Hier, Mclaren prenait tout le monde de court et annonçait l'arrivée imminente de sa nouvelle hypercar, qui doit remplacer la P1. Pour l'heure, une courte vidéo a été publiée sur les réseaux sociaux de la marque. On ignore encore à quoi ressemblera ce modèle, toutefois on vient d'apprendre son nom : W1. Après avoir enflammé la toile hier suite à la publication de la vidéo annonçant l'arrivée de sa nouvelle hypercar, McLaren nous offre aujourd'hui un deuxième cadeau. La marque vient en effet de dévoiler le nom de la bête, qui s'appellera W1. La remplaçante des mythiques F1 et P1 a donc droit à un patronyme similaire. Pourquoi « W » ? Pour célébrer les 50 ans du premier titre remporté par la marque en Formule 1. C'était en 1974, lorsque Emerson Fittipaldi remportait le championnat des pilotes, offrant du même coup le trophée constructeurs à McLaren. « W » comme « World Champion », donc. Un choix à la symbolique forte, d'autant plus que l'écurie McLaren mène actuellement le championnat du monde de F1, devant Red Bull, et pourrait donc être couronnée cette année !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO - Alerte générale, McLaren présentera la remplaçante de la P1 le 6 octobre !

Il y a quelques jours, sortait l'ultime épisode de l'émission The Grand Tour. Du moins, le dernier animé par le légendaire trio composé de Clarkson, Hammond et May. Et si l'avenir du show était incertain, rien n'ayant officiellement été communiqué, Jeremy Clarkson espère que l'émission continuera. Il souhaite qu'Amazon poursuive l'aventure avec des animateurs passionnés, de la nouvelle génération. Le 13 septembre dernier, Amazon Prime Video diffusait le dernier épisode de l'émission The Grand Tour. Un véritable déchirement pour les passionnés de voitures, qui avaient grandi en suivant les aventures de Jeremy Clarkson, Richard Hammond et James May. Les trois compères avaient en effet été réunis pour la première fois dans le cadre de l'émission anglaise Top Gear, au début des années 2000. Après quelques accrocs avec la chaîne BBC, le trio avait alors signé un contrat avec la plateforme de streaming Prime Video, pour produire une émission semblable à Top Gear, baptisée The Grand Tour. Malheureusement, l'aventure vient de se terminer, l'épisode du 13 septembre étant le dernier à être animé par le trio culte. Mais est-ce la fin du show pour autant ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Comme Top Gear, The Grand Tour devrait se poursuivre sans Clarkson, Hammond et May

On le sait, Ferrari a toujours offert à ses modèles différentes séries spéciales, plus ou moins limitées en termes d'exemplaires. La 599 GTB avait par exemple reçu une déclinaison HGTE, avec une esthétique revue, ainsi que des spécificités mécaniques visant à la rendre plus performante. On en a justement déniché un exemplaire, équipé d'une boîte de vitesses manuelle ! Visuellement, il faut avoir l'oeil pour distinguer une Ferrari 599 GTB d'une 599 HGTE. À l'extérieur, les changements se concentrent principalement au niveau des jantes. Celles-ci sont plus grandes (20 pouces) et sont pourtant plus légères que sur la version "de base". La voiture est également dotée d'une suspension plus ferme et rabaissée de 10 mm. En allant voir à l'arrière, on remarque 4 sorties d'échappement signées Fiammenghi, pour laisser s'exprimer pleinement le V12. La panoplie extérieure est complétée par de la fibre de carbone, bien évidemment. À bord, outre la combinaison de couleurs brun et noir, ainsi que les nombreux inserts en fibre de carbone répartis dans l'habitacle, on remarque surtout le levier de boîte de vitesses manuelle, emprisonné dans sa grille en H. Pourquoi HGTE ? Pour "Handling Gran Turismo Evoluzione", ou une fois traduit en Français : "c'est plus cher, mais c'est bien mieux". Le français est pragmatique. Le V12 6.0 atmosphérique développe 620 chevaux et les transmets aux roues arrière via une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports (la boîte F1 robotisée était livrée de série). Les exemplaires dotés de la boîte mécanique sont si rares que les performances sont quasiment non-répertoriées. Cette 599 HGTE était justement proposée à la vente sur le site Cars & Bids, malheureusement les enchères ne sont montées "qu'à" 137.099 dollars, soit environ 123.000 euros. Un tarif insuffisant, sans surprise, pour la laisser partir...{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

