Les riches ont toujours une longueur d’avance sur nous
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Je découvre Gaël Giraud. L'introduction au problème de résolution du problème climatique est très intéressante.
La question de la démocratie est importante. Mais sous quels motifs a-t-on le droit d'imposer la démocratie aux autres (en plus je suppose "démocratie" représentative, c'est-à-dire pas démocratique du tout) ? En quoi le système que nous avons en France sert-il mieux les intérêts nationaux que la monarchie par exemple ?
Dit autrement, si l'intérêt du roi est forcément son royaume car sinon il perd tout, en revanche quel est l'intérêt d'un banquier d'affaire à enrichir une nation quand sa carrière et ses investissements passés ont tous été faits à l'étranger ?
Disons qu'il y a un soupçons d'ethnocentrisme mais que comme ça n'est pas le propos principale de la vidéo, ça n'est pas grave. Admettons aussi le réel, car au vu de la supposée "coopération internationale", nos enfants n'echapperont pas à un conflit armé, majeur et d'ordre mondiale. Nous verrons si notre population aura ou non le sursaut de comprendre que ce sera ses enfants ou ceux des autres.
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le lien est vers la vidéo où il explique les tenants et aboutissants du documentaire.
le lien vers la cagnotte est là: https://fr.ulule.com/documentaire-enfants-de-gaza/
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La découverte de Danny Goler ..
"J'ai découvert que lorsque vous projetez un laser diffracté de 650 nm sur une surface et que vous êtes sous l'influence de la forme fumée du neurotransmetteur Diméthyltryptamine (DMT), un code est révélé derrière le laser. Le code n'est pas dans la lumière, mais il est très clairement révélé par la lumière, comme une lampe de poche éclairant quelque chose dans l'obscurité. Par conséquent, après avoir testé ce phénomène avec plusieurs personnes, j'ai réalisé qu'il s'agissait d'un phénomène que tout le monde observait. J'ai donc publié une vidéo il y a un an pour parler de ma découverte. Cette vidéo comprend des mises à jour sur l'état d'avancement des recherches, des réponses aux questions les plus fréquemment posées, ainsi qu'une analyse plus approfondie de la signification de la découverte."
Voici un post sur reddit:
https://www.reddit.com/r/SimulationTheory/comments/13e0gpy/dmt_laser_experiment_reveals_visible_code_where/
@Timo je suis à 100 % d'accord avec toi !
Les chèques cadeaux et autres tickets restaurant, c'est de l'argent bloqué, c'est de l'argent sous DRM (Digital Right Management) ! 😡
On ne peut le dépenser que là où l'employeur le veut bien, que quand l'état le veut bien et selon les règles strictes décidées par le pouvoir. 🤮 (mais c'est pour nous hein)
Je comprends pourquoi certains parlent de régime communiste (au sens stalinien) qui entre par la petite porte et qui s'installe subrepticement. Si la route se poursuit alors il n'y aura plus d'argent libre, seuls des bons permettant d'obtenir vêtements, nourriture, transports... Selon les limites imposées par l'état évidemment 🤨
L'état est toujours la source première de l'oppression.
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quand des abrutis sont au commande
Jouer biais en tête
non c'est jouer bille en tête
https://fr.wiktionary.org/wiki/bille_en_t%C3%AAte
des incompétents non éduquer ou plutôt éduquer sur des video youtube donc à entendre bien ce qu'ils veulent à cause de leur faible nombre de mots connu encore plus de formulation française ou expression
car non ces générations ne savent pas lire, ne sont pas éduquer et donc ou est la compréhension....
inexistante c'est juste de la reformulation passera, passera pas, nul doute que si vos enfants écoute sans lire ils ne comprendront plus rien à la fin
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Lorsque dans une conversation, une référence est faite aux nazis ou à Hitler alors que ça n’était pas le sujet de base, on parle de « point Godwin ». Cette expression découle de la loi d’un avocat américain, Mike Godwin, qui observait le phénomène prendre de l’ampleur sur internet. Explications.
