Vue lecture

Canicule : un ouvrier de 35 ans meurt en rentrant chez lui après avoir travaillé toute la journée sur le chantier, "il se plaignait de la chaleur depuis le matin" - lindependant.fr

Mais Macron, bien au frais dans ses voitures et bureaux climatisés, ne veut pas entendre parler de pénibilité du travail. C'est pour ça qu'il a coupé les vivres aux spécialiste de santé au travail : https://sebsauvage.net/links/?qcDx6g

Voir aussi :
https://sebsauvage.net/links/?mudqGg : « Deux personnes meurent chaque jour, en moyenne, dans un accident dans le cadre de leur emploi. Ce chiffre, sous-estimé, qui n’intègre pas les suicides ou les maladies, illustre un problème systémique. »
(Permalink)
  •  

PNG - Le grand retour du format qui refuse de mourir

Cette nouvelle version de PNG prouve qu’on peut très bien moderniser un standard existant plutôt que de réinventer la roue tous les 5 ans avec un nouveau format que personne ne supporte correctement.

Si seulement cette pratique était plus courante, on aurait moins de normes/interfaces incompatibles entre elles.


Permalien
  •  

Le jeu «Death Stranding 2», grandeur nature – Libération

Un chouette article de Marius Chapuis sur *Death Stranding 2* (je n'ai toujours pas ne serait-ce que lancé le 1...), avec une belle intro sur le difficile exercice de la critique de jeux vidéo :
> Le jeu vidéo est un espace de consensus où il est rare de voir la critique se déchirer, comme dans le cinéma, autour de la réception d’une œuvre. La faute, probablement, à une certaine uniformisation des profils des journalistes (plutôt masculin, entre 25 et 40 ans) et au réflexe de rédactions anémiées qui confient les jeux en fonction des accointances potentielles de leurs journalistes. Pour peu qu’un jeu parvienne à atteindre un socle technique proportionné à ses ambitions, et les accidents industriels restent rares, il est inhabituel qu’un jeu fasse débat. Cette bienveillance généralisée produit un étrange phénomène de révision des jugements, six mois après la sortie, quand le souvenir du plaisir immédiat du gameplay est suffisamment éloigné pour révéler parfois le vide abyssal d’une œuvre. A la difficulté de l’exercice critique propre au jeu vidéo, médium de l’immersion et de l’envoûtement, se superpose un schisme avec des lecteurs, souvent en attente d’un test technique (est-ce que ça marche bien ?) dans un premier temps, puis d’essai confirmant combien le jeu qu’ils aiment est intéressant.

Pour ce nouvel opus, le jeu est beau, mais c'est une beauté au service du gameplay :
>  Il ne s’agit pas ici de dire que le jeu est beau, mais plutôt de souligner combien la technique confère une présence sensitive à la nature, des roches sur lesquelles on trébuche aux courants contre lesquels on bataille en tentant de traverser une rivière.

Comme son prédécesseur, la marche est au centre du jeu, mais il est met à la disposition du joueur des véhicules et des armes, ce qui semble aller à rebours de son concept de base, mais, comme le souligne Marius, cela peut aussi être perçu comme un autre moyen de donner au joueur l'occasion d'exercer son libre-arbitre : il y a des armes et des véhicules, mais tu n'es pas obligé de t'en servir.
(Permalink)
  •  

Le jeu «Death Stranding 2», grandeur nature – Libération

Un chouette article de Marius Chapuis sur *Death Stranding 2* (je n'ai toujours pas ne serait-ce que lancé le 1...), avec une belle intro sur le difficile exercice de la critique de jeux vidéo :
> Le jeu vidéo est un espace de consensus où il est rare de voir la critique se déchirer, comme dans le cinéma, autour de la réception d’une œuvre. La faute, probablement, à une certaine uniformisation des profils des journalistes (plutôt masculin, entre 25 et 40 ans) et au réflexe de rédactions anémiées qui confient les jeux en fonction des accointances potentielles de leurs journalistes. Pour peu qu’un jeu parvienne à atteindre un socle technique proportionné à ses ambitions, et les accidents industriels restent rares, il est inhabituel qu’un jeu fasse débat. Cette bienveillance généralisée produit un étrange phénomène de révision des jugements, six mois après la sortie, quand le souvenir du plaisir immédiat du gameplay est suffisamment éloigné pour révéler parfois le vide abyssal d’une œuvre. A la difficulté de l’exercice critique propre au jeu vidéo, médium de l’immersion et de l’envoûtement, se superpose un schisme avec des lecteurs, souvent en attente d’un test technique (est-ce que ça marche bien ?) dans un premier temps, puis d’essai confirmant combien le jeu qu’ils aiment est intéressant.

