Un outils d'analyse de disque orienté forensics (investigations) qui peut être complémentaire à PhotoRec : à partir d'une image disque il peut analyser l'activité chronologiquement, effectuer des recherches par mot-clé, afficher les images et vidéos, rechercher les fichiers par type, afficher l'historique de navigation, téléchargements...
(Permalink)
Vue lecture
Etats-Unis : près de six Américains sur dix ont honte de Trump et un quart de ses électeurs regrette son vote – Libération
> Mais cent jours après son investiture, on découvre que cette gestion erratique des affaires des Etats-Unis et du monde provoque des aigreurs jusque dans les rangs des républicains en général et même parmi ceux qui ont voté pour Donald Trump en novembre dernier.
> Selon un sondage Ifop réalisé pour le site d’informations touristiques NYC.eu dont Libération a eu la primeur ce mardi 29 avril, près d’un quart des sympathisants républicains (23 %) dit avoir honte de leur président.
> Quand on élargit la focale à tous les Américains, les statistiques sont encore plus spectaculaires : trois mois après sa réinstallation à la tête du pays, près de six Américains sur dix (56 %) disent ressentir de la honte à l’égard de Donald Trump. Ce sentiment pas ordinaire à l’égard d’un chef d’Etat démocratiquement élu est encore plus prégnant chez les plus jeunes (60 % des moins de 25 ans l’éprouvent), les plus favorisés (60 % parmi les CSP +), et les personnes noires (69 %).
> Cette honte fait tache d’huile, passant du Président au pays : 38 % des sondés déclarent avoir honte d’être américains aujourd’hui, en raison des décisions prises par l’administration Trump. Ce «sentiment d’humiliation nationale», comme l’écrit l’Ifop, frappe plus massivement les plus jeunes (51 %) et les plus diplômés (42 %) mais il «affecte aussi des citoyens généralement plus marqués à droite comme ceux se disant très patriotes (34 %)».
(Permalink)
> Selon un sondage Ifop réalisé pour le site d’informations touristiques NYC.eu dont Libération a eu la primeur ce mardi 29 avril, près d’un quart des sympathisants républicains (23 %) dit avoir honte de leur président.
> Quand on élargit la focale à tous les Américains, les statistiques sont encore plus spectaculaires : trois mois après sa réinstallation à la tête du pays, près de six Américains sur dix (56 %) disent ressentir de la honte à l’égard de Donald Trump. Ce sentiment pas ordinaire à l’égard d’un chef d’Etat démocratiquement élu est encore plus prégnant chez les plus jeunes (60 % des moins de 25 ans l’éprouvent), les plus favorisés (60 % parmi les CSP +), et les personnes noires (69 %).
> Cette honte fait tache d’huile, passant du Président au pays : 38 % des sondés déclarent avoir honte d’être américains aujourd’hui, en raison des décisions prises par l’administration Trump. Ce «sentiment d’humiliation nationale», comme l’écrit l’Ifop, frappe plus massivement les plus jeunes (51 %) et les plus diplômés (42 %) mais il «affecte aussi des citoyens généralement plus marqués à droite comme ceux se disant très patriotes (34 %)».
(Permalink)
Une commission d’experts conseille de proscrire les écrans avant l’âge de 6 ans – Libération
> «En 2025, le doute n’est plus permis et les très nombreuses publications scientifiques internationales sont là pour nous le rappeler : ni la technologie de l’écran ni ses contenus, y compris ceux prétendument éducatifs ne sont adaptés à un petit cerveau en développement», affirment les signataires. Ils ajoutent que les écrans «entravent et altèrent la construction» du cerveau de l’enfant. Même s’ils affirment ne «pas diaboliser les outils numériques et leur usage», les signataires insistent sur le fait «qu’il y a un âge pour tout».
(Permalink)
(Permalink)
États-Unis : Les 100 premiers jours de Trump, une série d’attaques contre les droits | Human Rights Watch
Via le shaare précédent : une rétrospective des 100 premiers jours de Trump.
(Permalink)
(Permalink)
Droits humains : Amnesty alerte sur un monde au bord du précipice | Mediapart
Si vous me lisez depuis toujours (statistiquement, cet oiseau rare doit bien exister), vous savez que je suis extrêmement pessimiste sur l'avenir du monde.
Mais cette fois, ça y est, on a atteint le point de bascule, et c'est Amnesty qui le dit.
