Hasard du calendrier, la nouvelle Golf R rapplique en même temps que les 50 ans de la Golf. Pour fêter un tel anniversaire, la petite dernière abrite 333 canassons sous le capot, peut filer à 270 km/h et concentre un équipement exclusif. 50 ans de Golf, peut-être, mais aussi 22 ans de Golf R puisque tout a commencé avec la R32 en 2002. Quatre générations plus tard, ce projet de folie est devenu une véritable success-story avec plus de 250 000 exemplaires gambadant dare-dare sur les routes du monde. La mission est donc de taille pour cette nouvelle itération qui devra reprendre le flambeau et faire perpétuer durablement la légende. Basée sur la huitième génération de Golf fraîchement restylée, cette « nouvelle » R en reprend les feux avant affinés doublés du logo Volkswagen rétroéclairé. Entièrement recouvert de noir brillant, son bouclier est quasiment identique à celui de la GTI Clubsport. La poupe profite aussi des mêmes améliorations avec des feux revisités. Mais la R garde l'exclusivité de jantes en alliage forgé de 19 pouces optionnelles pesant chacune seulement 8 kg.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Volkswagen Golf GTI : ce qui change vraiment

Opel dévoile les prix et les équipements de l'Astra micro-hybride. Affichée à partir de 32 650 €, l'allemande est légèrement plus chère que sa cousine la Peugeot 308 dotée de la même mécanique.  Synergie de groupe oblige, l'Opel Astra récupère à son tour la mécanique micro-hybride de 136 ch désormais très répandue chez Stellantis. Par rapport à la version 1.2 Turbo de 130 ch automatique facturée 29 650 €, l'inflation est notable puisque le nouvel ensemble réclame au minimum 32 650 €. Forcément, l'allemande troque sa boîte à convertisseur pour une unité électrifiée à double embrayage autorisant de brefs roulages en mode électrique. Plus chère, oui, mais il faut garder à l'esprit que les émissions de CO2 sont ramenées à 106 g/km sur cette version micro-hybride contre 125 g/km pour le modèle Turbo. De fait, la variante électrifiée échappe au malus écologique alors que la Turbo écope d'une pénalité de 210 €, réduisant très légèrement l'écart entre les deux versions. La consommation normalisée est également en baisse, passant de 5,5 l/100 km à 4,7 l/100 km sur le cycle WLTP.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Opel Astra ST Hybrid 136 (2024) : pour nous rappeller les bienfaits du break

Agréable à conduire, facile à vivre, bien fini et correctement équipé, le Renault Austral reste une valeur sûre sur le segment des SUV. Si ses tarifs en neuf sont plutôt compétitifs, il est possible de trouver encore moins cher en occasion avec des kilométrages mesurés. Véritable succès en neuf, le Renault Austral est logiquement très diffusé en occasion, ce qui entraîne mécaniquement des prix assez raisonnables sur le marché de la seconde main. Ainsi, les modèles proposés s'affichent aujourd'hui à des tarifs très intéressants, constituant une aubaine pour qui veut s'offrir un SUV moderne aux prestations convaincantes. Voyons donc ce que réserve l'Austral le moins cher affiché à 21 690 € que nous avons déniché sur La Centrale. Première bonne nouvelle, son kilométrage est extrêmement bas puisqu'il atteint seulement 12 528 km. Ce chiffre laisse présager un état proche du neuf et cela se confirme à la vue du véhicule à l'aspect impeccable aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur. Deuxième raison de se réjouir, il ne s'agit même pas de la finition de base Equilibre un peu chiche en présentation, mais du milieu de gamme Techno à la dotation déjà très bien fournie.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Austral : il a quitté l'ombre du Peugeot 3008 pour entrer dans la lumière !

