Vue normale

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
Aujourd’hui — 29 septembre 2024Turbo.fr

PHOTOS - Voici les pop-ups les plus célèbres de l'histoire automobile

29 septembre 2024 à 14:00
De nos jours, les constructeurs ont de plus en plus de mal à se distinguer les uns des autres. La recherche constante de l'efficience aérodynamique, ainsi que l'essor des SUV, resserre les tendances et donne naissance à une déferlante de modèles désespérément semblables. Mais il n'y a encore pas si longtemps, les marques redoublaient d'ingéniosité pour se démarquer de la concurrence. Notamment au niveau du design... Quel est l'élément de design qui permet de se démarquer à tous les coups de la concurrence (en dehors des lignes générales de la voiture) ? Gagné ! Les phares. On peut varier leur positionnement, leur taille et la forme de leur vitrage. Mais on peut aussi faire en sorte qu'ils ne soient visibles qu'une fois allumés. C'est exactement le principe des phares pop-ups, très en vogue il y a quelques décennies au point de devenir l'une des icônes des années 80 et 90. Escamotables vers l'avant ou vers l'arrière, rotatifs, derrière des grilles, ronds, carrés... Les marques se sont évertuées à varier les plaisirs et ont équipé tout un tas de modèles de phares pop-ups en tout genre. De la petite Mazda MX-5 à la très exclusive Cizeta V16T en passant par la mythique Ferrari Testarossa, voici les pop-ups les plus iconiques de toute la production automobile !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

À partir d’avant-hierTurbo.fr

PHOTOS - Cette rutilante Ferrari F355 GTS a été vendue pour plus de 150.000 dollars

27 septembre 2024 à 15:00
Durant les années 90, Ferrari a planché sur la remplaçante de la 348 TB, sorte de mini-Testarossa. La F355 prend le relais en 1994 avec deux variantes : le coupé Berlinetta et le targa GTS. Ce modèle en état exceptionnel a été adjugé 154.000 dollars pour son nouveau propriétaire. Cet exemplaire date de 1998, sur la fin de vie du modèle. Sa robe Rosso Fiorano est immaculée. La face avant conserve ses optiques escamotables. Le bouclier est redessiné et intègre des clignotants jaunes, comme sur cet exemplaire américain, ou blancs, sur le marché européen. Les antibrouillards se séparent des autres feux, sous une forme circulaire. De profil, la grande prise d'air à ailettes est redessinée et divisée en deux entrées d'air, au dessin plus moderne. La F355 repose sur des jantes de 18 pouces. À l'arrière, une bande noire relie deux doubles feux circulaires. Celle-ci fait écho à une rare version encore plus sportive : la F355 Challenge. Deux doubles sorties d'échappement se chargent d'expulser les gaz et les vocalises du moteur V8. Lire aussi : Ferrari F355 GTS : Du rouge, du cuir et une grille en métal, la définition du bonheur Sous le capot, le moteur V8 3.5 à double arbre-à-cames en tête de la 348 TB est reconduit avec une profonde mise à jour. Il développe 380 ch et est associé à une boite manuelle à 6 rapports. L'exercice du 0 à 100 km/h est balayé en 4,7 s et le compteur bloque à 295 km/h en vitesse de pointe.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Alors affiché sur un site de ventes aux enchères américain, ce modèle a rejoint le garage de son nouveau propriétaire contre la somme rondelette de 154.000 dollars, soit environ 138.000 euros.

Ferrari F355 GTS : Du rouge, du cuir et une grille en métal, la définition du bonheur

27 septembre 2024 à 11:00
Ferrari a dévoilé en 1994 la remplaçante de la 348 TB, la F355 Berlinetta. Son succès fut immédiat grâce à un design modernisé. Le Cheval cabré n'a pas hésité à lui enlever progressivement le haut, afin de profiter des vocalises du moteur, cheveux aux vents. La Ferrari F355 GTS est née.  Alors sous la coupe de Fiat depuis les années 70, Ferrari aborde la prochaine décennie en agrandissant sa gamme vers le bas, pour le plus grand malheur d'Enzo Ferrari. "Il Commendatore" ne considère qu'une seule recette pour faire une voiture de sport : deux places, un moteur V12 à l'avant et une boite manuelle. Le déclassement avait déjà commencé avec la Dino 246. Le juste milieu arrive dans les années 80, avec la 348 TB. Plus petite que la Testarossa, elle embarque un moteur V8 en position centrale arrière, associé à une boite manuelle. Contre toute attente, son succès motive Ferrari à poursuivre son développement sur ce segment. La F355 est présentée au printemps 1994.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ferrari 512 TR Spyder : Caprice de Sultan