> C’est un monde au bord d’un précipice à la fois liberticide, autoritaire et xénophobe qu’Amnesty International décrit, mardi 29 avril, dans son rapport annuel sur la situation des droits humains. Un rapport en forme de cri d’alarme et d’ultime appel au sursaut avant que nos sociétés n’entrent définitivement dans une nouvelle ère sombre.
Génocide palestinien, climat, censure, guerres, famines, inégalités, répressions des libertés et des oppositions... et
> Une année qui s’est en outre conclue par la réélection de Donald Trump à la Maison-Blanche et l’arrivée au pouvoir aux États-Unis de l’extrême droite américaine qui, depuis, a commencé à appliquer sa politique xénophobe et discriminatoire avec une violence jamais vue.
[...]
> Mais « ne nous trompons pas, alerte la secrétaire générale d’Amnesty. Donald Trump n’est pas seul en cause. Les racines du mal sont beaucoup plus profondes. Et, à moins d’une résistance concertée et courageuse, ce tournant historique se transformera en une véritable mutation : il ne s’agira plus d’une époque de changement, mais d’un changement d’époque ».
(Permalink)
Mais cette fois, ça y est, on a atteint le point de bascule, et c'est Amnesty qui le dit.
> C’est un monde au bord d’un précipice à la fois liberticide, autoritaire et xénophobe qu’Amnesty International décrit, mardi 29 avril, dans son rapport annuel sur la situation des droits humains. Un rapport en forme de cri d’alarme et d’ultime appel au sursaut avant que nos sociétés n’entrent définitivement dans une nouvelle ère sombre.
Génocide palestinien, climat, censure, guerres, famines, inégalités, répressions des libertés et des oppositions... et
> Une année qui s’est en outre conclue par la réélection de Donald Trump à la Maison-Blanche et l’arrivée au pouvoir aux États-Unis de l’extrême droite américaine qui, depuis, a commencé à appliquer sa politique xénophobe et discriminatoire avec une violence jamais vue.
[...]
> Mais « ne nous trompons pas, alerte la secrétaire générale d’Amnesty. Donald Trump n’est pas seul en cause. Les racines du mal sont beaucoup plus profondes. Et, à moins d’une résistance concertée et courageuse, ce tournant historique se transformera en une véritable mutation : il ne s’agira plus d’une époque de changement, mais d’un changement d’époque ».
(Permalink)
Ah si j’étais pape ! par Luc Le Vaillant – Libération
> Ensuite, j’autoriserai l’avortement et l’euthanasie afin de paniquer le mouvement pro-vie avant de décréter que les migrants embarquant sur des embarcations de fortune commettent un suicide maritime et ne pourront bénéficier de mon absolution, ce qui énervera les no-borders et le patronat qui croyaient que l’Eglise était contre les frontières.
> Je lancerai une opération de défaisance du patrimoine immobilier de la Catholica Incorporated. Je proclamerai, urbi et orbi, qu’il importe de retrouver le dénuement des premiers temps. Evidemment, je m’arrangerai pour faire fuiter qu’il s’agit surtout d’engraisser mes comptes en Suisse. Ceci histoire de plomber la réputation d’une religion qui préfère le paradis quand il est défiscalisé.
> Je béatifierai les pires crapules, ce qui verra fulminer les anges de la miséricorde qui ont parfois la bonté éradicatrice. Dans le souci de propager aussi la zizanie dans le camp tradi, je bénirai les mariages gays, baptiserai les enfants issus de GPA et de PMA et consacrerai les femmes prêtres.
> J’installerai un cinéma en plein air sur la place Saint-Pierre et je ferai projeter la Dernière Tentation du Christ de Scorsese et Je vous salue Marie de Godard, et puis aussi la série The Young Pope car j’aime qu’on me confonde avec le beau Jude Law. Histoire d’offenser les puritains de tous bords, engeance qui se répand tous azimuts, je diffuserai sur ma chaine YouTube les orgies perpétuelles que j’organiserai en la basilique Sainte-Marie-Majeur. L’on y dansera la salsa du démon sur la tombe de François, mon prédécesseur. Il y aura là des TDS et des Femen, les copines de Marie-Madeleine et les sœurs de la perpétuelle indulgence, des hétaïres non binaires et des gitons mignons qui, déjà, fouettaient les fesses molles du bon marquis de Sade.