La rumeur courait depuis quelques jours, c'est désormais officiel. Daniel Ricciardo quitte l'écurie Racing Bulls et, du même coup, la F1. L'Australien a donc disputé son dernier Grand-Prix le week-end dernier, à Singapour. C'est une rumeur dont l'on entendait parler depuis plus d'une semaine. Il se murmurait dans le paddock de la Formule 1 que Daniel Ricciardo était peut-être en train de vivre ses derniers moments en F1. Rien n'avait été confirmé, pas même à la fin du Grand-Prix de Singapour, au cours duquel le pilote australien n'a brillé qu'en arrachant le meilleur tour à la fin de la course. Mais la nouvelle vient de tomber, et l'épée de Damoclès qui pendait au-dessus de la tête du pilote australien est tombée. Racing Bulls vient d'annoncer le départ (comprenez le licenciement) de Daniel Ricciardo, à 6 courses de la fin de la saison. Son baquet au sein de l'écurie sera occupé par le jeune Liam Lawson.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Le sort du moteur Alpine en Formule 1 est-il vraiment scellé ?

L'arrivée de la nouvelle Audi A6 e-tron laisse présager de la fin de la carrière de la version thermique. Toutefois, cette dernière est encore commercialisée par Audi et voit ses tarifs débuter plus bas que la nouvelle génération, 100% électrique. La finition d'entrée de gamme de l'A6 s'affiche en effet à partir de 59.060 euros.  À quoi a-t-on droit, pour ce prix ? Il y a quelques semaines, Audi levait le voile sur la nouvelle génération de l'A6, qui passe à l'électrique et adopte du même coup l'appellation A6 e-tron. Une véritable révolution pour la grande berline, qui est apparue en 1994. Une carrière de 30 ans pour l'A6 dotée de moteurs à combustion, qui est sur le point de laisser le champ complètement libre à sa remplaçante à batterie. Mais l'A6 telle qu'on la connaît n'a pas encore disparu… En allant faire un tour sur le site de la marque allemande, on peut encore configurer l'A6 « de l'ancien monde » et passer commande. La gamme débute à 59.060 euros, pour la finition Business Executive. Ce niveau d'entrée de gamme présente plutôt bien, avec la calandre Single Frame cerclée de chrome et les projecteurs à LED. Seule (légère) ombre au tableau, les jantes de série de 17 pouces remplissent difficilement les passages de roues. Les modèles optionnels seront plus flatteurs, contre une rallonge.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Audi A6 e-tron : jusqu'à 757 kilomètres d'autonomie pour 66.500 euros

Un exemplaire atypique de la BMW M4 Compétition était récemment en vente sur la plateforme Collecting Cars. Malgré les apparences, il s'agit d'une série spéciale plutôt rare, fruit d'une collaboration entre la marque bavaroise et la marque de vêtements Kith. La série spéciale Kith Edition n'est pas très connue, même auprès des amateurs de BMW. Et pour cause : la collaboration entre Kith et la marque allemande n'a donné naissance qu'à 150 exemplaires de cette M4. Autant dire qu'on n'en croise pas tous les jours. Les spécificités sont relativement peu nombreuses. La partie mécanique de la voiture est laissée dans sa configuration d'origine, avec le 6 cylindres en ligne 3.0 biturbo de 510 chevaux. Les performances sont inchangées. Côté esthétique, en revanche, cette M4 Compétition Kith Edition se distingue de la version standard grâce à sa palette de teintes, issues du catalogue BMW Individual. Les acheteurs avaient le choix entre le Frozen Black mat, qui habille cet exemplaire, mais aussi le Frozen Dark Silver et le Frozen Billiantwhite. Le logo est également spécifique, puisqu'il reprend les couleurs du blason Motorsport et qu'il arbore une inscription spéciale sur le pourtour, signée Kith. Le nom de la marque de vêtements figure aussi sur le toit, ainsi qu'à la place du monogramme M4 sur la malle. On retrouve encore quelques évocations à bord, près du levier de vitesses par exemple.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} À la sortie de cette série limitée, les 150 exemplaires étaient affichés à plus de 135.000 euros. Contre toute attente, l'intégralité de la production avait trouvé preneur aussitôt. Celle que nous avons croisé aux enchères n'a réussi à faire monter les prix que jusqu'à 55.000 euros environ. Ce qui aurait pu être une bonne affaire. Ou la preuve que toutes les séries limitées ne tiennent pas forcément la cote éternellement... Elle n'a finalement pas été vendue.