On sait Novitec coutumier des préparations discrètes au cœur survitaminé. Le dernier exemple en date concerne la Ferrari 296 GTS tutoyant désormais les 900 ch sous une carrosserie avare en modifications. C'est spectaculaire, mais souvent laid. Voilà le refrain entonné par les passionnés de grosses cylindrées lorsque l'on évoque des préparateurs auto comme Brabus, TechArt et bien entendu Mansory. Tout n'est pourtant pas à jeter dans le petit monde du tuning, car certains tirent habilement leur épingle du jeu en proposant un traitement plus subtil et presque de bon goût ! C'est le cas de l'allemand Novitec qui s'est attelé à revigorer la Ferrari 296 GTS.    

Le petit SUV électrique de Mini ouvre son carnet de commandes et annonce ses premiers tarifs. Il démarre ainsi un peu plus bas qu'un Jeep Avenger mais n'a cependant pas droit au bonus CO2. Avec l'Aceman, Mini tient enfin son SUV électrique citadin, ce qui permet d'adoucir – relativement – les prix d'accès à la gamme du constructeur anglais. Relativement, car le petit dernier s'affiche tout de même à partir de 36 000 €, le positionnant entre les 35 900 € du Fiat 600e et les 38 000 € demandés par le Jeep Avenger. Là où les choses se gâtent, c'est que l'Aceman n'a pas droit au bonus CO2 en raison de sa fabrication chinoise, une lacune qui ne sera corrigée qu'à partir de 2026. Lire aussi : Mini dégaine l'Aceman, son nouveau SUV urbain !

Fouiller les petites annonces peut être un passe-temps passionnant. En matière d'automobile, on peut y rencontrer des spécimens parfois exceptionnels comme cette Mazda MX-5 rassemblant le meilleur des deux mondes. Enfin, façon de parler… Sur la planète automobile, il était jusqu'alors impossible de concilier les fans de la nouveauté et les tenants du « c'était mieux avant ». Mais impossible n'est pas français et il semblerait que nous ayons trouvé une réponse – temporaire, il est vrai – à ce problème a priori insoluble. Un bref crochet via les petites annonces de Facebook Marketplace nous met au jour une Mazda MX-5 très singulière qui pourrait rapprocher les deux parties… Lire aussi : CONFIG – Aller simple pour le Japon avec notre Mazda MX-5 !

Face à une concurrence à la fois plus moderne et moins chère, Ford sort les grosses remises pour redonner une chance au Mustang Mach-E. Le SUV électrique américain voit donc son prix de départ raboté de 9 520 €, le remettant ainsi à hauteur de ses rivaux.  Privé de bonus écologique depuis quelques mois, le temps paraît de plus en plus long pour le Ford Mustang Mach-E. Et pour ne pas arranger les choses, la concurrence a nettement avancé ses pions ces dernières années avec des offres plus efficaces et moins coûteuses. Bref, plus compétitives. En attendant une remise à niveau, la marque américaine remise donc son SUV électrique pour lui redonner des couleurs. Et la ristourne est de taille puisqu'elle s'établit à 9 520 € sur la version de base. Celle-ci voit alors son prix passer de 52 990 à 43 370 €, soit une baisse de près de 18 %, sans négocier ! Le Mustang Mach-E premier prix ne propose pourtant pas des prestations au rabais. Sa batterie de 73 kWh permet un rayon d'action de 470 km tandis que son électromoteur de 269 ch autorise de belles performances.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG - Prenez-vous pour Sébastien Loeb avec notre Ford Mustang Mach-E Rally !

Avec des engins de plus en plus vifs à filmer, il est évident que les voitures-caméras ne pouvaient plus suivre le rythme. La solution reviendrait à utiliser des véhicules plus rapides. Bonne nouvelle, Koenigsegg l'a fait… Le monde du cinéma est fascinant. Fascinant, car c'est tout un petit monde qui œuvre à créer un autre monde. Fascinant, car c'est un monde ponctué de petits challenges en tout genre. Au chapitre du tournage, si les pilotes cascadeurs doivent redoubler de doigté derrière le volant, il en est de même pour les opérateurs des voitures-caméras, qui doivent parfois suivre de très près les véhicules à filmer. Une Koenigsegg Regera préparée pour l'occasion devrait faire l'affaire, non ? Lire aussi : Koenigsegg Regera : de 0 à 300 km/h, elle laisse parler ses 1500 chevaux

