Journée difficile pour Guillaume De Mévius lors du prologue du Dakar 2025. Le pilote X-Raid Mini n'a pu faire mieux que 111e ce vendredi matin. La faute à une crevaison intervenue dès les premiers kilomètres. Malgré tout, il reste confiant pour la suite de son aventure.
Guillaume De Mévius est l'un des favoris de ce Dakar 2025. 2e en 2024, il est un prétendant naturel à la victoire finale dans deux semaines. Mais son début de Dakar a été difficile. Lors du prologue de 79 km, le pilote belge a crevé au bout de 10 km. Ce qui explique pourquoi il n'a pu faire mieux que 111e au classement du prologue en finissant à 4 minutes et 16 secondes des leaders.
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Interrogé par la chaîne L'Équipe quelques instants après l'arrivée, le pilote belge s'est voulu positif sur la suite. Et notamment la première étape de ce samedi, toujours autour de Bisha :
"Le feeling est bon avec la voiture. C'est une bonne piqûre de rappel sur la région. Je n'avais jamais roulé autour de Bisha. On m'avait prévenu qu'il y avait des cailloux dans le sable, que ce n'était pas facile. J'ai la petite piqûre pour me dire que demain il faudra faire attention. Je ne suis pas trop inquiet. On risque de démarrer devant mais ça ne nous fait pas peur. On va prendre ça comme un bon début de course et on va le faire étape par étape".
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Sébastien Loeb, Carlos Sainz, Nasser Al-Attiyah, quels résultats pour ses rivaux ?
On a répondu présent chez les rivaux de Guillaume de Mévius. La meilleure performance est à mettre à l'actif des pilotes Dacia. Au volant du Sandriders, Nasser Al-Attiyah a fini 3e du prologue. Sébastien Loeb prend la 7e place. Carlos Sainz, dans sa Ford, finit 25e.
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Crédit photo : A.S.O./Julien Delfosse/DPPI.
Carlos Sainz s'est montré peu bavard à l'arrivée du prologue qui lançait ce Dakar 2025 dans le sud ouest de l'Arabie saoudite. Le pilote espagnol, tenant du titre, ne paraissait pas satisfait.
Carlos Sainz n'a pu faire mieux que 25e du prologue ce vendredi. Il n'a pourtant fini qu'à une minute et quatorze secondes du Sud Africain Lategan au volant de sa Ford. Le problème pour lui c'est qu'en ne faisant pas parti des dix premiers, il ne peut pas choisir sa position de départ pour la première étape de samedi.
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À l'arrivée du prologue, Carlos Sainz a été avare en paroles au micro de la chaîne L'Équipe. Et son regard en disait long sur sa déception même s'il assure que tout s'est bien passé :
"Le prologue s'est bien passé. On n'a pas eu de problème mais la trace n'était pas facile à voir. On a bien roulé, tranquille".
Il faudra attendre la journée de samedi pour voir si le quadruple vainqueur du Dakar, et tenant du titre, a bel et bien un mauvais ressenti avec sa voiture ou s'il s'agissait simplement d'une journée sans.
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Sébastien Loeb, Nasser Al-Attiyah… où se trouvent les rivaux de Carlos Sainz ?
Du côté de ses rivaux, les Dacia Sandriders ont répondu présentes. Nasser Al-Attiyah a pris la 3e du prologue et Sébastien Loeb finit 7e. 2e du Dakar 2024, Guillaume de Mévius ne finit que 111e. La faute à une crevaison survenue 10 km après le départ.
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Crédit photo : A.S.O./Aurélien Vialatte
La marque de Sochaux a tendance à ne pas brader ses modèles. On comprend l'idée mais, en ces temps où les modèles zéro émission (plus) accessibles débarquent enfin, il devenait urgent de réagir pour ne pas se laisser happer.
La Renault 5 électrique fait déjà fort sur le plan commercial, la Citroën ë-C3 aussi. Alors, si la Peugeot e-208 est encore loin devant (plus de 20 000 exemplaires vendus en 2024 contre moins de 10 000 unités pour chacune de ses nouvelles rivales), il eût été dommage qu'elle se repose sur ses lauriers. Son principal défaut qui pourrait jouer en sa défaveur ? Un tarif élevé… que le constructeur a jugé bon de revoir à la baisse en ce début d'année 2025. Une sacrée bonne résolution !