Espera Sbarro GT-C1 : La puce dopée aux stéroïdes

25 septembre 2024 à 16:00
En 2006, l'école de design Espera Sbarro présente son tout dernier concept au Salon de Genève, le GT-C1. La petite Citroën C1 qui a servi de base a reçu un impressionnant kit carrosserie, des portes en élytre et un moteur de C2 VTS.  Dans le monde de l'automobile, il n'y a pas plus gratifiant que de concevoir son véhicule de A à Z. Cela nécessite une quantité non négligeable de compétences en tous genres : design, carrosserie, mise au point mécanique et électrique … le tout, avec de sérieux moyens financiers et un solide carnet de contacts. Située à Montbéliard, dans le Jura, l'école Espera Sbarro permet aux étudiants de participer à la réalisation d'un véhicule dans son intégralité, du style aux premiers tours de roues. Déjà réalisatrice de projets fous comme la Picasso Cup ou la C2 V6, l'école montbéliarde choque le grand public en présentant une petite bombinette française : voici la Sbarro GT-C1. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONCEPT OUBLIÉ - Toyota Aygo Crazy : l'étoile filante à échelle réduite

CONCEPT OUBLIÉ - Toyota Aygo Crazy : l'étoile filante à échelle réduite

25 septembre 2024 à 12:00
Toyota a présenté en 2008 un étonnant concept-car au British International Motor Show de Londres, l'Aygo Crazy. La puce nippone revêt plus qu'un kit carrosserie : adhésifs, habitacle vidé et moteur de 200 ch monté en position centrale arrière. Souvenez-vous de ce trio Citroën C1-Toyota Aygo-Peugeot 107 des années 2000. Leurs mignonnes petites bouilles, leur taille lilliputienne et leur conception en commun ont permis de s'imposer parmi les micro-citadines les plus diffusées en Europe. La limitation des coûts a été jusqu'à les fabriquer dans la même usine de Tychy, en République Tchèque, avec plus de 66% de pièces en commun, moteur compris. Problème, leur intérêt ne dépasse pas le milieu urbain. Toyota remédie à ce manque d'image en dehors des villes et rend l'Aygo complètement folle pour la route : voici la Toyota Aygo Crazy.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Toyota Aygo X : à 19.000 euros, la mini citadine a la folie des grandeurs ?

PHOTOS - Cette rare Maserati Ghibli Spyder a rejoint son nouveau garage contre plus de 600.000 dollars

25 septembre 2024 à 09:00
Cet exemplaire est dans un état remarquable. Il n'affiche que 34.000 miles, soit environ 55.000 km. D'abord vendu en rouge, il a fait l'objet d'une restauration complète de sa carrosserie, ponctuée par une nuance bleu ciel « Azzurro Metalizzato » du plus bel effet. Le volume général est caractérisé par une ligne pure et fuselée, un long capot plat et une faible hauteur de caisse. La face avant laisse entrevoir des doubles optiques escamotables, sous la fine calandre noire et chromée. La Ghibli repose sur des jantes Campagnolo de 15 pouces. Maserati a fourni un hard-top peint couleur carrosserie. Un panneau métallique affleurant se charge de dissimuler la capote souple. Lire aussi : Maserati Ghibli Spyder : Le Trident parfait pour le lac de Côme Cette Ghibli Spyder est motorisée par un V8 4.7 de 310 ch, associé à une boîte manuelle à 5 rapports. Le cabriolet du Trident faisait partie des rares cabriolets de l'époque à dépasser les 250 km/h, avec 266 km/h en vitesse de pointe. Il a notamment rejoint le garage de son nouveau propriétaire contre un chèque de 605.000 dollars, soit environ 540.000 euros.

