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Comment vivre dans une société déchristianisée ?

Je rappelle que 80% des personnes mondiales croit en un Dieu (certainement qu'une part ne peut pas parler sans être pointer d'une doigt donc tu fais comme les autres...)
mais qu'aussi 55% des personnes mondiales croit à une vie après la mort
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Meta bypassed Apple privacy protections, claims former employee

En 2021 Apple a introduit ATT qui permet aux utilisateurs de refuser d'être traqués par une application. Facebook a contourné le sysème pour traquer les utilisateurs malgré leur choix de ne pas être traqué, afin de ne pas perdre 10 milliards de revenus.
Et il a aussi arnaqué les annonceurs.

Enfin on le sait maintenant: Facebook ment, encore et encore.
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«Demon Slayer : la Forteresse infinie», c’est diablement bien – Libération

> Comme si l’animation japonaise avait inventé un nouveau type d’encre invisible que seuls ceux qui savent où chercher parviennent à révéler. L’effet de ringardisation du cinéma d’action traditionnel est impitoyable. A côté des joutes de Demon Slayer, l’action des productions Marvel Studios et cie ressemble à des engueulades de voisinage entre grabataires.

Ok, projet manga à lire. Avant de voir le film.
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Prétention à l’objectivité du journalisme français : ça suffit !

"Les journalistes politiques évoluent dans les mêmes cercles que les élus, fréquentent les mêmes grandes écoles, partagent les mêmes habitus bourgeois et parisiens. Ce n’est pas de l’objectivité : c’est un point de vue situé, celui d’une classe sociale dominante qui a réussi à imposer son regard comme « neutre ». "
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«Demon Slayer : la Forteresse infinie», c’est diablement bien – Libération

> Comme si l’animation japonaise avait inventé un nouveau type d’encre invisible que seuls ceux qui savent où chercher parviennent à révéler. L’effet de ringardisation du cinéma d’action traditionnel est impitoyable. A côté des joutes de Demon Slayer, l’action des productions Marvel Studios et cie ressemble à des engueulades de voisinage entre grabataires.

Ok, projet manga à lire. Avant de voir le film.
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Note: Une histoire de RimWorld

Comme je suis à nouveau dans une phase de rimworldite aiguë, il est temps que je vous raconte une belle mais triste mais drôle histoire de RimWorld. Plus exactement la fin de ma dernière colonie.
C'était dans un biome de champignons, où la lumière du jour ne filtre quasiment jamais, à cause des émanations de soufre, mais où les champignons pourvoient à tout. On trouve des champignons à manger, bien sûr, mais également d'autres qui remplacent le bois, des hallucinogènes... bref, tout ce qu'il faut pour être heureux.

La colonie était située à l’extrémité d'une presqu'île, les assaillants pensais-je alors, ne pouvant arriver que d'un côté.
Et mon erreur aura finalement été d'avoir négligé les défenses, pensant à tort que la configuration des lieux suffirait à faire face à toutes les agressions.
Grosse erreur ! Mais nous verrons ça en temps utile.

Ma colonie comptait une quinzaine d'habitants, c'est à dire 7-8 colons et 7 réfugiés. Après des mois de cohabitation harmonieuse, alors que je voyais le bout de mes grands travaux d'agrandissement, les réfugiés ont tombé le masque et nous ont attaqué (oui, alors, je ne suis pas responsable des choix générés par le jeu, aussi gênant fussent-ils). Mais comme ils n'étaient absolument pas coordonnés, j'en suis assez facilement venu à bout, au prix de quelques blessures mineures. C'était même presque une bonne nouvelle, car la nourriture venait à manquer de façon chronique, et comme mes 3 colons "historiques" étaient cannibales... oui, nous nagions dans le bonheur.

Mais ce bonheur fut de courte durée. Les blessés à peine stabilisés, ou bien rétablis pour les moins gravement atteints, une nouvelle attaque se produisit. Et cette fois, pas des traines-savates mal équipés. Des mercenaires, atterrissant dans des capsules, simultanément sur différent points de la carte. J'ai fait tout mon possible et ils furent nombreux à amèrement regretter leur tentative. Mais une grenade suffit à tout faire basculer dans l'horreur. Mes colons étaient trois contre un, on ne donnait pas cher de la peau du merco, mais une grenade lancée par celui-ci juste avant de clamser a eu raison de Mamuki, mon médecin-prêtre dépressif. J'ai bien anticipé la trajectoire, mais il ne s'est pas écarté suffisamment vite. Le mur extérieur de ma salle de plantations hydroponiques a été volatilisé, et le pauv' type a pris cher lui aussi. C'est un corps brisé qui s'est mis à ramper misérablement vers l'abri et la mort.

