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Chez Meta, en 2025 - Mon coin du web

Donc en 2025, chez Meta, il n'est pas problématique de :

  • vouloir plus « d'énergie masculine » sur les réseaux sociaux
  • supprimer le fact-checking effectué par des journalistes
  • considérer les personnes LGBT comme des « malades mentaux »
  • considérer les femmes comme des « objets domestiques »
    Vous êtes un minimum consterné ?
    Barrez-vous !

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Fatiguant les rust-fanboys

Le "Rust" pour les développeurs, c'est un peu comme l'"IA" pour les marketeurs, c'est fait genre que c'est plus sérieux, mais cela n’empêche en rien de coder avec les pieds, comme avec tout type de langage. Donc arrêter de mettre en avant que vous avez réécrit votre projet en rust ou qu'il est écris en rust, on s'en branle, car cela ne veut pas dire qu'il est mieux ou qui est meilleur sur la programmation et sur tous le reste. (surtout qu'avec le rust, par essence c'est le compilo qui est meilleur programmeur que vous)
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MON AVIS Hiver à Sokcho ★★★☆

Affiche

Soo-ha est une jeune métisse franco-coréenne, élevée seule par sa mère à Sokcho, un petit port sur la côte orientale de la Corée du sud. Après avoir bouclé des études de lettres, elle épaule le patron, veuf depuis peu, d’une modeste pension de famille. C’est là que débarque Yann Kerrand (Roschdy Zem), un dessinateur français en panne d’inspiration. À la demande du patron, Soo-ha va lui servir de guide.

J’ai eu un coup de cœur pour cette adaptation d’un livre publié en 2016 par une jeune écrivaine franco-suisse d’origine coréenne, Elisa Shua Dusapin. J’ai lu plusieurs critiques lui reprochant d’être lent et ennuyeux. Je comprends ce reproche. Mais je suis loin de le reprendre à mon compte.

Certes Hiver à Sokcho n’est pas un thriller à rebondissements. Il se déroule dans l’atmosphère, ouatée de neige, d’une petite ville littorale volontairement ennuyeuse. Il met en scène deux héros que rien ne prédisposait à se rencontrer. Yann Kerrand, un bédéiste normand interprété sans souci de vraisemblance par Roschdy Zem (mais Roschdy Zem est tellement charismatique qu’il lui sera beaucoup pardonné) n’a qu’une seule idée en tête : explorer un lien qui puisse inspirer sa prochaine BD.

Soo-ha (la stupéfiante Bella Kim, parfaite d’ambiguïté) est plus complexe. À vingt-trois ans, elle se sent perdue. Elle vient de terminer ses études mais n’a pas idée de la carrière qu’elle souhaite embrasser. Elle sort avec un garçon que sa mère rêve de lui voir épouser ; mais elle n’est pas sûre de ses sentiments. Reste une blessure jamais cicatrisée : celle de n’avoir jamais connu son père, rentré en France avant sa naissance.
La rencontre de Yann Kerrand va peut-être lui permettre de résorber ce trauma. Ses relations avec cet homme d’âge mûr sont complexes. Au départ, elle l’esquive et renâcle à assumer le rôle d’interprète et de guide que le patron de la pension de famille qui l’emploie lui assigne, par crainte d’être renvoyée une fois encore à son statut de métisse. Ensuite, elle ressent de l’attirance pour cet homme séduisant avec lequel, inconsciemment, elle s’imagine revivre la relation que sa mère a vécue avec son père. Enfin et surtout, elle voit en lui un père de substitution.

Hiver à Sokcho aurait pu se contenter de traiter cette relation-là. Mais, sans charger la barque, il lui adjoint des sous-thèmes. J’en ai identifié deux. Le premier est la cuisine. Elle est omniprésente. La mère de Soo-ha vend du poisson sur le port. Elle sait cuisiner le fugu, ce poisson qui, s’il est mal préparé, peut déclencher une intoxication mortelle. Les deux femmes vivent ensemble et sont filmées la plupart du temps en train de préparer leurs repas puis de les consommer. La relation entre Soo-ha et Yann Kerrand peut au contraire se lire comme la tentative avortée de se nouer par la nourriture : le Français refuse de prendre ses dîners à la pension de famille et boude les plats, français ou coréens, que lui mitonne la jeune femme.
L’autre sous-thème est celui du corps et de sa transformation par la chirurgie esthétique. Une cliente de la pension au visage recouvert de bandelettes se rétablit d’une opération. La mère de Soo-ha ne cesse d’encourager sa fille à corriger sa myopie pour se débarrasser des lunettes qui mangent son visage. Son petit copain lui suggère de se faire affiner le menton. J’ignorais que la Corée du Sud était « la capitale mondiale de la chirurgie plastique » – j’en pensais à tort l’usage plus répandu en Amérique latine, au Venezuela ou au Brésil par exemple.

J’ai été profondément ému par ce film pudique, par ses deux personnages solitaires, par les sentiments qui les animent et qu’ils peinent à exprimer, par le lien fragile qui se forme entre eux jusqu’à la manière si délicate dont il se dénoue.

Bande annonce ==> https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=20612989&cfilm=304409.html
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Mediapart Du Dimanche 12 Janvier 2025

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Le 100ème singe : une clé de l'évolution

La méditation et le 100ème singe

Il existe une autre expérience qui montre l’effet d’une minorité sur l’ensemble d’une population. “L’Assemblée pour une Amérique Invincible”, lancée par Maharishi Mahesh Yogi le 23 Juillet 2006, se tient aux États-Unis, à l’Université Maharishi de Management et Maharishi Vedic City, dans l’Iowa, avec près de 2000 experts qui pratiquent les programmes de Méditation Transcendantale et de Vol Yogique.

2000 méditants quotidien est les chiffres de la criminalités de Chicago sont aux plus bas depuis plus de 30 ans.

Aujourd’hui les chiffres varient sur la masse critique nécessaire pour un changement de conscience collective. Certains s’accordent sur √1% de la population totale. Pour l’expérience de Chicago cela corresponds à 2500 méditants.

Je suis certains que dès que ce chiffres sera atteint nous aurons des nouvelles sur la toile.


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Au volant d’une voiture sans permis....

D'accord avec le raisonnement mais ça "Moi j'ai 46 ans, 28 ans de permis, jamais un accident."

==> Cet argument d'autorité tout perrave là, garde-le pour toi stp.... Des accidents peuvent être causés par des chauffards même si tu maitrises ton véhicule, t'es pas à l'abri qu'on vienne te tamponner sans que tu t'y attendes....

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