(Permalink)
> Je lancerai une opération de défaisance du patrimoine immobilier de la Catholica Incorporated. Je proclamerai, urbi et orbi, qu’il importe de retrouver le dénuement des premiers temps. Evidemment, je m’arrangerai pour faire fuiter qu’il s’agit surtout d’engraisser mes comptes en Suisse. Ceci histoire de plomber la réputation d’une religion qui préfère le paradis quand il est défiscalisé.
> Je béatifierai les pires crapules, ce qui verra fulminer les anges de la miséricorde qui ont parfois la bonté éradicatrice. Dans le souci de propager aussi la zizanie dans le camp tradi, je bénirai les mariages gays, baptiserai les enfants issus de GPA et de PMA et consacrerai les femmes prêtres.
> J’installerai un cinéma en plein air sur la place Saint-Pierre et je ferai projeter la Dernière Tentation du Christ de Scorsese et Je vous salue Marie de Godard, et puis aussi la série The Young Pope car j’aime qu’on me confonde avec le beau Jude Law. Histoire d’offenser les puritains de tous bords, engeance qui se répand tous azimuts, je diffuserai sur ma chaine YouTube les orgies perpétuelles que j’organiserai en la basilique Sainte-Marie-Majeur. L’on y dansera la salsa du démon sur la tombe de François, mon prédécesseur. Il y aura là des TDS et des Femen, les copines de Marie-Madeleine et les sœurs de la perpétuelle indulgence, des hétaïres non binaires et des gitons mignons qui, déjà, fouettaient les fesses molles du bon marquis de Sade.
(Permalink)
Etats-Unis : près de six Américains sur dix ont honte de Trump et un quart de ses électeurs regrette son vote – Libération
> Mais cent jours après son investiture, on découvre que cette gestion erratique des affaires des Etats-Unis et du monde provoque des aigreurs jusque dans les rangs des républicains en général et même parmi ceux qui ont voté pour Donald Trump en novembre dernier.
> Selon un sondage Ifop réalisé pour le site d’informations touristiques NYC.eu dont Libération a eu la primeur ce mardi 29 avril, près d’un quart des sympathisants républicains (23 %) dit avoir honte de leur président.
> Quand on élargit la focale à tous les Américains, les statistiques sont encore plus spectaculaires : trois mois après sa réinstallation à la tête du pays, près de six Américains sur dix (56 %) disent ressentir de la honte à l’égard de Donald Trump. Ce sentiment pas ordinaire à l’égard d’un chef d’Etat démocratiquement élu est encore plus prégnant chez les plus jeunes (60 % des moins de 25 ans l’éprouvent), les plus favorisés (60 % parmi les CSP +), et les personnes noires (69 %).
> Cette honte fait tache d’huile, passant du Président au pays : 38 % des sondés déclarent avoir honte d’être américains aujourd’hui, en raison des décisions prises par l’administration Trump. Ce «sentiment d’humiliation nationale», comme l’écrit l’Ifop, frappe plus massivement les plus jeunes (51 %) et les plus diplômés (42 %) mais il «affecte aussi des citoyens généralement plus marqués à droite comme ceux se disant très patriotes (34 %)».
(Permalink)
> Selon un sondage Ifop réalisé pour le site d’informations touristiques NYC.eu dont Libération a eu la primeur ce mardi 29 avril, près d’un quart des sympathisants républicains (23 %) dit avoir honte de leur président.
> Quand on élargit la focale à tous les Américains, les statistiques sont encore plus spectaculaires : trois mois après sa réinstallation à la tête du pays, près de six Américains sur dix (56 %) disent ressentir de la honte à l’égard de Donald Trump. Ce sentiment pas ordinaire à l’égard d’un chef d’Etat démocratiquement élu est encore plus prégnant chez les plus jeunes (60 % des moins de 25 ans l’éprouvent), les plus favorisés (60 % parmi les CSP +), et les personnes noires (69 %).
> Cette honte fait tache d’huile, passant du Président au pays : 38 % des sondés déclarent avoir honte d’être américains aujourd’hui, en raison des décisions prises par l’administration Trump. Ce «sentiment d’humiliation nationale», comme l’écrit l’Ifop, frappe plus massivement les plus jeunes (51 %) et les plus diplômés (42 %) mais il «affecte aussi des citoyens généralement plus marqués à droite comme ceux se disant très patriotes (34 %)».