Maserati Ghibli Spyder : Le Trident parfait pour le lac de Côme

25 septembre 2024 à 09:00
Durant les années 60, Maserati cherche tant bien que mal à concurrencer Ferrari et multiplie les nouveaux véhicules. Le Ghibli-Bora-Khamsin possède une part historique non négligeable de la part sombre de l'histoire du Trident. La première nommée possède pourtant un superbe coup de crayon, initié par Giugiaro. La Maserati Ghibli est présentée en 1966 au Salon de Turin. Son coup de crayon est signé Giorgetto Giugiaro, tout juste débauché de Bertone vers Ghia. Deux ans après son lancement, Maserati décide de décapoter sa Ghibli et sort la non moins sublime Ghibli Spyder.  Lire aussi : Maserati GranCabrio Folgore : le nouveau sèche-cheveux 100% électrique italien

Ford Sierra RS500 Groupe A : la première réédition livrée

24 septembre 2024 à 11:00
CNC Motorsport a annoncé avoir livré le premier des trois exemplaires de la Ford Sierra RS50 Groupe A à son client. Le terrifiant coupé de l'Ovale bleu a été intégralement reconstruit à partir d'archives d'époque et d'une vaste banque de pièces.  L'époque du Groupe A réunissait des machines devenues iconiques avec le temps… et les bagarres en piste. Cette catégorie autorisait n'importe quelle automobile en piste, à condition que la véhicule de course ait son pendant routier. Dès lors, des files ininterrompues de Mercedes 190 2.5-16 Evo II, de BMW M3 E30 et de Ford Sierra Cosworth RS500 se sont succédé sur les plus beaux tracés du monde. Alan Strachan et son fils Andrew ont officié dans l'écurie Andy Rouse Engineering, durant les années 90. Quelques années plus tard, ils se sont lancés un vaste défi : reconstruire des véhicules de Groupe A dans les plus petits détails. Leur dernière réalisation est une Ford Sierra RS500 Groupe A de 1987.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi :Carbon Piranha : cette Sierra Cosworth RS500 veut botter les fesses de la HWA Evo !

PHOTOS - Nismo fête ses 40 ans : retour sur leurs modèles les plus iconiques

23 septembre 2024 à 14:00
Nismo, le département sportif de Nissan, fête cette année ses 40 ans d'existence. De nombreux modèles devenus iconiques ont été frappés du badge nippon. Retour sur quatre décennies du premier blason légendaire de l'automobile japonaise. Durant les années 70-80, Nissan était une marque à l'image placide, voire pantouflarde. La marque japonaise possédait une gamme de véhicules extrêmement large, mais pas de modèle sportif notable. C'est ainsi que Nissan fonde Nismo (pour Nissan Motorsport International) en 1984. A partir de là, deux trajectoires seront menées avec succès pour la division sportive nippone : la création de modèles sportifs et la présence remarquée en sports mécaniques.  40 ans plus tard, Nismo fait partie des branches sportives les plus connues de l'histoire de l'automobile, grâce à d'excellents véhicules sportifs. La liste est longue et exhaustive.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nismo : 40 ans d'excellence sportive à la japonaise

Renault Clio V6 Trophy par Khyzyl Saleem : Rien que pour vos yeux

23 septembre 2024 à 09:00
Khyzyl Saleem a dévoilé les images virtuelles d'une Renault Clio V6 Trophy redessinée par ses soins. L'extérieur est toujours aussi impressionnant d'agressivité, comme au premier jour. Khyzyl Saleem est connu pour s'amuser virtuellement sur les voitures les plus iconiques au monde. Kits carrosseries extra-larges, suspension surbaissée et jantes de course, ses réalisations ne passent jamais inaperçues.  Sa dernière réalisation fait honneur à une voiture française bien connue dans nos contrées : la Renault Clio V6 Trophy.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : TWR Supercat : la Jaguar XJS renaît sous la forme d'un restomod

