Après une année 2024 difficile sur le plan commercial pour le constructeur transalpin, l'année 2025 pourrait être celle de la relance grâce aux nouveautés qu'il va lancer. On fait le point.
L'exercice 2024 est à oublier pour Fiat. Le constructeur a dû faire face à de nombreuses difficultés. Notamment avec la 500 électrique qui ne rencontre pas le succès escompté. Pour se relancer en 2025, la marque espère pouvoir compter sur la Grande Panda électrique et sa déclinaison hybride mais également sur la Fiat 500 hybride qui viendra compléter l'offre électrique. Enfin, un SUV pourrait voir le jour et porter un nom mythique chez le constructeur : Multipla.
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Mercedes nous promet un programme riche en 2025. Probablement l'un des plus chargés des constructeurs européens. On fait le point en images sur ce qui nous attend.
Alors que les ventes sont en baisses, y compris en Europe, Mercedes a un joli panel de nouveautés dans sa besace pour l'année à venir. En particulier sur l'électrique. On attend un concept de van électrique haut de gamme pour une version de série attendue en 2026, un SUV de 1000 chevaux conçu par la division AMG mais également le nouveau CLA qui sera disponible en tout électrique mais également en hybride.
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J-3 avant le départ du Dakar 2025. L'occasion pour Sébastien Loeb et ses équipiers Dacia de livrer les secrets de la voiture qui doivent leur permettre d'aller chercher la victoire cette année : le Dacia Sandrider.
C'est vendredi que les concurrents du Dakar 2025 s'élancent pour disputer l'épreuve. Cela commencera doucement avec un prologue qui permettra de connaître l'ordre de départ de la 1ère étape de samedi. Cette année, l'équipe Dacia arrive en force. Elle compte dans son équipe un quintuple vainqueur de l'épreuve, Nasser Al-Attiyah, une pilote espagnole d'expérience, Cristina Gutierrez, et un nonuple champion du monde des rallyes WRC, Sébastien Loeb. Ce dernier est d'ailleurs la star du Dakar et un favori pour la victoire.
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Les secrets du Dacia Sandrider en vidéo
Après une année agitée chez Cupra, c'est du côté de Seat que le plus des nouveautés est attendu en 2025. On fait le point sur ce que les deux constructeurs espagnols nous réservent.
Chez Seat, nous attendons un second restylage pour l'Arona et l'Ibiza après celui de 2021. Nous attendons des nouvelles d'un quadricycle électrique qui pourrait porter le nom de Seat Minimo.
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Chez Cupra, la Cupra Born devrait avoir le droit à un restylage alors qu'une présentation officielle de la Cupra Raval, la voiture électrique à moins de 25 000€ pourrait avoir lieu en fin d'année.
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Charles Leclerc a passé un cap en 2024 dans sa carrière en Formule 1. S'il n'a pas été en mesure de lutter pour le titre, il s'est montré très complet en remportant plusieurs courses. Mais qu'a-t-il touché en tant que pilote de la Scuderia Ferrari ? La réponse ci-dessous.
Charles Leclerc a perçu 27 millions de dollars en cette saison 2024 de Formule 1. La Scuderia Ferrari lui a versé un salaire fixe de 15 millions de dollars selon le magazine Forbes. À cela, il faut ajouter 12M$ de primes. Des primes qui auraient pu être plus conséquentes si l'écurie italienne était parvenue à décrocher le titre mondial des constructeurs. Il est le 5e pilote le mieux payé de la grille.
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Une saison 2024 pleine
Sur le plan des résultats, Charles Leclerc a réalisé une très belle saison. Il a remporté trois Grand Prix (Monaco, Italie et États-Unis). À cela il faut ajouter trois pole positions et 10 podiums ! Il finit la saison à la 3e place du championnat pilotes derrière Max Verstappen et Lando Norris, avec 356 points.
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Le résumé du GP de Monaco de F1
Depuis 3 ans, Fabian Lurquin est le coéquipier de Sebastien Loeb. Ensemble, ils vont disputer leur 4e Dakar avec l'ambition cette année d'enfin gagner cette mythique épreuve des sports mécaniques.
Après une édition 2024 marquée par des problèmes mécaniques mais une 3e place au classement général, Fabian Lurquin vise la victoire dans ce Dakar 2025 au volant du Dacia Sandrider comme il l'a confié récemment dans les médias. Notamment parce que la fiabilité semble au rendez-vous :
“Nous avons tous les deux un bon sentiment avec cette Dacia, que l'on trouve compétitive et fiable. L'objectif est toujours de gagner”.
Toutefois, une course aussi longue que le Dakar n'est pas un long fleuve tranquille. Il peut se passer beaucoup de choses d'une étape à l'autre. Fabian Lurquin en est conscient et explique qu'avec Sébastien Loeb, ils seront potentiellement amenés à ajuster leurs objectifs en cours de route :
“Parfois, il faut ajuster ses ambitions en cours de route. Le Dakar est une course d'endurance où il peut toujours se passer quelque chose. L'essentiel est de toujours donner le meilleur de soi-même et de tirer parti au maximum des circonstances, quelle que soit sa performance personnelle”.
