Le circuit des 24 Heures du Mans vient d'être élu « Monument préféré des Français », dans le cadre de l'émission du même nom. La grande finale opposait 14 monuments répartis sur l'ensemble de l'Hexagone. Le circuit sarthois succède donc au château-fort de Sedan, qui avait été élu l'an dernier. Contrairement à ce que l'on essaie bien souvent de nous faire avaler, la passion de l'automobile n'est pas morte ! La preuve, le légendaire circuit des 24 Heures du Mans, l'un des tracés les plus mythiques au monde, vient d'être élu « Monument préféré des Français ». Chaque année, Stéphane Bern s'applique à promouvoir le patrimoine français, qu'il s'agisse de villages ou encore de châteaux ou de musées. Il présente d'ailleurs une émission télévisée, diffusée sur France 3, dans le cadre de laquelle les Français peuvent voter pour leur monument favori. Cette année, 28 monuments avaient été sélectionnés pour concourir. À l'issue du vote, c'est le circuit des 24 Heures du Mans qui a remporté les suffrages !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : 24 Heures du Mans : 6 anecdotes que vous ne connaissiez peut-être pas !

En 1995, BMW présentait un étonnant concept de roadster sur échasses, baptisé Z18. Cet objet étrange n'a jamais passé le stade de la production en série, toutefois il disposait de spécificités originales, qui ne manquaient pas de charme… Dans les années 90, les designers avaient l'esprit pour le moins fertile. Les marques profitaient de chaque salon pour dévoiler des concept-cars, tous plus originaux et décalés les uns que les autres. En 1995, BMW lève justement le voile sur le Z18, un étonnant concept de roadster surélevé, aux allures étranges de bateau sous certains angles… Le principe était simple : offrir la possibilité de partir en escapade en dehors des sentiers battus, cheveux au vent, sans toutefois espérer faire du pur franchissement. Le Z18 pourrait finalement être considéré comme le véritable ancêtre des Volkswagen T-Roc Cabriolet et Range Rover Evoque Cabriolet. La marque bavaroise aurait-elle été trop en avance sur son temps ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW Z1 : le cabriolet parfait pour se démarquer pendant l'été !

La Lamborghini Revuelto peut-elle tirer partie de ses 1.015 chevaux pour faire une réelle différence avec la McLaren 750S ? Prenons plutôt la question à l'envers. Les 750 chevaux de l'Anglaise seront-ils suffisants pour rivaliser avec l'Italienne ? Dans un contexte d'électrification forcée, les constructeurs n'ont plus vraiment le choix. Chez Lamborghini, on a choisi de satisfaire les hautes instances européennes en remplaçant l'Aventador par la Revuelto. De son côté, McLaren a préféré faire la sourde oreille et a remplacé sa 720S par une 750S tout aussi thermique, mais plus puissante. Mais alors, quel choix était le plus judicieux, sur le plan de l'efficacité et de la performance ? Commençons par la Revuelto. Difficile de succéder à la supercar la plus brutale de son temps. Pourtant, la petite nouvelle de Sant'Agata s'en sort plutôt bien. Elle reprend le V12 6.5 atmosphérique de sa devancière, mais y ajoute 3 moteurs électriques qui portent la puissance combinée à 1.015 chevaux et 1.062 Nm de couple. Tout ça arrive pèle-mêle sur les 4 roues, via une boîte automatique à 8 rapports. Toutefois, l'électrification alourdit également la voiture, qui accuse 1.772 kg tout de même.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO - Lamborghini Revuelto contre Aventador SVJ : le présent n'est pas si mal, après tout

