Signer pour une BMW 850i boîte manuelle promet normalement de belles virées sur les routes. Cela dit, cet exemplaire disponible à la vente dispose d'une configuration qui désamorce toute envie d'y accorder le moindre kopeck.
2e lors de l'édition 2024, le pilote belge Guillaume de Mevius affiche ses ambitions pour cette édition du Dakar 2025 en Arabie saoudite. Il envisage de faire aussi bien alors que la concurrence s'annonce rude.
Le Dakar 2025 s'approche à grands pas. Il débutera dans une dizaine de jours en Arabie saoudite. Au rang des favoris de cette édition, on trouve Sébastien Loeb bien sûr mais aussi Carlos Sainz, le tenant du titre, Nasser Al-Attiyah mais également Guillaume de Mevius. Dauphin du pilote espagnol au début de l'année 2024, le pilote belge au volant d'une Toyota va tenter de briller autant que lors de sa 3e participation. Il ne s'en est d'ailleurs pas caché dans une interview sur le site de Red Bull publié ce lundi 23 décembre :
“Mon ambition est claire : j'ai terminé deuxième, donc la prochaine étape logique est de gagner. Mais il faut rester réaliste. Le Dakar est une course où l'expérience joue un rôle clé, et je suis encore jeune. Si je finis à nouveau sur le podium cette année, ce sera déjà un excellent résultat”.
Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb
Gommer ses points faibles pour gagner
Dans cette même interview, il aborde les points sur lesquels il peut progresser. Notamment la compensation de son manque d'expérience en profitant de celle de son co-pilote :
“Il y a certaines situations où je manque encore d'expérience. Mon nouveau copilote m'aidera certainement à prendre rapidement les bonnes décisions. Et comme tout le monde, je peux toujours apprendre à aller encore plus vite. Dans les dunes, par exemple, il faut parfois une technique de conduite très spécifique, et je peux encore m'améliorer là-dessus”.
Lire aussi - Dakar 2025 : 5 choses que vous ne saviez pas sur... Sébastien Loeb
Un des favoris selon Luc Alphand
Le nom de Guillaume de Mévius comme vainqueur possible a été cité par un ancien vainqueur du rallye-raid, Luc Alphand :
“J'aime bien Guillaume de Mévius parce que j'ai couru avec son père, il finit quand même 2e du Dakar l'année dernière. Ce n'est pas n'importe qui. C'est quelqu'un qui peut aller très vite, qui a récupéré un bon co-pilote avec Mathieu Bommel. C'est un équipage qui peut surprendre avec une voiture qu'on connait très bien, la Toyota, qui est peut-être moins évoluée que les autres mais qui a déjà gagné le Dakar”.
Et s'il venait à remporter l'épreuve, ce serait le premier belge à le faire depuis 1983 et un certain Jacky Ickx. Forcément une donnée que le pilote a en tête ? Pas sûr :
“Pas encore vraiment, mais je vais tout faire pour suivre son exemple ! Je n'ai pas encore totalement intégré que c'est réellement possible, mais je vais donner le maximum pour décrocher cette victoire”.
Crédit photo - A.S.O./Julien Delfosse/DPPI
Alors que Nissan entame officiellement ses discussions officielles avec Honda, Renault prend acte de cet éloignement en préparation. Bientôt la fin d’une histoire d’amour aux dernières années tumultueuses.
On n'arrête plus les constructeurs venus de Chine. En 2025, de nouveaux entrants vont faire leur arrivée en Europe. Polestar ou encore Firefly, nouvelle et troisième marque du groupe Nio, lequel est déjà présent chez certains de nos pays européens et pourrait justement faire son entrée dans l'Hexagone à cette même période. La Firefly pourrait-elle débarquer un peu avant. Chez nous aussi ?
Des atouts pour l'Europe et la France
Que le Vieux Continent soit considéré de très près par le premier modèle de Firefly qui porte le même nom que la marque, cela se comprend. Avec ses dimensions réduites (non précisées, mais elles se situeraient quelque part entre une Mini et le SUV Smart #1), son look sympathique à mi-chemin entre la Mini Cooper électrique (qui serait clairement sa concurrente principale) et la Honda e dessiné en Europe par un ancien de chez BMW et ses motorisations électriques, elle a de sérieux atouts pour s'imposer.
Petite mais pratique, elle dispose - chose unique dans la catégorie - d'un petit coffre sous le capot avant (un frunk, pour les connaisseurs) d'un beau volume : 92 litres. On connaît également la valeur du coffre avec les sièges repliés : 1 250 litres (c'est mieux que le Smart #1 et ses 986 litres).