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Bien commencer dès le prologue
Le premier rendez-vous de ce Dakar pour le duo Sébastien Loeb - Fabian Lurquin sera le prologue vendredi matin. Il s'agit d'une boucle de 79 km autour de Bisha dont 29 km de spécial. Pourquoi c'est important ? Car les 10 premiers pourront choisir l'ordre de départ le lendemain pour les 500 km de la première étape. Or, partir 1er n'est peut-être pas la bonne stratégie à adopter cette année. Du moins selon Fabian Lurquin :
“À partir de cette édition, 45 % des étapes seront séparées entre motos et voitures, ce qui rend la stratégie encore plus importante. Celui qui part en premier doit tracer la route pour les concurrents, ce qui le désavantage. Sportivement, cela devient plus difficile car il y a plus de stratégie à prendre en compte et la navigation sera encore plus complexe”.
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Crédit photo : A.S.O./F.Le Floc'h/DPPI.
Après des années 2023 et 2024 plutôt calmes, DS revient sur le devant de la scène avec plusieurs nouveautés attendues pour le courant de cette année 2025. On fait le point.
L'année 2025 sera plus agitée que les précédentes chez DS. Le constructeur premium français du groupe Stellantis a annoncé la DS N°8 électrique courant décembre. Elle devrait arriver sur nos routes dans la première moitié de l'année. La DS 4 électrique devrait être annoncée sous peu. Elle est déjà listée parmi les modèles éligibles au bonus écologique et DS a fait immatriculé quelques dizaines d'exemplaires, probablement pour des tests grandeurs natures. Une annonce pourrait avoir lieu lors du salon de Bruxelles en janvier.
La dernière nouveauté DS de cette année 2025 pourrait porter le nom de DS N°7. Un véhicule électrique mais pas que si l'on se base sur le changement stratégique récent de Stellantis.
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Direction le Maroc pour notre essai du Porsche Macan électrique dans sa version Propulsion, la moins chère de la gamme. Mais avant de le découvrir plus en détail, découvrez nos photos du SUV allemand.
C'est sous le soleil marocain que notre journaliste essayeur a essayé la version Propulsion du Porsche Macan électrique. Confort à bord, autonomie, sensation de conduite... nous reviendrons sur tout cela dans notre essai complet. En attendant, nous vous proposons de découvrir cette version en détail au travers de nos photos.
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L'avis de notre journaliste-essayeur sur le Porsche Macan électrique Propulsion
"Venu compléter la gamme avec une proposition plus accessible grâce à ses seules roues arrière motrices, le Porsche Macan Electric “tout court” a tout pour plaire. Un SUV confortable et parfaitement adapté au quotidien, capable de nous plaquer un grand sourire quand il s'agit d'exploiter ses qualités dynamiques. Porsche oblige, accessible ne veut pas dire low-cost, et il sera difficile de résister aux nombreuses options disponibles. Son seul “défaut” ? Un poids élevé qui se ressent parfois sur les freinages suivis de relances, naturellement. Les amateurs de propulsion ne seront toutefois pas déçus tant l'ADN thermique du constructeur est parfaitement retranscrit dans les performances électriques. N'en déplaise aux puristes ! Et puis, côté tarifs, les habitués du premium allemand pourront même sauter le pas du luxe, sans nécessairement payer beaucoup plus cher grâce à cette “entrée de gamme” à 82 959€ .Finalement, le moins cher serait-il le meilleur ?"
Si Max Verstappen vient de remporter un 4e titre de champion du monde F1, il s'est montré moins souverain que les deux saisons précédentes. Dans une interview à un quotidien néerlandais, il a pointé les manques de sa monoplace à gommer pour gagner en 2025.
La saison 2024 de Formule 1 a été bien plus ouverte qu'attendue. Loin de la domination de Red Bull en 2023 avec 21 victoires en 22 Grand Prix, l'écurie autrichienne a souffert en 2024. Elle a du céder son titre de champion du monde des constructeurs à McLaren et ne doit le titre pilotes qu'au talent de son pilote néerlandais avec 9 victoires en 24 GP. Et pour 2025, la bataille s'annonce très ouverte avec pas moins de quatre écuries potentiellement à la lutte chaque week-end pour la victoire : McLaren, la Scuderia Ferrari, Mercedes et Red Bull. Du moins si cette dernière rectifie le tir par rapport à la monoplace 2024.
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Max Verstappen liste ce qu'il faut modifier
Si Sébastien Loeb vise un premier succès sur l'épreuve reine du rallye-raid, son coéquipier chez Dacia, Nasser Al-Attiyah vise un record en plus de la victoire finale dans un peu plus de deux semaines. Explications.
L'équipe Dacia arrive en favorite avec son véhicule, le Dacia Sandrider, et son équipe de rêve constituée de Sébastien Loeb, nonuple champion du monde des rallyes WRC, et Nasser Al-Attiyah, cinq fois vainqueur de l'épreuve. En plus de viser la victoire le 17 janvier prochain, le pilote qatari s'attaque cette année à un record co-détenu par Ari Vatanan et Stéphane Peterhansel.