« Point Godwin », lance une personne au détour d’une conversation. Par cette locution, elle signifie à son interlocuteur qu’il a fait une référence au nazisme ou à Adolf Hitler, alors que la discussion n’y prêtait pas. D’abord utilisée sur des forums sur internet, cette phrase est aujourd’hui aussi prononcée dans les échanges de tous les jours, notamment dans les débats. Mais que cela signifie-t-il vraiment ? Et pourquoi parle-t-on de « point Godwin » ?
Tout part de la « loi de Godwin », formulée en 1990 par l’avocat américain Mike Godwin. Selon sa théorie, plus une discussion en ligne se prolonge, plus il est probable qu’une comparaison avec les nazis ou Hitler apparaisse. « Sans valeur scientifique, cette « loi » est née de l’expérience de Godwin sur Usenet, un forum précurseur d’internet, où il a remarqué que des références au nazisme surgissaient souvent dans des débats sans rapport avec le sujet initial », précise le site spécialisé dans le droit Justifit.
Traiter son interlocuteur de nazi
La « loi de Godwin » suppose également que l’escalade émotionnelle dans les échanges favorise l’émergence d’analogies extrêmes pour remplacer des arguments. La plupart du temps, un thème de la discussion est comparé avec une opinion nazie ou à traiter son interlocuteur de nazi. Par exemple, en 2009, l’ancienne ministre de la Culture Christine Albanel disait trouver ridicule « l’obstination qui consistait à présenter Hadopi comme une antenne de la Gestapo », rappelle le quotidien Libération.
Ce phénomène a été observé par le philosophe Léo Strauss dans les années 1950, quarante ans avant Godwin. Il parlait alors de reductio ad hitlerium (réduction à Hitler) pour faire référence au moment où une personne disqualifiait l’argument d’un adversaire en l’associant à Hitler ou au nazisme.
Aucune preuve scientifique
Selon la « loi » de l’avocat américain, cette tendance pourrait aussi s’expliquer par une perte de rationalité dans l’argumentation lorsque les désaccords s’intensifient. Toutefois, il est bon de rappeler que cette « loi de Godwin » n’a rien de scientifique. Elle se base uniquement sur des observations. Aucune expérience n’a été menée pour valider son hypothèse et il n’existe pas de loi de probabilité propre au sujet.
Le « point Godwin » quant à lui, est énoncé lorsque, dans une discussion, une référence au nazisme est faite alors qu’elle ne s’y prêtait pas. En arriver là signifierait alors qu’il est temps de clore le débat car il n’en sortira plus rien de pertinent.
D’ailleurs, selon Mike Godwin, interrogé par le journal Le Monde, le « point Godwin » serait une invention des francophones. « Ceux-ci parlent de « point Godwin » quand ils atteignent, dans la discussion, le stade de la comparaison avec les nazis : ils se décernent même des « points Godwin » par dérision !, lance-t-il. J’apprécie cette inventivité linguistique, mais, à ma connaissance, cette expression est propre aux francophones. »
Lutter contre le nazisme
Comme le raconte France Culture, en 1994, il expliquait dans le magazine Wired que sa « loi » était une « expérience pour voir s’il était possible de créer une formule virale permettant de lutter contre le recours massif à l’accusation massive de nazisme dans les conversations en ligne ». Pari réussi puisqu’aujourd’hui, parler de nazisme ou de Hitler entraîne presque systématiquement l’utilisation du point Godwin. En ligne comme dans le monde réel.
Toutefois, certaines personnes font exprès de le provoquer. Surtout sur internet où les poursuites judiciaires sont rendues compliquées à cause de l’anonymat. Pour rappel, insulter quelqu’un de « nazi » en France est condamnable et passible d’amendes de plusieurs milliers d’euros. Selon le contexte, ça peut être considéré comme une injure publique ou une diffamation.
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« La vie cachée des plantes ». Un gène transféré d’un champignon à des végétaux a pu les aider à sortir des océans pour conquérir les continents.
On a souvent besoin d’un plus petit que soi. La Fontaine a mis en scène un rat sorti de terre, qui sauve un lion cent fois plus gros que lui. L’évolution des plantes, elle, raconte comment un champignon a pu être l’allié minuscule – et involontaire – des végétaux sortis de l’eau, il y a 500 millions d’années. Ce « complice » leur a cédé un de ses gènes, qui les a ensuite probablement aidés à verdir les continents.