Pour ce nouvel opus, le jeu est beau, mais c'est une beauté au service du gameplay :
>  Il ne s’agit pas ici de dire que le jeu est beau, mais plutôt de souligner combien la technique confère une présence sensitive à la nature, des roches sur lesquelles on trébuche aux courants contre lesquels on bataille en tentant de traverser une rivière.

Comme son prédécesseur, la marche est au centre du jeu, mais il est met à la disposition du joueur des véhicules et des armes, ce qui semble aller à rebours de son concept de base, mais, comme le souligne Marius, cela peut aussi être perçu comme un autre moyen de donner au joueur l'occasion d'exercer son libre-arbitre : il y a des armes et des véhicules, mais tu n'es pas obligé de t'en servir.
(Permalink)
  •  

Talya (she/her) 🏳️‍⚧️✡️: "the fact that the Internet Arc…" - 4'33"verse

Traduction :
« Le fait que l'Internet Archive ait eu plus de problèmes en *prêtant* des livres qu'ils ont *payés* que Facebook pour avoir *reproduit* des livres qu'ils ont *piratés* vous dit tout ce que vous devez savoir sur l'industrie du copyright. »

Et aussi : https://peculiar.florist/notes/a9hyfpw0yiydv33e
(Adaptation libre:) « Des décennies à faire chier les gens ordinaires en faisant retirer des vidéos de YouTube via DMCA pour deux secondes de musique dans la moindre vidéo, pour seulement pour se merder complètement lorsqu'il s'agit de se défendre contre le pompage massif effectué pour entraîner les IA. Les industriels de la culture sont minables. »

Les industriels de la culture n'ont jamais eu pour but de défendre les artistes et créateurs. Ils sont là pour faire du fric sur le dos des artistes.
(Permalink)
  •  

Nic Chan

Le design de ce site éveille en moi une délicieuse nostalgie 😊 Il ne manque plus que des sons un peu "bruts" et nous voilà revenus à l'époque d'AOL et MSN.


Permalink
  •  

Nic Chan

Le design de ce site éveille en moi une délicieuse nostalgie 😊 Il ne manque plus que des sons un peu "bruts" et nous voilà revenus à l'époque d'AOL et MSN.


Permalink
  •  

Joachim Sauer — Wikipédia

🤣🤣🤣🤣
« Der Spiegel rapporte une anecdote selon laquelle Joachim Sauer aurait offert à sa femme un DVD de Louis de Funès comme cadeau de Noël, pour qu'elle comprenne la personnalité de son partenaire français. Depuis, il est arrivé à Angela Merkel de surnommer Nicolas Sarkozy « Louis de Funès »[5]. »
(Permalink)
  •  

Thomas Jolly nommé président de la commission jeux vidéo du CNC – Libération

Le metteur en scène Thomas Jolly, a qui l'on doit les cérémonies des JO de Paris, vient d'être nommé à la tête du fonds d'aide aux créateurs de jeux, un organisme rattaché au CNC.

> «J’aime le jeu vidéo et j’aime Assassin’s Creed», avait-il expliqué en mars dans un podcast enregistré dans les locaux de l’éditeur, plaçant le personnage d’Arno, protagoniste principal d’«Assassin’s Creed Unity» – épisode qui a pour toile de fond la Révolution française , aux côtés de figures romanesques tricolores comme Arsène Lupin, Belphégor et Fantomas.

Ben, on l'a bien vu lors de la cérémonie d'ouverture des JO, où la référence à Assassin's creed était aussi cool qu'évidente.