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Dépasser les 50 victoires d'étapes
L'ancien pilote finlandais et “Monsieur Dakar” possèdent à leur palmarès 50 victoires d'étapes sur le Dakar. Nasser Al-Attiyah en a déjà signé 47. Avec 12 étapes cette année, le pilote Dacia a de bonnes chances d'égaliser ce record voire de largement le dépasser. Ari Vatanan a signé sa dernière victoire en 2004 alors que Stéphane Peterhansel, dans la catégorie auto, a remporté sa dernière étape lors du Dakar 2024 au volant d'une Audi. La même voiture que le tenant du titre Carlos Sainz.
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Un record pour Sébastien Loeb
Malgré une saison transparente au niveau des résultats, Fernando Alonso jouit encore d'un confortable salaire chez Aston Martin. Il est non seulement dans le Top 10 des rémunérations les plus élevées en 2024 mais il devance des pilotes plus performants que lui.
En 2024, Fernando Alonso aurait perçu au total 27,5 millions de dollars. Des chiffres dévoilés par le magazine Forbes. Il se classe en 4e position des pilotes les mieux payés sur l'année écoulée. Il devance par exemple Charles Leclerc, George Russell ou encore Oscar Piastri. Des pilotes qui ont gagné des courses cette année ou qui, a minima, sont montés sur le podium.
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Le découpage de son salaire 2024
Sa rémunération se découpe en deux parties : la première concerne son salaire fixe. Il est évalué à 25 millions de dollars par an. La seconde partie concerne les primes. Fernando Alonso aurait touché 2,5M$. Il faut dire que son année 2024 a été plutôt médiocre par rapport à 2023. Sa meilleure position en course cette année est une 5e place acquise en Arabie saoudite alors qu'il avait signé 7 podiums en 2023 pour sa première année chez Aston Martin. Il peut se consoler en se disant qu'il est toujours largement plus performant que son coéquipier, Lance Stroll. Sur le pur plan comptable, Fernando Alonso a inscrit 70 points en 2024 contre 24 pour le pilote canadien.
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Sous la menace d'Alpine en 2025
Qu'en sera-t-il en 2025 ? Difficile à dire, Aston Martin recrute des ingénieurs de pointe pour préparer la saison 2026 et le nouveau règlement. La recrue la plus marquante étant la signature d'Adrian Newey en provenance de Red Bull. L'écurie vient également d'inaugurer une usine flambant neuve et ultra-moderne. Sauf qu'en face, la concurrence s'organise. Notamment Alpine qui a vu revenir son ancien patron, Flavio Briatore, et qui vise la 5e place au classement constructeurs en 2025 :
“L'année dernière, on a termine 6e. C'est une excellente nouvelle car cela nous rapporte beaucoup plus d'argent qu'une 9e place. La saison prochaine, on doit terminer 5e au classement constructeurs devant Aston Martin”.
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Crédit photo : Getty Images / Red Bull Pool Content.
Après une première saison convaincante en Formule 1, Oscar Piastri a confirmé tout le bien que l'on pensait de lui chez McLaren. Le pilote australien a remporté ses premières courses et a décroché un joli pactole sur le plan financier. On fait le point sur ce qu'aurait touché le protégé de Mark Webber.
Après avoir signé deux podiums en 2023, Oscar Piastri a confirmé en 2024. Au volant de sa McLaren, l'ancien pilote de l'académie Alpine s'est offert deux victoires en Grand Prix (Hongrie et Azerbaïdjan) et six podiums. Il a également un artisan majeur du titre constructeurs décroché par McLaren. Un petit exploit quand on sait que l'écurie britannique n'avait plus été championne du monde des constructeurs depuis 1998 ! Sur un plan purement comptable, il a terminé quatrième du classement pilotes derrière Max Verstappen, Lando Norris et Charles Leclerc.
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Des primes très importantes
Grâce à cette très belle saison, Oscar Piastri a fait bondir sa rémunération. Selon le magazine Forbes, son salaire fixe est de 5 millions de dollars par an. Or, il aurait touché 22 millions cette année. Le calcul est simple : entre le titre constructeurs, ses deux victoires et ses podiums, Piastri a empoché 17 millions de dollars de primes ! Au final, il touche plus que Pierre Gasly, Carlos Sainz ou Sergio Perez !
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À la conquête du titre mondial en 2025 ?
Après cette très belle saison 2024, Oscar Piastri sait que sa McLaren sera capable en 2025 d'aller chercher des victoires. De quoi aiguiser son appétit et revendiquer une place de leader dans l'équipe aux dépens de Lando Norris ? Pas certain. D'abord, il faudra que la voiture réponde présente tout de suite et pas au bout de 4 ou 5 courses comme cette année. Ensuite, Norris est un enfant de McLaren contrairement à Piastri. Si l'Australien veut devenir un leader, il devra le prouver sur la piste. Et puis il faudra compter sur une concurrence féroce pour la victoire avec Red Bull, la Scuderia Ferrari et Mercedes.
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