Après plus de 18 mois de mise au point, HWA est aujourd'hui en mesure de présenter la version définitive de l'EVO, la réinterprétation moderne de la Mercedes 190E 2.5-16 Evo II de 1990. HWA s'est taillé sa solide réputation dans les sports mécaniques depuis 1998. L'entreprise allemande est née de son fondateur, Hans-Werner Aufrecht, lui-même co-fondateur d'AMG en 1967.  Aujourd'hui constituée de 280 employés et d'une chaîne de production complète, HWA est en mesure de construire ses propres véhicules de A à Z dans son fief d'Affalterbach. Voici le tout premier véhicule de son histoire : l'HWA EVO. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : HWA Evo : Le premier exemplaire mis aux enchères

HWA a officiellement révélé les premiers clichés de son EVO. Cet exceptionnel restomod de la Mercedes 190E 2.5-16 EVO II de 1990 se négocie à un tarif stratosphérique, à plus de 700.000 euros. L'HWA EVO arbore un kit carrosserie complet en fibre de carbone. Le bouclier avant est réglable en hauteur, comme sur son inspiratrice. Les optiques avant et arrière sont intégralement à LED, avec un dessin qui rappelle les éléments de l'EVO II originale. Les ailes sont considérablement élargies, de façon à accueillir les grandes jantes pleines de 19 pouces à l'avant et 20 pouces à l'arrière. La poupe reçoit un grand aileron fixe sur la malle arrière, plus imposant que sur son aïeule. Le bouclier accueille une large sortie d'échappement rectangulaire.  A bord, les occupants s'installeront à bord de sièges baquets Recaro en cuir. Un combiné d'instrumentation numérique reprend le tachymètre analogique de l'« EVO II ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : HWA EVO : Le restomod de la Mercedes 190E 2.5-16 Evo II officiellement dévoilé HWA s'est servi dans le catalogue d'AMG pour récupérer le V6 3.0 biturbo de la C 43 AMG. Une fois retravaillé en usine, ce bloc développe 450 ch, transmis aux seules roues arrière. Celui-ci est associé à une boîte manuelle à six rapports. De quoi atteindre 270 km/h en vitesse de pointe. Un pack « Affalterbach » est disponible en option. Celui-ci relève la puissance à 500 ch et pousse l'EVO à 300 km/h.  Fracasser son PEL ne suffira peut-être pas pour s'offrir une HWA EVO : le restomod allemand se négocie à partir de 714.000 euros, hors options. 100 unités seront fabriquées, pour une livraison des premiers exemplaires prévue fin 2025.

« Safari Projek » est une entreprise sud-africaine qui s'est spécialisée dans la fabrication de Porsche 911 équipées pour le tout-terrain. Leur particularité réside dans la transformation des Porsche 911 les plus mal-aimées : les Carrera 4S 996 et 997.  Avec une production ininterrompue depuis 1963, la Porsche 911 est une excellente base mécanique pour s'adonner aux joies de la personnalisation. Qu'elle soit ancienne ou récente, préparée pour la piste ou pour les plus beaux concours d'élégance, la 911 a revêtu un nombre incalculable de costumes différents.  « Safari Projek » est un atelier situé à Pretoria, en Afrique du Sud. Johan de Bruyn, son fondateur, a souhaité redonner des lettres de noblesse à une des générations les plus mal-aimées de la 911, la 996. Comment ? En la transformant en un vaillant tout-terrain ! {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Singer ACS : le restomod de Porsche 911 qui ne craint pas les trottoirs

A la fin des années 90, BMW s'était lancé sur des prototypes tous plus farfelus les uns que les autres. Malheureusement, la marque bavaroise n'a pas passé le cap de la production, laissant ces improbables showcars à l'état de délires d'ingénieur. Illustration avec cette BMW Z3 M à moteur V12.  Il fut un temps où les Allemands étaient tous très forts dans la course à la puissance. Entre les constructeurs eux-mêmes et les préparateurs privés, tout était fait pour que le moindre client fortuné monopolise la file de gauche de l'Autobahn, le pied droit soudé au plancher.  Durant les années 90, BMW s'était adonné à cet ultime loisir grâce à sa branche Motorsport. Et au-delà des classiques M3 et M5, les ingénieurs bavarois ont eu l'exquise autorisation de réaliser des exemplaires uniques : M3 pick-up, M8, X5 « Le Mans » … et cette curieuse BMW Z3 M. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONCEPT OUBLIÉ - BMW Nazca C2 : elle avait tout pour prendre la relève de la M1 !

BMW a fêté cette année les 40 ans de sa routière super-sportive, la M5. Grande amatrice de la file de gauche de l'Autobahn, la M5 traverse les époques et les générations. Elle s'est présentée sous plusieurs facettes, avec de riches anecdotes sur ses différentes mises au point. Retour sur 5 anecdotes ayant fait la légende de la BMW M5. Durant des années, le territoire rêvé de la file de gauche de l'Autobahn était réservé à Mercedes. Quiconque possédait une Etoile sur son capot était considéré comme le roi de la route, grâce à des moteurs aussi puissants et coupleux que silencieux. Un redoutable concurrent réussit à déranger l'ordre établi sur son propre sol : BMW. Le constructeur bavarois a créé un concept inédit jusqu'ici, avec la "berline de sport". Comment BMW a-t-il fait ses lettres de noblesse en mélangeant deux mondes habituellement opposés ? La BMW M5 a réussi à se faire une place sur un territoire que Mercedes tardera à explorer. Voici 6 faits ayant marqué la vie de la routière de sport la plus réputée au monde. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle BMW M5 : plus de 700 chevaux et pas de malus écologique ! 1 - La BMW M5 est née... sur un problème de puissance !

Durant les années 90, Renault a le vent en poupe. Porté par le succès de la Twingo, qui réinvente le genre de la voiture urbaine et spacieuse, la marque au Losange poursuit le travail de sape en sortant en 1994 un concept aux formes rondouillardes : la Ludo.   Renault vit une décennie de transition stylistique dans les années 90. Le passage du cunéiforme au biodesign libère la créativité des designers, à commencer par Patrick Le Quément, le styliste historique de la marque française.  Finies, les R19, R21 et R25, au style daté. Renault se doit de devenir une marque de voitures à vivre autrement. C'est dans ce contexte qu'arrive une série de concept-cars aux formes étonnantes, à commencer par la Ludo de 1994. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Twingo : elle fait de la résistance, à partir de 17.000 euros !