À la fin des années 2000, Lamborghini surprenait tout le monde en présentant un concept-car baptisé Estoque. Celui-ci prenait la forme d'une grande berline 4 portes et devait initialement reprendre le V10 de la Gallardo. D'abord repoussée, son entrée en production n'a finalement jamais eu lieu, la marque préférant se concentrer sur le segment des sportives et des supercars. Mais 14 ans plus tard, l'Estoque pourrait-elle encore faire sens dans la gamme de Lamborghini ? Historiquement, Lamborghini, c'est avant tout des voitures de sport au design anguleux et agressif. La marque italienne a bien tenté de se lancer sur le segment des GT, plus confortables, notamment dans les années 70. Mais ces modèles, comme l'Espada, n'ont pas rencontré un franc succès. À Sant'Agata, on s'est donc concentré sur ce que les clients réclamaient, à savoir des voitures de sport sans compromis. La Countach a lancé les hostilités, suivie de la Diablo dans les années 90. Puis la marque a été rachetée par le groupe Volkswagen, qui a alors étiré la gamme par le bas. La remplaçante de la Diablo, la Murcielago, a eu droit à une petite sœur baptisée Gallardo. À la fin des années 2000, Lamborghini avait même imaginé une grande berline qui devait reprendre le V10 5.2 de 560 chevaux de la « baby Lambo ». Le concept, baptisé Estoque, est présenté en 2008 et fait sensation.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lamborghini Temerario : 920 chevaux électrifiés pour mettre la Ferrari 296 GTB dans le rétro !

Un exemplaire de la Ferrari 365 GT4 BB s'est récemment échangé contre la bagatelle de 359.000 dollars, lors d'une vente aux enchères. Rien de particulièrement choquant à première vue, toutefois ce modèle est l'un des plus rares de l'histoire de la marque italienne. Et l'un des plus originaux… Acheter une Ferrari aux enchères ? Rien de plus facile, tant que le budget suit… Les modèles de la firme de Maranello sont légion, lors des ventes organisées et même sur les plateformes en ligne. Certains modèles spécifiques sont en revanche bien plus rares, et donc plus difficiles à dénicher. Sans compter que lorsque l'un d'eux fait surface, il déchaîne rapidement les enchères. C'est le cas de cette Ferrari 365 GT4 BB de 1974, totalisant seulement 44.000 kilomètres, qui s'est échangée contre la coquette somme de 359.000 dollars, soit un peu plus de 322.000 euros ! La 365 GT4 BB est une vraie bizarrerie signée Pininfarina, produite à seulement 387 exemplaires. Oubliez tout ce que vous croyez savoir. Les Ferrari ont 4 feux ronds à l'arrière ? Perdu, celle-ci en a 6, répartis en 2 paires ! Les Ferrari ont 4 sorties d'échappement ? Raté, la 365 GT4 BB en compte 6, là encore réparties entre les deux côtés du bouclier arrière. Cet exemplaire est habillé de la teinte Rosso Dino sur la partie supérieure de sa carrosserie, tandis que les parties basses sont finies en noir. L'ensemble repose sur des jantes en alliage de 15 pouces à verrouillage central.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Touring Superleggera Veloce12 : la Ferrari 550 Maranello de 2024 !

Croiser des Ferrari à vendre sur les sites d'enchères n'est plus vraiment un événement. De nombreux exemplaires de la marque au cheval cabré changent régulièrement de mains par le biais de plateformes en ligne, mais certains modèles en particulier sont tout de même plus rares. C'est le cas de cette Ferrari 365 GT4 BB, qui a récemment trouvé preneur contre la modique somme de 359.000 dollars. La Ferrari 365 GT4 BB n'est pas une licorne automobile en soi, toutefois elle n'a été produite qu'à 387 exemplaires dans les années 70. Celui-ci date de 1974 et totalise seulement 44.000 kilomètres. Voilà sans doute pourquoi il n'a eu aucun mal à se vendre pour la bagatelle de 359.000 dollars, soit un peu plus de 322.000 euros. La 365 GT4 BB profite d'un design typique des années 70, imaginé par nul autre que Pininfarina. Toutefois, ce modèle avait la particularité d'être habillé d'une livrée bicolore. Cet exemplaire est recouvert de la teinte Rosso Dino sur la partie supérieure de la carrosserie, tandis que les parties basses sont finies en noir. L'intégralité de la peinture a été restaurée en 2022, comme le précise l'annonce sur Bring a Trailer. Notons qu'il s'agit également de l'une des seules Ferrari de l'histoire à être dotée de 6 feux ronds à l'arrière, au lieu de 4. Plus bas, toujours à l'arrière, le bouclier laisse apparaître 6 sorties d'échappement ! À bord, les sièges sont recouverts d'une sellerie Daytona en cuir Crema beige.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} À l'arrière, en position centrale, la voiture embarque un 12 cylindres à plat de 4,4 litres de cylindrée, qui développe 380 chevaux et 432 Nm de couple, envoyés aux roues arrière via une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports. La 365 GT4 BB revendiquait de solides performances, avec un 0 à 100 km/h abattu en seulement 6,2 secondes et une vitesse de pointe de 275 km/h ! Le pédigrée mécanique et le style "maranellien" ont un prix : 322.000 euros...