La plus petite des Jeep est déjà un succès en Europe. Depuis son lancement fin 2022, l'Avenger a cumulé pas moins de 100.000 commandes sur le Vieux Continent. Et le maintien des ventes devrait se confirmer par l'arrivée prochaine d'une version quatre roues motrices. Sacrilège, une Jeep en deux roues motrices ? Avec le petit Jeep Avenger, la marque américaine n'en est pas à son coup d'essai puisqu'elle avait déjà osé la recette sur le Renegade et même sur le Wrangler dans un passé plus lointain. A la différence près que la mayonnaise a pris avec l'Avenger, en totalisant d'ores et déjà 100.000 commandes en Europe. Un score remarquable pour le constructeur qui lancera prochainement une version quatre roues motrices. Eric Laforge, le responsable de Jeep en Europe, confirme : « Avec ce nombre impressionnant de 100.000 commandes, Avenger témoigne de notre engagement inébranlable en faveur de l'innovation et de la qualité, en redéfinissant les normes et en en établissant de nouvelles et en laissant une marque indélébile sur le segment des SUV de catégorie B et au-delà ».{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Jeep Avenger e-Hybrid (2024) : enfin un moteur !

La DS 9 devait incarner le luxe à la française. Elle n'aura pas rempli son office, faute de ventes suffisantes. De fait, les prix en occasion sont en chute libre, y compris sur des modèles relativement peu kilométrés. Son lourd déficit d'image lui aura donc été fatal. La DS 9, qui comptait s'aventurer sur les plates-bandes des berlines allemandes, n'aura pas réussi à convaincre une clientèle exigeante. Ce manque d'amour se répercute directement sur le marché de l'occasion, où l'on peut se procurer des DS 9 à moitié prix ! Et nous ne parlons même pas de véhicules au kilométrage dément. Non, il s'agit carrément de modèles récents avoisinant les 50 000 km… Nous avons ainsi déniché sur La Centrale certaines annonces aux tarifs extrêmement alléchants. C'est le cas d'un exemplaire de 2021 affiché à 27 977 € avec seulement 50 533 km au compteur. Celui-ci est une version E-Tense dotée d'un ensemble hybride rechargeable développant 225 ch avec une autonomie électrique annoncée à 48 km. En bonus, vous aurez droit à la finition Rivoli+, qui constituait à l'époque le haut de gamme de la DS 9. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La DS 9 évolue en 2023 : qu'est-ce qui change vraiment ?

Le Peugeot e-5008 électrique ouvre à son tour son carnet de commandes en commençant tout juste sous les 47 000 euros. De fait, la finition Allure est le seul modèle de la gamme éligible au bonus CO2 ! Si l'on exclut le très anonyme e-Traveller, le e-5008 est la première familiale électrique de Peugeot qui a toutes ses chances de percer. Son design extérieur et intérieur est des plus avenants, son équipement est à la page tandis que sa technique convainc également. Seul son prix assez élevé pourra véritablement rebuter les familles, y compris en finition de base Allure où le ticket d'entrée reste perché à 46 990 euros. Au premier contact visuel, le e-5008 le moins cher ne fait clairement pas « bétaillère premier prix ». Grâce aux jantes de 19 pouces au dessin qui plus est original, les volumes restent équilibrés. Les barres de toit ainsi que le jonc gris satiné surplombant le vitrage restent du voyage. Constat semblable pour les inserts en plastique noir brillant. A vrai dire, seuls le toit couleur carrosserie et les feux arrière simplifiés différencient réellement la version Allure du haut de gamme GT.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Peugeot E-5008 : le grand lion passe à l'électrique !

