Je ne donnerai pas un centime à l’enfant prétendu de mon défunt mari
Nous avons reçu la lettre d’une femme qui a perdu son mari il y a cinq ans. Du jour au lendemain, une autre femme s’est présentée à sa porte, affirmant porter son enfant et réclamant la moitié de l’héritage. Sa réaction fait aujourd’hui débat : avait-elle raison ou tort ?