La Ioniq 5 a rapidement su faire sa place sur le marché des voitures électriques. Pourtant, il ne s'agit pas du seul modèle à batterie du constructeur coréen. La marque commercialise également une version 100% électrique de son petit Kona, mais également une autre voiture badgée Ioniq, la numéro 6. D'ailleurs, que vaut l'entrée de gamme facturée 52.400 euros ? Sur le marché des voitures électriques, les berlines ne sont pas les modèles les plus répandus. Les constructeurs le savent, les clients veulent des SUV. Ils répondent donc à la demande et inondent le marché de véhicules hauts sur roues. Volkswagen ID.4 et ID.5, Audi Q4 e-tron, Peugeot E-3008, Renault Scénic E-Tech… Il y a l'embarras du choix ! Heureusement, certains constructeurs continuent de proposer des berlines, même en électrique. C'est notamment le cas de Hyundai qui, en 2022, dévoilait une voiture au dessin original : la Ioniq 6. Malheureusement, comme on pouvait s'y attendre, les clients se sont rués sur le SUV Ioniq 5. Pourtant, la berline dispose de quelques arguments pour séduire, à commencer par sa dotation en équipements. À commencer par sa motorisation 100% électrique de 229 chevaux, associée à une batterie de 77,4 kWh. L'ensemble permet de parcourir jusqu'à 614 kilomètres en cycle mixte WLTP.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Hyundai Ioniq 5 : une nouvelle finition N Line et des équipements inédits

Être pilote de Formule 1 présente de nombreux avantages, notamment lorsque l'on court pour la Scuderia Ferrari. En plus de se retrouver chaque week-end au volant de l'une des monoplaces les plus performantes du championnat, Charles Leclerc profite aussi de son statut au quotidien, avec sa Ferrari Daytona SP3 qu'il a lui-même configuré. Cela fait déjà plusieurs mois que Charles Leclerc roule avec son nouveau jouet frappé du cheval cabré de Ferrari. On a déjà pu l'apercevoir dans les rues de Monaco au volant d'une rarissime Daytona SP3. L'un des nombreux privilèges de courir pour l'écurie la plus titrée de tous les temps en F1… Justement, la supercar du pilote monégasque va être exposée temporairement au musée Enzo Ferrari de Modène. L'occasion parfaite pour Charles Leclerc de faire le tour du propriétaire et détailler la configuration de sa voiture, en expliquant ses choix au passage. Il avoue d'ailleurs avoir passé 5 ou 6 heures dans les studios du département Tailor Made, pour configurer un exemplaire qui lui ressemble.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ferrari 812 Competizione Aperta : cet exemplaire est passé par les ateliers de Tailor Made !

L'actuelle génération du Dacia Duster est proposée avec 3 motorisations différentes, avec au choix de l'essence, du GPL et de l'hybride. Cette dernière a justement l'avantage de faire baisser les consommations, mais n'est en revanche accessible qu'à partir du deuxième niveau de finition, baptisé Expression et facturé 26.600 euros. Quels sont ses arguments ?