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6 100 € de baisse sur l'entrée de gamme
À noter que toute la gamme ne profite pas de ce coup de pouce. Cela ne concerne que la finition d'entrée de gamme Style. Celle avec le plus petit moteur de 136 ch et la batterie de 50 kWh ayant une autonomie correcte de 363 km. Elle reste au demeurant bien équipée puisque dotée de la climatisation automatique, de 4 vitres électriques, d'un écran tactile de 10” avec compatibilité Android Auto et Apple CarPlay sans fil. En un mot, tout ce qu'on attend d'une voiture moderne. Son prix ? 28 000 €, contre 34 100 € précédemment.
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Elle rivalise avec la Renault 5 électrique et la Citroën ë-C3
Grâce à cela, elle revient enfin dans la course. C'est 100 € de plus que l'actuelle Renault 5 d'entrée de gamme avec moteur de 120 ch et batterie de 40 kWh (311 km d'autonomie).
C'est à peine plus également que la Citroën ë-C3 dans sa finition haut de gamme Max mais avec moteur de 113 ch seulement et avec une autonomie de 322 km avec sa batterie de 44,2 kWh. La e-208 devient subitement nettement plus intéressante.
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Elle pourrait faire encore mieux
Dommage mais Peugeot aurait pu en profiter pour appliquer cette réduction sur le reste de la gamme. Avec le moteur de 156 ch et la batterie de 54 kWh ayant plus de 400 km d'autonomie, on passe à un prix catalogue de 35 400 € ! Avec son moteur de 150 ch et sa batterie de 52 kWh ayant un rayon d'action similaire la Renault 5 démarre elle à 33 490 €…
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Même si certains auraient bien aimé qu'elle ne soit pas un modèle zéro émission, dans l'état, la Renault 5 E-Tech 100 % électrique fait déjà très fort sur le plan commercial.
C'est un doux euphémisme de dire qu'elle était attendue, la Renault 5 est enfin là après quelques années d'attente. Est-ce son design néo-rétro qui plaît ou sa campagne de communication bien huilée avec des teasings à n'en plus finir qui fait qu'on en a tous ou presque entendu parler ? Force est de constater que son démarrage commercial est excellent.
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Déjà dans le top 50
Bien des modèles rêveraient d'afficher un pareil résultat. Malgré une commercialisation en cours d'année, les premiers exemplaires ayant été livrés en juin, elle a atterri d'emblée dans le top 50 en 2024 en se plaçant précisément à la 49e place avec un total de 9 973 exemplaires selon les chiffres fournis par AAA Data. Elle fait déjà mieux que le Renault Scenic électrique (8 953 unités, 52e). La Fiat 600, une des premières électriques du groupe Stellantis à avoir tiré les prix vers le bas, est - sans démériter pour autant - également battue (8 637 ventes, 55e).
Et pourtant, c'est seulement à partir de septembre que les ventes ont réellement décollé. Depuis cette date, elle se vend à plus d'un millier d'exemplaires chaque mois. Depuis novembre, on a même passé un cap. Ce mois-là, elle est arrivée en tête des voitures électriques en France avec 3 316 ventes. En décembre, elle a même fait encore mieux. C'est simple, près de la moitié des Renault 5 vendues en 2024 l'ont été en décembre !
Le détail des ventes de la Renault 5 électrique en 2024
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Des électriques pas trop chères, oui !
Alors évidemment, il y a certainement beaucoup de ventes tactiques dans ce lot (des véhicules prévus pour les concessions), il faudra s'assurer que cette performance ne faiblit pas dans les prochains mois. En 2025, elle fera sa première année pleine et nous pourrons avoir la pleine mesure de son succès. Mais elle semble bien partie pour confirmer le succès qu'on lui promettait.
Bon début de carrière aussi pour la Citroën C3 électrique
D'ailleurs, remarquons que la Citroën ë-C3 réalise également une plutôt bonne première année avec 8 252 exemplaires écoulés (58e), malgré des difficultés d'ordre logistique et des soucis d'ordre électronique qui ont eu un impact sur les livraisons. Une belle performance que l'on doit aussi au leasing social.
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Les automobilistes prêts à acheter des électriques pas chères ?
Il n'empêche que ces deux exemples très attendus semblent démontrer que les Français ne sont pas contre des voitures électriques moins chères. Que cette énergie se généralise sur le segment B (celui des Renault Clio et Peugeot 208, modèles les plus vendus en France) pourrait bien aider à contrer en 2025 la stagnation qu'on a constatée en 2024. Affaire à suivre de très près.
Jour-J pour le Dakar 2025 en Arabie saoudite. Le prologue de cette édition vient de s'achever pour la catégorie auto. Découvrez le classement et la position des favoris à la victoire finale, Sébastien Loeb en particulier.
