Vue normale

Reçu hier — 11 novembre 2025

Ils transforment l’architecture et le monde : Aziza Chaouni réinvente la ville comme un écosystème vivant

Parce qu’ils et elles ne se contentent pas simplement de construire, certains architectes pensent leurs projets en prenant en compte un monde en mutation. À travers cette nouvelle chronique, nous sommes allés enquêter sur ces « faiseurs d’avenir », des bâtisseurs engagés qui allient innovation...

Reçu — 10 novembre 2025

Concrètement, que va-t-il se passer si le réchauffement dépasse les +1,5 °C et les +2 °C ?

Nous nous dirigeons vers une « grave escalade des risques et des dommages climatiques », annonce le Programme des Nations unies pour l’environnement dans un nouveau rapport publié le 4 novembre. Derrière ce discours alarmant, quelle est la réalité de ce qui nous attend avec un niveau de...

Reçu — 7 novembre 2025

États-Unis : les joyaux naturels du pays sont laissés à l’abandon par le gouvernement !

Parmi les multiples conséquences du shutdown aux États-Unis, il y a le cas des parcs nationaux. Ces espaces protégés sont extrêmement prisés par les touristes en plus d'être des réserves naturelles pour la faune et la flore. Mais après plus d'un mois de shutdown, les conséquences risquent d'être...

Reçu — 6 novembre 2025

Qui est le Curupira et pourquoi le Brésil l’a choisi comme mascotte de la COP30 ?

Cheveux de feu, regard perçant et pieds tournés vers l’arrière : cette étrange créature rôde depuis des siècles dans les forêts d’Amazonie. Aujourd’hui, elle s’invite sur la scène mondiale. À quelques jours de la COP30, le Brésil a choisi le Curupira comme mascotte officielle de la conférence....

Reçu — 4 novembre 2025

La Méditerranée contient de moins en moins de virus, et ce n'est pas une bonne nouvelle !

Plus la mer Méditerranée se réchauffe et moins il y a de virus dans l'eau, ce sont les conclusions d'une équipe scientifique espagnole qui a effectué des relevés sur les 20 dernières années. Et contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce n'est pas une bonne nouvelle…

Reçu — 2 novembre 2025

Photo de la semaine : une apparition fantomatique au cœur du désert australien

Une fois n’est heureusement pas coutume, la photo de cette semaine a, en quelque sorte, été imposée par le calendrier. Ça n’aura échappé à personne, en effet, vendredi, nous étions tous encouragés à fêter Halloween. Et comme il est désormais devenu de tradition, plusieurs agences ont publié des...

Reçu — 1 novembre 2025

Découverte choquante d'un randonneur dans un parc national protégé : « Des actes irresponsables et alarmants »

Après sa visite dans les parcs nationaux de Kings Canyon et de Sequoia, en Californie, un randonneur a posté les images de comportements choquants de la part de certains touristes, suscitant la consternation. Vandalisme, irresponsabilité, négligence… Comment inciter les promeneurs au respect et...

Reçu — 27 octobre 2025
Reçu — 12 septembre 2025

Lionceaux euthanasiés, babouins abattus : dans les zoos, le tabou des mises à mort d’animaux en bonne santé – Libération

12 septembre 2025 à 10:09
Les zoos abattent des animaux en parfaite santé, et la raison n'est pas seulement le manque de place, on parle aussi de diversité génétique, etc. Évidemment, la pratique est tabou, et pas du tout vendeuse auprès du grand public.

Il y a quand même cette phrase qui m'a faite rigoler :
> Il a découvert l’abattage de gestion au début de sa carrière. A l’époque, son parc tuait des antilopes en parfaite santé pour nourrir les lions. Un choc.

Ben, tu crois que ça se passe comment dans la nature ? Ils vont à la supérette acheter leur salade bio ?

Et pour celleux qui pensent, de manière tout à fait logique "il suffit de réintroduire les animaux dans leur milieu naturel", on en est malheureusement plus là :
> Une question légitime, reconnaît François Huyghe. Mais ce n’est souvent pas envisageable. A cause de l’état déplorable de notre planète lié aux activités humaines, certaines espèces ne peuvent plus survivre en milieu naturel, notamment en zone intertropicale», déroule le spécialiste.

Bienvenue dans Blade runner.