On a souvent tendance à l'oublier, mais l'histoire de Bentley ne s'est pas toujours résumée au luxe et au grand tourisme. Ainsi, la marque anglaise s'est illustrée plusieurs fois en compétition automobile, notamment aux 24 Heures du Mans. C'est justement pour honorer son palmarès sportif que Bentley présentait le concept-car Hunaudières, en 1999. Les 24 Heures du Mans et Bentley, c'est une affaire qui roule. La marque anglaise s'y est imposée à plusieurs reprises, à des époques bien différentes. Elle a remporté 5 éditions dans les années 20, et a signé un doublé en 2003. Un joli palmarès, qui a d'ailleurs conduit Bentley à utiliser les noms de certains virages emblématiques du circuit de la Sarthe pour quelques modèles. D'où les Bentley Mulsanne, Arnage, ou encore la moins connue Hunaudières. Cette dernière est malheureusement restée à l'état de concept. C'est en 1999 que Bentley présente la Hunaudières, à l'occasion du Salon de Genève. À l'époque, la marque ne compte que 5 victoires au Mans, mais le concept annonce justement son retour dans la Sarthe. Le nom de l'interminable ligne droite du circuit lui est attribué. Le concept adopte des lignes très inhabituelles pour le constructeur, le design est dicté par l'aérodynamisme et taillé pour la performance. Cette fois, pas question de luxe et d'opulence.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Bentley Continental GT Speed : pour les nobles décoincés !

McLaren vient d'annoncer sur ses réseaux sociaux l'arrivée imminente de sa nouvelle hypercar, qui doit reprendre le flambeau de la P1. Son nom n'a pas été officialisé pour le moment, toutefois la marque semble insister sur le chiffre « 1 ». Reste à savoir quelle lettre se situera devant… Rendez-vous le 6 octobre pour la présentation ! Les puristes de Mclaren commençaient à désespérer de voir un jour revenir une véritable hypercar dans la gamme de la marque anglaise. La dernière en date, la P1, était arrivée sur le marché en 2013 et l'avait quitté en 2015. Depuis 9 ans, les fans devaient donc « se contenter » de GT et de supercars (quelle honte…). On avait bien eu droit à la Senna, mais celle-ci était moins chère, moins puissante et, objectivement, moins pure… Mais pas de panique, voici une nouvelle qui devrait réchauffer le cœur des Mclarenistes ! Le constructeur vient de publier une vidéo sur ses réseaux sociaux, dans laquelle il annonce l'arrivée de sa prochaine hypercar. Celle-ci sera officiellement dévoilée le 6 octobre prochain, à 13 heures (heure anglaise).{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO - Avis aux mordus de F1 : la série Senna débarquera sur Netflix le 29 novembre !

En mai dernier, l'annonce d'une mini-série centrée sur Ayrton Senna avait secoué le monde de la Formule 1, et surtout les fans du pilote brésilien. La bande-annonce permet d'avoir un avant-goût de ce qui nous attend. Rendez-vous fin novembre pour replonger dans la carrière hors normes d'Ayrton Senna. Ces dernières années, on a assisté à un retour en grâce de la Formule 1. Cette discipline, qui n'intéressait plus que les puristes de la première heure, a su séduire un public plus large, mais également plus jeune. Une popularité due à la sortie de la série documentaire « Drive to Survive », diffusée sur Netflix. Un regain d'intérêt qui pousse des réalisateurs à se lancer dans l'aventure, avec de nouveaux films centrés sur la discipline. On pense bien sûr au film, pour l'heure sobrement baptisé « F1 », qui sortira en salles l'année prochaine, avec Brad Pitt au casting. Si vous avez peur de ne pas pouvoir patienter jusqu'à sa sortie, vous pourrez toujours profiter d'une série qui doit arriver le 29 novembre sur Netflix, cette fois centrée sur le pilote brésilien Ayrton Senna.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO - Voici enfin la bande-annonce du film sur la F1 avec Brad Pitt !

