Petit SUV au style particulièrement « funky », le Nissan Juke fait partie des best-sellers du constructeur japonais en neuf comme en occasion. Que dit donc le marché de la seconde main pour la seconde génération ? Le Nissan Juke fait incontestablement partie de ces achats coup de cœur. Bien qu'il ne brille pas particulièrement dans un domaine en particulier, sa robe particulièrement originale ne laisse pas indifférent. La seconde génération du petit SUV reconduit d'ailleurs cette petite spécificité qui a fait son succès. En occasion, le modèle le moins cher s'affiche à 11.990 euros. Suffisant pour séduire ? Vous ne serez pas surpris d'apprendre qu'il s'agit d'une finition Acenta située juste au-dessus de l'entrée de gamme Visia. Son équipement est donc convenable avec les jantes en tôle de 17 pouces recouvertes d'enjoliveurs très réussis. Notons aussi la présence de poignées de portes couleur carrosserie et de feux de jour à LED. Ajoutons que la carrosserie grise de cet exemplaire de 2021 est en bon état.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Le Nissan Juke à 23.400 euros, c'est jouable ou pas ?

Mercedes dévoile une version ultra luxueuse de son cabriolet phare, la SL. Flanquée du badge Maybach, la Monogram Series se pare d'attributs plus extravagants les uns que les autres. Chez Mercedes, le luxe ne se résume pas qu'à la Classe S. L'autre porte-drapeau historique de la gamme, la SL, a également le droit à des habits opulents. Le cabriolet reçoit ainsi une exclusive version Maybach Monogram Series qui vient chasser sans complexes sur les terres de Rolls-Royce et Bentley. Pour s'accaparer une clientèle considérant que le plus est le mieux, cette SL en fait beaucoup. Beaucoup trop ? Question légitime car, en visu, la Monogram Series retient en premier lieu la calandre typique de chez Maybach avec ses multiples lamelles chromées. Aussi, l'étoile Mercedes orne le bout du capot quand les autres SL l'intègrent dans la calandre. Le très long capot noir, d'ailleurs, transpire l'extravagance avec le logo Maybach apparaissant sous forme de motifs répétés. Si cela ne suffisait pas, notons que l'intérieur des feux est habillé d'or rose tandis que le cadre du pare-brise est intégralement chromé.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Cette Mercedes SL 73 AMG renaît de ses cendres après 20 ans à l'abandon

Ceux pensant que les activités d'Hennessey se résument à sortir des monstres de puissance en seront pour leurs frais. La nouvelle Venom F5 Stealth Series fait honneur à l'artisanat américain, avec trois modèles sur-mesure. Oui, il est vrai que les Hennessey épatent leur monde sur la fiche technique avec des chiffres ahurissants se vérifiant ensuite dans la réalité. Pourtant, aussi impressionnantes soient-elles, ces autos ne pouvaient se hisser au même niveau de prestige que les marques les plus renommées de la planète automobile. Il leur manquait un petit quelque chose qui ferait toute la différence… Hennessey tente aujourd'hui de réparer cet impair avec la très exclusive Venom F5 Stealth Series. Contre toute attente, la puissance du V8 de 6.6 l ne bouge pas d'un iota, en restant figée à 1 817 ch et 1 617 Nm de couple. Le préparateur américain s'est plutôt attaqué au versant de l'artisanat en concoctant trois modèles sur-mesure. Exclusivement basée sur la version de piste Revolution, la Stealth Series se pare de fibre de carbone apparente peinte à la main. Ce matériau s'étend d'ailleurs tout du long du véhicule, en partant du logo jusqu'à la poupe.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDEO - La Hennessey Venom F5 bat un nouveau record de vitesse