Les effets en cascade de cette péripétie sont faramineux. Bref retour, en accéléré, sur quelque 1,2 milliard d’années d’histoire évolutive. A l’époque, des algues monocellulaires, puis pluricellulaires, apparaissent en milieu aquatique. L’une d’elles, plus tard, gobe une bactérie capable de photosynthèse – et, donc, de convertir le gaz carbonique et l’eau respectivement en sucres et en oxygène. Moment crucial : cette algue est devenue capable de transformer des molécules inorganiques en ressources biologiques. Le signal de départ du prodigieux essor du vivant. Précieuses ressources nutritives, les plantes terrestres ont permis aux herbivores de gagner à leur tour les continents et d’y prospérer – et d’y servir de nourriture aux carnivores.
De la symbiose primordiale entre cette algue ancienne et cette bactérie photosynthétique est née une algue verte qui a peuplé les océans. L’une d’elles, il y a 500 millions d’années, est partie « à la conquête » des terres émergées. Où ses descendants se sont peu à peu diversifiés. Ils ont d’abord donné le groupe des « bryophytes », tous dépourvus de système vasculaire, comme les mousses et les hépatiques. Puis sont apparus des végétaux dotés de vrais vaisseaux. D’abord des fougères, puis les premières plantes à graines : des conifères et leurs cousins. Ensuite fut « inventée » la fleur, aux enjôleuses corolles à l’origine du prodigieux succès des plantes qui les arboraient.
« Transfert horizontal »
Mais quels ont été les caractères innovants qui ont permis aux algues vertes et à leurs descendants de s’adapter aux terres émergées – de s’y arrimer, d’y croître et de buissonner ? Une équipe du CNRS, à l’université de Toulouse, s’est intéressée à une hépatique – genre jusque-là négligé : Marchantia polymorpha. Une espèce de petite taille qui affectionne les milieux humides (d’où son nom, hépatique des fontaines), sans feuilles (elles apparaîtront plus tard), mais avec des thalles, sortes de lames vertes où a lieu la photosynthèse.
Les auteurs ont déchiffré le génome de 130 individus de cette Marchantia, collectés en Europe et aux Etats-Unis. Résultat : sur les 20 000 gènes de cette espèce, quelques dizaines de milliers étaient très variables d’une population à l’autre, « signe qu’ils jouent un rôle dans l’adaptation de la plante à des environnements variés », dit Pierre-Marc Delaux, qui a coordonné l’étude, parue le 17 février dans la revue Nature Genetics. Quelques dizaines de ces gènes semblaient associés à l’adaptation au climat : ils variaient avec les conditions de température et de pluviométrie. « L’un d’eux n’avait pas une origine végétale, poursuit le chercheur, mais on le retrouvait chez un champignon. »
D’où cette hypothèse : l’ancêtre commun à toutes les plantes terrestres aurait acquis ce gène de champignon par « transfert horizontal », une transmission qui a lieu entre deux espèces non apparentées (ici, d’un champignon à une plante). Ce gène – dont la fonction reste inconnue – les aurait ensuite aidées à peupler les continents, en favorisant leur adaptation au climat ou aux microbes pathogènes. A l’appui de cette hypothèse, un constat : « Ce gène, présent chez d’autres plantes terrestres, semble avoir été perdu chez une fougère revenue à la vie aquatique », relève Marc-André Sélosse, du Muséum national d’histoire naturelle à Paris.
« Très tôt, les plantes terrestres ont été au contact de deux types de champignons, explique Marc-André Sélosse : des pathogènes ou des partenaires qui établissaient avec elles des symbioses nourricières, avant même l’apparition des racines. Cette proximité ancienne a pu favoriser ce transfert de gène. »
Pour autant, ce gène est loin d’être seul impliqué. « Il a fallu beaucoup d’innovations pour que les plantes puissent se développer sur les milieux terrestres », admet Pierre-Marc Delaux.
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