C'est officiellement parti pour le Dakar 2025. Ce vendredi 3 janvier se disputait le prologue de l'épreuve. Il s'agissait d'une boucle de 79 km dont 29 km de spéciale. Une mise en bouche qui ne compte pas pour le classement général mais qui permet aux 10 premiers du classement de choisir leur position de départ pour la 1ère étape de samedi. Une étape dans la région de Bisha de 499 km dont 413 km de spéciale.
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Le classement du prologue du Dakar 2025
Henk Lategan - Brett Cummings / Toyota Gazoo Racing
Mattias Ekstrom - Emil Bergkvist / Ford M-Sport
Nasser Al-Attiyah - Édouard Boulanger / Dacia Sandriders
Rokas Baciuska - Oriol Mena / Overdrive Racing
Joao Ferreira - Filipe Palmeiro / X-Raid Mini JCW Team
Brian Baraggwanath - Leonard Cremer / Century Racing Factory Team
Sébastien Loeb - Fabian Lurquin / Dacia Sandriders
Lucas Moraes - Armand Monleon / Toyota Gazoo Racing
Nani Roma - Alex Haro / Ford M-Sport
Saood Variawa - François Cazalet / Toyota Gazoo Racing
Carlos Sainz, le tenant du titre, finit 25e. Guillaume de Mévius, le 2e du Dakar 2024, a crevé pendant le prologue. Il finit 40e.
Quelle performance pour Sébastien Loeb ?
Sébastien Loeb signe une belle performance dans ce prologue en terminant à 3 secondes de Nasser Al-Attiyah, son coéquipier chez Dacia. Au classement, il est 7e. Rappelons que ce prologue ne compte pas pour le classement général. En finissant dans le Top 10, Sébastien Loeb peut choisir sa position pour l'étape de samedi, la 1ère de cette édition 2025.
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Les réactions des pilotes à l'arrivée
Sébastien Loeb - 7e du prologue
“On a bien roulé, on n'a pas connu de problème particulier dans la spéciale donc rien à signaler. Ce n'était pas un prologue facile au niveau navigation. Il y avait pas mal de carrefour à trouver donc ce n'était pas si évident que ça. On a fait une spéciale correcte”
À l'arrivée du prologue, Sébastien Loeb a signé le 4e temps du prologue (avant l'arrivée de tous les concurrents) à seulement trois secondes de Nasser Al-Attiyah, son équipier chez Dacia. Découvrez sa réaction quelques minutes après avoir franchi la ligne d'arrivée.
Sébastien Loeb était plutôt satisfait à l'arrivée du prologue de ce Dakar 2025 autour de la ville de Bisha. Il n'est qu'à trois secondes de son équipier et quadruple vainqueur de l'épreuve. Il estime avoir réalisé une "spéciale correcte" :
“On a bien roulé, on n'a pas connu de problème particulier dans la spéciale donc rien à signaler. Ce n'était pas un prologue facile au niveau navigation. Il y avait pas mal de carrefour à trouver donc ce n'était pas si évident que ça. On a fait une spéciale correcte”.
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Nasser Al-Attiyah, le coéquipier de Sébastien Loeb chez Dacia, ouvrait le bal du prologue de ce Dakar 2025 ce vendredi matin. Il était satisfait de sa performance à l'arrivée de ces 79 km.
Quadruple vainqueur de l'épreuve, Nasser Al-Attiyah a marqué les esprits sur ce prologue 2025 en reléguant Carlos Sainz à 54 secondes au volant de son Dacia Sandrider. Guillaume de Mévius, 2e en 2024, est relégué à 4 minutes ! Au micro de la chaîne L'Équipe, le pilote qatari s'est montré heureux de sa performance à l'arrivée du prologue.
"Le prologue c'est bien passé. C'est très dur. Il y avait beaucoup d'arbres. On était la première voiture, Edouard a fait du bon boulot (NDLR : Boulanger, son copilote). Je suis assez content. On va donner notre meilleur".
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Sur la position de départ pour la 1ère étape samedi
"La meilleure position de départ pour samedi, pour l'instant je ne sais pas. Si on gagne le prologue aujourd'hui, on partira peut-être derrière demain".
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Crédit photo : A.S.O./F.Gooden/DPPI
Le constructeur coréen rencontre le même souci que certains de ses concurrents. À savoir que s'il fait toujours aussi fort avec ses modèles thermiques, il est aujourd'hui un peu à la peine sur l'électrique. Les nouveautés 2025 vont-elles changer la donne ?