Pour notre plus grand plaisir, la BMW M5 Touring opère un retour en fanfare ! Désormais hybride rechargeable, le break développe ainsi 727 ch et 1 000 Nm de couple. Mais son imposante batterie de 18,6 kWh gonfle aussi exagérément son poids… C'est un jeu de dupes qui commence à durer… Pour les constructeurs, l'hybride rechargeable est une technique diablement efficace pour développer des véhicules surpuissants. C'est aussi un moyen habile de contourner la menace du malus CO2 planant sur les modèles les plus sportifs. BMW prend acte de la chose en présentant à un public émerveillé la nouvelle M5 Touring avec une mécanique électrifiée de 727 ch. L'Etat français, lui, n'y verra que du feu…   Une fois n'est pas coutume, la M5 Touring s'éloigne nettement de ses sœurs roturières avec un design qui lui est propre. Ses nouveaux haricots noir brillant s'équipent ainsi d'un contour illuminé et retiennent deux petites fentes laissant finement passer l'air. Entièrement revu, le bas du pare-chocs reçoit pour sa part d'imposantes entrées d'air canalisant elles aussi le flux aérodynamique.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG – BMW M5 : on a configuré la nouvelle génération avant tout le monde !

Penchant extrême de la MC20, la Maserati GT2 Stradale subit une cure d'amaigrissement de près de 60 kg. Résultat, si la puissance n'évolue guère, l'auto se montre bien plus alerte qu'une MC20 déjà réputée très performante.    Avec ses 1 425 kg, la Maserati MC20 faisait déjà office de poids plume dans la catégorie des supercars. Seulement, la marque italienne pousse aujourd'hui le bouchon encore plus loin avec la GT2 Stradale qui, grâce à sa carrosserie en fibre de carbone, se déleste encore d'une bonne soixantaine de kilos pour atteindre les 1 365 kg. L'aérodynamisme du véhicule a été en parallèle optimisé.  La supercar italienne se pare ainsi d'une nouvelle jupe avant, d'une calandre aux entrées d'air revisitées et d'un imposant aileron arrière. A 280 km/h, le tout ne génère pas moins de 500 kg d'appui aérodynamique dont 370 kg sur le seul essieu arrière. En prime, n'oublions pas les ouïes surplombant le capot avant, rendant l'ensemble plus bestial. Notons aussi les logos Maserati bleus ainsi que les jantes en alliage forgé de 20 pouces spécifiques à la GT2 Stradale.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Maserati MC20 Iris : la belle bleue !

Vous direz que le titre est osé… Pourtant, la fiche technique de la Nevera R a bien de quoi terroriser durablement les concurrentes : 2 136 ch, un 0 à 100 km/h abattu en 1,81 s et une vitesse de pointe de 412 km/h. Tout le monde pensait que les 1 914 ch de la Rimac Nevera dépassaient les limites du raisonnable. Par mille et une ruses, le constructeur croate a pourtant trouvé le moyen de rehausser encore les enchères avec la Nevera R. Ce nouveau jouet électrique, limité à 40 exemplaires, voit sa technique évoluer avec une aérodynamique revue et une puissance atteignant désormais les 2 136 ch pour repousser le vraisemblable. Par rapport à la version standard, la R adopte ainsi une nouvelle calandre aux entrées d'air repositionnées. Le profil présente pour sa part des jantes inédites de 20 pouces à l'avant et 21 pouces à l'arrière chaussées sur des pneus Michelin Pilot Sport Cup 2. Par rapport aux anciennes roues, ces gommes réduisent le sous-virage de 10 % et améliorent l'adhérence de près de 5 %.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Rimac Nevera 15ème anniversaire : une couleur jamais vue auparavant

Volkswagen consent une très grosse remise sur son T-Roc jusqu'à la fin du mois. Le prix du SUV compact baisse en effet de 5.500 euros, ce qui le rapproche très fortement de celui de la Polo. Trop beau pour être vrai ? Lancé fin 2017, le Volkswagen T-Roc est aujourd'hui le doyen des SUV Volkswagen. Le petit restylage intervenu en 2022 n'a que très timidement relancé ses ventes. En attendant la seconde génération, la marque allemande donne aujourd'hui un sacré coup de fouet aux prix du T-Roc, qui baissent temporairement de 5.500 euros jusqu'au 31 août. Le SUV compact se voit désormais affiché à seulement 22.040 euros. Une aubaine ? Possiblement car, à ce prix-là, le T-Roc côtoie de très près la grille tarifaire de la Polo, qui démarre on le rappelle à 21.630 euros. Sauf que la Polo est une stricte citadine quand le T-Roc est un SUV compact ! Et en matière de prestations, cela fait toute la différence : le SUV embarque un 1.0 TSI de 116 ch associé à une boîte mécanique à six rapports alors que la Polo doit se contenter de seulement 80 ch avec une boîte à cinq vitesses !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen T-Roc : à quoi a-t-on droit pour 27.540 euros ?