Nismo : 40 ans d’excellence sportive à la japonaise

20 septembre 2024 à 16:00
Nismo, le département sportif de Nissan, fête cette année ses 40 ans d'existence. De nombreux modèles devenus iconiques ont été frappés du badge nippon. Retour sur quatre décennies du premier blason légendaire de l'automobile japonaise. Pour évoquer l'histoire de Nismo, il suffit de lancer la conversation avec un fan de voitures japonaises. Les plus jeunes parleront de Skyline, 370Z et autres GT-R. Les plus calés reviendront avec nostalgie sur les prototypes du Mans R89C et R92C, ou encore les Nismo 270R et 400R. Grâce à une communication savamment dosée avec le temps, le département sportif de Nissan a su faire le lien entre toutes les générations. L'occasion est belle de ressortir les plus belles réalisations de la branche sportive la plus connue du Japon.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nissan R390 GT1 « Road Car » : Du Mans à la route, en passant par Yokohama

PHOTOS - KALMAR Automotive transforme votre Porsche 911 en une version 100% électrique, la 7-97 E-Volt

20 septembre 2024 à 11:00
KALMAR Automotive étoffe la gamme de sa 7-97, un restomod basé sur la Porsche 911 classique. La 7-97 E-Volt est une version 100% électrique du coupé allemand.  Les boucliers avant et arrière sont intégralement peints couleur carrosserie. Les panneaux de carrosserie sont fabriqués en un matériau composite en fibre de lin recyclable. Cela permet de lutter au maximum contre l'ennemi n°1 du véhicule électrique : le poids. Les optiques avant à LED sont en céramique et à fond noir. De profil, les jantes Fuchs noir mat de 17 pouces remplissent des ailes élargies pour l'occasion. Le capot reçoit un aileron « bec de canard » semblable à la Carrera 2.7 RS de 1973.  Lire aussi : KALMAR 7-97 E-Volt : Sacrilège à la danoise A bord, les sièges baquets Recaro sont recouverts de cuir Elmosoft, plus respectueux de l'environnement. La climatisation automatique, un système d'infodivertissement compatible Apple CarPlay et un système hi-fi haut de gamme ont été installés. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} La 7-97 E-volt emprunte son groupe motopropulseur à la Tesla Model S. Il développe 414 ch et 600 Nm de couple maxi. Sa batterie de 63 kWh permet d'afficher une autonomie d'environ 290 km. KALMAR indique que la conversion électrique coûte à partir de 450.000 euros, véhicule non compris. Seuls 12 exemplaires par an seront fabriqués dans leurs ateliers.

KALMAR 7-97 E-Volt : Sacrilège à la danoise

20 septembre 2024 à 11:00
KALMAR Automotive a dévoilé son dernier restomod, basé sur la Porsche 911 classique : la 7-97 E-Volt. Les Porschistes risquent de se fâcher très fort : la 7-97 E-Volt est 100% électrique.  Dans le monde du restomod, tout est fait pour préserver l'héritage historique des plus grands constructeurs du monde. Partie technique modernisée, finitions de très haute qualité, éditions spéciales sur-mesure, tout est fait pour contenter le client fortuné et conserver une trace du glorieux passé de son constructeur favori.  Mais quand la partie technique, « l'âme » du modèle concerné, est troquée contre un moteur électrique et des batteries, cela a de quoi scandaliser les puristes. KALMAR Automotive fait fi de ce type de mauvais retours et propose un restomod électrifié de la Porsche 911 : voici le KALMAR 7-97 E-Volt. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : KALMAR 9x9 : La Porsche 959 venue du Danemark

Pagani Zonda 760 Roadster « Diamante Verde » : Fibre de carbone et citron vert

19 septembre 2024 à 16:00
Pagani a cherché par tous les moyens à écouler les derniers exemplaires de sa Zonda. La marque italienne a multiplié les séries spéciales, toutes plus exclusives les unes que les autres. Illustration avec la Zonda « Diamante Verde », unique au monde.  Sortie en 2000, la Pagani Zonda est un véritable best-seller, pour le petit constructeur italien. Design singulier, finitions de très haute qualité et moteur V12 hurlant, la Zonda s'est bâti une solide réputation de supercar exclusive.  25 ans plus tard, les ultimes exemplaires de la Zonda sont toutes des séries spéciales, fabriquées à moins de cinq exemplaires. Certaines éditions limitées sont même uniques au monde, à l'image de cette ultime « Diamante Verde ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La Pagani Zonda Arrivederci marque en éclat la fin d'une ère

