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Ca y est le retour du je saistoutmaisjesaisrien

Le gars encore imbu de sa personne nous refait des siennes, c'est plus fort que lui.... Chassez le naturel, il revient au galop.
Il faut toujours qu'il la ramène sur tous les sujets, à croire que le mec a la science infuse ^^
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Recover deleted/replaced files on EXT file systems

I just had to try and recover a couple files that a buggy program replaced with empty files instead of their actually updated content. Context is an EXT4 FS, on a secondary data partition (and even disk, but that's unrelated).

Linked post is interesting, but a bit over-doing it: no need to actually back the journal up in my case (tho I did it), nor unmount the partition to use either tool.

Additionally the linked article talks about deleted files, whereas here I wanted to recover previous versions of the content of existing files. I guess this requires the program not having rewritten the same blocks, but in my case the program both writes to a temp file first and then renames over (although it happily replaced with an empty file), and wrote a 0-bytes file which likely wouldn't overwrite anything. Anyway, for this use case, the key is the -b option to give it a time frame that does not include the faulty rename.

So, basically what I did:

  • Remount the partition read-only to avoid any additional writes that could corrupt the data blocks: `sudo mount /dev/sdb1 -o remount,ro
  • Backup the EXT4 journal just in case (but I highly doubt that was of any use, I could have used the actual FS's journal): sudo debugfs -R "dump <8> $HOME/sdb1.journal" /dev/sdb1
  • Trial version listing potential recoveries: sudo ext4magic /dev/sdb1 -a $(date -d "-2hours" +%s) -b $(date -d "-45minutes" +%s) -f relative/path/to/files/ -j ~/sdb1.journal -l
  • Actual recovery: sudo ext4magic /dev/sdb1 -a $(date -d "-2hours" +%s) -b $(date -d "-45minutes" +%s) -f relative/path/to/files/ -j ~/sdb1.journal -r -d RECOVERY/

At this point I had the files in their state from 45 minutes ago, validated the recovery and remounted read-write. Done.

This was surprisingly easy, thanks to journaling FS :)
To be fair, having the lost data outside the root or home FSes helped a lot, not only because of random applications potentially writing stuff if any mutable data is stored there (/home, /var/run, /tmp and whatnot), but I could also easily install the tools I missed straight away without risks of overwriting precious data blocks.


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Pourquoi et comment contrer le discours guerrier

> On doit aussi rappeler qu’entre 2015 et 2020 (donc sous Macron et bien après l’annexion de la Crimée), la France a fourni aux Russes plus de 152 millions d’euros de matériel pour des chars, des avions de chasse et des hélicoptères de combat, comme l’avait révélé Disclose. L’appétit de profit a visiblement dispensé nos dirigeants d’anticiper l’avenir.

> Ceux qui plaident le sursaut et les sacrifices qui vont avec sont aussi responsables de la situation dans laquelle ils se retrouvent, ce qu’ils ne mentionnent jamais.

Ben, comme d'habitude hein ?
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Macron prépare à nouveau la guerre à nos retraites

> Il n’en fallait pas plus pour que Macron embraye : il faut aujourd’hui une « économie de guerre ». Comprendre : l’austérité sur tout le reste.​ Pendant que les industries de l’armement se frottent les mains et que Dassault prépare ses carnets de commandes, on nous intime de serrer la ceinture « pour la patrie ». Alors à quoi va-t-on devoir renoncer cette fois ? L’actualité nous donne un indice : pendant que tout le monde regarde Macron jouer aux faucons, une énième réforme des retraites se prépare en coulisses.​
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Comment les écogestes entretiennent la catastrophe

> En 2004, alors que la question climatique progresse dans la sphère politique et que le viseur se rapproche dangereusement des producteurs d’énergies fossiles, la British Petroleum missionne en effet l’entreprise de relations publiques Ogilvy & Mather pour améliorer son image. Ensemble, ils choisissent de tout miser sur la notion d’empreinte carbone individuelle, afin de faire porter la focale (et la responsabilité) sur les individus consommateurs (vive les « consommac’teurs ») et invisibiliser subséquemment la question brûlante du partage de l’effort climatique – entre les entreprises et les individus, entre les riches et les pauvres. Ainsi la compagnie pétrolière propose-t-elle au public de calculer son empreinte carbone pour tenter de l’améliorer. Comme l’écrira un chroniqueur du New York Times quinze ans plus tard : « S’inquiéter de votre empreinte carbone est exactement ce que les grandes sociétés pétrolières veulent que vous fassiez. »