Volkswagen ajoute deux nouvelles versions à la gamme de l'ID.7 : la GTX, forte de 340 ch, ainsi que la Pro S, avec son autonomie dépassant les 700 km. Voilà de belles prestations que la marque allemande facture cependant au prix fort. Volkswagen accélère le déploiement de sa gamme sportive électrique en ouvrant les commandes de l'ID.7 Tourer GTX. Sans surprise, le prix de cette version uniquement disponible en break grimpe en flèche par rapport au reste de la gamme puisqu'il débute à 75 000 euros. Ce tarif très salé donne tout de même droit à 340 ch sous la pédale de droite. Cette écurie permet alors à l'ID.7 Tourer GTX d'abattre le 0 à 100 km/h en 5,5 s.    Evidemment, tout n'est pas question de performances : la batterie de 86 kWh autorise aussi un rayon d'action assez généreux atteignant les 574 km sur le cycle WLTP. Côté équipement, la GTX se distingue des autres versions par la présence d'un toit panoramique opacifiant, de suspensions pilotées, d'une direction progressive retravaillée, d'un vitrage feuilleté et d'un style qui lui est propre, naturellement.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen ID.7 Tourer GTX : le break électrique passe à 340 ch

Avec un prix sous les 20 000 euros, la nouvelle MG3 Hybrid+ devient la voiture hybride la moins chère du marché. Y a-t-il un loup derrière ce tarif imbattable ? Direction le configurateur pour le vérifier ! Soyons francs : à 19 900 euros la MG3 flambant neuve, impossible de faire le difficile et exiger tout ce que le monde automobile peut nous offrir, a fortiori sur un modèle hybride. Ainsi, la quête des économies commence dès le configurateur MG, épuré à l'envi : modèle, finition, couleur puis paiement se tassent sur un fond intégralement blanc… Quant à l'auto, elle n'est visible en finition Standard qu'à partir d'une vue de trois quarts avant à l'heure où nous écrivons ces lignes. Qu'importe, cette mise en bouche nous livre déjà de beaux détails sur la MG3 de base. Les premières impressions sont bonnes, voire excellentes puisque de l'extérieur, la finition Standard diffère extrêmement peu de la version haute Luxury. Le seul véritable changement concerne les enjoliveurs de 15 pouces au style très basique. Par curiosité, nous sommes allés voir à quoi ressemblaient de telles roues sur de vraies photos. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Nous pouvons vous confirmer que leur taille a été légèrement exagérée sur le configurateur puisqu'elles apparaissent en réalité assez minuscules. Rien de rédhibitoire toutefois en regard du prix du véhicule. Certains pourront en revanche être davantage dérangés par l'absence d'essuie-glace sur la lunette arrière, une zone pourtant très sensible à la pluie sur des carrosseries bicorps comme cette MG3. Pour le reste, cette MG3 Standard ne mérite aucun reproche. Lire aussi : ESSAI – MG3 Hybrid (2024) : une GTI chinoise à moins de 20.000 €, ça vous parle ?

Trop timide, la Lotus Emira ? Le préparateur américain Vorsteiner a la solution toute trouvée avec un pack musclant à vue d'œil la carrosserie de la belle anglaise. Au programme figurent notamment une garde au sol rabaissée et une flopée d'appendices aérodynamiques. Soyons honnêtes, la Lotus Emira n'est clairement pas la première option qui vient en tête si l'on devait se procurer une voiture de sport. Et pour cause, l'anglaise souffre d'un manque d'image flagrant face aux références allemandes. Pour s'élever, le tuning peut constituer une solution percutante, à la seule condition qu'il soit proprement exécuté ! Le spécialiste américain Vorsteiner s'est ainsi attelé à la tâche pour redonner du nerf à l'Emira. Si le résultat final n'est pas aussi spectaculaire que chez d'autres préparateurs, avouons au moins qu'il ne bascule pas – trop – dans les confins du mauvais goût. Pour l'avant, Vorsteiner s'est ainsi contenté de flanquer deux entrées d'air sur le capot et les ailes. Le pare-chocs récupère une jupe en carbone qui court sur des deux côtés jusqu'au train arrière. Enfin, les entrées d'air latérales ont été visuellement agrandies à l'aide d'inserts également en carbone.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG – Affrontez les routes de montagne comme un chef avec notre Lotus Emira