(Permalink)
Une commission d’experts conseille de proscrire les écrans avant l’âge de 6 ans – Libération
> «En 2025, le doute n’est plus permis et les très nombreuses publications scientifiques internationales sont là pour nous le rappeler : ni la technologie de l’écran ni ses contenus, y compris ceux prétendument éducatifs ne sont adaptés à un petit cerveau en développement», affirment les signataires. Ils ajoutent que les écrans «entravent et altèrent la construction» du cerveau de l’enfant. Même s’ils affirment ne «pas diaboliser les outils numériques et leur usage», les signataires insistent sur le fait «qu’il y a un âge pour tout».
(Permalink)
(Permalink)
États-Unis : Les 100 premiers jours de Trump, une série d’attaques contre les droits | Human Rights Watch
Via le shaare précédent : une rétrospective des 100 premiers jours de Trump.
(Permalink)
(Permalink)
Droits humains : Amnesty alerte sur un monde au bord du précipice | Mediapart
Si vous me lisez depuis toujours (statistiquement, cet oiseau rare doit bien exister), vous savez que je suis extrêmement pessimiste sur l'avenir du monde.
Mais cette fois, ça y est, on a atteint le point de bascule, et c'est Amnesty qui le dit.
> C’est un monde au bord d’un précipice à la fois liberticide, autoritaire et xénophobe qu’Amnesty International décrit, mardi 29 avril, dans son rapport annuel sur la situation des droits humains. Un rapport en forme de cri d’alarme et d’ultime appel au sursaut avant que nos sociétés n’entrent définitivement dans une nouvelle ère sombre.
Génocide palestinien, climat, censure, guerres, famines, inégalités, répressions des libertés et des oppositions... et
> Une année qui s’est en outre conclue par la réélection de Donald Trump à la Maison-Blanche et l’arrivée au pouvoir aux États-Unis de l’extrême droite américaine qui, depuis, a commencé à appliquer sa politique xénophobe et discriminatoire avec une violence jamais vue.
[...]
> Mais « ne nous trompons pas, alerte la secrétaire générale d’Amnesty. Donald Trump n’est pas seul en cause. Les racines du mal sont beaucoup plus profondes. Et, à moins d’une résistance concertée et courageuse, ce tournant historique se transformera en une véritable mutation : il ne s’agira plus d’une époque de changement, mais d’un changement d’époque ».
(Permalink)
Mais cette fois, ça y est, on a atteint le point de bascule, et c'est Amnesty qui le dit.
> C’est un monde au bord d’un précipice à la fois liberticide, autoritaire et xénophobe qu’Amnesty International décrit, mardi 29 avril, dans son rapport annuel sur la situation des droits humains. Un rapport en forme de cri d’alarme et d’ultime appel au sursaut avant que nos sociétés n’entrent définitivement dans une nouvelle ère sombre.
Génocide palestinien, climat, censure, guerres, famines, inégalités, répressions des libertés et des oppositions... et
> Une année qui s’est en outre conclue par la réélection de Donald Trump à la Maison-Blanche et l’arrivée au pouvoir aux États-Unis de l’extrême droite américaine qui, depuis, a commencé à appliquer sa politique xénophobe et discriminatoire avec une violence jamais vue.
[...]
> Mais « ne nous trompons pas, alerte la secrétaire générale d’Amnesty. Donald Trump n’est pas seul en cause. Les racines du mal sont beaucoup plus profondes. Et, à moins d’une résistance concertée et courageuse, ce tournant historique se transformera en une véritable mutation : il ne s’agira plus d’une époque de changement, mais d’un changement d’époque ».
(Permalink)
Ah si j’étais pape ! par Luc Le Vaillant – Libération
> Ensuite, j’autoriserai l’avortement et l’euthanasie afin de paniquer le mouvement pro-vie avant de décréter que les migrants embarquant sur des embarcations de fortune commettent un suicide maritime et ne pourront bénéficier de mon absolution, ce qui énervera les no-borders et le patronat qui croyaient que l’Eglise était contre les frontières.
> Je lancerai une opération de défaisance du patrimoine immobilier de la Catholica Incorporated. Je proclamerai, urbi et orbi, qu’il importe de retrouver le dénuement des premiers temps. Evidemment, je m’arrangerai pour faire fuiter qu’il s’agit surtout d’engraisser mes comptes en Suisse. Ceci histoire de plomber la réputation d’une religion qui préfère le paradis quand il est défiscalisé.