Bonne nouvelle, la mortalité routière recule légèrement au mois de juillet avec 278 tués. Le nombre de blessés graves repart en revanche à la hausse avec 1 687 victimes hors agglomération. C'est ce que l'on appelle une baisse en trompe l'œil. Avec une décrue de 9 %, les statistiques de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière sur la mortalité au mois de juillet sont à première vue rassurantes. Et il est effectivement vrai qu'avec 278 tués, on a « épargné » 28 vies par rapport à juillet 2023. Sauf qu'en parallèle, le nombre de blessés graves augmente sensiblement avec 1 687 victimes représentant une hausse de 5 % par rapport à juillet 2023. Dans le détail, les automobilistes restent les plus impactés avec 105 morts et 471 blessés graves en juillet 2024. Sur cette même période, les deux-roues motorisés paient également un lourd tribut avec 96 décès et 599 blessés graves. Loin derrière arrivent les mobilités douces : on note 29 cyclistes tués et 334 gravement blessés. Les piétons ne décrochent malheureusement pas avec 24 décès et 148 blessés graves.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Sécurité : ces 8 nouveaux équipements vont-ils chambouler le marché du neuf ?

S'il conserve le style clivant de la première génération, le nouveau Toyota CH-R se veut également bien plus chic avec des moteurs plus musclés. Si les tarifs subissent une inflation notable, il existe bienheureusement une version premier prix, à 31.650 euros.   Toyota a visé juste avec le CH-R. Extrêmement fort en style, le SUV compact s'équipe en sus d'une mécanique hybride particulièrement à la mode. Si la nouvelle génération s'améliore sur tous les points, elle a malheureusement pris la grosse tête côté tarifs puisque les versions haut de gamme peuvent dépasser sans peine les 45.000 euros. Revenons donc au raisonnable avec l'entrée de gamme Dynamic affichée en ligne à 31.650 euros. Forcément, la robe clinquante des versions hautes n'est plus. Cependant, les audaces esthétiques du dernier modèle subsistent comme les feux à LED en forme de crochets et la calandre toujours très expressive. L'arrière aussi diffère peu du haut de gamme puisque le bandeau lumineux avec le nom du modèle rétroéclairé reste du voyage. Alors oui, la teinte bicolore disparaît et les jantes de 17 pouces ont un peu de mal à remplir les passages de roues… Mais il fallait bien chercher des endroits où économiser !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Toyota C-HR : nouvelle génération, nouveau souffle

C'est un long week-end qui s'annonce encore compliqué sur les routes du pays. Les difficultés liées aux traditionnels départs et retours de vacances seront ce coup-ci accentuées par le pont du 15 août. S'il s'annonce déjà bien difficile, le week-end qui approche ne sera pas vraiment un chassé-croisé. Avec le pont du 15 août, les complications seront plutôt lissées, en s'étalant sur six jours, du 14 au 19 août. Ainsi, les premiers ralentissements auront lieu dès mercredi dans le sens des départs sur les axes desservant le grand ouest et le nord du pays. Les autoroutes A1, A10 et A13 seront particulièrement concernées. Petite accalmie jeudi avant une intensification de la circulation le vendredi 16 août dans le sens des retours. Les axes desservant la façade atlantique comme l'A10, l'A63 et la N165 connaîtront un trafic dense. Depuis la façade méditerranéenne, les autoroutes A7, A9, A75 et A61 seront aussi particulièrement chargées, tout comme l'A6 et l'A10 en Île-de-France en fin de journée.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Un étonnant prototype de course a été surpris sur l'autoroute

