Avec six articles en huit jours, le "Point" a déclaré la guerre à Wikipédia, accusée de "campagnes de désinformation et de dénigrement", car le journal n'apprécie pas la page qui lui est dédiée. Il n'est pas le seul : dans la presse de droite, en France mais aussi aux Etats-Unis, les attaques à l'encontre de l'encyclopédie en ligne se multiplient depuis des mois. Son plus grand critique, qui a juré la perte du site : Elon Musk, désormais membre du gouvernement Trump. Un "extravagant Mr Musk" que le "Point" porte apparemment dans son coeur.
Trois journalistes affirment avoir entendu des salariés de l'Arcom, dans un restaurant, se confier sur la fermeture de C8. "On nous a demandé de virer Hanouna", auraient-ils déclaré, d'après un article du "JDD", qui relate ce moment. La "révélation" a fait le tour des médias de Vincent Bolloré jusqu'à ce lundi. Pour confirmer la véracité de son information, le journal n'a pourtant eu qu'une véritable source : le patron du restaurant dans lequel la discussion aurait eu lieu.
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Ce mardi 25 février, d'abord sur Europe 1, puis sur "TPMP", Cyril Hanouna s'en est ouvertement pris à "Arrêt sur images", suite à une invitation que nous lui avions faite en début de semaine. Dans un souci de clarté, quelques précisions s'imposaient.
Dans un portrait publié dans "Le Monde" du 14 février, Louis Sarkozy affirme que s'il avait été "aux manettes", il aurait "brûlé l'ambassade d'Algérie" suite à l'arrestation de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal. Des propos d'une rare violence qui n'ont pourtant suscité quasi aucune reprise politique ou médiatique. Jusqu'à ce que le journaliste Azzeddine Ahmed-Chaouch s'active sur Beur FM, et en coulisses. Récit.
Derrière la fronde patronale menée par Bernard Arnault contre les hausses d'impôt des grands groupes, apparait le chantage multi-forme qu'opère le capital sur le reste du monde social. Dans les médias, ce chantage apparait souvent sous le couvert de négociations, de justice fiscale ou de patriotisme. Elle n'est que l'incarnation de la domination capitaliste.
Derrière la fronde patronale menée par Bernard Arnault contre les hausses d'impôt des grands groupes, apparait le chantage multi-forme qu'opère le capital sur le reste du monde social. Dans les médias, ce chantage apparait souvent sous le couvert de négociations, de justice fiscale ou de patriotisme. Elle n'est que l'incarnation de la domination capitaliste.
Ils défendent mordicus la fessée, revendiquent avoir été élevés à coups de "tartes" ou promettent de "massacrer" leur enfant pour le remettre dans le droit chemin. Dans l’univers de la téléréalité, la banalisation des violences envers les enfants est aussi courante que décomplexée.
On pourrait croire que l'attaque en plein Paris, un dimanche après-midi, d'un local militant par un groupe d'extrême droite criant "Paris est nazi !" ferait scandale médiatiquement. Mais on aurait tort.
Sur Tik Tok ou sur Instagram, l’ère est aux vidéos toujours plus courtes et rapides à consommer. Pourtant, YouTube et ses créateurs semblent à contre-courant, en proposant des vidéos toujours plus longues et travaillées.
Quel traitement iconographique réserver aux sujets de la transidentité ? Les personnes trans se reconnaissent-elles dans les figures trans que l’on voit dans les médias ? Comment concilier les contraintes de production d’un quotidien et les exigences des personnes concernées lorsqu’on est le seul journal national à consacrer sa une à l’offensive transphobe ? Comment visibiliser les personnes trans sans tomber dans les écueils des stéréotypes et sans les mettre en danger ? Tentative d’analyse à partir d’un cas d’école largement salué et néanmoins vivement critiqué.