Le 6 octobre prochain, la maison Bonhams Cars organisera une grande vente aux enchères à Knokke-Heist, en Belgique. Parmi les lots qui y seront proposés, se trouve une sublime et rarissime Mercedes-Benz SLR McLaren Stirling Moss, à la configuration originale. La SLR reste à ce jour la dernière voiture à être née de la collaboration entre Mclaren et Mercedes. D'abord produite en coupé, elle a ensuite eu droit à une série spéciale baptisée « 722 » ainsi qu'à une version roadster. En 2009, est présentée la SLR Stirling Moss, une barquette sans toit ni pare-brise faisant écho à la Mercedes 300 SLR qui a permis au pilote britannique éponyme de s'imposer lors de la course mythique des Mille Miglia dans les années 50. Cette SLR Stirling Moss moderne n'a été produite qu'à 75 exemplaires. Chacun est équipé d'un V8 5.4 suralimenté qui développe la bagatelle de 650 chevaux, permettant de passer de 0 à 100 km/h en 3,5 secondes et d'atteindre 350 km/h en vitesse de pointe. De quoi ébouriffer n'importe quel brushing !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} L'exemplaire qui sera proposé aux enchères le 6 octobre prochain est d'autant plus exceptionnel qu'il s'agit du tout dernier à avoir été produit. Contrairement aux autres SLR Stirling Moss, dont la plupart est habillée d'une teinte grise, celle-ci est finie en rouge, avec des étriers de freins peints en doré. L'habitacle dispose quant à lui d'une sellerie en cuir rouge, avec des surpiqures jaunes, qui imitent les sièges de la SLR de course des années 50. La voiture est dans un état de conservation remarquable, et pour cause : elle a passé la majeure partie de sa vie dans un garage, au sein d'une collection. Elle n'affiche que 50 kilomètres au compteur. Ce qui explique en partie qu'elle soit estimée entre 1,5 et 2,5 millions d'euros…

Manhart vient de présenter son dernier ensemble d'améliorations pour la BMW M240i. Baptisé MH2 450, fait désormais office d'entrée de gamme au catalogue du préparateur allemand. Après avoir décliné la M2 à toutes les sauces imaginables, Manhart s'attaque à la BMW M240i et étire donc sa gamme par le bas. Mais ce n'est pas parce qu'il ne s'agit pas du modèle le plus puissant qu'il n'a pas droit au traditionnel kit carrosserie. La MH2 450 se pare de nouveaux boucliers plus enveloppants, des bas de caisses spécifiques, des appendices aérodynamiques positionnés devant les roues arrière, un nouveau diffuseur ainsi qu'un aileron. L'intégralité du kit est conçue en fibre de carbone. L'ensemble repose sur des jantes Manhart Concave One de 20 pouces. Côté technique, la MH2 450 repose sur des suspensions réglables KW, qui abaissent la voiture. Sous le capot, le 6 cylindres en ligne 3.0 biturbo voit sa puissance passer à 450 chevaux et 600 Nm de couple, à comparer aux 374 chevaux et 500 Nm de la M240i de série. La voiture est dotée d'une ligne d'échappement en inox Grail, équipée de clapets actifs. Les tarifs n'ont pas encore été communiqués, toutefois le préparateur précise que de nombreux éléments sont à la carte et peuvent être personnalisés. On espère que c'est le cas pour la décoration extérieure qui, sans faire offense à Manhart, évoque davantage Audi Sport que BMW...{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Le 26 octobre prochain, RM Sotheby's proposera aux enchères cette rarissime Porsche 356 de 1963. Cela ne vous aura pas échappé, il y a quelques travaux de rafraîchissement à prévoir. Mais cela ne la rend pas plus abordable pour autant, puisque cet exemplaire est estimé entre 100.000 et 150.000 dollars ! Comment expliquer cette estimation mirobolante ? Déjà parce qu'il ne s'agit pas d'une Porsche 356 ordinaire. Celle-ci est en réalité une 356 B Carrera 2 2000 GS Cabriolet, produite à seulement 96 exemplaires. Un véritable collector donc, qui a tout de même connu des jours meilleurs. Après avoir été accidenté en 1971, cet exemplaire a passé une cinquantaine d'années entreposé dans un hangar, en Californie. Il faut donc prévoir quelques menus travaux de restauration... En cherchant bien, sous l'épaisse couche de poussière, entre deux écailles de rouille, on distingue encore la teinte Heron Grey de la carrosserie. L'habitacle, en revanche, est bien plus difficile à reconnaître tant il est dévasté. Le vendeur précise qu'il était recouvert de cuir noir, à l'origine. Initialement, cette Porsche 356 B Carrera 2 2000 GS Cabriolet était équipée d'un 4 cylindres 2.0 refroidi par air. Toutefois, l'acheteur devra prévoir un budget supplémentaire pour en racheter un, puisque la voiture est vendue avec un moteur différent, monté après l'accident de 1971. Pour rappel, elle est estimée entre 90.000 et 135.000 euros !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Un exemplaire rarissime de Porsche 356 sera prochainement mis en vente par RM Sotheby's. Celui-ci est estimé entre 100.000 et 150.000 dollars, ce qui, pour une voiture de ce pédigrée, n'est pas excessif. Problème : il s'agit d'une épave, qui nécessite une restauration complète ! Le 26 octobre prochain, la maison RM Sotheby's proposera aux enchères un exemplaire rarissime de Porsche 356. Toutefois, il ne s'agit de n'importe quelle version. Celle-ci est une 356 B Carrera 2 2000 GS Cabriolet de 1963, produite à seulement 96 exemplaires. On ignore combien sont encore en circulation, en revanche, on peut vous dire que cet exemplaire devra passer par la case restauration pour espérer rouler à nouveau ! L'historique de la voiture est détaillé par le vendeur. Cette Porsche 356 a été livrée en Allemagne en 1963, puis a été exportée aux États-Unis où elle a subi un accident en 1971. Un collectionneur l'a ensuite rachetée et entreposé dans un hangar, où elle est restée endormie jusqu'en 2024. Elle pourrait donc bientôt changer à nouveau de propriétaire.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Magnifique, la dernière Porsche 911 Type 993 Turbo vaut une petite fortune !