Hélas, c'est tout ce que nous savons à son sujet. Puissance des moteurs, architecture de traction ou de propulsion, nombre de batteries proposées (une ou plusieurs, capacité), rien n'a été été précisé à ce stade.
Voir aussi - notre page dédiée aux nouveautés et essais Nio
Un prix plus agressif
Si, une chose tout de même, le prix de base annoncé à 148 800 yuans (environ 19 600 €), un peu plus bas qu'une Mini Cooper électrique de base (189 800 ¥, autour de 25 000 €). Comme toujours, il est agressif.
Elle sera lancée dès le mois d'avril en Chine et sa venue en Europe - on l'a dit - est déjà actée. Reste à savoir si la France sera concernée. Une production en Chine serait un frein entre des droits de douane trop élevés au niveau européen et la quasi-certitude qu'elle ne soit pas éligible au bonus dans l'Hexagone.
Alfa Romeo profite d’une petite vidéo de célébration pour montrer les premiers détails du style de son prochain SUV. Bon, pour l’instant il faut se contenter d’un seul détail à vrai dire.
La stratégie de renouveau d'Alfa Romeo n'a pas encore porté ses fruits sur le plan commercial. Il n'empêche que le constructeur italien a quelques atouts dans sa manche pour faire parler d'elle l'année prochaine.
Comme beaucoup de constructeurs, l'année 2024 est difficile pour Alfa Romeo. Ses ventes sont en recul. De l'ordre de 13% à l'échelle européenne. Le Tonale et le nouveau Junior n'ont pas encore permis au constructeur de retrouver sa gloire d'antan. Toutefois, ce sont deux modèles sur lesquels elle compte en 2025 pour retrouver des couleurs. Et pas seulement. On fait le point sur ce qu'Alfa Romeo pourrait / devrait annoncer l'année prochaine.
Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Alfa Romeo
Les sanctions économiques contre la Russie interdisent formellement d'exporter des voitures neuves vers le pays dirigé par Vladimir Poutine. Une règle qui n'a pas empêché les employés d'une succursale BMW d'envoyer une centaine de véhicules avant de se faire repérer.
Le SUV compact électrique va changer de nom au Canada. Se peut-il que ce soit le cas ailleurs ? Nos pronostics.
Si Toyota est le maître incontesté de la technologie hybride auto-rechargeable, le constructeur japonais brille moins sur les autres formes d'électrification. Des véhicules hybrides rechargeables et électriques, il y en a bien quelques-uns mais peu.
La gamme zéro émission ne comprend ainsi que des véhicules utilitaires conçus en partenariat avec Stellantis et un modèle 100 % Toyota… qui peine à se faire un nom dans la catégorie des SUV compacts électriques. Depuis le début de l'année, 22 559 exemplaires ont été immatriculés… en Europe. Le Tesla Model Y, bien qu'en petite forme, peut dormir sur ses deux oreilles avec 180 682 unités écoulées sur la même période.
Un manque de succès qui fait qu'on s'interroge en interne. Parmi les possibles raisons expliquant son manque de succès, il y aurait son appellation complexe.
Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Toyota
Beyond zero
Une appellation qui nécessite - il est vrai - un décryptage pour la comprendre. “bZ” est la contraction de “beyond Zero” car ce modèle est zéro émission. “4” car il s'agit d'un véhicule de taille moyenne. Plus on descend en gamme et plus on s'approche du zéro et inversement. Enfin, il peut y avoir une lettre supplémentaire comme ici un “X” signifiant qu'il est un crossover. Mais on peut également trouver un “C” pour coupé.
Selon nos confrères québécois de Motor Illustrated, cette complexité aurait convaincu Toyota de revoir sa copie. Le responsable Toyota de la zone Québec et Canada Atlantique a ainsi annoncé qu'il va bientôt changer de nom.
Voir aussi - notre page dédiée au Toyota bZ4X
Pas avant 2026 sans doute
Ce ne serait pas exactement pour tout de suite. Sachant que le millésime 2025 a déjà été lancé, les paris sont lancés sur le modèle 2026. Il n'est pas dit que ce changement se fasse partout dans le monde. Pourtant, nous avons des raisons d'y croire.
Lire aussi - Nouveau RAV4, Urban Cruiser électrique, Yaris, etc. Quelles nouveautés chez Toyota en 2025
Le cas de l'Urban Cruiser
Récemment, Toyota a levé le voile sur son tout nouveau véhicule 100 % électrique. Tout le monde imaginait qu'il allait prendre l'appellation bZ2X. Et pourtant, la marque nippone a préféré ressortir une vieille appellation du placard, Urban Cruiser. Un nom qui avait été porté par un SUV urbain vers la fin des années 1990 et qui n'avait pas rencontré le succès escompté.