Seriez-vous prêt à dépenser plus de 50.000 euros pour acheter un vieux break Volvo ? À priori, non, et personne ne vous en voudrait. Et si le break en question était équipé d'un moteur différent, un 2JZ par exemple, ça changerait la donne n'est-ce pas ? En navigant sur le site d'enchère Bring a Trailer, nous sommes tombés sur une Volvo 240 Wagon de 1993. En temps normal, nous serions rapidement passés à autre chose, mais deux choses ont retenu notre attention. Premièrement, cet exemplaire s'est échangé contre la bagatelle de 59.500 dollars, soit environ 53.000 euros. Deuxièmement, il est motorisé par un 6 cylindres en ligne 3.0 2JZ-GTE. Il ne nous en fallait pas plus... Extérieurement, rien ou presque ne trahit le pédigrée réel de cette Volvo 240, si ce n'est sa robe bleue étrangement impeccable, et ses jantes CCW Classic de 17 pouces. En regardant de plus près, on distingue bien un échappement plus imposant, mais rien de particulièrement choquant. En soulevant le capot, en revanche, c'est la surprise. Le précédent propriétaire avait envoyé sa voiture chez MA-Motorsport, aux États-Unis, pour réaliser un swap moteur. Depuis, ce break embarque un 2JZ 3.0 turbo qui développe 500 chevaux, balancés sur les roues arrière via une boîte mécanique à 5 vitesses. De quoi déménager à la vitesse de la lumière ! Le système d'injection, les ventilateurs et la ligne d'échappement ont également été remplacés.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} À bord, cette Volvo 240 Wagon reçoit des sièges baquets Recaro à l'avant. Le mobilier a fait l'objet d'une restauration, tandis que les bons vieux compteurs à aiguilles ont été remplacés par une instrumentation numérique, cerclée de fibre de carbone. Le volant sport est signé Momo. Seule ombre au tableau, le vendeur ne connaît pas le kilométrage total de la voiture, mais indique avoir parcouru un peu plus de 3.000 kilomètres depuis le remplacement du moteur. On ne sait pas vous, mais on aurait bien aimé voir cet exemplaire dans la série TV Monk !

Une Volvo 240 Wagon de 1993, croisée par hasard sur un site d'enchères en ligne, vient de s'échanger contre la coquette somme de 59.500 dollars. La raison ? Ce break suédois cache sous son capot un 6 moteur 2JZ de 500 chevaux. Et ce n'est pas là sa seule particularité… Personne, hormis un fan de la série Monk peut-être, n'achèterait une vieille Volvo break à plus de 50.000 euros. En revanche, collez un 2JZ sous le capot et cette même Volvo déchaîne les enchères. C'est exactement ce qui s'est passé avec cet exemplaire, daté de 1993. Il faut dire que le 2JZ est une sainte relique, pour tous les amateurs de préparation automobile et de voitures japonaises. Mais, on doit l'avouer, on ne s'attendait vraiment pas à en voir un sous le capot d'une Volvo 240 Wagon. Reconnaissons que l'extérieur ne laisse présager en rien de ce qui se cache dans les entrailles de la bête. On remarque bien que la peinture bleue est étrangement immaculée mais, après tout, il pourrait tout simplement s'agir d'un exemplaire restauré. Les jantes CCW Classic de 17 pouces ? Une petite fantaisie, rien de plus, tout comme le pot d'échappement légèrement plus gros à l'arrière. Bon, on notera tout de même quelques détails intrigants au niveau de la face avant. Soulevons le capot pour en avoir le cœur net…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volvo XC90 restylé : toujours plus beau, toujours plus cher !