Après avoir fait très fort en début de décennie grâce à son offre multi-énergies, le souffle est un peu retombé pour Hyundai. Non pas que les derniers résultats soient mauvais, les immatriculations sont même en progression de 9,45 % depuis le début de l'année, mais la marque coréenne a perdu du terrain sur un domaine sur lequel elle était très en avance : l'électrique. Le Kona zéro émission n'a plus le même succès depuis qu'il a grandi, grossi, coûte plus cher et n'est plus éligible au bonus écologique. Tandis que les dernières additions électriques peinent également à s'imposer : la Ioniq 5 mais surtout la Ioniq 6. À une exception près, ce n'est pas hélas avec son plan produits 2025 que la marque devrait nécessairement changer la donne.
Une version 5 places du mini-SUV Inster pour être éligible au bonus
Le site d'enchères Car & Classic mettra en vente le 5 janvier une très rare McLaren Senna LM. Le prix, sans battre le moindre record, pourrait atteindre des sommets.
Avec 500 exemplaires assemblés au total, on ne peut pas dire que la McLaren Senna soit particulièrement répandue sur nos routes. Que dire alors de l'édition limitée LM produite à un total de 20 unités pour commémorer la belle performance de la marque britannique aux 24 Heures du Mans où, pour sa toute première participation, 4 des F1 GTR en compétition ont terminé dans le top 5 ?
Et encore, le modèle en vente le 5 janvier datant de 2020 profite d'une particularité supplémentaire, il est l'un des 7 exemplaires à conduite à droite.
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Comme neuve
Ajoutez à cela le fait qu'il n'ait parcouru que 74 km depuis sa sortie d'usine et vous obtenez un modèle plus rare que rare dont le prix devrait être élevé, s'il trouve preneur. La maison RM Sotheby's en a vendu deux récemment. La dernière est partie à 1 467 500 $, soit un peu plus de 1 420 000 €.
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C'est ce vendredi 3 janvier que le Dakar 2025 est lancé. Cette 47e édition commence par un prologue autour de la ville de Bisha. On vous dit tout ce que vous devez savoir avant que les choses sérieuses ne débutent.
Jour-J pour le Dakar 2025. Le rallye-raid le plus connu du monde débute ce vendredi dans le sud-ouest de l'Arabie saoudite. À Bisha plus précisément. Une ville de 200 000 habitants où les participants sont réunis depuis ce mercredi 1er janvier après avoir récupéré leurs véhicules à Jeddah. Les concurrents vont d'ailleurs rester un bon moment à Bisha et ses alentours. Ils ne quitteront définitivement cette ville que mardi matin. Après la fameuse épreuve 48h chrono.
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Une mise en jambe de 79 km
Ce vendredi donc, les participants du Dakar 2025 devront parcourir 79 km avec seulement 29 km de spéciale. Au terme de ce prologue, les 10 premiers du classement de chaque catégorie pourront choisir leur position de départ. Ce qui aura son importance pour l'étape de samedi. Il n'est pas forcément intéressant de s'élancer en tête dans le désert et d'ouvrir la voie aux autres concurrents. Attention toutefois, le prologue n'est pas comptabilisé dans le classement général. Mais ce sera la première occasion pour Sébastien Loeb, Nasser Al-Attiyah, Carlos Sainz ou encore Guillaume de Mévius de se jauger.
Le parcours du prologue en vidéo
D'ici un gros mois se tiendra à Paris l'édition 2025 de Rétromobile. Programme du salon, dates et horaires, prix des billets, accès mais également constructeurs présents ou encore expositions, on vous dit tout sur ce rendez-vous incontournable dédié aux véhicules anciens.
Le salon Rétromobile est un des rares salons automobiles qui peut se targuer d'être de plus en plus populaires au fil des ans. La 48e édition avait réuni plus de 130 000 visiteurs en cinq jours. Cette année, le public sera sans aucun doute au rendez-vous. Voici donc un petit guide pour préparer votre visite.
Les dates et horaires
L'édition 2025 du salon Rétromobile se tient du mercredi 5 au dimanche 9 février prochain au parc des Expositions de la porte de Versailles à Paris. Le salon occupera les pavillons 1, 2 et 3. Notez qu'il existe une soirée en avant-première à laquelle le public peut assister, moyennant un prix d'entrée assez élevé. C'est cependant l'occasion de se balader dans les allées avec moins de monde pendant quelques heures.
Les horaires du salon
Mercredi 5 février
De 10h à 22h
Jeudi 6 février
De 10h à 19h
Vendredi 7 février
De 10h à 22h
Samedi 8 février
De 10h à 19h
Dimanche 9 février
De 10h à 19h
Le prix des billets
Les billets sont déjà disponibles sur le site officiel du salon au prix de 20€. Le prix du billet pour les moins de 16 ans est de 12€. Le prix pour assister à la soirée d'avant-première, de 18 à 22h, est fixé à 60€. Le pack 5 jours + l'accès à la soirée en avant-première est de 125€.
