Je refuse de retarder ma retraite pour aider ma fille malade, j’en ai fini d’être son distributeur automatique
Parfois, on reçoit des lettres qui ne se contentent pas de raconter une histoire, elles révèlent toute une vie de force silencieuse. Celle-ci vient d’une lectrice de 65 ans qui a passé près de cinq décennies à mettre tout le monde avant elle, jusqu’au jour où elle a enfin décidé de se choisir elle-même.