Et pour les cons prêts à faire ce qu'ils font le mieux, c'est à dire raconter des conneries, sachez qu'il est tout fait coutumier de nommer un non professionnel du jeu à la tête de cette structure. Une des prédécesseuses du metteur en scène était la chanteuse Juliette, et elle a fait du bon boulot. Et encore avant, c'était l'écrivain Maxime Chattam...
(Permalink)
  •  

La croisade d’un dentiste devenu avocat pour dénoncer les dérives de ses ex-confrères – Libération

> Je suis très respectueux de son rôle d’avocat, mais il utilise toujours des moyens sur la forme, pas sur le fond

Parce que, pour cet arracheur de dent (c'est un dentiste qui s'exprime, et, on le verra plus bas, il ne dit peut-être pas toute la vérité), la forme, c'est pas important ? On pourrait, selon lui, radier un dentiste à vie, sur la base d'une procédure partiale et de témoignages inventés, parce que la forme, hein, c'est pas important.

J'ai eu un prof de droit qui disait, "la procédure, c'est fait pour faire respecter l'équité de traitement". Et c'est valable pour le traitement d'une demande de permis de construire, pour l'examen du cas d'un confrère par un conseil de l'ordre, ou un procès en cour d'assises.

En l'espèce, le "teigneux de la procédure" est un ancien dentiste devenu avocat (j'ai toujours eu beaucoup d'admiration pour ces gens qui arrivent à exercer, à la suite ou en même temps, deux professions plutôt mega-spécialisées ; lui il a commencé par le en même temps (comme dirait l'autre), mais on lui a dit qu'il n'avait pas le droit, mais comme il s'est viré des dentistes, il ne fait plus que avocat, alors ça va. Et il fait avocat pour continuer la lutte qu'il avait entamé en tant que dentiste : dénoncer les "turpitudes diverses et variées de son ordre". Juste une phrase tirée de l'article :
> Le Dr Bessis s’interroge alors sur ce que deviennent les cotisations versées par les 49 000 dentistes français à leur ordre : sur seize millions d’euros annuels, trois partiraient en indemnités ou notes de frais versées aux dignitaires de la profession – alors que leur fonction est réputée bénévole.

Oui, c'est pour ça qu'ils l'ont viré. Et c'est pas parti pour aller mieux, la loi ayant récemment inscrit dans le marbre (désolé pour le cliché) le conflit d'intérêt des assesseurs (des dentistes) assistant les magistrats du Conseil d’État en charge des questions disciplinaires du Conseil de l'ordre (si, si, relisez lentement). Pour faire court : les juges administratif de première et dernière instance, chargés de juger les dentistes, sont payés par l'ordre des dentistes. Bref, par les dentistes eux-mêmes. Et si tu es le vilain petit canard qui vient les accuser de se goinfrer avec le fric des cotizes... Vous voyez le tableau.
(Permalink)
  •  

Thomas Jolly nommé président de la commission jeux vidéo du CNC – Libération

Le metteur en scène Thomas Jolly, a qui l'on doit les cérémonies des JO de Paris, vient d'être nommé à la tête du fonds d'aide aux créateurs de jeux, un organisme rattaché au CNC.

> «J’aime le jeu vidéo et j’aime Assassin’s Creed», avait-il expliqué en mars dans un podcast enregistré dans les locaux de l’éditeur, plaçant le personnage d’Arno, protagoniste principal d’«Assassin’s Creed Unity» – épisode qui a pour toile de fond la Révolution française , aux côtés de figures romanesques tricolores comme Arsène Lupin, Belphégor et Fantomas.

Ben, on l'a bien vu lors de la cérémonie d'ouverture des JO, où la référence à Assassin's creed était aussi cool qu'évidente.

Et pour les cons prêts à faire ce qu'ils font le mieux, c'est à dire raconter des conneries, sachez qu'il est tout fait coutumier de nommer un non professionnel du jeu à la tête de cette structure. Une des prédécesseuses du metteur en scène était la chanteuse Juliette, et elle a fait du bon boulot. Et encore avant, c'était l'écrivain Maxime Chattam...
(Permalink)
  •