Les accès
Emprunter les transports en commun pour accéder à la porte de Versailles reste le moyen le plus simple. Le parc des expositions est desservi par le métro, le tramway et les bus de la RATP
Ligne 12 du métro
Station Porte de Versailles
Sortie 2 pour accéder au Hall 1
Ligne 8 du métro
Station Balard
Tramway T2 et T3a
Station porte de Versailles - Parc des Expositions
Bus
Ligne 39 et Ligne 80
Arrêt Porte de Versailles
Il est bien sûr possible de venir en voiture en garant votre véhicule aux parkings des portes F et R. Notez que les propriétaires d'un véhicule de collection peuvent profiter du parking gratuitement, en présentant leur carte grise certifiant qu'il s'agit d'une voiture de collection.
Les expositions
Pour le moment, trois expositions ont été annoncées par les organisateurs : une baptisée “La Formule 1 tricolore des années 60 à nos jours”, une autre consacrée à l'ancien patron de Yamaha en Europe, Éric de Seynes et une troisième consacrée à l'inventeur Adolphe Kégresse.
La Formule 1 tricolore des années 60 à nos jours
Si le moteur Renault en F1 s'apprête à tirer sa révérence à la fin de la saison 2025, la discipline en France est toujours aussi populaire. L'édition 2025 de Rétromobile consacre une exposition de 600 m2 à cette présence depuis 60 ans. 16 voitures seront exposées. Notamment la Beneton-Renault avec laquelle Michael Schumacher fut sacré champion du monde en 1995 ou la Williams Renault de Jacques Villeneuve de 1997. Seront également présentes des Prost GP, des Jordan motorisées par Peugeot ou encore des Matras ou Ligier.
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Sébastien Loeb est la star et le favori de ce Dakar 2025 dans la catégorie auto. Au volant de son Dacia Sandrider, le nonuple champion du monde des rallyes WRC espère enfin accrocher la victoire.
Pour la 9e fois de sa carrière, Sébastien Loeb prendra le départ du Dakar ce vendredi pour le prologue en compagnie de Fabian Lurquin, son copilote. Au volant du Dacia Sandrider, le pilote français espère décrocher pour la première fois un succès sur l'épreuve reine du rallye-raid. Il fait d'ailleurs de ses expériences, parfois malheureuses, sur le Dakar une de ses forces pour cette édition 2025 :
“Ce sera un Dakar difficile et nous devrons peut-être piloter encore plus que d'habitude avec la tête pour être en mesure de nous imposer… Nous verrons chaque jour comment la situation évolue. Nous sommes conscients qu'il faut réunir plusieurs facteurs pour gagner, donc j'espère que notre expérience sera un atout. Nous avons travaillé d'arrache-pied pour préparer cette course et j'ai vraiment hâte qu'elle soit lancée. Nous sommes prêts à tout donner, l'équipe aussi”.
Une approche plus “intellectuelle”, c'est aussi ce que prône Nasser Al-Attiyah, coéquipier de Sébastien Loeb chez Dacia :
“Le parcours particulièrement exigeant cette année… La première semaine s'annonce folle, donc il faudra une approche intelligente”.
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La fiabilité, la clé du Dakar 2025
Après de longs mois d'attente, c'est désormais officiel : Lewis Hamilton est un pilote de la Scuderia Ferrari pour les deux voire trois années à venir. Et il a fêté la nouvelle avec un post Instagram qui le replonge en enfance.
Avec l'année 2024 qui vient de s'achever, Lewis Hamilton a refermé le fantastique chapitre qui le liait à Mercedes depuis le début de sa carrière en Formule 1. Depuis ce mercredi 1er janvier 2025, il est un pilote de la Scuderia Ferrari. Et le pilote britannique n'a qu'une ambition : redevenir champion du monde. Mais avant de défendre les couleurs de la Scuderia Ferrari sur la piste, Lewis Hamilton est entré dans une phase de séduction auprès des tifosis. Il faut dire que c'est à double tranchant pour lui. Soit il réussit son pari de faire gagner Ferrari et de dépasser Michael Schumacher, soit il échoue.
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Un post Instagram qui met le rouge à l'honneur
Après une série de posts Instagram pour fêter son départ de l'écurie allemande, Lewis Hamilton a démarré l'année 2025 avec une photo de lui enfant, au volant d'un karting. Et l'élément sur lequel tout le monde s'est arrêté c'est bien sûr le casque rouge qu'il portait au moment où le cliché a été pris. Il est interprété comme le signe que le septuple champion du monde a toujours voulu courir pour la Scuderia Ferrari.