À quelques jours du Grand-Prix de F1 de Singapour, Mercedes lève le voile sur une toute nouvelle série limitée de son AMG GT. Baptisée Motorsport Collectors Edition, celle-ci s'inspire de la livrée de l'écurie Mercedes F1 Team, avec des évocations du sponsor historique de l'équipe, Petronas. Petronas et Mercedes, c'est une affaire qui roule. La compagnie pétrolière malaisienne est en effet le sponsor titre de l'écurie depuis 2010 et a donc droit à son nom apposé sur la monoplace de la marque à l'étoile. Pour célébrer ce lien fort, Mercedes vient de présenter une nouvelle série spéciale et limitée de son AMG GT 63 Pro 4Matic+, baptisée Motorsport Collectors Edition. Celle-ci se pare d'une teinte Noir Obsidienne métallisée, rehaussée par des motifs étoilés argentés peints à la main, sur toute la partie arrière de la voiture. Des liserés bleus courent sur l'entourage des surfaces vitrées, ainsi que sur les parties basses de la carrosserie et les contours des jantes. Les étriers de freins reprennent la même nuance. La dotation de série comprend également le pack Carbone AMG pour l'extérieur, avec notamment une lame avant, des bas de caisse, un diffuseur et un aileron arrière. Cette série limitée a aussi droit à un toit panoramique, des sièges Performance AMG en cuir et alcantara avec surpiqures bleues, ainsi que le système hi-fi Burmester High-End 3D à 15 haut-parleurs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Pas de changement côté mécanique, cette AMG GT Motorsport Collectors Edition reprend le V8 4.0 biturbo de 612 chevaux et affiche les mêmes performances que la version de série. Mercedes annonce une production limitée à seulement 200 exemplaires, il n'y en aura donc pas pour tout le monde. Reste à assumer la livrée décorative discutable...