Pour aborder le grand virage de l'électrification sur un marché aussi concurrentiel que la Chine, Jaguar-Land Rover fait équipe avec le constructeur Chery afin de lancer de nouveaux modèles électriques sous la marque Freelander. Se rassembler pour mieux régner : voici une devise s'appliquant pleinement au monde automobile, et à plus forte raison, lors de périodes charnières comme la course à l'électrification. L'alliance nouée il y a douze ans entre le groupe Jaguar-Land Rover et le chinois Chery s'apprête ainsi à se renforcer. Celle-ci donnera naissance à la marque Freelander pour écouler, à terme, des SUV électriques en Chine.   Il faut savoir que le groupe anglais espérait depuis longtemps développer ses propres modèles électriques, avec toute la technique qui va avec comme les blocs moteurs, les châssis et, bien entendu, les batteries. Les Jaguar XJ et Range Rover électriques se font d'ailleurs longuement désirer… Mais la raison aura hélas pris le dessus puisque Jaguar-Land Rover a décidé de se tourner vers son partenaire Chery qui bénéficie d'une expérience non négligeable en la matière.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Everrati transforme le Land Rover Series IIA en électrique. Sacrilège ?

A l'instar du dernier 3008, le nouveau Peugeot 5008 opère une montée en gamme réussie. Par rapport au modèle précédent, ses prix gonflent ainsi à vue d'œil. Pour mieux faire passer la pilule, faut-il donc se rabattre sur l'entrée de gamme, facturée 39 690 euros ? Avec des prix constamment en hausse, les voitures neuves doivent aujourd'hui faire des efforts de présentation significatifs pour convaincre. En suivant mécaniquement cette montée tarifaire, les modèles de base censés attirer le chaland n'échappent plus à cette logique. C'est le cas du dernier Peugeot 5008, dont la gamme démarre tout juste sous la barre psychologique des 40 000 euros.   A 39 690 euros, le SUV français ne respire heureusement pas l'économie puisqu'il est monté sur de jolies jantes de 19 pouces et retient toujours une calandre évolutive accompagnée d'un triplé de griffes en guise de feux de jour. Seules les optiques à LED, qui perdent la fonction matricielle, affichent un dessin simplifié. De profil, seule l'absence de toit contrasté permet de distinguer la version Allure du modèle GT tandis que les feux arrière ne sont pas en 3D. Enfin, contrairement au 3008, la couleur gratuite est le Bleu Ingaro et non le Bleu Obsession.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouveau Peugeot 5008 : tous les prix et les équipements, à partir de 40 490 €

Amateurs de transformations automobiles loufoques, ne passez pas à côté de cette Volkswagen New Beetle. Inspiré des modèles courant pour la Baja 1000, ce gentil monstre se pare d'attributs pour le moins… voyants.   La Baja 1000, vous connaissez ? Pour la faire courte, c'est une course de rallye-raid se déroulant dans le nord du Mexique depuis 1967. Robuste, agile et populaire, la Volkswagen Coccinelle s'est rapidement imposée comme allié de choix dans cette épreuve d'endurance, jusqu'à gagner le surnom affectif de Baja Bug. A quoi ressemblerait un tel modèle aujourd'hui ? Le site d'enchères en ligne Cars & Bids nous donne quelques éléments de réponse. Basé sur une New Beetle de 2008, ce Frankenstein automobile troque son pare-chocs d'origine pour un pare-buffle tubulaire plus radical. Les soubassements ont également été renforcés afin de mieux encaisser les chocs. De nouveaux feux à LED font leur apparition tandis que les ailes avant et arrière ont été éclatées pour accommoder des pneus tout-terrain BFGoodRich T/A englobant des jantes de 15 pouces.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Cette Ford Escort Mk2 cache un gros secret allemand !

