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Reçu — 8 novembre 2025
Reçu — 7 novembre 2025

« Superbolt » : quel était cet éclair explosif qui a frappé Toulouse jeudi 6 novembre ?

7 novembre 2025 à 10:08

Un puissant éclair s'est produit à Toulouse ce jeudi 6 novembre 2025. Le phénomène, qui a surpris les habitants de la région, entre dans une catégorie bien précise, et rare, d'impact de foudre. C'est ce qu'on appelle un « superbolt ».

Reçu — 2 novembre 2025

The Antarctic “Alien Worm” Is Real — Just Not Quite the Monster the Internet Imagined

1 novembre 2025 à 15:05
When photos of a strange worm began circulating on Facebook, people assumed it was another deep-sea hoax. But the creature is real. Meet Eulagisca gigantea, the Antarctic scale worm — an animal that looks like it crawled out of a Ridley Scott storyboard.A Worm That Looks Like It Came From SpaceThe Antarctic scale worm was first described back in 1939 by zoologist Charles Monro, but it rarely makes headlines outside […]

Reçu — 1 novembre 2025

Découverte choquante d'un randonneur dans un parc national protégé : « Des actes irresponsables et alarmants »

Après sa visite dans les parcs nationaux de Kings Canyon et de Sequoia, en Californie, un randonneur a posté les images de comportements choquants de la part de certains touristes, suscitant la consternation. Vandalisme, irresponsabilité, négligence… Comment inciter les promeneurs au respect et...

Reçu — 26 octobre 2025
Reçu — 17 octobre 2025

Un Cavalier de l’Apocalypse espère que personne ne découvrira que son cheval s’appelle “Rose des Prés”

17 octobre 2025 à 12:00

C’est vêtu d’un capuchon couleur rouille, d’une armure couverte de miasmes et d’une nuée de mouches que celui que l’on appelle “La grande Pestilence”, “le bubon de Satan” ou encore “Le 3ème Cavalier” a accepté de se confier sur son parcours à visage découvert. À peine entré dans nos locaux, la quasi-totalité de nos journalistes s’effondrent sur la moquette alors que la célèbre entité décide de garer sa monture entre le baby-foot et la fontaine à eau. “Tout doux Rose des Prés” l’entend-on prononcer à voix basse, avant de se retourner d’un coup sec dans notre direction. “Vous avez entendu ? Je vous préviens, ça ne sort pas d’ici !” s’exclame-t-il visiblement stressé avant de vomir 80 000 sauterelles en direction de la compta.

Quand on lui demande pourquoi tant de mystère sur le nom de sa monture, Pestilence se gratte la joue, visiblement gêné. “Désolé mais j’ai une image à tenir. Vous imaginez si on découvrait que mon cheval s’appelle “Rose des prés” ? Comment voudriez-vous que je reste crédible auprès de mes collègues “Guerre”, “Mort” et “Famine”, ou même le reste du monde ? ” explique-t-il. “La dernière fois que j’ai ramené un Yop à la fraise et des noix de cajou pour mon en-cas du midi, ils m’ont traité de lopette. Je ne veux pas revivre ça” poursuit-il, avant de sortir un crayon Titi de sa poche et d’écrire “Ne pas oublier de racheter des calissons“ dans son agenda Diddle. 

Après plus de deux heures à échanger sur sa vie et sa longue carrière, Pestilence nous montre un vieil album photo qu’il sort d’une sacoche en peau humaine. “Tout le monde croit que je n’ai qu’une seule monture mais en fait j’en ai quatre !” nous confie-t-il avec fierté en nous montrant la photo de 3 Poneys Shetland répondant aux noms de “Frimousse”, “Cannelle” et “Bilboquet”. Une confidence unique qu’il nous fait promettre de ne dévoiler à personne avant de repartir à cheval sur “Rose des Prés” pour aller se prendre un latte spéculoos au café “Le p’tit bout d’chou”.

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Reçu — 13 octobre 2025

Quand avoir mal est une question de priorité...

Par :Korben
13 octobre 2025 à 09:21

Est-ce que vous êtes déjà demandé pourquoi les soldats blessés au combat ne réalisent pas immédiatement qu’ils pissent le sang ? Ou pourquoi votre mal de dos disparaît mystérieusement quand vous êtes en retard pour un truc important ?

Hé bien des chercheurs de l’ Université de Pennsylvanie viennent de trouver l’interrupteur neuronal responsable et c’est assez dingue comme découverte, vous allez voir !

L’équipe de J. Nicholas Betley a identifié un groupe de neurones dans le tronc cérébral qui agissent comme un bouton “Ne pas déranger” pour la douleur chronique. Ces neurones, qu’on appelle Y1R, se trouvent dans une zone appelée le noyau parabrachial latéral . Un nom compliqué pour un truc très basic… en gros, votre cerveau a un système de priorisation brutal : La survie d’abord, le confort après !

Quand vous avez faim, soif ou peur, votre cerveau libère un neuropeptide appelé NPY. Ce neuropeptide vient se fixer sur les récepteurs Y1 de ces neurones du tronc cérébral, et quand ça arrive, les signaux de douleur chronique sont réduits. Pas coupés complètement, mais clairement atténués.

Votre cerveau vous dit en gros : “Écoute bonhomme, je sais que tu as mal au dos, mais là on a un problème plus urgent à gérer”.

