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Quand on développe et distribue des applications open-source auto-hébergées, il y a une question très simple à laquelle il est presque impossible de répondre :
Combien d’instances actives de mon application sont réellement utilisées ?
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C’est exactement le problème que j’ai rencontré avec Ackify, une application open-source de preuve de lecture de documents (politiques internes, procédures, formations, etc.), déployée en self-hosted par ses utilisateurs - sans que j'ai le moindre contrôle dessus.
Pas de SaaS, pas de compte centralisé, pas de tracking utilisateur.
Résultat : zéro visibilité.
👉 Combien d’instances Ackify tournent vraiment ?
👉 Quelles versions sont encore actives ?
👉 Quelles fonctionnalités sont utilisées (ou pas) ?
C’est pour répondre à ce besoin très concret que j’ai créé SHM – Self-Hosted Metrics.
SHM est un serveur de télémétrie privacy-first, conçu spécifiquement pour les applications self-hosted open-source.
L’idée est simple :
Juste ce qu’il faut pour comprendre l’usage réel d’un logiciel déployé “dans la nature”.
Contrairement à beaucoup d’outils existants, SHM n’impose aucun schéma.
Tu envoies :
{
"documents_created": 123,
"active_users": 42,
"webhooks_sent": 9
}
➡️ le dashboard s’adapte automatiquement :
Aucun frontend à recompiler, aucune migration à écrire.
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Ackify est l’application qui a déclenché tout ça :
SHM est désormais utilisé pour répondre à des questions très simples :
docker compose
Le projet est encore très jeune (MVP), mais fonctionnel et déjà utilisé en conditions réelles.
Les retours, critiques et idées sont évidemment bienvenus 🙂
Chaque instance :
C’était non négociable.
SHM :
C’est au mainteneur du logiciel de décider quelles métriques exposer, et à l’utilisateur final de pouvoir désactiver la télémétrie.
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AlternC est un projet collaboratif dont l’élément de base constitue un logiciel libre de gestion d’hébergements mutualisés pour Debian.
Ce projet (sous GPLv2+) se veut facile à installer et à utiliser, s’appuyant uniquement sur des logiciels libres.
Il contient un système d’installation et de configuration automatique, ainsi qu’un panneau de contrôle accessible par le web, pour la gestion des utilisateurs et des services orientés web.
Le projet s’adresse à un public faisant de l’administration système et souhaitant déléguer les actions de base d’un hébergement web.
On peut le comparer à des solutions telles que ISPconfig, cPanel, Plesk, Froxlor…
Après de nombreuses années la version 3.5 est arrivée début 2025 et se prépare à la suite, on se propose de rattraper ce temps perdu.
Le projet est porté par différentes structures tant associatives que professionnelles. Nous n’établissons aucune statistique, toutefois, portée à notre connaissance, on peut citer dans un désordre alphabétique :
Entre 2018 et fin 2024, la communauté a eu du mal à s’organiser pour fusionner et proposer une cohérence de développement. Durant cette période, il était alors recommandé d’utiliser une version maintenue avec grande détermination par koumbit.
De nombreux correctifs ont été proposés dans leur bifurcation amicale. C’était de fait la version la plus avancée et active de ces dernières années. On peut noter également que d’autres membres de la communauté disposaient de branches locales. Par exemple, Octopuce maintenait une version 3.3 avec un portage partiel pour fonctionner sur les anciennes versions de Debian.
Sans être exhaustif dans tous les développements épars, on peut dire qu’on s’était tous un peu dispersé. Il était difficile de répondre à des besoins opérationnels immédiats et de prendre le recul nécessaire pour une intégration communautaire saine.
On était arrivé à une situation de déperdition de temps, d’énergie, d’envie conséquente.
Au fil des années, l’objectif principal de la 3.5 a fortement évolué. De l’apport initial d’innovations diverses nous nous sommes recentrés sur l’essentiel. C’est-à-dire :
La communauté AlternC, pour diverses raisons, a fortement tardé pour absorber tout ce retard. Au cours de ces douze derniers mois, on notera les évolutions suivantes :
awstats, maintenir les configurations DKIM/SPF ;Il est prévu d’autres versions mineures pour prendre en compte les erreurs restantes.
Toutes ces versions ont été diffusées sur le dépôt officiel AlternC ou bien directement sur le dépôt github
Sans faire une liste à la Prévert, notons les points suivants :
Les nouveautés ne sont pas le cœur de cette version, on a principalement travaillé sur la stabilisation et la mise en place de correctifs divers et variés commme :
AlternC ne se résume pas à un projet avec une structure monolithique. Il s’agit d’un écosystème avec nombre de plugins.
La version 3.5 apporte de nouveaux plugins, pour faciliter leur évolution. Certaines fonctionnalités ont été extraites ou adaptées en ce sens :
AlternC est maintenant fourni avec un générateur automatique de paquets Debian.
Ainsi on facilite l’arrivée de nouvelle proposition sous forme de plugin. Il est n’est pas nécessaire d’intervenir sur l’intégralité du projet AlternC et on peut se concentrer sur une fonctionnalité donnée.
Dès l’intégration du depot dans l’organisation AlternC, le plugin sera automatiquement pris en compte et ses paquets Debian prêts à l’emploi via :
Au-delà d’AlternC en soi et des plugins listés avant, on peut trouver à différents niveaux de maturité :
On peut trouver l’ensemble des plugins AlternC depuis son dépôt : https://github.com/AlternC/
D’autres outils sont mis à disposition également sur la forge communautaire du projet
Si vous avez déjà un AlternC 3.3.x et que vous voulez migrer vers la 3.5.x, faites une sauvegarde complète et suivez la documentation fournie sur notre aide en ligne
Il est important de prendre en compte les informations suivantes :
Le cycle de la 3.6 n’est pas encore planifié. Parmi les idées en reflexion nous avons :
L’ensemble du code du projet est actuellement hébergé chez github.
Toute personne est la bienvenue. Vous pouvez proposer un nouveau projet de code, remonter des bogues, suggérer des améliorations, traduire, communiquer…
Nous profitons également de cette nouvelle version pour utiliser le nommage “main” pour la branche principale. C’est plus en adéquation avec notre code de conduite informel et donne également une cohérence sur l’ensemble des projets.
Toutes personne souhaitant traduire dans sa langue est la bienvenue. Vous pouvez participer via le service weblate. Nous gérons actuellement principalement trois langues : le français, l’anglais et l’allemand. Nous avons d’autres langues disponibles pour lesquelles un peu d’amour est nécessaire.
En complément, le projet AlternC met à disposition divers services à la communauté. Le principal est le service de DNS secondaires disponible sur le site dédié https://www.alternc.net/
Ce service permet de synchroniser ses zones sur deux DNS secondaires depuis ses instances AlternC.
Un autre service est disponible en mettant à disposition des serveurs virtuels jetables pour tester des développements sur différentes distributions Debian (de Jessie à Trixie).
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