Et vous savez comment c'est : quand ça commence à partir en couille, c'est cuit. Vous ne pouvez pas gérer des incendies, des mourants et des assaillants.
A la toute fin, un colon sonné était en train de se faire enlever, deux autres griévement blessés rampaient au milieu des flammes qui ronflaient, et les autres étaient immobilisés dans leurs lits de souffrance.
Rage quit.

J'ai commencé une nouvelle colonie, j'en ai profité pour ajouter des mods.
J'ai construit des barricades avant le frigo.
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Anti-ISP Raspberry Pi Router - Spencer's Desk

L'année dernière, j'ai emménagé dans un nouvel appartement. J'ai adoré l'endroit, mais j'ai découvert qu'il utilisait une solution Wi-Fi communautaire. Le complexe d'appartements gère le modem, le routage et la commutation, distribuant des points d'accès dans tous les bâtiments, à l'instar d'un réseau d'entreprise. Cette configuration est idéale pour la plupart des gens qui veulent juste un accès à l'internet, mais j'ai besoin de plus de contrôle sur mon réseau pour des choses comme la connexion à mes imprimantes 3D ou l'hébergement d'un serveur Minecraft. Avec leur configuration, ces options n'étaient pas envisageables.

J'avais un petit routeur dans mon ancien appartement, alors j'ai appelé le fournisseur d'accès pour demander si je pouvais le brancher sur l'un des ports Ethernet. Ils ont refusé et m'ont prévenu qu'ils analysaient le réseau toutes les deux semaines et déconnectaient les routeurs qu'ils trouvaient. J'ai donc fait ce qu'il y avait de mieux : j'ai installé mon routeur sans accès à l'internet. Cela m'a permis de communiquer avec mes imprimantes depuis mon PC, mais je ne pouvais rien faire qui soit lié à l'internet, comme mettre à jour Klipper ou télécharger des fichiers sur mes Raspberry Pis.

Il y a environ une semaine, j'en ai eu assez de ne pas pouvoir travailler sur des projets de réseau et j'ai décidé de trouver une solution. J'ai envisagé d'utiliser mon routeur existant, mais il n'avait pas les fonctionnalités dont j'avais besoin. J'ai donc décidé de construire mon propre routeur en utilisant un Raspberry Pi. Le défi consistait à s'assurer que mon fournisseur d'accès à Internet ne pouvait pas savoir que j'utilisais un routeur.

Installation des paquets requis

Maintenant que nous avons un Pi fonctionnel, nous devons installer quelques paquets pour que le routeur soit opérationnel. Le premier paquetage dont nous avons besoin est dnsmasq. dnsmasq est un serveur DHCP et DNS léger qui nous permettra d'attribuer des adresses IP aux périphériques connectés au port Ethernet du Pi (eth0) et de résoudre les noms d'hôtes sur le réseau local. Il agit également comme un transitaire DNS, accélérant la navigation sur le web en mettant en cache les recherches de noms de domaine.

sudo apt install dnsmasq -y

L'étape suivante consiste à configurer le fichier dnsmasq.conf. Ce fichier est utilisé pour gérer les paramètres DHCP et DNS sur le Pi. dnsmasq.conf est chargé avec des tonnes d'exemples, nous allons donc en faire une sauvegarde et commencer un nouveau fichier à partir de zéro.

Configuration du NAT

Maintenant, nous avons techniquement un routeur. J'ai connecté mon PC et le Pi de mon imprimante 3D au même switch et j'ai pu faire du SSH entre eux. Cependant, si j'essayais d'envoyer un ping à l'internet depuis le Pi de l'imprimante 3D, il n'y avait pas d'accès. Nous devons donc activer la redirection d'IP et configurer la NAT.

La redirection IP permet de transférer des paquets d'une interface réseau à une autre. Le NAT (Network Address Translation) permet à plusieurs appareils d'un réseau privé de partager une seule adresse IP publique en modifiant l'adresse IP source des paquets envoyés du réseau privé vers le réseau public. Pour cela, nous devons installer nftables, un framework de filtrage de paquets qui nous permet de configurer les capacités de filtrage de paquets du noyau Linux. Il remplace l'ancien cadre iptables et est plus efficace et plus facile à utiliser.

Faire un tour d'essai

Tout est maintenant installé et configuré. Le Pi est connecté au réseau Wi-Fi de l'appartement et fait office de routeur pour les appareils connectés au switch. Pour le fournisseur d'accès, il s'agit d'un seul appareil sur le réseau. Tout ce qu'il peut voir, c'est qu'il s'agit d'un Raspberry Pi, et non qu'il agit comme un routeur. Il existe des techniques avancées que le FAI pourrait utiliser pour détecter les routeurs, comme l'analyse du trafic et l'inspection approfondie des paquets (Deep packet Inspection), mais il est peu probable que la plupart des FAI les utilisent.

