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Reçu hier — 1 décembre 2025

Les sénateurs LR proposent d’interdire l’huile d’olive et le couscous aux moins de 16 ans

1 décembre 2025 à 13:00

La semoule, terreau fertile de l’entrisme islamiste ? C’est en tout cas ce que suggère un rapport de 107 pages remis par des sénateurs du groupe LR. Pour y remédier, les élus proposent toute une panoplie de mesures favorisant une alimentation laïque et républicaine pour les mineurs de moins de 16 ans. Le projet, sobrement baptisé “Cohésion nationale et merguez”, prévoit que tout mineur surpris avec de la harissa ou une saucisse pimentée soit fiché S.

Soupçonnés de participer à la montée du terrorisme, les tajines sont également pointés du doigt par les sénateurs. “Nous préconisons désormais de remplacer le traditionnel plat en terre cuite par une cocotte en fonte ou un moule à gaufres, et de mettre des pommes de terre et des lardons à la place du poulet et des olives”, commente le sénateur à l’initiative du rapport. 

Accusé d’islamophobie par les élus socialistes, l’élu membre des Républicains a tenu à dissiper tout malentendu. “Je ne suis absolument pas raciste, d’ailleurs je reviens tout juste d’une semaine formidable à Marrakech”, a-t-il précisé aux journalistes, avant de rappeler que son chauffeur était Tunisien et que son plat préféré était le couscous.

La publication du rapport a provoqué un large tollé au sein de l’opposition, en particulier chez les sénateurs RN qui dénoncent “un plagiat abject de la part des Républicains”.

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Reçu — 30 octobre 2025

Un restaurateur se désole que les Français n’aient plus les moyens de s’offrir un brunch à 45€

30 octobre 2025 à 15:00

Xavier est désabusé : ce dimanche encore, la salle de son restaurant situé en plein cœur de Montmartre est à moitié vide. Un crève-cœur pour ce restaurateur qui cultive l’art du brunch de père en fils depuis 2017. “À l’époque, tout était nouveau, les gens faisaient la queue une heure pour pouvoir déguster une tranche de pain de seigle tartinée de guacamole et deux œufs au plat. Maintenant c’est fini, à cause de l’inflation”, regrette-t-il.

Pour s’adapter, Xavier a tenté de proposer une formule “solidaire” à 38 € : une proposition qui n’a pas rencontré son public, malgré toute sa bonne volonté. “Le brunch incluait un cappuccino, une tranche de banana bread et de l’eau à volonté, mais visiblement les gens ne souhaitent pas soutenir les petits commerces de proximité”, souffle-t-il, un brin amer.

Avant de mettre la clé sous la porte, le restaurateur continue de chercher des solutions pour attirer à nouveau les amateurs de brunch. Les clients peuvent désormais payer leur repas en trois fois sans frais, ou composer leur menu selon leur budget. “Le skyr est à 9 euros. Avec 3 myrtilles, on passe à 12 euros, 15 euros avec du muesli et si le client veut être servi dans un bol, c’est 20 euros”, explique le restaurateur, heureux de proposer des solutions pour les petits budgets.

En attendant des jours meilleurs, Xavier ne désespère pas mais ne cache pas sa colère à l’encontre des boulangers, “qui essaient de tuer la culture du brunch en vendant des sandwichs jambon-beurre à moins de 9 euros”.

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Reçu — 23 octobre 2025

Standard & Poor’s retire les A de l’andouillette AAAAA après l’avoir goûtée

23 octobre 2025 à 14:00

Édouard Lognon, chef du restaurant La Belle Andouillette affirme avoir senti un malaise dès l’entrée des responsables de Standard & Poor’s dans son restaurant.  “Des personnes en costume étriqué qui se nourrissent de tofu à l’ail des ours et de quinoa, ça n’annonçait rien de bon” confie le chef étoilé.

Selon plusieurs témoins, le verdict est tombé au bout d’une seule bouchée. “Ça sent quand même beaucoup la merde ?” aurait lâché l’un des analystes, surpris, avant qu’un collègue ne confirme : “Oui, je crois que c’est le concept”. Standard & Poor’s a alors immédiatement revu la notation du célèbre label AAAAA, désormais réduit à un simple AA, avec perspective “très négative après digestion”. Alors qu’ils quittaient le restaurant, le chef, furieux, leur aurait crié “mais c’est normal aussi, vous n’avez pas pris la moutarde à l’ancienne”.

Face au drame, la profession se mobilise. Les défenseurs de l’andouillette annoncent une grande marche sur Paris, tandis que Standard & Poor’s va désormais s’intéresser à d’autres produits régionaux, comme la tête de veau sauce gribiche ou le gratin de blettes à la béchamel.

Crédits : Thierry Perrin via GettyImages.

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