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Sans trop de surprises, le marché automobile français termine l'année 2025 dans le rouge. Plusieurs représentants du secteur tirent la sonnette d'alarme.
2023 aura-t-elle été “une parenthèse dans une normalité ancrée sous les 1,7M d'unités en moyenne depuis la crise du Covid” ? C'est la question que se posent avec justesse les experts d'AAA Data. C'est que, sans que l'on s'en étonne vraiment, l'année 2024 n'aura pas été meilleure que le précédent cru. Elle aura même été moins bonne avec des immatriculations en recul de 3,2 % par rapport à 2023. Pire, par rapport à 2019 (juste avant la pandémie), la baisse s'établit à -22,39 %. Selon le délégué général de Mobilians, Xavier Horent (organisation patronale qui représente le secteur de la distribution automobile), “2024 se place à la 7ème position des pires années sur un demi-siècle”. Et il y a même plus gênant encore dans cette histoire…
Le leasing social n'aura pas servi à grand-chose
C'est que 2024 avait démarré sur les chapeaux de roues. Une raison à cela, le dispositif gouvernemental permettant de s'offrir une voiture électrique pour 100 € par mois, parfois beaucoup moins, qui a connu beaucoup de succès avec environ 50 000 dossiers validés (on attend toujours les détails du gouvernement). S'il n'avait pas été mis en application, le marché serait donc sans doute sous les 1,7 million d'unités.
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La voiture électrique stagne
D'ailleurs, malgré ce coup de pouce, les ventes de voitures électriques ont stagné. Leur part de marché s'établit à 16,9 %, c'est seulement 0,1 % de plus qu'en 2023. Les volumes sont même en baisse de 2,5 % (291 143 immatriculations au total). C'est simple, c'est la première baisse depuis que les modèles zéro émission ont été mis en avant par les pouvoirs publics. Inquiétant alors que l'objectif de 2035 se rapproche et que les constructeurs vont devoir vendre environ 20 % à 25 % de véhicules électriques pour ne pas payer des amendes faramineuses avec le durcissement de la norme CAFE en 2025.
La Renault 5 pour aider le marché en 2025 ?
Ce qui pourrait aider malgré tout, l'arrivée en masse de modèles (un peu) plus accessibles. Une Renault 5 sous les 30 000 €, c'est toujours mieux qu'un Tesla Model Y au-dessus des 40 000 €, mais cela reste moins bien qu'une Renault Clio démarrant sous les 20 000 €.
Les voitures hybrides gardent la tête hors de l'eau
Parce que les Français n'adoptent pas en masse les voitures électriques, peut-on dire pour autant qu'ils ne prêtent pas attention à leur bilan carbone ? Pas tout à fait car les voitures purement thermiques se sont effondrées l'année dernière. Les modèles essence ont chuté de près de 21 % et les diesel de plus de 27 %.
Une voiture neuve sur 5 vendues est hybride
Les grandes gagnantes de 2024, ce sont les voitures hybrides avec, en premier lieu, les full hybrid ou hybrides auto-rechargeables (comme les Toyota Yaris et Renault Clio) dont la part a augmenté de presque 5 points pour atteindre 19,5 %. Les véhicules à hybridation légère ont également le vent en poupe avec 5,1 points de part de marché en plus. Enfin, les hybrides rechargeables sauvent les meubles avec 8,5 % de part de marché, une baisse de seulement 0,5 point.
De sombres perspectives
Qu'à cela ne tienne, ces petites victoires ne suffisent pas à rassurer les experts du secteur. Et ce n'est pas la légère progression au mois de décembre mettant fin à 7 mois de baisses consécutives qui va changer quoi que ce soit à leur position. En même temps, si le marché termine à +1,47 % en décembre, c'est parce qu'il y avait un jour ouvré en plus. En appliquant la correction, on se retrouve à -3,36 %, il n'y a pas de quoi pavaner.
Pour Xavier Horent, “la crise automobile est le reflet de la crise politique française et des labyrinthes dogmatiques bruxellois”. Vincent Salimon, patron de BMW France (une marque qui s'en sort pourtant avec les honneurs avec +14,3 %), voit carrément rouge. Selon lui, “les politiques en place sont presque parfaites pour ne pas renouveler le parc, pour renchérir le marché du véhicule d'occasion, pour ralentir les ventes de véhicules 100% électriques”. “Fini de rigoler. Il est temps de sonner la fin de la récréation !”, ajoute-t-il. Des paroles qui seront entendues ?
