Ceux qui pensaient qu’après le désastre irakien, l’Amérique était vaccinée contre le virus du néoconservatisme doivent se rendre à l’évidence : le courant idéologique qui consiste à penser que les Etats-Unis ont le pouvoir, voire le devoir, de régenter la planète est toujours vivant et actif

A la traîne derrière les leaders mondiaux de la production de drones, la France peut s’appuyer sur un réseau de PME et sur un intérêt croissant de la part de l’armée, jusque-là peu encline à commander ce type d’armement.

[25 cartes pour comprendre le désordre mondial] Les pays qui exportent une part importante de leur production aux Etats-Unis sont les plus exposés. Mais l’économie américaine pourrait aussi pâtir des représailles.

Les « règlements d’ensemble » consistant à accorder des rabais aux fraudeurs coûtent 1,2 milliard d’euros par an au fisc. Opaque et sans encadrement législatif, la pratique profite aux entreprises et aux plus riches.

[25 cartes pour comprendre le désordre mondial] Pékin s’est imposé comme leader du commerce mondial, devenant le premier fournisseur de nombreux pays. La guerre économique déclarée par Trump ne freinera pas la dynamique.

Si vous suivez, même de loin, le débat économique, vous n’avez pas pu échapper au constat de la désindustrialisation française et à l’impératif d’y remédier.

A Louargat, la municipalité a mené un ambitieux programme de rénovation énergétique des bâtiments scolaires. Mais l’équation budgétaire qui l’a permis est complexe, et sa reproductibilité ailleurs n’est pas assurée.

Plébiscitée par les Français, l’eau minérale voit la pérennité de sa filière remise en cause par les dérives de Nestlé Waters, qui cherche à produire coûte que coûte en multipliant les pressions sur la ressource.

L’économiste, spécialiste des mutations du capitalisme contemporain, met en évidence ce qui distingue mais aussi ce qui permet de comparer le pouvoir des géants du numérique à celui des seigneurs féodaux du Moyen-Age.

En se diversifiant sans cesse, l’entreprise américaine s’est imposée comme un géant mondial du divertissement. Tout en se mettant au service de valeurs consuméristes, et au risque de sacrifier la créativité artistique.

En tête de notre sélection cette semaine, l’ouvrage de la journaliste et écrivaine Judith Perrignon qui livre un récit éclairant sur la vie politique et privée du 32e président des Etats-Unis, Franklin Delano Roosevelt.

Retrouvez chaque samedi le dessin de la semaine. Aujourd’hui, le regard de Kanar sur l’actualité.

Avoir deux ou trois boulots, développer sa propre entreprise en restant salarié d’une autre… La France compte 2,3 millions de pluriactifs : une situation tantôt subie, tantôt choisie, qui questionne le rapport au travail.

La non-compensation des exonérations de cotisations sociales est de plus en plus remplacée par l’impôt, notamment la TVA. Une tendance lourde qui pèse sur les pauvres et favorise les riches, juge le député LFI Damien Maudet.

Dakar a réussi à mener des politiques de développement en dépit des règles imposées par les institutions financières internationales. Sans négliger ses limites, l’exemple sénégalais peut inspirer les gouvernements africains.

Des travaux inédits indiquent que les contrôles des chômeurs ont augmenté ces dernières années. Ils ciblent davantage certains profils et reposent plus sur les pratiques des conseillers de France Travail que sur la loi.

Le graphorama, c'est quatre infographies sélectionnées chaque semaine par la rédaction pour regarder l'actualité autrement.

Les économistes Gastón Nievas et Thomas Piketty ont constitué une base de données inédite sur la balance des paiements de 1880 à nos jours. Ils esquissent ainsi une histoire et une géographie mondiales du pouvoir économique.

Dans le nord de l’Europe désormais, il suffit d’ouvrir ses volets pour s’en convaincre : le changement climatique bouleverse l’agriculture. Sécheresses, stagnation ou baisse des rendements, les effets du réchauffement global s’intensifient année après année.

La France trouvera-t-elle la bonne mesure pour les rythmes scolaires ? Dix ans après l’instauration de la semaine de quatre jours et demi, les collectivités redoutent de devoir encore payer la facture d’une réforme.