> Je béatifierai les pires crapules, ce qui verra fulminer les anges de la miséricorde qui ont parfois la bonté éradicatrice. Dans le souci de propager aussi la zizanie dans le camp tradi, je bénirai les mariages gays, baptiserai les enfants issus de GPA et de PMA et consacrerai les femmes prêtres.
> J’installerai un cinéma en plein air sur la place Saint-Pierre et je ferai projeter la Dernière Tentation du Christ de Scorsese et Je vous salue Marie de Godard, et puis aussi la série The Young Pope car j’aime qu’on me confonde avec le beau Jude Law. Histoire d’offenser les puritains de tous bords, engeance qui se répand tous azimuts, je diffuserai sur ma chaine YouTube les orgies perpétuelles que j’organiserai en la basilique Sainte-Marie-Majeur. L’on y dansera la salsa du démon sur la tombe de François, mon prédécesseur. Il y aura là des TDS et des Femen, les copines de Marie-Madeleine et les sœurs de la perpétuelle indulgence, des hétaïres non binaires et des gitons mignons qui, déjà, fouettaient les fesses molles du bon marquis de Sade.
(Permalink)
> Je lancerai une opération de défaisance du patrimoine immobilier de la Catholica Incorporated. Je proclamerai, urbi et orbi, qu’il importe de retrouver le dénuement des premiers temps. Evidemment, je m’arrangerai pour faire fuiter qu’il s’agit surtout d’engraisser mes comptes en Suisse. Ceci histoire de plomber la réputation d’une religion qui préfère le paradis quand il est défiscalisé.
> Je béatifierai les pires crapules, ce qui verra fulminer les anges de la miséricorde qui ont parfois la bonté éradicatrice. Dans le souci de propager aussi la zizanie dans le camp tradi, je bénirai les mariages gays, baptiserai les enfants issus de GPA et de PMA et consacrerai les femmes prêtres.
> J’installerai un cinéma en plein air sur la place Saint-Pierre et je ferai projeter la Dernière Tentation du Christ de Scorsese et Je vous salue Marie de Godard, et puis aussi la série The Young Pope car j’aime qu’on me confonde avec le beau Jude Law. Histoire d’offenser les puritains de tous bords, engeance qui se répand tous azimuts, je diffuserai sur ma chaine YouTube les orgies perpétuelles que j’organiserai en la basilique Sainte-Marie-Majeur. L’on y dansera la salsa du démon sur la tombe de François, mon prédécesseur. Il y aura là des TDS et des Femen, les copines de Marie-Madeleine et les sœurs de la perpétuelle indulgence, des hétaïres non binaires et des gitons mignons qui, déjà, fouettaient les fesses molles du bon marquis de Sade.
(Permalink)
Pourquoi, désormais, j’utiliserai le terme «islamophobie» – Libération - Choses vues, sur le web et ailleurs
L'islamophobie est le nouvel antisémitisme.
(Permalink)
(Permalink)
Pay to be allowed
« - payer pour avoir le droit d'utiliser un logiciel propriétaire.
- payer pour avoir le droit d'arrêter d'utiliser un logiciel propriétaire.
Les gens sont tellement soumis. »
(En image, une copie d'écran d'un message d'Adobe signalant qu'il faut payer 59,39 dollars pour arrêter les prélèvements automatiques.)
(Permalink)
- payer pour avoir le droit d'arrêter d'utiliser un logiciel propriétaire.
Les gens sont tellement soumis. »
(En image, une copie d'écran d'un message d'Adobe signalant qu'il faut payer 59,39 dollars pour arrêter les prélèvements automatiques.)
(Permalink)
Duolingo will replace contract workers with AI | The Verge
Duolingo : « Pour enseigner efficacement, nous devons créer une quantité massive de contenu, et le faire manuellement ne permet pas de s'adapter. L'une des meilleures décisions que nous avons prises récemment a été de remplacer un processus de création de contenu lent et manuel par un processus alimenté par l'IA. »
Il est donc temps de fermer son compte Duolingo .
(Permalink)
Il est donc temps de fermer son compte Duolingo .
(Permalink)
People can change - annie's blog
Témoignage d'une bigote repentie qui a compris que sa religion prônait la soumission et la haine.
(Permalink)
(Permalink)