Dans ces conditions, et sachant que le bZ4X devrait justement être restylé dans le courant de l'année à venir, on verrait bien Toyota en profiter pour modifier le nom de son SUV zéro émission.
Source.
Le SUV nippon a passé la barre du million d’exemplaires produits. En misant sur sa technologie hybride et un look singulier, mais fort, Toyota a réussi son pari.
Il disperse façon puzzle. L’ex-patron de Renault Nissan crache sur ses ennemis, comme le lama de Tintin, dans l’interview qu’il a donné à l’agence Bloomberg. Sous couvert de livrer une analyse sur la fusion en vue entre Nissan et Honda, le franco-libano-brésilien n’en finit plus de régler ses comptes.
Reprenant à son compte la colère des succursales locales du groupe Stellantis, un sénateur américain estime que le géant de l’automobile doit redonner leur indépendance à Dodge, Chrysler, Jeep et Ram pour garantir leur avenir.
Isack Hadjar sera le nouveau visage de la France en Formule 1 mais également de Red Bull. Il dispose d'un contrat d'un an pour faire ses preuves et poursuivre son engagement avec l'écurie Racing Bulls. Et il existe des conditions très précises pour qu'il poursuive son aventure dans la discipline. Les voici.
On le sait, Red Bull est impitoyable avec ses pilotes. Une filière d'excellence qui peut parfois faire de gros dégâts dans ses rangs mais produire également de très grands champions. Max Verstappen en est le meilleur exemple. En 2025, un nouveau pilote de la filière Red Bull fera ses débuts en F1. Il s'agit d'Isack Hadjar. Le jeune homme de 20 ans vient d'être titularisé par Racing Bulls, sous la protection de Helmut Marko. Mais si piloter en F1 est une chance pour le talentueux jeune homme, elle est également synonyme d'une énorme pression. Isack Hadjar n'aura que quelques courses pour convaincre les patrons de Red Bull de le conserver en 2026.
Voir aussi - notre page dédiée à la saison 2024 de Formule 1
Un contrat d'un an avec une seconde en option
Ainsi, selon les informations de Sportune, Isack Hadjar ne disposerait que d'un contrat d'un an avec une seconde année en option. Et celle-ci serait conditionnée à un certain nombre de points à inscrire par rapport à son équipier, Yuki Tsunoda.
Concrètement, Isack Hadjar devra inscrire 70% des points de son coéquipier avant la trêve 2025, soit le 14e Grand Prix de la saison en Hongrie. S'il y parvient, son contrat sera automatiquement prolongé d'un an. Dans les faits, si Yuki Tsunoda marque 10 points d'ici au Grand Prix de Hongrie, Isack Hadjar devra en avoir inscrit 7.
Lire aussi - Saison 2025 de F1 : découvrez les pilotes qui composeront la grille l'année prochaine
Un salaire annuel de moins d'un million d'euros
Sportune livre également des informations sur le salaire du jeune pilote Racing Bulls pour 2025. Selon le média, Isack Hadjar touchera 800 000€ pour cette première année de contrat. À cela s'ajoutent sans doute des primes en fonction des résultats. Si son contrat est prolongé en 2026, cette rémunération augmentera sans doute.
Crédit photo : Dutch Photo Agency / Red Bull Pool Content
En poursuivant une moto prise en grand excès de vitesse, un gendarme au volant d’une Alpine A110 l’a percuté en tuant ses deux occupants. La situation a aussi créé un suraccident qui a blessé cinq autres personnes.
Comme dans toutes les grandes villes de France, la ZFE lyonnaise évolue au 1er janvier prochain. Principale conséquence, des dizaines de milliers de voitures ne pourront plus y circuler à partir de 2025. On fait le point sur ces interdictions.
À partir du 1er janvier prochain, les voitures Crit'Air 3 ne sont plus autorisées à rouler dans la ZFE du Grand Lyon. Concrètement, ce sont les voitures Diesel immatriculées avant le 1er janvier 2011 et avant le 1er janvier pour les véhicules essence. Cela exclut 60 000 nouvelles voitures selon l'Insee. Ce qui porte le total à plus de 305 000.
Lire aussi - ZFE : plus de 2,7 millions de voitures bannies en 2025, êtes-vous concerné ?
Existent-ils des dérogations ?
Oui. La métropole du Grand Lyon met en place deux dérogations pour les automobilistes qui n'ont théoriquement plus le droit de rouler dans la ZFE. La première porte le nom de “petit rouleur”. Elle donne le droit à s'introduire dans cet espace “protégé” 52 fois dans l'année. Soit une fois par semaine en moyenne. Elle est éligible pour les particuliers et les professionnels.