Pour tester la configuration, j'ai connecté mon imprimante 3D au switch et je l'ai mise sous tension. J'ai pu me connecter en SSH à l'imprimante et faire un ping sur Internet. J'ai également connecté mon ordinateur portable au switch et j'ai pu accéder à l'internet. Tout a fonctionné comme prévu.

Intégrer Tailscale

Si vous souhaitez vous connecter à distance à vos appareils, par exemple pour surveiller votre imprimante 3D, vous pouvez aller plus loin en intégrant Tailscale. Exposer votre imprimante, ou tout autre appareil, directement à Internet est une mauvaise idée. Si quelqu'un y accède, il pourrait faire chauffer votre hotend, votre lit, ou pire, créer un risque d'incendie. La création d'un réseau Tailscale vous permet d'accéder en toute sécurité à vos appareils sans les exposer à l'internet. Pour créer un compte et configurer Tailscale, suivez la documentation officielle à l'adresse Tailscale - Raspberry Pi.

Une fois votre réseau configuré, vous pouvez installer le client Tailscale sur vos appareils pour vous connecter en toute sécurité sur Internet.

https://tailscale.com/download/linux/rpi


Permalien
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Note: Une histoire de RimWorld

Comme je suis à nouveau dans une phase de rimworldite aiguë, il est temps que je vous raconte une belle mais triste mais drôle histoire de RimWorld. Plus exactement la fin de ma dernière colonie.
C'était dans un biome de champignons, où la lumière du jour ne filtre quasiment jamais, à cause des émanations de soufre, mais où les champignons pourvoient à tout. On trouve des champignons à manger, bien sûr, mais également d'autres qui remplacent le bois, des hallucinogènes... bref, tout ce qu'il faut pour être heureux.

La colonie était située à l’extrémité d'une presqu'île, les assaillants pensais-je alors, ne pouvant arriver que d'un côté.
Et mon erreur aura finalement été d'avoir négligé les défenses, pensant à tort que la configuration des lieux suffirait à faire face à toutes les agressions.
Grosse erreur ! Mais nous verrons ça en temps utile.

Ma colonie comptait une quinzaine d'habitants, c'est à dire 7-8 colons et 7 réfugiés. Après des mois de cohabitation harmonieuse, alors que je voyais le bout de mes grands travaux d'agrandissement, les réfugiés ont tombé le masque et nous ont attaqué (oui, alors, je ne suis pas responsable des choix générés par le jeu, aussi gênant fussent-ils). Mais comme ils n'étaient absolument pas coordonnés, j'en suis assez facilement venu à bout, au prix de quelques blessures mineures. C'était même presque une bonne nouvelle, car la nourriture venait à manquer de façon chronique, et comme mes 3 colons "historiques" étaient cannibales... oui, nous nagions dans le bonheur.

Mais ce bonheur fut de courte durée. Les blessés à peine stabilisés, ou bien rétablis pour les moins gravement atteints, une nouvelle attaque se produisit. Et cette fois, pas des traines-savates mal équipés. Des mercenaires, atterrissant dans des capsules, simultanément sur différent points de la carte. J'ai fait tout mon possible et ils furent nombreux à amèrement regretter leur tentative. Mais une grenade suffit à tout faire basculer dans l'horreur. Mes colons étaient trois contre un, on ne donnait pas cher de la peau du merco, mais une grenade lancée par celui-ci juste avant de clamser a eu raison de Mamuki, mon médecin-prêtre dépressif. J'ai bien anticipé la trajectoire, mais il ne s'est pas écarté suffisamment vite. Le mur extérieur de ma salle de plantations hydroponiques a été volatilisé, et le pauv' type a pris cher lui aussi. C'est un corps brisé qui s'est mis à ramper misérablement vers l'abri et la mort.

Et vous savez comment c'est : quand ça commence à partir en couille, c'est cuit. Vous ne pouvez pas gérer des incendies, des mourants et des assaillants.
A la toute fin, un colon sonné était en train de se faire enlever, deux autres griévement blessés rampaient au milieu des flammes qui ronflaient, et les autres étaient immobilisés dans leurs lits de souffrance.
Rage quit.

J'ai commencé une nouvelle colonie, j'en ai profité pour ajouter des mods.
J'ai construit des barricades avant le frigo.
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Linking to text fragments with a bookmarklet – alexwlchan

Oh c'est cool : Un bookmarklet pour générer facilement un lien avec :#:~:text= (pour positionner à un endroit précis d'une page, même s'il n'y a pas d'ancres).
(via https://shaarli.zoemp.be/shaare/qj6faw)

🔵 Installation: Faire un drag-n-drop du gros bouton "Create link to selected text" dans votre barre de raccourcis Firefox.

🔵 Utilisation : Sélectionner le texte qui vous intéresse dans une page, et cliquez sur le raccourcis. Cela va ouvrir une popup avec le lien.
(Permalink)
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