Crédit photo : Adobe Stock.
La marque à l'Étoile n'a pas que la nouvelle génération de CLA dans sa sacoche pour l'année prochaine. Non, bien au contraire, c'est sans nul doute le constructeur qui a le programme le plus chargé en 2025.
Les derniers résultats de Mercedes ne sont pas bons. Au dernier trimestre, les bénéfices ont ainsi diminué de moitié. Des difficultés que la marque attribue surtout à une compétition féroce en Chine. Force est de constater que même en Europe, l'heure n'est pas à la fête. La plupart des best-sellers ont vu leurs ventes baisser depuis le début de l'année : la Classe A (-3 %), la Classe C (-29 %), les GLA et GLC (respectivement -18 % et -6 %).
Le constructeur de Stuttgart serait bien contraint de revoir dans un avenir pas trop lointain sa stratégie qui consiste à monter en gamme puisque, sur les segments supérieurs, les ventes sont carrément franchement décevantes (la Classe S plonge de 32 % et le SL de 57 %).
Qu'à cela ne tienne, avec une gamme toujours aussi riche, le programme de nouveautés permet à la marque de sauver les meubles et de faire preuve de dynamisme. En 2025, de nombreux modèles sont attendus.
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Lancement du Mercedes-Maybach SL
À l'heure où Renault s'apprête à relancer la Renault 5 Turbo dans une version électrique, la maison RM Sotheby's va proposer début février prochain une Turbo 2 aux enchères dans le cadre de sa vente organisée en parallèle du salon Rétromobile.
La Renault 5 Turbo 2 a été produite entre 1983 et 1986 à 3200 exemplaires environ. Cet exemplaire en blanc perle est sorti des lignes de production des usines Renault le 30 janvier 1984 d'après les archives du constructeur français. Un modèle équipé d'un moteur quatre cylindres de 1,4 litre pour une puissance de 160 chevaux. Au rang des équipements, notons la présence des vitres électriques.
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Plus de 30 ans au Japon
Si nous ne connaissons pas grand-chose du début de sa vie, nous savons que la citadine sportive a pris la direction du Japon en octobre 1988. Elle y restera pendant 33 ans. Elle sera vendue à un Allemand en juillet 2021 qui la rapatriera en Grand-Bretagne. Ce dernier a décidé de la vendre aux enchères début février prochain par l'intermédiaire de la maison de vente aux enchères RM Sotheby's. Son prix est estimé entre 80 000 et 100 000 euros. Elle affiche un peu plus de 10 000 km au compteur.
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Pas la voiture la plus chère de la vente
Cette Renault 5 Turbo 2 n'est clairement pas le lot le plus cher de la vente qui aura lieu au Louvre les 4 et 5 février prochains. RM Sotheby's proposera des lots bien plus prestigieux comme une Ferrari 250 LM qui a remporté les 24h du Mans ou encore une Bugatti Centodieci. La première est estimée à 25 millions d'euros quand la supercar alsacienne devrait partir pour un prix compris entre 10 et 15 millions d'euros.
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Crédit photo : Keno Zache - RM Sotheby's.
En 2024, Lando Norris s'est révélé comme étant le plus sérieux rival de Max Verstappen pour le titre mondial. Le pilote McLaren s'est montré capable de gagner des Grand Prix et de rivaliser avec son ami sur la piste. Sa rémunération aussi a passé un cap en 2024.
Selon les informations du magazine Forbes, Lando Norris a touché 35 millions de dollars sur l'exercice 2024 de Formule 1. Sa rémunération annuelle se découpe en deux parties. Il a d'abord touché 12 millions de dollars en salaire fixe auquel il faut ajouter 23 millions de dollars en prime de résultats. Il faut dire que le pilote britannique a fait fort en 2024 avec une saison très solide.
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Premières victoires et un titre constructeurs à la clé
En 2024, Lando Norris est parvenu à signer ses premières victoires en Grand Prix. Il en a remporté quatre au total : à Miami au printemps puis cet été aux Pays-Bas et à Singapour et Abu Dhabi cet automne. Il faut ajouter aux victoires, 9 podiums et 8 pole positions. La cerise sur le gâteau étant bien sûr le titre constructeurs obtenu pour McLaren. Le premier pour l'écurie britannique depuis 1998 !
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Le résumé vidéo du GP de Miami
Cette année, Daniel Elena, copilote de Sébastien Loeb pendant 23 ans, est consultant pour la chaîne L'Équipe sur ce Dakar 2025 en Arabie saoudite. Sur le site du quotidien sportif, il se refuse à donner un favori pour la catégorie auto.