Nissan vient de dévoiler la toute nouvelle génération de son iconique Patrol à Abu Dhabi. Le célèbre 4x4 revient donc avec une 7ème mouture, qui se SUVise plus que jamais, délaissant un peu plus son côté baroudeur. Du moins visuellement... Cette 7ème génération débarque avec un look bien plus premium, à tel point qu'à première vue, on pourrait confondre ce nouveau Patrol avec un gros SUV américain. Le long capot se termine par une face avant abrupte, les angles sont formés à l'équerre, l'ensemble est robuste et démesuré. En bref, un engin qui aura certainement toutes les peines du monde à ce vendre chez nous et, ça tombe bien, il ne viendra jamais en France. Nissan le réserve uniquement aux Émirats Arabes Unis, à l'Arabie Saoudite et au Moyen-Orient. On aurait pu s'en douter, puisque le Patrol embarque un V6 3.5 biturbo qui développe 425 chevaux et 700 Nm de couple. Le bloc est associé à une boîte automatique à 9 rapports. Nissan précise qu'un V6 3.8 atmosphérique est également disponible, avec une puissance dégonflée à 316 chevaux "seulement". Le SUV japonais est armé pour affronter des terrains difficiles, grâce à sa transmission intégrale et ses 6 modes de conduite différents. Il se dote également des dernières innovations en matière d'assistances à la conduite.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Si vous aviez encore un doute sur le positionnement premium du Patrol, il suffit de jeter un oeil à bord. L'instrumentation et l'infodivertissement sont regroupés sur une immense dalle de 28,6 pouces, tandis que deux écrans de 12,8 pouces sont installés à l'arrière, pour les passagers. Le véhicule est équipé de série d'un grand toit panoramique, pour profiter du soleil brûlant des pays du golfe...

Maxus vient de dévoiler son eTERRON 9 à l'occasion du Salon de Francfort. Cet immense pick-up chinois sera commercialisé en Europe d'ici la fin de l'année. Maxus, marque chinoise appartenant au géant SAIC, vient de lever le voile sur le eTERRON 9. Ce pick-up XXL 100% électrique adopte un design plus conventionnel que le Tesla Cybertruck, ce qui lui ouvre grand les portes du marché européen ! Le style est tout de même très robuste, avec des lignes carrées et une face avant très impressionnante. À bord, le eTERRON 9 présente très bien et offre en plus une belle modularité, qui permet par exemple de créer un espace de couchage en rabattant les sièges avant. Côté téchnique, l'engin embarque un moteur électrique sur chaque essieu, pour une puissance cumulée de 442 chevaux. La transmission intégrale permet d'atteindre les 100 km/h en seulement 5,8 secondes, tandis que sa grosse batterie de 102 kWh autorise un rayon d'action de 430 kilomètres en cycle mixte WLTP. Son arrivée sur le marché européen est prévue pour la fin de l'année, à un tarif de 72.900 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

À l'occasion du Salon de Hanovre, Maxus a présenté le eTERRON 9, un énorme pick-up 100% électrique. Celui-ci sera commercialisé  d'ici la fin de l'année sur le marché européen. Un joli pied de nez à Tesla, qui n'a pas le droit de vendre son Cybertruck chez nous… L'évocation du nom Maxus ne vous certainement ni chaud ni froid. Et ce n'est pas surprenant, étant donné qu'il s'agit d'un constructeur chinois, relativement anonyme en Europe. La marque, propriété du géant SAIC, entend bien se faire une place sur le Vieux Continent dans les années à venir. L'offensive est déjà en marche, et a même un nom et un visage : eTERRON 9. Derrière ce nom brut de décoffrage, se cache un imposant pick-up taille XXL, de 5,50 m de long, au look américain. Les lignes sont carrées, le capot est immense et la face avant abrupte. La signature lumineuse à LED encadre une calandre pleine, sur laquelle figure le monogramme de la marque chinoise. L'immense benne offre une charge utile de 620 kg, tandis que le frunk (coffre avant) offre un volume de chargement de 236 litres.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Quand Liberty Walk s'attaque à la Tesla Model 3

