtant plus légères que sur la version "de base". La voiture est également dotée d'une suspension plus ferme et rabaissée de 10 mm. En allant voir à l'arrière, on remarque 4 sorties d'échappement signées Fiammenghi, pour laisser s'exprimer pleinement le V12. La panoplie extérieure est complétée par de la fibre de carbone, bien évidemment. À bord, outre la combinaison de couleurs brun et noir, ainsi que les nombreux inserts en fibre de carbone répartis dans l'habitacle, on remarque surtout le levier de boîte de vitesses manuelle, emprisonné dans sa grille en H. Pourquoi HGTE ? Pour "Handling Gran Turismo Evoluzione", ou une fois traduit en Français : "c'est plus cher, mais c'est bien mieux". Le français est pragmatique. Le V12 6.0 atmosphérique développe 620 chevaux et les transmets aux roues arrière via une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports (la boîte F1 robotisée était livrée de série). Les exemplaires dotés de la boîte mécanique sont si rares que les performances sont quasiment non-répertoriées. Cette 599 HGTE était justement proposée à la vente sur le site Cars & Bids, malheureusement les enchères ne sont montées "qu'à" 137.099 dollars, soit environ 123.000 euros. Un tarif insuffisant, sans surprise, pour la laisser partir...{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

La rumeur courait depuis quelques jours, c'est désormais officiel. Daniel Ricciardo quitte l'écurie Racing Bulls et, du même coup, la F1. L'Australien a donc disputé son dernier Grand-Prix le week-end dernier, à Singapour. C'est une rumeur dont l'on entendait parler depuis plus d'une semaine. Il se murmurait dans le paddock de la Formule 1 que Daniel Ricciardo était peut-être en train de vivre ses derniers moments en F1. Rien n'avait été confirmé, pas même à la fin du Grand-Prix de Singapour, au cours duquel le pilote australien n'a brillé qu'en arrachant le meilleur tour à la fin de la course. Mais la nouvelle vient de tomber, et l'épée de Damoclès qui pendait au-dessus de la tête du pilote australien est tombée. Racing Bulls vient d'annoncer le départ (comprenez le licenciement) de Daniel Ricciardo, à 6 courses de la fin de la saison. Son baquet au sein de l'écurie sera occupé par le jeune Liam Lawson.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Le sort du moteur Alpine en Formule 1 est-il vraiment scellé ?

L'arrivée de la nouvelle Audi A6 e-tron laisse présager de la fin de la carrière de la version thermique. Toutefois, cette dernière est encore commercialisée par Audi et voit ses tarifs débuter plus bas que la nouvelle génération, 100% électrique. La finition d'entrée de gamme de l'A6 s'affiche en effet à partir de 59.060 euros.  À quoi a-t-on droit, pour ce prix ? Il y a quelques semaines, Audi levait le voile sur la nouvelle génération de l'A6, qui passe à l'électrique et adopte du même coup l'appellation A6 e-tron. Une véritable révolution pour la grande berline, qui est apparue en 1994. Une carrière de 30 ans pour l'A6 dotée de moteurs à combustion, qui est sur le point de laisser le champ complètement libre à sa remplaçante à batterie. Mais l'A6 telle qu'on la connaît n'a pas encore disparu… En allant faire un tour sur le site de la marque allemande, on peut encore configurer l'A6 « de l'ancien monde » et passer commande. La gamme débute à 59.060 euros, pour la finition Business Executive. Ce niveau d'entrée de gamme présente plutôt bien, avec la calandre Single Frame cerclée de chrome et les projecteurs à LED. Seule (légère) ombre au tableau, les jantes de série de 17 pouces remplissent difficilement les passages de roues. Les modèles optionnels seront plus flatteurs, contre une rallonge.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Audi A6 e-tron : jusqu'à 757 kilomètres d'autonomie pour 66.500 euros

