De nombreux passionnés vouent un culte sans limite à la Peugeot 205 GTI. Mais contrairement à ce que pensent certains, il n'existe pas seulement les traditionnelles versions 1.6 et 1.9. Certaines séries spéciales ont également vu le jour, à l'image de cette 205 GTI Griffe... C'est bien simple, la Griffe est à la fois la plus recherchée, mais aussi la plus chère de toutes les 205 GTI. Là où les versions normales se négocient entre 15.000 et 25.000 euros, en ratissant large, la Griffe vaut le double. Et pour cause, Peugeot n'en a produit que 3.000. Et son histoire vaut le détour. Dans les années 80, Jean Todt est directeur de Peugeot-Talbot Sport et commande une 205 GTI en guise de voiture de fonction. Il demande quelques spécificités hors catalogue, comme la teinte Vert Fluorite. La marque est tellement satisfaite de la configuration qu'elle en fait une petite série spéciale. La même couleur est reprise sur la version définitive, avec des jantes gris anthracite. Le liseré traditionnel, d'ordinaire rouge, est lui-aussi fini en gris. À l'intérieur, la Griffe a droit à une sellerie en cuir gris spécifique, ainsi qu'à des rappels de vert sur le pommeau de vitesses.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sous le capot, elle reprend le 4 cylindres 1.9 de 130 chevaux, associé à une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports. La fiche technique est à peu de choses près la même que celle des 250 GTI 1.9 standards, avec toujours moins d'une tonne sur la balance. En 2018, la maison d'enchères Artcurial a vendu cet exemplaire pour presque 50.000 euros...

Dans les années 80, la 205 était la star incontournable dans la gamme de Peugeot. Notamment la version sportive, la célèbre 205 GTI. Au fil de sa carrière, elle a eu droit à quelques séries spéciales, dont la très exclusive Griffe, reconnaissable à sa teinte de carrosserie et ses jantes spécifiques. Sans surprise, c'est aujourd'hui l'une des plus recherchées, mais aussi les plus chères… N'importe quel passionné ayant grandi dans les années 80 et 90 vous le dira : il n'y a pas plus iconique qu'une bonne vieille Peugeot 205 GTI. On en a d'ailleurs la preuve, rien qu'en regardant le marché des youngtimers. La petite sochalienne est en effet l'un des modèles les plus prisés, sa cote ne cessant de grimper d'année en année. Et on ne parle là que des « basiques » versions 1.6 et 1.9, les séries spéciales battent quant à elles régulièrement des records de ventes. Mais la championne de la famille, c'est la 205 GTI Griffe. Celle-ci est l'une des dernières séries limitées à avoir rejoint la lignée avant le retrait du modèle. Son histoire est pour le moins atypique. À l'époque, Jean Todt est directeur de Peugeot-Talbot Sport, la division sportive de la marque au lion. Il commande alors une 205 GTI en guise de voiture de fonction et demande quelques options, dont une teinte bien particulière. La configuration fait sensation, à tel point que Peugeot décide d'en produire 3.000 exemplaires !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Cette Peugeot 205 GTI rhabillée par Dimma crache 178 chevaux !

Au début des années 80, les grandes instances de la FIA réfléchissaient à mettre en place un nouveau championnat, en parallèle de la Formule 1. L'objectif était de faire courir des voitures visuellement proches des versions de série, avec toutefois une légère spécificité : un V10 de F1. Alfa Romeo avait même développé son propre engin, la 164 Procar… Dans les années 80 et 90, les sports mécaniques avaient le vent en poupe. Les constructeurs avaient bien compris que le fait de courir en compétition offrait une visibilité énorme. Outre la Formule 1, la catégorie reine, il existait d'autres championnats, dont le Procar, une discipline mono-marque dans laquelle seules les BMW M1 pouvaient rouler. Le Procar s'est malheureusement avéré n'être qu'un pétard mouillé, mais la FIA avait songé à le remplacer par un nouveau championnat, baptisé Silhouette. Celui-ci n'a jamais été officialisé. Mais si le championnat Silhouette n'a jamais vu le jour, certaines marques avaient déjà préparé leur arrivée, à l'image d'Alfa Romeo. Le constructeur italien avait travaillé en secret sur une version un peu particulière de sa 164, une grande berline. Si, extérieurement, la ressemblance était évidente, on notait tout de même quelques différences avec la voiture commercialisée destinée aux clients de l'époque.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfaholics GTA-R : le restomod qui crie son amour à l'Alfa Romeo Giulia

DMC vient de présenter un nouvel ensemble de pièces destiné à la Mercedes 190E. Le préparateur a conçu un kit carrosserie spécifique qui permet de transformer la berline allemande en 190E EVO II. La sportive iconique des années 90 a la cote actuellement, puisque la société HWA vient également de dévoiler sa propre version de la 190E EVO II. Mais celle de DMC est bien plus accessible… Ces derniers temps, les préparateurs ne semblent plus s'intéresser qu'à la Mercedes 190E EVO II de 1990. Il y a quelques semaines, la société HWA, créée par nul autre que le fondateur de la division AMG, présentait son nouveau restomod inspiré par l'Allemande. Problème, il n'y en aura pas pour tout le monde, encore moins avec son tarif salé d'environ 800.000 euros. Bonne nouvelle, un autre préparateur compte bien rendre son produit plus abordable. Enfin, presque… Ce préparateur, c'est l'Allemand DMC. Celui-ci vient de présenter un kit carrosserie complet adapté à la Mercedes 190E, qui permet de singer une véritable 190E EVO II. Pour ce faire, les équipes de DMC ont réutilisé les mêmes moules dont se servait Mercedes à l'époque. L'illusion est parfaite, la voiture est aussi intimidante que l'originale.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : HWA EVO : Le restomod de la Mercedes 190E 2.5-16 Evo II officiellement dévoilé

Il y a quelques années, Carlex Design présentait un restomod qui sortait vraiment de l'ordinaire. L'entreprise polonaise, spécialisée dans le domaine de la restauration, s'était attelée à redonner une seconde jeunesse à la Jaguar XJ-C. Le résultat est à la fois déroutant et rafraîchissant. La XJ-C n'est pas la plus connue des Jaguar. Seuls les puristes de la première heure sont au fait de son existence. Mais cela ne signifie pas que ce modèle ne présente aucun intérêt. Loin de là même, comme l'a démontré le préparateur polonais Carlex Design. L'entreprise, spécialisée dans la restauration et la modification de voitures anciennes, a présenté un restomod basé sur le joli coupé anglais, en 2021. Le résultat est plutôt intrigant… Visuellement, le restomod ressemble à un gros jouet, avec ses lignes toutes en rondeurs. Les gimmicks de la voiture de série sont conservés, à l'instar des 4 optiques rondes à l'avant. Cependant, celles-ci sont désormais équipées d'une technologie à LED. Les contours de la calandre ne changent pas. En revanche, elle reprend les lames verticales présentes sur le bas du bouclier. Les ailes sont élargies tandis que le profil est très épuré. La face arrière affiche des feux teintés et 4 sorties d'échappement. Un liseré chromé court du capot au coffre. L'ensemble repose sur de grandes jantes au dessin sculptural.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfaholics GTA-R : le restomod qui crie son amour à l'Alfa Romeo Giulia