Je ne vais pas tout recopier, mais vous voyez l'idée : c'est celle que je rabâche depuis des années. Pendant qu'on (le gouvernement, mais aussi les grandes entreprises, à l'origine de l'idée apparemment) vous répète de faire pipi sous la douche et de vider votre boîte mail (sous-entendant que vous êtes une ordure si vous ne le faites pas)

> Comme le montre Jean-Baptiste Malet dans son enquête publiée par le Monde diplomatique sur le « système Pierre Rabhi », ce positionnement individualiste, typique de l’écologie bourgeoise, s’avère parfaitement soluble dans le régime d’intérêts de la classe dominante.

Non seulement, comme l'article l'explique, les "écogestes" c'est une "écologie du luxe" (quand t'as du mal à joindre les deux bouts, t'as autre à penser en général), mais en plus, ils ne servent à rien (ou alors à pas grand chose) quand ils n'aggravent pas le problème ; pour plusieurs raisons :
- les gens (bon, allez, on va le dire : les bobos) qui arrivent "à vivre volontairement dans une forme de neutralité carbone et de vertu environnementale pure et parfaite" entretiennent l'image d'une écologie difficile, sacrificielle... ce qui vient nourrir le discours sur l'écologie punitive
- la façon dont notre cerveau fonctionne : "lorsque l’on s’engage sur le terrain environnemental par le prisme des petits gestes, on finit tôt ou tard par reléguer l’approche systémique hors de nos préoccupations. Pour le dire autrement : la charge mentale associée aux écogestes finit par envahir complètement la représentation du problème et les conduites associées, les menant inexorablement vers la dépolitisation. Un résultat qui constitue de fait une réfutation totale de la position gradualiste, qui vend les écogestes comme un premier pas vers l’engagement politique."
- Pour le dire vite : si tu fais des écogestes, tu vas pas remettre en cause le système : parce que tu croiras bien faire, et parce que tu auras suffisamment bonne conscience : "l’action individuelle, de portée immédiate, permet de réduire l’incertitude et donc d’emporter l’adhésion, même si elle demeure sans adéquation réelle avec la nature du problème : on a l’impression rassurante d’être plus efficaces en baissant le chauffage qu’en épousant les formats, plus indirects, de l’action politique."
- in fine, et ainsi la boucle est bouclée, "l’écologie des écogestes ne fait que renforcer la conquête des présupposés néolibéraux sur la société" : l'individualisme néolibéral, encore et toujours.
Autrement appelé diviser pour régner.
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Pourquoi et comment contrer le discours guerrier

> On doit aussi rappeler qu’entre 2015 et 2020 (donc sous Macron et bien après l’annexion de la Crimée), la France a fourni aux Russes plus de 152 millions d’euros de matériel pour des chars, des avions de chasse et des hélicoptères de combat, comme l’avait révélé Disclose. L’appétit de profit a visiblement dispensé nos dirigeants d’anticiper l’avenir.

> Ceux qui plaident le sursaut et les sacrifices qui vont avec sont aussi responsables de la situation dans laquelle ils se retrouvent, ce qu’ils ne mentionnent jamais.

Ben, comme d'habitude hein ?
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Macron prépare à nouveau la guerre à nos retraites

> Il n’en fallait pas plus pour que Macron embraye : il faut aujourd’hui une « économie de guerre ». Comprendre : l’austérité sur tout le reste.​ Pendant que les industries de l’armement se frottent les mains et que Dassault prépare ses carnets de commandes, on nous intime de serrer la ceinture « pour la patrie ». Alors à quoi va-t-on devoir renoncer cette fois ? L’actualité nous donne un indice : pendant que tout le monde regarde Macron jouer aux faucons, une énième réforme des retraites se prépare en coulisses.​
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Comment les écogestes entretiennent la catastrophe