Un exemplaire atypique de la BMW M4 Compétition était récemment en vente sur la plateforme Collecting Cars. Malgré les apparences, il s'agit d'une série spéciale plutôt rare, fruit d'une collaboration entre la marque bavaroise et la marque de vêtements Kith. La série spéciale Kith Edition n'est pas très connue, même auprès des amateurs de BMW. Et pour cause : la collaboration entre Kith et la marque allemande n'a donné naissance qu'à 150 exemplaires de cette M4. Autant dire qu'on n'en croise pas tous les jours. Les spécificités sont relativement peu nombreuses. La partie mécanique de la voiture est laissée dans sa configuration d'origine, avec le 6 cylindres en ligne 3.0 biturbo de 510 chevaux. Les performances sont inchangées. Côté esthétique, en revanche, cette M4 Compétition Kith Edition se distingue de la version standard grâce à sa palette de teintes, issues du catalogue BMW Individual. Les acheteurs avaient le choix entre le Frozen Black mat, qui habille cet exemplaire, mais aussi le Frozen Dark Silver et le Frozen Billiantwhite. Le logo est également spécifique, puisqu'il reprend les couleurs du blason Motorsport et qu'il arbore une inscription spéciale sur le pourtour, signée Kith. Le nom de la marque de vêtements figure aussi sur le toit, ainsi qu'à la place du monogramme M4 sur la malle. On retrouve encore quelques évocations à bord, près du levier de vitesses par exemple.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} À la sortie de cette série limitée, les 150 exemplaires étaient affichés à plus de 135.000 euros. Contre toute attente, l'intégralité de la production avait trouvé preneur aussitôt. Celle que nous avons croisé aux enchères n'a réussi à faire monter les prix que jusqu'à 55.000 euros environ. Ce qui aurait pu être une bonne affaire. Ou la preuve que toutes les séries limitées ne tiennent pas forcément la cote éternellement... Elle n'a finalement pas été vendue.

On a souvent tendance à l'oublier, mais l'histoire de Bentley ne s'est pas toujours résumée au luxe et au grand tourisme. Ainsi, la marque anglaise s'est illustrée plusieurs fois en compétition automobile, notamment aux 24 Heures du Mans. C'est justement pour honorer son palmarès sportif que Bentley présentait le concept-car Hunaudières, en 1999. Les 24 Heures du Mans et Bentley, c'est une affaire qui roule. La marque anglaise s'y est imposée à plusieurs reprises, à des époques bien différentes. Elle a remporté 5 éditions dans les années 20, et a signé un doublé en 2003. Un joli palmarès, qui a d'ailleurs conduit Bentley à utiliser les noms de certains virages emblématiques du circuit de la Sarthe pour quelques modèles. D'où les Bentley Mulsanne, Arnage, ou encore la moins connue Hunaudières. Cette dernière est malheureusement restée à l'état de concept. C'est en 1999 que Bentley présente la Hunaudières, à l'occasion du Salon de Genève. À l'époque, la marque ne compte que 5 victoires au Mans, mais le concept annonce justement son retour dans la Sarthe. Le nom de l'interminable ligne droite du circuit lui est attribué. Le concept adopte des lignes très inhabituelles pour le constructeur, le design est dicté par l'aérodynamisme et taillé pour la performance. Cette fois, pas question de luxe et d'opulence.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Bentley Continental GT Speed : pour les nobles décoincés !

McLaren vient d'annoncer sur ses réseaux sociaux l'arrivée imminente de sa nouvelle hypercar, qui doit reprendre le flambeau de la P1. Son nom n'a pas été officialisé pour le moment, toutefois la marque semble insister sur le chiffre « 1 ». Reste à savoir quelle lettre se situera devant… Rendez-vous le 6 octobre pour la présentation ! Les puristes de Mclaren commençaient à désespérer de voir un jour revenir une véritable hypercar dans la gamme de la marque anglaise. La dernière en date, la P1, était arrivée sur le marché en 2013 et l'avait quitté en 2015. Depuis 9 ans, les fans devaient donc « se contenter » de GT et de supercars (quelle honte…). On avait bien eu droit à la Senna, mais celle-ci était moins chère, moins puissante et, objectivement, moins pure… Mais pas de panique, voici une nouvelle qui devrait réchauffer le cœur des Mclarenistes ! Le constructeur vient de publier une vidéo sur ses réseaux sociaux, dans laquelle il annonce l'arrivée de sa prochaine hypercar. Celle-ci sera officiellement dévoilée le 6 octobre prochain, à 13 heures (heure anglaise).{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO - Avis aux mordus de F1 : la série Senna débarquera sur Netflix le 29 novembre !