Bentley lève le voile sur une nouvelle édition spéciale de son Bentayga, baptisée Azure Riviera. Celle-ci se base sur la version à empattement long et fait le lien avec le monde du yachting, grâce à une série d'équipements exclusifs. Historiquement, Bentley n'a jamais été bien loin du monde du yachting. Les modèles de la marque anglaise embarquent régulièrement des boiseries qui peuvent rappeler le pont des bateaux de luxe. Cette fois, le constructeur officialise ce lien avec une nouvelle série spéciale basée sur son Bentayga EWB (Extended Wheel Base), comprenez à empattement long. Plus gros et plus lourd, donc plus habitable et plus luxueux. Tout ce qu'on demande à une Bentley, en somme. Baptisée Azure Riviera, cette série spéciale assure la continuité de la Continental GTC Azure Riviera, présentée l'an dernier. Dans le cadre de cette édition, le Bentayga se pare d'une teinte Bleu Égéen, une évocation directe au milieu maritime. Cette couleur est rehaussée par le pack Blackline, qui supprime tous les éléments chromés au profit de pièces finies en noir, comme la calandre notamment. Le SUV repose sur des jantes polies à 5 branches de 22 pouces. L'habitacle offre quant à lui une débauche de luxe, avec les fameux sièges Airline, dignes d'une première classe en jet privé. Une sellerie en cuir blanc Linen, agrémentée de touches de cuir brun Brunel et de cuir bleu nuit Automne, recouvre l'intérieur du véhicule. Les dossiers de sièges arborent des broderies spécifiques à cette série spéciale, tandis que la planche de bord et la console centrale sont ornées d'inserts décoratifs Pale Pinstripe, qui rappellent les ponts en teck des yachts.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Aucun tarif n'a été dévoilé. Bentley conservera certainement cette information secrète, pour ne la communiquer qu'aux acheteurs privilégiés. La marque affirme par ailleurs que ce Bentayga Azure Riviera a été pensé pour refléter "l'élégance du style de vie des plaisanciers". On imagine que Bentley pensait davantage aux propriétaires des Yachts amarrés dans la marina de Monaco, plutôt qu'aux propriétaires de bateaux stationnés à Brest...

Le célèbre carrossier Saoutchik vient de dévoiler sa nouvelle création, la première depuis des dizaines d'années. Baptisée 300 GTC, celle-ci se veut être une réinterprétation néo-rétro de la Mercedes 300 SL. Un projet plein de bonnes intentions, sans aucun doute, mais qui peine à convaincre sur le plan de la réalisation. Quand on veut réinterpréter des icônes du passé, la moindre des choses, c'est de faire ça comme il faut. Celle-là, elle était facile, pardonnez-nous. Commençons par remettre un peu de contexte. On parie que vous ne connaissez pas Saoutchik et, pourtant, il s'agit de l'un des plus grands carrossiers français. Cependant, la petite entreprise basée à Neuilly-sur-Seine a fait faillite dans les années 50 et a sombré dans l'oubli le plus total… Jusqu'à ce qu'un designer et un préparateur allemand s'unissent pour la faire renaître. La 300 GTC dont il est question aujourd'hui est leur première réalisation depuis la résurrection de Saoutchik. Un peu d'indulgence serait donc bienvenue, cependant le préparateur a choisi de s'attaquer à un sacré morceau : la Mercedes 300 SL. La marge d'erreur est donc très réduite, voire nulle. Et objectivement, ce revival n'est pas exempt de défauts… {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mercedes-AMG PureSpeed : elle est de sortie pour achever ses tests routiers !

Skoda vient de présenter une étonnante version de son Kodiaq. Le SUV familial de la marque tchèque ajoute en effet une variante Armored à sa gamme, conçue pour résister aux tirs d'armes à feu. Les spécificités comprennent du blindage, des suspensions et des freins renforcés ainsi que des équipements dignes d'une voiture de police. Dans la catégorie des voitures blindées, on connaissait les BMW Série 7, i7 et X5 Protection, qui ont d'ailleurs bénéficié d'une grosse mise à jour en début d'année. Mais la marque bavaroise n'a pas le monopole sur ce segment de niche, comme vient de le rappeler Skoda. Le constructeur tchèque vient de dévoiler son nouveau Kodiaq Armored. Bien que l'approche paraisse originale pour une Skoda, ce n'est en réalité pas le premier modèle blindé à être proposé par la marque. La Superb avait eu droit à sa propre version Armoured, vendue à environ 500 exemplaires dans le monde depuis sa sortie en 2018. Après la berline, Skoda remet le couvert et dégaine cette fois un SUV !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Skoda Elroq : première apparition à nu du baby Enyaq !