A noter que la sensibilité diffère selon les pays (spoiler : la France est un pays con) :
> Ainsi, le zoo de Copenhague assume allègrement la pratique du culling. Elle est même mise en scène : le cadavre de Marius [un girafon] a fait l’objet d’une autopsie en public. En 2025, le même établissement a tué un zèbre, avant de le donner aux lions sous le regard des spectateurs. Pour eux, rien de choquant : il s’agit de pédagogie. Même légèreté en Suisse, où un parc présente du gibier que l’on peut ensuite manger au restaurant attenant. Des pratiques impensables en France. «Dans l’Hexagone, les soigneurs n’ont pas le droit de traverser le parc en journée avec un plateau de viande, pour ne pas heurter les visiteurs», pointe Richard.

[...]

> Une sensibilité qui rejoint un tabou plus large : la mort. «Les gens viennent dans les zoos pour rêver, pour s’émerveiller devant les beautés de la nature. Ce sont des moments joyeux en famille. Ils ne veulent pas qu’on leur parle de la mort de telle bestiole», analyse Jean-Marc Charpentier. Pourtant en milieu naturel, la mort d’une proie est souvent insoutenable. Tripes par terre, giclées de sang, agonie… Une réalité à laquelle la plupart des Occidentaux ne sont plus confrontés et qu’ils ne veulent pas voir.

Bref, l'homme ne veut pas voir la mort, et s'y ajoute (je n'ai pas recopié tout l'article non plus) le problème de la "mignonitude à géométrie variable" : un bébé tigre ou un girafon, c'est triste. Un têtard, on s'en branle. Ils sont pourtant dans les statistiques.
(Permalink)

Lionceaux euthanasiés, babouins abattus : dans les zoos, le tabou des mises à mort d’animaux en bonne santé – Libération

12 septembre 2025 à 10:09
Les zoos abattent des animaux en parfaite santé, et la raison n'est pas seulement le manque de place, on parle aussi de diversité génétique, etc. Évidemment, la pratique est tabou, et pas du tout vendeuse auprès du grand public.

Il y a quand même cette phrase qui m'a faite rigoler :
> Il a découvert l’abattage de gestion au début de sa carrière. A l’époque, son parc tuait des antilopes en parfaite santé pour nourrir les lions. Un choc.

Ben, tu crois que ça se passe comment dans la nature ? Ils vont à la supérette acheter leur salade bio ?

Et pour celleux qui pensent, de manière tout à fait logique "il suffit de réintroduire les animaux dans leur milieu naturel", on en est malheureusement plus là :
> Une question légitime, reconnaît François Huyghe. Mais ce n’est souvent pas envisageable. A cause de l’état déplorable de notre planète lié aux activités humaines, certaines espèces ne peuvent plus survivre en milieu naturel, notamment en zone intertropicale», déroule le spécialiste.

Bienvenue dans Blade runner.

A noter que la sensibilité diffère selon les pays (spoiler : la France est un pays con) :
> Ainsi, le zoo de Copenhague assume allègrement la pratique du culling. Elle est même mise en scène : le cadavre de Marius [un girafon] a fait l’objet d’une autopsie en public. En 2025, le même établissement a tué un zèbre, avant de le donner aux lions sous le regard des spectateurs. Pour eux, rien de choquant : il s’agit de pédagogie. Même légèreté en Suisse, où un parc présente du gibier que l’on peut ensuite manger au restaurant attenant. Des pratiques impensables en France. «Dans l’Hexagone, les soigneurs n’ont pas le droit de traverser le parc en journée avec un plateau de viande, pour ne pas heurter les visiteurs», pointe Richard.

[...]

> Une sensibilité qui rejoint un tabou plus large : la mort. «Les gens viennent dans les zoos pour rêver, pour s’émerveiller devant les beautés de la nature. Ce sont des moments joyeux en famille. Ils ne veulent pas qu’on leur parle de la mort de telle bestiole», analyse Jean-Marc Charpentier. Pourtant en milieu naturel, la mort d’une proie est souvent insoutenable. Tripes par terre, giclées de sang, agonie… Une réalité à laquelle la plupart des Occidentaux ne sont plus confrontés et qu’ils ne veulent pas voir.

Bref, l'homme ne veut pas voir la mort, et s'y ajoute (je n'ai pas recopié tout l'article non plus) le problème de la "mignonitude à géométrie variable" : un bébé tigre ou un girafon, c'est triste. Un têtard, on s'en branle. Ils sont pourtant dans les statistiques.
(Permalink)
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