L’équipe a utilisé pour cela l’imagerie calcique pour observer l’activité neuronale en temps réel chez des souris. Et ils ont constaté que les neurones Y1R ne réagissaient pas aux douleurs courtes et aiguës. Par contre, ils restaient actifs en continu pendant les douleurs prolongées. C’est ce qu’on appelle une activité tonique, et quand les chercheurs ont bloqué artificiellement l’activité de ces neurones, les souris ont vu leur douleur chronique diminuer.

Mais elles réagissaient toujours normalement aux dangers immédiats comme toucher une surface chaude par exemple. Le système de douleur aiguë fonctionnait toujours, mais la douleur persistante était très réduite.

Ça pourrait expliquer par exemple pourquoi vous oubliez votre migraine quand vous êtes concentré sur un truc urgent. Ou pourquoi l’adrénaline d’une situation stressante peut vous faire oublier une blessure. C’est votre cerveau qui active ce circuit sans vous demander votre avis.

Il priorise selon ses propres critères et ses critères datent de l’époque où on chassait le mammouth ^^.

Betley dit que cette découverte ouvre une nouvelle voie de traitement, car si on arrive à mesurer l’activité de ces neurones Y1R, on pourrait avoir un biomarqueur fiable de la douleur chronique. C’est un truc qui manque cruellement aux médecins et aux labos pharma car aujourd’hui, la douleur chronique se mesure surtout par ce que vous racontez. C’est subjectif, c’est très difficile à quantifier et donc très difficile à traiter.

Là, ceux qui en font des caisses en hurlant à la mort alors qu’ils n’ont presque rien devraient vite se faire repérer (coucou les footballeurs)… alors que ceux qui douillent vraiment, mais qui serrent les dents seront peut-être mieux pris en charge.

Avec ce biomarqueur neuronal, on pourrait donc objectiver la chose et développer des médicaments qui ciblent spécifiquement ces neurones, ou même explorer des thérapies comportementales qui activent naturellement ce circuit.

Par exemple, l’idée que la faim pourrait techniquement réduire la douleur chronique est plutôt drôle… J’image déjà sur Doctissimo les articles à la con : “Jeûnez pour ne plus avoir mal au dos !” alors qu’évidemment ce n’est pas si simple. Mais bon, ça montre à quel point notre cerveau fonctionne selon des priorités qu’on ne contrôle pas consciemment.

Betley et son équipe continuent évidemment leurs recherches, car ils veulent comprendre plus précisément comment ces neurones interagissent avec les autres circuits cérébraux afin de pouvoir à terme les activer de façon ciblée sans passer par la case “avoir faim, soif ou flipper sa race”.

Y’a aussi la question des traitements médicamenteux, car comme le neuropeptide Y existe déjà, on pourrait théoriquement développer des agonistes du récepteur Y1 qui imitent son action. Les premiers tests cliniques explorent des voies intranasal et intrathecal où des molécules viendraient se fixer sur ces récepteurs pour réduire la douleur chronique sans toucher à la douleur aiguë.

Ça va nous changer du doliprane ^^ !

Bref, les prochaines étapes vont être intéressantes notamment, le passage de la souris à l’humain, qui est toujours un défi.

Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, l’article complet est disponible sur Nature .

Source

Reçu — 9 octobre 2025
Reçu — 11 septembre 2025

Le pigeon qui prenait le RER sans billet depuis des mois finalement interpellé par la RATP

11 septembre 2025 à 12:15

C’est la fin d’un calvaire de plus de 8 mois pour la RATP. Jérémy Gravaut, agent de sécurité ferroviaire, s’est présenté ce matin à la presse tout sourire, une cage à la main contenant un pigeon ramier visiblement très amoché. “Ça y est ! Nous l’avons eu ! Après des mois de traque, ce salopard a enfin été interpellé !” exulte-t-il. Une arrestation musclée et millimétrée préparée depuis des semaines par Jérémy et ses équipes. “J’avais mis 28 de mes hommes sur le coup. Une surveillance approfondie nous a montré que Wilfried était monté en gare de Fontenay-aux-Roses pour se diriger vers Mitry-Clay. À peine les portes du wagon ouvertes, le bougre a immédiatement tenté de se faire la malle. Heureusement, après l’avoir tous tazé d’un coup sec, on a réussi à le maîtriser en lui faisant une clé d’aile puis à le jeter directement dans cette cage” raconte-t-il haletant sous les applaudissements nourris des journalistes. 

Avec plus de 980 trajets effectués gratuitement depuis le 12 janvier dernier, c’est un manque à gagner de près de 2500 euros que la RATP affichait à son compteur. Une bonne nouvelle donc pour le ministère des Transports mais également pour tous les usagers de la ligne B. “C’est vrai que c’est rassurant. Je le voyais régulièrement zoner entre les sièges, à picorer des miettes de chips par terre ou des mégots de clope. Je me sens nettement plus à l’aise maintenant qu’il n’est plus là” commente Margaux, une usagère. Même son de cloche du côté de Valentin, 33 ans. “Il passait sous les tourniquets, il sautait par-dessus les portiques, il parlait à plein volume, cette ordure ne respectait rien. J’espère qu’il paiera une amende record et que ça le fera réfléchir !”

Un coup de filet magistral qui laisse la SNCF rêveuse en laissant entrevoir l’espoir d’enfin réussir à arrêter Loreleï, une mouche voyageant gratuitement depuis 2020 perchée sur le pare-brise du TGV Paris-Lyon. 

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Reçu — 3 septembre 2025
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