Cupra enrichit la gamme de son SUV Formentor. Disponible jusqu'alors en essence de 333 ch et en hybride rechargeable de 272 ch, l'espagnol vise aujourd'hui plus bas avec un diesel de 150 ch et une version électrifiée de 204 ch. Le Cupra Formentor restylé étoffe sa gamme de motorisations vers le bas. Après les variantes assez élitistes de 333 et 272 ch, le SUV complète donc son catalogue avec des versions plus accessibles. Ainsi, le 2.0 TDI de 150 ch fait son grand retour. Il s'accompagne d'une variante hybride rechargeable de 204 ch. Notons également qu'une version essence intermédiaire de 265 ch complètera la gamme dans les prochains mois. Le diesel de 150 ch, d'abord, est associé d'office à la boîte automatique DSG7. Ainsi doté, le Formentor voit sa consommation baisser à 5,1 l/100 km sur le cycle WLTP et ses rejets de CO2 plafonner à 134 g/km. Cela lui vaut tout de même un léger malus CO2 de 450 euros un peu plus élevé que celui du 1.5 eTSI de 150, aidé par sa micro-hybridation. Le Cupra Formentor 2.0 TDI 150 DSG7 est disponible à partir de 45.810 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Cupra Formentor : l'art et la manière de faire sa place sur le marché

La Twingo électrique arrive en bout de carrière et Renault cherche désormais à écouler les derniers exemplaires en stock. La marque consent ainsi une remise de plus de 3.000 euros, rendant la française moins chère que la Dacia Spring. La Renault Twingo électrique court probablement sur ses derniers mois de commercialisation. En attendant une quatrième génération prévue pour 2026, le modèle actuel multiplie les promotions afin de séduire. Cela se passe du côté des stocks où la Twingo électrique reçoit un rabais allant jusqu'à 3.020 euros sur sa version de base. De quoi faire glisser son prix en-dessous de celui de la Dacia Spring. Toutes réductions déduites, la Twingo électrique en finition Authentic est affichée à 18.480 euros, soit environ 500 euros de moins que la Spring. C'est peu mais voir une Renault plus accessible qu'une Dacia équivalente n'est clairement pas chose courante ! Mais à ce prix-là, la Twingo nous cache-t-elle de mauvaises surprises ? Il convient en effet d'être prudent car la version Authentic fait l'impasse sur des équipements parfois essentiels.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Twingo : elle fait de la résistance, à partir de 17.000 euros !

Véritable mythe automobile, la Dodge Viper n'est plus produite depuis 2017. Il reste néanmoins possible de se procurer des modèles d'occasion en bel état. Seulement, les prix restent élevés, surtout en France où l'américaine se fait très discrète. Rouler en Viper, c'est rouler assurément différent : son monumental V10 rentré au chausse-pied sous le capot étonne dans nos contrées et sonne comme la réincarnation contemporaine de la légendaire Shelby Cobra. Mais quelle que soit sa génération, la Viper est un oiseau rare, ce qui a des répercutions non négligeables sur son prix en seconde main. La saga Viper, qui s'étend sur cinq générations, a débuté en 1992. Réputée dangereuse, la première itération est dépouillée jusqu'à l'os : pas d'ABS, ni de climatisation, ni d'airbags, ni même de fermeture à clé… La deuxième génération apparue en 1996 corrige ces travers avec une dotation plus moderne et un moteur plus musclé. En 2003 apparaît la Viper troisième du nom, qui change son style et gagne une mécanique de plus forte cylindrée. Invisible dans les petites annonces, la quatrième génération se distingue par son moteur encore plus puissant. En 2013, la Dodge Viper devient SRT Viper et entre enfin dans l'ère moderne. Sa production s'achèvera en 2017, sans l'ombre d'une remplaçante.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Une Dodge Viper préparée pour le off-road ? Et pourquoi pas ? Dodge Viper I : à partir de 59.000 euros