Initialement attendu avec 240 ch, l'Alfa Romeo Junior Veloce électrique développera finalement 280 ch. Cette puissance en hausse s'accompagnera d'une flopée d'améliorations techniques censées parfaire le comportement dynamique de l'auto. Ce sont des imprévus émaillant la vie d'une voiture. Entre la présentation et la mise en vente du véhicule, les données techniques annoncées par le constructeur peuvent évoluer dans le bon ou le mauvais sens. Après homologation, il semble ainsi que le trèfle à quatre feuilles de l'Alfa Romeo Junior Veloce lui ait porté chance. La puissance de son bloc électrique a en effet profité d'une belle augmentation et pointe désormais à 280 ch. En avoir sous le pied droit, c'est bien joli, mais encore faut-il que le Junior Veloce soit suffisamment efficace et plaisant à mener. Challenge difficile à relever, à plus forte raison sur une auto voltée. Pour mettre toutes les chances de son côté, Alfa Romeo a donc confié le développement de son SUV sportif aux ingénieurs ayant enfanté des autos fabuleuses comme la 8C, la Giulia GTA et plus récemment la 33 Stradale.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire plus : Alfa Romeo Junior : véritable Alfa, ou énième clone made in Stellantis ?   

Présenté tôt ce matin, le BMW X3 de quatrième génération renverse la table par rapport au modèle qu'il remplace. Son prix subit également une inflation notable, avec près de 10 000 euros supplémentaires pour l'entrée de gamme. C'est un refrain dont on pourrait bien se passer : chaque nouveauté est sensiblement plus chère que le modèle précédent. Le nouveau BMW X3 applique ce principe à la lettre avec une nouvelle génération au ticket d'entrée en très forte hausse. Ainsi, il faut débourser aujourd'hui 63 900 euros pour s'offrir la dernière itération du SUV bavarois. Quand l'on sait qu'il s'agit du prix d'un X5 plus puissant et richement doté il y a dix ans, cela laisse forcément rêveur… Alors, le X3 de base est-il présentable ? La question peut sembler sans grand intérêt, car à ce tarif-là, un équipement décent est un incontournable, voire un acquis social…  Et pourtant, on peut faire la fine bouche et dénicher certains oublis, sûrement volontaires. De visu, le X3 premier prix est ainsi monté sur des jantes de 18 pouces qui apparaissent malgré tout un peu modestes, comme écrasées par la « masse » de la carrosserie. Leur dessin pêche également par leur simplicité. Quant à la peinture de série, c'est du blanc et rien que du blanc, les autres teintes imposant une rallonge minimale de 1 090 euros. Hayon motorisé et accès et démarrage mains libres sont en revanche de série.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouveau BMW X3 : l'heure de la relève a sonné !

Esthétiquement très proche de l'ancien modèle, la toute nouvelle BMW Série 1 conserve aussi une certaine régularité tarifaire puisqu'elle affiche toujours des prix élevés. Avec un ticket d'entrée affiché à 38.900 euros, le constructeur bavarois n'a pas le droit à l'erreur. Qu'il est loin le temps où l'on pouvait se procurer une BMW Série 1 flambant neuve sur les coups des 20.000 euros ! Aujourd'hui, la plus petite des BMW a quasiment doublé ses tarifs puisque la nouvelle génération s'affiche désormais à partir de 38.900 euros. Pour autant, prix élevé ne rime pas forcément avec équipement complet, surtout chez les marques premium ! Cette cruelle règle s'appliquera-t-elle à la nouvelle Série 1 ? Visuellement déjà, l'histoire se répète : oui, la Série 1 premier prix perd de sa superbe par rapport aux versions hautes comme la M135 violette que nous avons déjà configurée. Un constat prévisible. L'auto devient alors sobre sans pour autant être dépouillée jusqu'à l'os comme d'autres concurrentes. On a ainsi droit à des feux à LED avec un contour de vitres noir laqué. Le tout est accompagné de jantes de 17 pouces au dessin sympathique. {{_DYNINFEED_BLOCK_}}  Lire aussi : Elle vous plaît, notre nouvelle BMW M135 violette ?