L'animateur Arthur, rattrapé par les archives de ses propres émissions ? De vieux extraits du jeu télé animé par Arthur, "À prendre ou à laisser", circulent en effet sur les réseaux sociaux. Dans un montage de quatre minutes, on voit le présentateur commenter le physique de candidates, imposer des scènes d'intense proximité à des femmes en plateau, voire, un baiser par surprise. Les séquences ont été partagées par de nombreux comptes. Elles ont aussi fait l'objet de signalements, entraînent pour la plupart leur suppression. Une demande qui aurait été signée d'Arthur lui-même.
À partir d’avant-hierArrêt sur Images - Le flux RSS
Y aura-t-il un référendum en 2025 ? Depuis les voeux du président, qui a promis que les Français "trancheraient" cette année (sans jamais prononcer le mot "référendum"), les médias jouent aux voyants, préférant la boule de cristal à l'information. Tour d'horizon.
Flashback sur les infos exclusives, les analyses uniques et les idées nouvelles que vous avez pu retrouver l'année dernière sur notre site. Et que nous sommes fier·es d'avoir déniché·es pour vous !
Dans une vidéo, une humoriste a reproché au média féministe "Simone Média" son rachat (en 2021) par Prisma, une filiale de Bolloré. Qu'elles travaillent ou non pour "Simone", de nombreuses journalistes féministes ont rétorqué que le contexte actuel du monde des médias ne leur permet pas le luxe de choisir leurs sources de revenus. L'humoriste et la rédaction de "Simone" nous ont répondu.
En 2024, six chroniques "Calmos" sur seize concernaient des emballements politico-médiatiques qui s'appuyaient sur des accusations d'antisémitisme. La plupart du temps, elles ciblaient la gauche ou les mobilisations de soutien aux Palestiniens. Un sujet dans lequel les tentatives de rigueur et de prudence ont souvent été considérées comme une volonté de nier l'antisémitisme dans son ensemble.
De nombreux chiffres, très éloignés les uns des autres, ont circulé pour estimer le nombre de morts après le passage du cyclone Chido à Mayotte : entre une quarantaine, selon le bilan officiel à Noël, et jusqu'à des milliers, voire "60 000", a-t-on pu lire ou entendre. Des chiffres que les médias ont repris, souvent avec des pincettes, mais sans toujours pouvoir les confronter au terrain. Plusieurs journalistes racontent comment ils tentent d'y voir plus clair. Parfois en vain.