Le Nissan Juke a récemment subi un tout petit restylage pour garder la forme. Ces modifications concernent également l'entrée de gamme, qui voit ses prestations légèrement revues à la hausse. Le Nissan Juke est fraîchement passé par la case restylage. Le japonais ajoute au menu de nouvelles options de personnalisation saupoudrées d'une sensible mise à jour de son équipement. La version premier prix est également concernée par ces améliorations, dans une moindre mesure. A 23.400 euros, le modèle de base fait-il toujours bonne figure ou faut-il au contraire titiller les finitions supérieures pour en avoir pour son argent ?   Il est clair qu'au premier coup d'œil, le client du Juke Acenta ne se sentira pas floué. Pour preuve, les jantes en tôle noires de 17 pouces imitent avec talent des modèles en alu véritable. S'il délaisse la nouvelle calandre apportée par le restylage, ce Juke conserve tout de même des feux avant et arrière à LED. La teinte de série est le Rouge Toscane. Bien sûr, l'absence de toit contrasté et de vitres surteintées manque de chien mais nous sommes sur l'entrée de gamme !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI - Nissan Juke Hybrid (2024) : il y a du neuf à l'intérieur !

L'ID.3 GTX hausse le ton avec l'arrivée de la version Performance portant sa puissance à 326 ch. L'auto reçoit également le châssis piloté DCC Sport. Ainsi dotée, la compacte devient le modèle électrique le plus sportif de la marque allemande. Ne pas se faire distancer, ne pas se faire distancer… Voilà le refrain qui doit chagriner jour et nuit l'ID.3 depuis que la Cupra Born propose une version VZ développant 326 ch. Chose aujourd'hui réparée car l'allemande déploie à son tour une variante nommée Performance reprenant intégralement le groupe motopropulseur de 326 ch étrenné par l'espagnole. L'ID.3 devient ainsi le modèle électrique le plus énervé de la gamme. Par rapport à la version standard développant 286 ch, la Performance muscle son jeu avec un 0 à 100 km/h abattu en 5,7 s et une vitesse de pointe relevée à 200 km/h. Kai Grünitz, chargé du développement technique chez Volkswagen, confirme ainsi que « la spontanéité et la supériorité avec lesquelles la nouvelle ID.3 GTX Performance développe sa puissance font d'elle le pendant électrique de la Golf GTI Clubsport ».{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen ID.3 GTX : 286 chevaux, 4.000 euros de bonus écologique. La bonne recette !

L'ultime Pagani Zonda fera sa première apparition publique au Monterey Car Week. Entièrement recouverte de carbone apparent, l'Arrivederci se pare aussi de liserés bleus et rouges soulignant ses lignes et son aileron inédit. Que c'est bon ! Débutée en 1999, l'épopée de la Pagani Zonda semblait interminable, avec des séries limitées dites « ultimes » qui se succédaient les unes après les autres. La Zonda étant une voiture exceptionnelle à plus d'un titre, ce mensonge constant ne gênait pas pour le moins du monde les passionnés automobiles. Nous les premiers. Mais là, l'histoire semble véritablement toucher à son dénouement avec une toute dernière série limitée unique : l'Arrivederci. Flanquée du numéro de châssis 140, l'auto a en réalité été acquise l'année dernière par Kris Singh, un collectionneur américain. L'homme aurait stocké le véhicule à l'abri des regards immédiatement après réception. Ce n'est qu'aujourd'hui que la – très – belle italienne prend la lumière du jour. Sans surprise, la Zonda Arrivederci empile sans coup férir des attributs esthétiques plus spectaculaires les uns que les autres.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Pagani Alisea : un concept réalisé par des étudiants pour les 25 ans de la Zonda !

