A-t-on les moyens financiers d'abroger la réforme des retraites ?
Contrairement à ce que répète la majorité présidentielle, revenir sur l’âge de départ à 64 ans, est réalisable sans entraîner la banqueroute du système.
Contrairement à ce que répète la majorité présidentielle, revenir sur l’âge de départ à 64 ans, est réalisable sans entraîner la banqueroute du système.
Il est difficile de comprendre l’entêtement, pour ne pas dire l’acharnement, du gouvernement Attal à réformer par décret l’assurance chômage en pleine crise post-dissolution de l’Assemblée nationale.
L'avocat Arié Alimi, membre de la Ligue des droits de l'Homme, refuse de mettre sur le même plan l’antisémitisme ontologique et structurel de l’extrême droite et celui, opportuniste, de certains à La France insoumise.
La secrétaire générale de la CGT appelle à voter pour le Nouveau Front populaire. Et compte faire monter le rapport de force social pour que ses promesses soient tenues.
Pour instaurer une assurance chômage équitable, abroger la réforme Attal ne suffira pas : il faut repenser les conditions de négociation, de financement et d’éligibilité de tout le système.
La sociologue Dominique Méda analyse la place que le programme du Nouveau Front populaire accorde au travail et insiste sur la nécessité de rééquilibrer les pouvoirs entre actionnaires et travailleurs dans l’entreprise.
Très sévère, la nouvelle réforme de l’assurance chômage aura des conséquences dramatiques pour nombre de chômeurs. Personne ne sera épargné, mais ce sont les jeunes, les demandeurs d’emploi âgés et les plus précaires qui seront particulièrement touchés.
Durcissement drastique des conditions d’indemnisation et régime plus sévère pour les moins de 57 ans font partie des nouvelles règles de l’assurance chômage que le gouvernement doit annoncer dans les prochains jours.
Limogé pour bons et loyaux services. Pur produit de la SNCF, Jean-Pierre Farandou, 66 ans, entré dans le groupe il y a quarante-deux ans jusqu’à en prendre la tête en 2019, devra descendre du train en marche dès la fin des Jeux paralympiques de Paris.
Bruno Le Maire entend réduire drastiquement le nombre de lignes sur le bulletin de paie. Mais à défaut d’une réflexion sur la complexité du système social et fiscal, l’allègement s’annonce cosmétique.