> En 2004, alors que la question climatique progresse dans la sphère politique et que le viseur se rapproche dangereusement des producteurs d’énergies fossiles, la British Petroleum missionne en effet l’entreprise de relations publiques Ogilvy & Mather pour améliorer son image. Ensemble, ils choisissent de tout miser sur la notion d’empreinte carbone individuelle, afin de faire porter la focale (et la responsabilité) sur les individus consommateurs (vive les « consommac’teurs ») et invisibiliser subséquemment la question brûlante du partage de l’effort climatique – entre les entreprises et les individus, entre les riches et les pauvres. Ainsi la compagnie pétrolière propose-t-elle au public de calculer son empreinte carbone pour tenter de l’améliorer. Comme l’écrira un chroniqueur du New York Times quinze ans plus tard : « S’inquiéter de votre empreinte carbone est exactement ce que les grandes sociétés pétrolières veulent que vous fassiez. »

Je ne vais pas tout recopier, mais vous voyez l'idée : c'est celle que je rabâche depuis des années. Pendant qu'on (le gouvernement, mais aussi les grandes entreprises, à l'origine de l'idée apparemment) vous répète de faire pipi sous la douche et de vider votre boîte mail (sous-entendant que vous êtes une ordure si vous ne le faites pas)

> Comme le montre Jean-Baptiste Malet dans son enquête publiée par le Monde diplomatique sur le « système Pierre Rabhi », ce positionnement individualiste, typique de l’écologie bourgeoise, s’avère parfaitement soluble dans le régime d’intérêts de la classe dominante.

Non seulement, comme l'article l'explique, les "écogestes" c'est une "écologie du luxe" (quand t'as du mal à joindre les deux bouts, t'as autre à penser en général), mais en plus, ils ne servent à rien (ou alors à pas grand chose) quand ils n'aggravent pas le problème ; pour plusieurs raisons :
- les gens (bon, allez, on va le dire : les bobos) qui arrivent "à vivre volontairement dans une forme de neutralité carbone et de vertu environnementale pure et parfaite" entretiennent l'image d'une écologie difficile, sacrificielle... ce qui vient nourrir le discours sur l'écologie punitive
- la façon dont notre cerveau fonctionne : "lorsque l’on s’engage sur le terrain environnemental par le prisme des petits gestes, on finit tôt ou tard par reléguer l’approche systémique hors de nos préoccupations. Pour le dire autrement : la charge mentale associée aux écogestes finit par envahir complètement la représentation du problème et les conduites associées, les menant inexorablement vers la dépolitisation. Un résultat qui constitue de fait une réfutation totale de la position gradualiste, qui vend les écogestes comme un premier pas vers l’engagement politique."
- Pour le dire vite : si tu fais des écogestes, tu vas pas remettre en cause le système : parce que tu croiras bien faire, et parce que tu auras suffisamment bonne conscience : "l’action individuelle, de portée immédiate, permet de réduire l’incertitude et donc d’emporter l’adhésion, même si elle demeure sans adéquation réelle avec la nature du problème : on a l’impression rassurante d’être plus efficaces en baissant le chauffage qu’en épousant les formats, plus indirects, de l’action politique."
- in fine, et ainsi la boucle est bouclée, "l’écologie des écogestes ne fait que renforcer la conquête des présupposés néolibéraux sur la société" : l'individualisme néolibéral, encore et toujours.
Autrement appelé diviser pour régner.
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Note:

médecin généralistes ( ~200 toubibs) rapportent des choses qu’ils n ont jamais ou fort peu vues -

- bcp d absences et pertes de mémoire ( brain. Fog)
- des symptômes Alzheimer’s chez des personnes de 35-50 ans
- des cancers rarissimes de la base du cerveau ( astrogliome)
- des gens qui ont des paralysies faciales
- des accidents vasculaires cérébraux chez des jeunes.
Direct link
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Re: le hollandais volant Note : « ChAtGPT a ToUjOuRs RaIsOn »

LHV qui découvre que les bot conversationnels basés sur des algorithmes de prédiction de jeton n'ont aucunement vocation à produire des réponses correctes.

pour la blague, chatgpt ne fait que ressortir le résumé de l'article wikipedia.

et ensuite comme à son habitude il nous fait une démonstration qu'il ne comprends pas de quoi il parle mais qu'il affirme des trucs quand même pour faire style il s'y connait.