Le Range Rover Sport SV reçoit une inédite version Edition Two en remplacement de l'Edition One. Au programme, quatre déclinaisons différentes associées à une esthétique exclusive, aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur.  La clientèle de produits haut de gamme est friande de séries limitées afin de se distinguer de ses voisins de palier. Conscient de cette règle élémentaire, Range Rover relance ainsi sur son Range Rover Sport SV une nouvelle collection nommée Edition Two composée de quatre déclinaisons aux décors spécifiques. Très fourni de base, l'équipement progresse encore légèrement sur cette nouvelle version. A l'extérieur, le quatuor présente tout de même des détails communs comme un logo Edition Two exclusif sur la partie basse du bouclier, sur les seuils de porte et projeté de nuit sous les rétroviseurs. A bord, ce même badge orne la console centrale tandis que la planche de bord s'habille d'inserts en fibre de carbone. Les sièges baquets SV Performance reçoivent au choix du tissu ou du cuir Windsor.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Confrontée à l'arrivée de la Citroën C3 électrique tout en étant privée de bonus, la Dacia Spring est aujourd'hui dans une posture délicate. La marque roumaine a donc revu le prix de sa citadine à la baisse. Suffisant pour contrer la française ? Malgré un restylage conséquent, les prochains mois risquent d'être extrêmement rudes pour la Dacia Spring. Désormais privée de bonus CO2 en raison de sa fabrication chinoise, la citadine roumaine devra en sus composer avec l'arrivée de la Citroën ë-C3 aux prestations bien supérieures. Son dernier espoir pour séduire réside dans le facteur prix, avec un tarif rabaissé à 18.900 euros pour la finition Expression. Suffisant pour convaincre ? En visu, la Spring restylée premier prix présente étonnamment bien avec des enjoliveurs de 15 pouces imitant à merveille des jantes alu. Les poignées de portes sont également peintes couleur carrosserie, tandis que les feux à LED sont de la partie. Lourdement remanié à l'occasion du restylage, l'habitacle demeure minimaliste mais adopte tout de même une instrumentation numérique. L'écran tactile de la version Extreme laisse en revanche place à un support pour smartphone.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Dacia Spring : une citadine électrique à prix imbattable, dès 7.690 euros en occasion !

Autrefois hors de portée du commun des mortels, les supercars des années 2010 se laissent aujourd'hui peu à peu approcher. C'est le cas de la très réussie McLaren MP4-12C qui a largement perdu en valeur sans pour autant prendre une ride. Ont-ils perdu la tête chez Turbo ? Nombre d'entre vous serez tentés de vous poser cette question à la seule lecture du chapô de cet article. Rassurez-vous, une McLaren MP4-12C restera bel et bien un véhicule d'exception aux prix élitistes, nous en sommes pleinement conscients. Seulement, la côte de ce modèle a aujourd'hui bien baissé, en tout cas suffisamment pour justifier cet article. Résultat, il est désormais possible de dégoter l'anglaise aux alentours des 100.000 euros sur le site d'occasions La Centrale. Focalisons-nous en particulier sur le modèle le moins cher, affiché à 107.900 euros, un tarif assez faible – toutes proportions gardées – par rapport aux autres supercars présentes sur le marché. L'exemplaire en question revêt une peinture spéciale Gris Titanium secondée d'un intérieur Noir Carbone.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Novitec s'en prend à la McLaren Artura Spider

La transhumance estivale se poursuivra ce week-end avec trois jours qui seront pour le moins compliqués. Bison Futé hisse ainsi le drapeau rouge samedi, qui sera une nouvelle fois la journée à éviter. Les weekends estivaux se suivent et se ressemblent. La circulation sera ainsi particulièrement difficile sur les grands axes du pays du vendredi 9 au dimanche 11 août, avec une nouvelle vague importante concernant aussi bien les départs que les retours. Dès vendredi, le drapeau orange est ainsi de sortie sur les régions Grand-Ouest, Nord et Île-de-France avec des complications qui surviendront dès l'après-midi. Les difficultés se concentreront alors sur les autoroutes A10, A11 et A13 jusqu'en fin de soirée. Côté Île-de-France, ce sont les axes en direction des barrières de péage de l'A6 et de l'A10 qui seront encombrés dès la fin de matinée. Pour les retours, les axes desservant la Méditerranée connaîtront une circulation dense dès le milieu d'après-midi en direction du nord. De petits ralentissements seront aussi de la partie sur les autoroutes A4 et A10 dans l'après-midi.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Un étonnant prototype de course a été surpris sur l'autoroute