BMW a emmené sa nouvelle Série 1 prendre l'air. La compacte sportive s'est dégourdie les roues et a pris la pose pour l'occasion, dans sa version M135 xDrive, habillée d'une teinte verte issue du catalogue BMW Individual. Depuis quelques mois maintenant, les commandes de la 4ème génération de la BMW Série 1 sont ouvertes. On n'en croise pas encore sur les routes, alors la marque allemande nous offre de nouvelles images pour patienter. BMW a emmené la version la plus puissante de la gamme, la M135 xDrive, se dégourdir les roues dans la campagne bavaroise. L'occasion de poser à nouveaux les yeux sur cette nouvelle Série 1, dont le design avait fait couler beaucoup d'encre au moment de sa présentation. Une fois l'aspect très subjectif du design évoqué, vient le point de la mécanique. Et, à ce niveau, la M135 xDrive devrait parvenir à mettre tout le monde d'accord. Son 4 cylindres 2.0 de 300 chevaux et 400 Nm de couple lui permet d'abattre le 0 à 100 km/h en 4,9 secondes, et d'atteindre une vitesse de pointe de 250 km/h. Moins impressionnant que les Audi RS3 et Mercedes A45 AMG, mais n'oublions pas qu'il ne s'agit pas d'une véritable version M à proprement parler... Qui sait, BMW prépare peut-être une M140 dans le plus grand des secrets ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Mansory vient de présenter le Pugnator, sa toute dernière création basée sur le Ferrari Purosangue. Le préparateur ne bouleverse pas ses habitudes, le SUV italien affiche un visage bien plus agressif et, objectivement, d'un goût assez discutable. Ce qui devait arriver vient d'arriver : Mansory s'est attaqué au Ferrari Purosangue. Le SUV de Maranello a eu droit à un aller-retour express dans les ateliers du préparateur allemand et vient d'en ressortir, complètement transfiguré. Oubliez l'élégance et la finesse du trait de l'original, celui qui s'appelle désormais Pugnator ne fait pas dans la dentelle. Mansory a appliqué le même procédé que pour ses créations précédentes. Le préparateur est allé dévaliser un magasin de fibre de carbone forgée et a transposé son butin tout autour du Purosangue : boucliers, lame, diffuseur, élargisseurs d'ailes, aileron, appendices aérodynamiques, bas de caisse, coques de rétroviseurs… Par crainte que les modifications passent inaperçues, chaque pièce en carbone peut être teinte dans la couleur de la carrosserie. Subtile… L'ensemble repose sur des jantes forgées de 22 pouces à l'avant et 23 à l'arrière.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO - À 10 km/h à peine, Charles Leclerc percute une voiture avec son Ferrari Purosangue

Mansory vient une nouvelle fois de faire la démonstration de ses talents et de l'étendue de son raffinement. Le préparateur allemand a cette fois-ci choisi le Ferrari Purosangue. Ça devait bien finir par arriver... Pas sûr que Ferrari apprécie de voir ce que Mansory vient d'infliger à son Purosangue. Désormais renommé Pugnator, le SUV italien reçoit un kit carrosserie complet avec de nombreux éléments en fibre de carbone forgé, dont les boucliers, les bas de caisse, les élargisseurs d'ailes, le diffuseur ainsi qu'un imposant aileron. Le Pugnator est chaussé de jantes forgées de 22 pouces à l'avant et 23 pouces à l'arrière. À bord, une sellerie blanche rehaussée par des liserés rouges recouvre les sièges, la planche de bord, les contreportes et le pavillon. La console centrale, le volant et la casquette de l'instrumentation sont finis en fibre de carbone. Summum du bon goût, l'habitacle se dote de tapis de sol matelassés blancs. Au rayon de la mécanique, les changements sont plus légers. Le V12 6.5 atmosphérique passe de 725 à 755 chevaux, tandis que le couple grimpe à 730 Nm. Mansory n'a pas communiqué les performances dont son Pugnator est capable, mais ça doit décoiffer légèrement plus que dans un Purosangue de série. Le SUV reçoit également un nouveau système d'échappement à clapets. Le prix est encore inconnu à l'heure actuelle. Les clients devront quoiqu'il arrive fournir le Purosangue à Mansory pour la base de travail, ce qui implique déjà une dépense d'environ 400.000 euros hors malus écologique...{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

En 2018, Peugeot scotchait la sphère automobile avec son concept-car E-Legend. Ce coupé 3 portes aux lignes néo-rétro musclées se voulait être une évocation de la Peugeot 504. L'accueil a été si chaleureux que la marque avait laissé la porte ouverte, pour une éventuelle entrée en production. Malheureusement, un courant d'air a rapidement fait claquer la porte… Vous souvenez vous du concept-car E-Legend présenté en 2018 ? Forcément, la plaie ne s'étant toujours pas refermée dans le cœur des puristes de Peugeot. Il faut dire que la marque avait joué avec les nerfs des afficionados durant de longs mois, avant de finalement envoyer son concept dans l'endroit où finissent tous ses semblables (ou presque), dans un musée. L'engouement était tel que plusieurs pétitions visant à le faire entrer en production avaient circulé et avaient récolté de nombreuses signatures. Sans succès.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Fin de l'histoire, rideau. Mais alors pourquoi reparler de la E-Legend 6 ans après ? Eh bien parce que la situation a évolué depuis sa présentation. En 2018, le groupe de Peugeot (PSA) se résumait à Citroën, DS Automobiles et Opel. Mais comme vous le savez, 3 ans après, la marque au lion a intégré le géant Stellantis, et a donc fusionné sa banque d'organes avec celle du groupe Fiat-Chrysler. Ça fait un paquet de monde… Lire aussi : CONCEPT OUBLIÉ - Peugeot e-Legends : quand Peugeot retournait vers le futur