PHOTOS - Cette Pagani Zonda 760 Roadster Diamante Verde unique au monde dépasse les 10 millions de dollars

19 septembre 2024 à 16:00
Pagani a produit une version spécial de sa Zonda en 2017, appelée "Diamante Verde". Cet exemplaire unique au monde est aujourd'hui à vendre, avec une estimation autour de 10 millions de dollars, aux Etats-Unis. La finition extérieure est entièrement en fibre de carbone, incrusté de paillettes vertes. La face avant reçoit des virgules à LED en guise de feux diurnes. Quelques touches de vert apparaissent sur les prises d'air du bouclier, les passages de roues avant et sur toute la longueur du véhicule. Cette même bande parcourt toute la partie supérieure du roadster, depuis le pare-brise jusqu'à la base de l'immense aileron fixe. Lire aussi : Pagani Zonda 760 Roadster « Diamante Verde » : Fibre de carbone et citron vert A bord, la Zonda Diamante Verde reçoit ses deux occupants dans un habitacle tendu de cuir et d'Alcantara noir et vert. Les deux sièges baquets en cuir arborent une finition matelassée à surpiqures vertes. La fibre de carbone apparente recouvre les panneaux de portes, la console centrale et le tunnel de transmission. Enfin, une plaque commémorative rappelle au conducteur qu'il s'agit bien d'un exemplaire unique, à ne pas mettre entre toutes les mains. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Du fait de son passif, la Zonda Diamante Verde atteint un record d'estimation pour une Pagani. Sur le marché américain, elle a été estimée à environ 10 millions de dollars. Seulement 700 km ont été parcourus par la belle italienne.

VIDEO - Quand une Peugeot 205 avale une Mitsubishi Lancer Evolution !

20 septembre 2024 à 08:00
Dimma UK a récemment sorti un joyau de ses ateliers britanniques : une Peugeot 205 ressemblant étrangement à la mythique « Turbo 16 Look » et croisée avec une Mitsubishi Lancer Evolution !  L'Angleterre possède une culture automobile bien différente du reste de l'Europe. Grâce à une législation plus souple sur les modifications mécaniques, l'archipel britannique a permis la réalisation de nombreux véhicules, tous plus farfelus les uns que les autres.  Dimma est un fabricant connu pour ses kits carrosseries extra-larges, commercialisés durant les années 80 et 90. Sa division britannique s'est lancée dans un chantier improbable : fusionner une Mitsubishi Lancer Evolution avec une Peugeot 205.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Cette Peugeot 205 GTI rhabillée par Dimma crache 178 chevaux !

PHOTOS - Cette authentique Vauxhall Cavalier a couru en BTCC et a été vendue plus de 110.000 euros

17 septembre 2024 à 10:00
Une véritable légende des championnats de voitures de tourisme a été vendue sur un site de ventes aux enchères. La Vauxhall Cavalier BTCC, victorieuse en 1995 avec John Cleland à son volant, a rejoint son nouveau garage contre moins de £100.000. La peinture blanche est surmontée d'un adhésif géométrique jaune, posé sur les portes. Tous les sponsors de l'époque sont présents, collés çà et là sur la carrosserie. Quelques détails de carrosserie sont peints dans ce même jaune, comme la calandre, les rétroviseurs, ou encore la baguette de la malle arrière. Le véhicule repose sur des jantes Dymac à écrou central. A l'arrière, la Cavalier reçoit un aileron fixe sur la malle. Enfin, la ligne d'échappement est ponctuée par une unique sortie d'échappement centrale. Lire aussi : Vauxhall Cavalier BTCC : L'ère où tous les coups étaient permis Sous le capot, le 4 cylindres 2.0 développe 290 ch et 260 Nm de couple maxi. Il est associé à une boîte de vitesses séquentielle X-Trac à 6 rapports. Au niveau des trains roulants, le freinage a été assuré par des étriers AP à l'avant et Brembo à l'arrière. Les suspensions Dynamics sont entièrement réglables.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Le châssis n°022 a appartenu à John Cleland, couronné en 1989. Il a rejoint son nouveau propriétaire contre la modique somme de 94.500 livres sterling, soit environ 112.000 euros.