La seconde vient d'être annoncée. Elle concerne les personnes qui travaillent en horaires décalés et possèdent un véhicule Crit'Air 3. Une attestation qui doit être fournie par l'employeur. Elle est valable un an et renouvelable une seule fois.
Le périmètre de la ZFE du Grand Lyon
La ZFE du Grand Lyon regroupe plusieurs communes et plusieurs axes routiers. Elle est active 24h/24 et 7j/7 contrairement à la ZFE du Grand Paris par exemple qui se veut plus souple.
Les communes concernées par la ZFE
Lyon
Caluire-et-cuire
Villeurbanne
Bron
Vennissieux
Les voies concernées par la ZFE
M6
M7
Boulevard périphérique Nord Lyon
Boulevard périphérique Laurent Bonnevay
Quelles amendes en cas de non-respect ?
Sur le papier, le fait de ne pas respecter les restrictions de la ZFE est passible d'une amende de 68 euros pour les deux roues, les voitures particulières et les utilitaires légers (VUL). Elle grimpe à 135 euros pour les poids lourds, cars et autocars.
4e marque la plus vendue sur notre territoire, Toyota est en pleine forme. L'année prochaine, elle pourra compter sur de nombreuses nouveautés, dont deux très importantes.
Sur un marché en baisse de presque 24 % depuis le début de l'année, Toyota fait mieux que se défendre avec des ventes en progression de près de 22 %. Son secret ? Toujours le même, l'hybridation. Alors que les modèles électriques stagnent sur le plan commercial, freinés par une conjoncture non favorable et de nombreuses incertitudes quant à leur avenir (tous les constructeurs reviennent en arrière sur leur stratégie d'électrification), les Français font néanmoins attention à leurs rejets de CO2 et l'hybride gagne toujours plus de terrain avec 41,8 % de part de marché pour toutes les formes cumulées (légère, full hybrid et hybride rechargeable).
La marque nippone en profite clairement avec ses Yaris et Yaris Cross qui se vendent toujours aussi bien, le dernier venu ne cannibalisant pas les ventes de l'autre - ce qui est assez rare pour être souligné. Le nouveau C-HR pullule déjà sur nos routes. Quant à la Corolla, elle continue à progresser malgré son grand âge (elle a été lancée en 2018).
En résumé, l'avenir est plutôt radieux. Et, de toute façon, elle pourra compter sur une ribambelle de nouveautés en 2025 pour conforter ce beau succès.
Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Toyota
Si les négociations se passent bien, la nouvelle entité rassemblant Honda, Nissan et Mitsubishi pourrait devenir le troisième plus gros constructeur du monde derrière Toyota et Volkswagen.
Journaliste-essayeur de la rédaction de Caradisiac, Alan Froli dresse son bilan de l'année écoulée, avec ses bonnes et mauvaises surprises, tant en matière d'actualité produit que de politique en lien avec l'automobile.
Sur le papier, la citadine électrique Firefly du Chinois Nio possède tout pour battre les Renault 5 E-Tech et autres Citroën ë-C3. Et justement, elle doit arriver.
Lancé en même temps que la mini-citadine T03 a fait son retour, le SUV compact n'était jusque-là disponible qu'en électrique. Une nouvelle variante avec prolongateur d'autonomie sera lancée au Salon de l'automobile de Bruxelles.
Même si l'on avait appris aux essais presse des T03 et C10 que Leapmotor - la nouvelle acquisition d'origine chinoise du géant automobile - pourrait lancer des voitures électriques avec prolongateur d'autonomie, nous ignorions que le SUV familial C10 serait le premier à profiter de cette solution. Ce sera le cas et il sera exposé au Salon de l'automobile de Bruxelles en janvier.
Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Leapmotor
Le Leapmotor C10, c'est quoi déjà ?
Pour rappel, le C10 est un SUV de grande taille (4,74 m) ayant dans son viseur des modèles comme le Peugeot e-5008 (4,79 m) ou le Tesla Model Y (4,75 m). Par ses prix, il évolue plutôt néanmoins deux catégories en dessous avec un ticket d'entrée inférieur, à peine au-dessus des 36 000 €. C'est moins qu'un Peugeot e-2008 (39 250 €) pourtant 44 cm plus courts. Ultra-concurrentiel.
Une autonomie limitée
En contrepartie, il fallait se contenter d'une batterie assez juste pour la catégorie (69,9 kWh) et donc d'un rayon d'action limitée (420 km au mieux selon la marque). De quoi freiner les familles en quête d'un véhicule polyvalent.
Lire aussi - La Leapmotor T03 n'est toujours pas éligible au bonus, la Dacia Spring reste la voiture électrique la moins chère en France