La semaine dernière, Lotus dévoilait  les premières images furtives d'un tout nouveau concept. Celui-ci vient juste d'être révélé. Baptisée Theory 1, cette hypercar 100% électrique totalise 1.000 chevaux et entend bien replacer l'humain au centre de l'expérience de conduite. Visuellement, ce concept-car mélange habilement des éléments stylistiques déjà vus sur les modèles actuels de Lotus, et des choses complètement inédites. La Theory 1 adopte par exemple une signature lumineuse inspirée de celle de l'Emeya, la grande berline électrique de la marque. Toutefois, le dessin global est bien plus méchant, à tel point qu'on pourrait presque croire que ce concept est signé Lamborghini ! Les lignes sont tendues et saillantes, la face avant plongeante et la poupe massive. Lotus précise qu'un gros travail a été mené au niveau de l'aérodynamique de l'engin. Eh oui, car l'aéro est primordial pour les voitures... 100% électriques ! C'est dans l'air du temps, cette Theory 1 ne boit pas une seule goutte de sans-plomb. L'engin revendique 1.000 chevaux envoyés aux 4 roues, qui permettent de le catapulter de 0 à 100 km/h en "moins de 2,5 secondes" et d'atteindre 320 km/h en vitesse de pointe. Côté pratique, la batterie de 70 kWh offre une autonomie de 402 kilomètres. Reste à voir ce qui survivra de ce concept, pour se retrouver dans les futures productions de Lotus...{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Lotus vient de présenter officiellement un tout nouveau concept-car, baptisé Theory 1. Cette hypercar 2.0 embarque une motorisation 100% électrique de 1.000 chevaux et offre des performances, théoriques certes, stratosphériques, le tout dans un écrin à faire rougir une Lamborghini. La semaine dernière, Lotus a mis fin à son hibernation et a passé une tête par l'entrée de sa caverne, pour voir s'il restait des membres dans sa communauté. Visiblement, il restait encore assez de monde pour pondre un concept, et lui offrir une belle visibilité. Mais trêve de plaisanterie, ne soyons pas mauvaise langue : Lotus fait partie de ces grands noms de l'industrie automobile, capable d'enthousiasmer les foules, même avec un simple concept qui n'a pour ainsi dire aucune chance d'entrer en production. Mais sommes-nous sûrs de ça, justement ? Comme toujours, l'avenir pour ce concept est flou, mais Lotus affirme que l'objectif principal est de donner un avant-goût des futurs modèles de la marque. On devrait donc retrouver certains éléments de design à l'avenir. La Theory 1 adopte pourtant un design inhabituel, pour une Lotus. Les lignes sont tendues et saillantes, tandis que la face avant est raccourcie au maximum et semble plonger sous la route. Clou du spectacle, l'accès à bord se fait via des portières en élytre, dont l'ouverture se fait vers l'arrière !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO - La Lotus Evija X brille à Goodwood en se plantant magistralement dès le départ !

Tesla vient de signer un joli coup de pub pour son pick-up iconique. La marque californienne s'est rendue à Las Vegas avec 16 exemplaires de son Cybertruck et a organisé un spectacle son et lumière, au rythme d'un son des Daft Punk. Une chose est sûre : le pick-up a du groove à revendre ! Elon Musk n'en finit pas de faire parler de Tesla. Pour son dernier coup de pub en date, la marque californienne a réuni 16 exemplaires de son Cybertruck sur un parking désert, à Las Vegas, en pleine nuit. Ils se sont tous adonnés à un spectacle lumineux, grâce à leurs phares matriciels à LED. C'est l'une des mises à jour préférées des fans de Tesla. Il y a quelques années, la marque avait en effet ajouté une fonctionnalité qui permet à ses voitures de pouvoir jouer avec leurs phares à LED, en suivant un rythme musical. Cela avait donné lieu à bon nombre de chorégraphies amusantes, un peu partout à travers le monde.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Tesla Cybertruck : la voiture de police du futur !