Vauxhall Cavalier BTCC : L'ère où tous les coups étaient permis

17 septembre 2024 à 10:00
Durant les années 90, une autre discipline mécanique jouissait d'une très forte cote de popularité : le British Touring Car Championship, ou « BTCC ». Parmi la dizaine de constructeurs engagés, Opel a longtemps fait partie des acteurs principaux, à l'image de la Vauxhall Cavalier BTCC.  Il fut un temps où la Formule 1 n'était pas le seul sport mécanique populaire à la télévision. Un temps où les pilotes étaient d'une rudesse complètement débridée en piste. Un temps où les voitures ressemblaient vraiment à des voitures de série. Un temps où cette carrosserie froissée était commentée par le grand Murray Walker.  Pour connaître cette période automobile dorée, il faut revenir 30 ans en arrière, à l'époque du BTCC, ou championnat britannique de voitures de tourisme. Les audiences télévisuelles du BTCC étaient équivalentes à une grosse affiche de Premier League, au football. Quand des pilotes comme Steve Soper, John Cleland, Laurent Aiello, Jason Plato, Alain Menu ou encore Yvan Muller bataillaient pour la victoire, rares étaient les modèles à revenir intacts.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Heureusement, un exemplaire authentique a été préservé de cette époque glorieuse : voici la Vauxhall Cavalier BTCC '95.  Lire aussi : Opel Omega Evolution 500 : Le Blitz foudroie la piste en char Panzer

Alfa Romeo Brera 5 portes : La chirurgie esthétique automobile est exceptionnelle

16 septembre 2024 à 16:00
Fabriquée par un fan de la marque italienne en Afrique du Sud, cette Alfa Romeo Brera est le magnifique résultat d'un croisement entre une Brera classique et une 159.  Brendon Scholtz est un fan d'automobiles depuis la première heure. Il a notamment possédé plusieurs voitures différentes : Mercedes SLK 55 AMG, Porsche 924, ou encore Porsche Cayenne. Scholtz est aussi frappé du Biscione, puisqu'il a eu dans son garage une Alfa Romeo GTV (916) 3.0 V6 et une Alfa Romeo 145 QV.  Scholtz a toujours apprécié la 159 et la Brera. La berline milanaise et sa variante coupé ont un dessin si bien réussi qu'il ne vieillit pas. Or, il était impossible pour lui de choisir entre la praticité de la 159 et le style affirmé de la Brera.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Ce qui était une simple image d'illustration il y a cinq ans est devenu un chantier improbable qui a réuni aujourd'hui le meilleur de ces deux modèles ! Lire aussi : CONFIG – Une Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio, ça se configure comme ça !

Peugeot 205 GTI blindée : La sochalienne indestructible est (de nouveau) à vendre !

16 septembre 2024 à 14:00
Au cours des années 90, Peugeot a construit un exemplaire très spécial de sa 205 GTI. Celui-ci était destiné à Bernard Arnault, président de LVMH et une des plus grosses fortunes mondiales. Cet exemplaire est, encore une fois, à vendre, et son prix est astronomique.  En temps normal, lorsqu'un client particulièrement fortuné recherche un moyen de locomotion, il se tourne vers les marques de luxe. Bentley, Rolls-Royce, Jaguar, Mercedes-Benz, pour ne citer qu'elles.  Bernard Arnault est considéré comme l'un des hommes les plus riches de la planète depuis plusieurs décennies. Il fait le choix de la petite sochalienne pour pouvoir se déplacer sans chauffeur et se fondre dans la masse de la circulation parisienne. L'homme d'affaires français se tourne vers … Peugeot ! Voici la Peugeot 205 GTI blindée, unique au monde. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Peugeot 205 GTI Tolman : Plus puissante et mieux finie que l'originale !
❌
❌