Daniel Elena connaît bien le Dakar. Il a disputé cinq éditions du plus célèbre des rallyes-raid et il est monté sur le podium à deux reprises avec Sébastien Loeb. Mais le Monégasque connaît également très bien les autres favoris à la victoire finale dans la catégorie auto. Il a été équipier de Carlos Sainz, le tenant du titre chez Ford. Idem pour Nani Roma. Et il a également travaillé avec le copilote de Guillaume de Mévius, dauphin de Carlos Sainz en 2024, chez Mini, Mathieu Baumel. Au moment de se prêter au jeu des pronostics, Daniel Elena a botté en touche :
““Je n'en ai pas. D'un côté, il y a des jeunes loups aux dents longues avec des voitures vues et revues, fiables, les Toyota et les Mini. De l'autre, des vieux renards et des anciens vainqueurs du Dakar avec des voitures neuves dont on ne connaît pas la fiabilité à 100 % sur quinze jours. C'est très ouvert”.
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Que devient-il depuis sa séparation sportive avec Sébastien Loeb ?
Depuis que le duo Loeb - Elena est séparé, ce dernier est devenu papa pour la seconde fois. Il a également monté son entreprise avec sa femme. Celle-ci est dédiée aux goodies et au textiles du sport automobile. Et s'il ne dit ferme pas la porte à un retour, ce ne sera pas à haut niveau :
“On a notre boîte à faire tourner et notre fille à élever. On refera du sport auto quand elle sera un peu plus grande. Mais si je reprends, ce sera dans la peau d'un passionné, avec mon épouse, pour prendre du plaisir, m'amuser”.
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Crédit photo : Flavien Duhamel / Red Bull Content Pool.
Le Macan passe à la propulsion ! Porsche crée une déclinaison inédite de son SUV à succès, dont la conception a tout pour répondre aux objectifs de l'allemand : proposer le véhicule le plus sportif, quel que soit le segment. De ses performances électriques à ses qualités dynamiques, en passant par son design et ses nombreux équipements, le Porsche Macan Electric en propulsion a de quoi voler la vedette au reste de la gamme.
Le Porsche Macan, c'est une belle success-story pour le constructeur. Lancé en 2014, le SUV compact et polyvalent s'écoule à plus de 44 000 exemplaires dès sa première année. Sur les 10 dernières années, il représente 7 fois la meilleure vente pour la marque. Sans surprise, il est également le modèle le plus plébiscité sur le marché français, et le premier à opérer une transition totale vers l'électrique. C'est donc en toute logique que la marque propose une version « d'entrée », pour compléter les plus puissants Macan 4, Macan 4S et Macan Turbo. Et il faut bien l'avouer, après une virée sur les routes marocaines et quelques glisses dans le désert d'Agafay, c'est peut-être celui qu'on préfère ! Notre essai du Porsche Macan Propulsion.
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Un Porsche Macan électrique flatteur
Notre modèle du jour, c'est donc le Porsche Macan en transmission propulsion. Mais s'il est le plus accessible de la gamme, il n'en n'est pas moins flatteur. Le SUV 100% électrique reprend en effet et tout naturellement le langage esthétique des BEV de Stuttgart. On y retrouve ainsi les feux avant à 4 éléments LED, suivis d'un capot assez plongeant et entourés d'ailes galbées. Une face avant qui en impose tout en conservant une certaine compacité, puisqu'il n'y a plus de moteur à l'avant mais un frunk de 84 litres à la place. La silhouette du SUV affiche la Fly Line caractéristique des modèles du constructeur, cette ligne de toit fuyante, qui s'arrondit subtilement et se connecte aux feux arrière. Notons toutefois que le Porsche Macan électrique perd son petit becquet supérieur, ce qui « lisse » peut-être un peu trop l'allure du SUV compact. Porsche reste néanmoins attentif à l'aéro, avec l'aileron actif permettant de réduire la traînée.
Après des années 2023 et 2024 plutôt calmes, le cru 2025 sera nettement plus attrayant avec au moins deux grandes nouveautés, et sans doute une supplémentaire.
Depuis le restylage des DS 3 et DS 7 en 2022, il ne s'est pas passé grand-chose hélas chez DS Automobiles. En outre, les facelifts n'ont pas aidé les deux modèles suscités à se maintenir avec des ventes en baisse de respectivement 10 % et 25 %. Il était temps que le constructeur automobile premium français insuffle un vent de fraîcheur dans sa gamme. C'est prévu pour 2025 !
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DS 4 électrique