En mai dernier, l'annonce d'une mini-série centrée sur Ayrton Senna avait secoué le monde de la Formule 1, et surtout les fans du pilote brésilien. La bande-annonce permet d'avoir un avant-goût de ce qui nous attend. Rendez-vous fin novembre pour replonger dans la carrière hors normes d'Ayrton Senna. Ces dernières années, on a assisté à un retour en grâce de la Formule 1. Cette discipline, qui n'intéressait plus que les puristes de la première heure, a su séduire un public plus large, mais également plus jeune. Une popularité due à la sortie de la série documentaire « Drive to Survive », diffusée sur Netflix. Un regain d'intérêt qui pousse des réalisateurs à se lancer dans l'aventure, avec de nouveaux films centrés sur la discipline. On pense bien sûr au film, pour l'heure sobrement baptisé « F1 », qui sortira en salles l'année prochaine, avec Brad Pitt au casting. Si vous avez peur de ne pas pouvoir patienter jusqu'à sa sortie, vous pourrez toujours profiter d'une série qui doit arriver le 29 novembre sur Netflix, cette fois centrée sur le pilote brésilien Ayrton Senna.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO - Voici enfin la bande-annonce du film sur la F1 avec Brad Pitt !

Seriez-vous prêt à dépenser plus de 50.000 euros pour acheter un vieux break Volvo ? À priori, non, et personne ne vous en voudrait. Et si le break en question était équipé d'un moteur différent, un 2JZ par exemple, ça changerait la donne n'est-ce pas ? En navigant sur le site d'enchère Bring a Trailer, nous sommes tombés sur une Volvo 240 Wagon de 1993. En temps normal, nous serions rapidement passés à autre chose, mais deux choses ont retenu notre attention. Premièrement, cet exemplaire s'est échangé contre la bagatelle de 59.500 dollars, soit environ 53.000 euros. Deuxièmement, il est motorisé par un 6 cylindres en ligne 3.0 2JZ-GTE. Il ne nous en fallait pas plus... Extérieurement, rien ou presque ne trahit le pédigrée réel de cette Volvo 240, si ce n'est sa robe bleue étrangement impeccable, et ses jantes CCW Classic de 17 pouces. En regardant de plus près, on distingue bien un échappement plus imposant, mais rien de particulièrement choquant. En soulevant le capot, en revanche, c'est la surprise. Le précédent propriétaire avait envoyé sa voiture chez MA-Motorsport, aux États-Unis, pour réaliser un swap moteur. Depuis, ce break embarque un 2JZ 3.0 turbo qui développe 500 chevaux, balancés sur les roues arrière via une boîte mécanique à 5 vitesses. De quoi déménager à la vitesse de la lumière ! Le système d'injection, les ventilateurs et la ligne d'échappement ont également été remplacés.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} À bord, cette Volvo 240 Wagon reçoit des sièges baquets Recaro à l'avant. Le mobilier a fait l'objet d'une restauration, tandis que les bons vieux compteurs à aiguilles ont été remplacés par une instrumentation numérique, cerclée de fibre de carbone. Le volant sport est signé Momo. Seule ombre au tableau, le vendeur ne connaît pas le kilométrage total de la voiture, mais indique avoir parcouru un peu plus de 3.000 kilomètres depuis le remplacement du moteur. On ne sait pas vous, mais on aurait bien aimé voir cet exemplaire dans la série TV Monk !