pour ceux que ça intéresserait le pourquoi les atomes sont stables et les électrons ne tombent dans le noyau ça fait un siècle que Bohr l'a théorisé sans recourir à la physique quantique, veritassium en parle dans sa récent vidéo: https://youtu.be/qJZ1Ez28C-A&t=11m43s , voir aussi: https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_de_Bohr#Orbites_circulaires_stables et https://fr.wikipedia.org/wiki/Moment_cin%C3%A9tique.
et c'est Louis de Broglie qui fourni l'explication en se basant sur la dualité onde-corpuscule de la physique quantique, https://youtu.be/qJZ1Ez28C-A&t=13m26s dans la vidéo de veritassium et https://fr.wikipedia.org/wiki/Hypoth%C3%A8se_de_de_Broglie : si l'électron n'est pas une particule mais une onde alors dans un atome stable l'électron est une onde stationnaire.

là non plus pas besoin de recourir à l'argument "ta gueule c'est quantique" comme le fait LHV pour expliquer les couches électroniques qui font que les électrons ne tombent pas dans le noyau dans un atome stable, la seule difficulté c'est qu'il faut admettre qu'un electron soit une onde.

quand au délire du LHV sur le fait qu'un atome stable pourrait devenir instable une fois de temps en temps par un phénomène magique inexpliqué, c'est juste n'importe quoi. pour que la capture électronique puisse se produire il faut que ce soit un isotope instable de l'atome, généralement plus léger car si il est plus lourd il aura plutôt tendance à émettre un électron.
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Wikimedia rejette les mises en demeure du Point qui contiennent « de graves erreurs » - Next

Enfin, les avocats du Point reprocheraient à la Fondation Wikimedia l'absence de moyen pour la contacter et l'absence d'un « représentant » dans l'Union européenne. Pourtant, la Fondation a bien, sur son site internet, une page qui donne ces deux informations. D'ailleurs, Phil Bradley-Schmieg remarque qu'ils ont bien réussi à contacter formellement la Fondation puisque « leur lettre fait exactement cela ».

Peut-être qu'on pourrait ajouter "avocat qui mentent" dans la page du Point, non?


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Note:

J'ai beau faire comme tout le monde et dire que je m'en fous de l'avis des autres (de plus en plus pour rigoler ceci dit) : c'est faux, peut-être même complètement.

Ce comportement - quand il est systématique - me sort par les trous de nez et ça rejoint tranquillement mais sûrement celui de la bienveillance, celui de rester gentil quelque soit la situation.

Et je ne pense même pas aux profils toxiques (dont j'espère ne jamais avoir fait partie) que je laisse de côté (je vais parler boulot à 6h du mat en plus). Mais la toxicité et le harcèlement sont liés au sujet, c'est évident.

La colère n'est pas un problème en soit. Être colérique l'est probablement mais on ne peut pas supprimer le sentiment, il faut le gérer.

La tristesse n'est pas une mauvaise chose. Être triste ou mélancolique peut le devenir mais il reste plein d'autres facteurs qui nous sauvent généralement la mise. Il faut savoir gérer sa tristesse et celle des autres.

Si on n'apprend pas à gérer tout le spectre des émotions en tant qu'enfant, rien n'est perdu pour la suite mais c'est plus galère.

C'est un fondement pour moi. Il doit être aussi important à nos yeux - en terme d'éducation - que la règle de 3 (sûrement plus important en fait mais c'est pour faire une référence). C'est une condition d'émancipation des individus et ça en fait un impératif.

Et pour en revenir au départ, rester attentif aux réactions - surtout celles qu'on provoquent directement - n'est pas une faiblesse. C'est un effort la plupart du temps mais comme le reste, plus on pratique plus c'est facile. Je me rappelle que tenir debout est aussi "un effort" on pourrait relativiser tout ça :D.

Je pourrais broder à partir de là sur le harcèlement et le comportement toxique qui a l'air d'être une tendance, une ambiance (des salles de classes jusqu'aux salles de ministres ou de pdg). On peut se défendre individuellement contre ça mais c'est justement du self-defense. Si on doit apprendre à se défendre on peut pas prendre pour hypothèse que cette tendance serait une fatalité et c'est ça qu'il faut remettre en cause : notre société n'a PAS à laisser prospérer un climat toxique, un climat de harcèlement, ce n'est pas une fatalité (quoi qu'on pense de la "nature humaine" - que je qualifierai de neutre ici).

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