Restylée au printemps dernier, la BMW Série 3 s'affiche désormais à partir de 48.700 euros. Un lifting qui a, comme souvent malheureusement, été l'occasion pour augmenter les tarifs, auparavant fixés à 45.000 euros. Malgré tout, cela n'empêche pas la Bavaroise de devancer sa rivale de toujours, la Mercedes Classe C, dans le classement des ventes en France. L'inflation ne touche pas seulement les modèles généralistes. Les constructeurs premium ont eux-aussi augmenté leurs tarifs, jusqu'à plusieurs milliers d'euros dans certains cas. Prenez la BMW Série 3. En début d'année, elle s'affichait à partir de 45.000 euros. La version restylée, arrivée sur le marché il y a quelques mois, a gonflé sa note à 48.700 euros. Heureusement, la Série 3 a encore une belle marge de manœuvre face à sa rivale historique, la Mercedes Classe C, qui s'affiche quant à elle à partir de 53.900 euros. Une différence de 5.200 euros, donc. La Bavaroise serait-elle moins bien dotée ? Même pas, puisqu'elle embarque de série la climatisation automatique à 3 zones, les sièges chauffants, la double dalle numérique incurvée ou encore le régulateur de vitesse adaptatif. Une dotation assez proche de celle de la Classe C, voire meilleure sur certains points.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW offre une ultime mise à jour technologique à sa Série 3

Bugatti vient de présenter une nouvelle série spéciale et limitée de sa Baby II, baptisée Tourbillon Edition. Celle-ci reçoit quelques nouveautés stylistiques, en écho à la nouvelle hypercar de la marque de Moslheim. Les amateurs connaissent les hypercars de Bugatti sur le bout des doigts : Veyron, Chiron et maintenant Tourbillon, sans compter les versions dérivées comme la Divo ou la W16 Mistral. Mais il existe un autre modèle, plus particulier, qui s'adresse à une clientèle encore plus élitiste : la Baby. La première version a tellement plu que la marque a accouché de sa remplaçante, la bien nommée Baby II. Sous ses airs de Bugatti Type 35, cet objet délicieusement vintage est en réalité une réplique à l'échelle 3:4, destinée aux enfants de millionnaires / milliardaires (rayez la mention inutile). Car oui, en dépit de ses mensurations de jouet, la Bugatti Baby II s'affiche au tarif d'une Volkswagen Golf... Sans compter les options de personnalisation, qui peuvent faire doubler l'addition. Bugatti vient justement de dévoiler une série spéciale de sa Baby II, baptisée Tourbillon Edition. Sans surprise, celle-ci reprend certains des codes stylistiques inaugurés par la récente Tourbillon, dont les deux teintes de carrosserie Aérolithe Clair et Foncé, ainsi que la courbe en forme de "C" qui court de l'arrière de l'habitacle jusqu'à l'avant de la voiture. À bord, la sellerie reprend la couleur de la carrosserie, tandis que la planche de bord est fidèle à celle de la Type 35 originelle. Quelques différences subsistent, notamment au niveau des compteurs. La jauge de carburant laisse place à l'affichage du niveau de la batterie (la Baby II est 100% électrique), tandis que le manomètre d'huile laisse place à une jauge de puissance, comme dans les hypercars de la marque.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Le tarif ? Inconnu à l'heure actuelle ! Mais compte tenu du prix d'une Baby II "standard", cette Tourbillon Edition doit bien valoir aux alentours des 50.000 euros. Bugatti précise que tout est fabriqué à la main, du modelage des plaques d'aluminium à l'application de la peinture. Un travail d'orfèvre, qui aura nécessité plus de 200 heures d'attention...