Il y a quelques semaines, Ferrari dévoilait sa nouvelle grande GT à moteur V12 avant, la 12Cilindri. On a décidé d'aller configurer notre propre exemplaire, pour mesurer les possibilités de personnalisation offertes par la marque. Le configurateur n'affiche pas les prix des options et ce n'est pas plus mal ! Une nouvelle page s'est ouverte dans le grand livre de l'histoire de Ferrari, il y a quelques semaines. La marque italienne dévoilait en effet sa nouvelle GT à moteur V12 avant, la 12Cilindri. Celle-ci a la lourde tâche de succéder à la 812 Superfast. Bonne nouvelle, elle devrait y parvenir sans effort. Non pas que la génération précédente était mauvaise, loin de là. Mais celle-ci est tellement réussie, ne serait-ce que sur le plan du design, que la mission semble d'ores et déjà accomplie ! Et réussie, elle l'est tout autant sous le capot. À l'avant, elle embarque une cathédrale mécanique, un V12 6.5 atmosphérique de 830 chevaux et 678 Nm de couple. Dans les faits, cela lui permet d'abattre le 0 à 100 km/h en 2,9 secondes, le 0 à 200 en 7,8 secondes et d'atteindre une vitesse de pointe supérieure à 350 km/h ! Tout cela a un prix, bien évidemment : environ 400.000 euros, hors malus, donc à peu près 460.000 euros. Le tout sans option… Fort heureusement, les tarifs des options ne sont pas communiqués sur le configurateur en ligne !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ferrari 12 Cilindri : la 365 Daytona de 2024 !

Hispano Suiza célèbre ses 120 ans cette année. Et plutôt que de se contenter de souffler des bougies sur un banal gâteau, la marque a décidé de marquer le coup en présentant un nouveau modèle : la Carmen Sagrera. Elle n'est pas là pour enfiler des perles... Quand Hispano Suiza décide de fêter un anniversaire en grande pompe, elle n'y va pas avec le dos de la cuillère. Cette nouvelle Carmen Sagrera en est la preuve, avec sa monocoque en fibre de carbone et ses appendices aérodynamiques. La voiture est finie dans une teinte Cava Gold satinée. De nombreux clins d'œil au passé de la marque sont disséminés un peu partout, notamment les cigognes dans les feux arrière. La poupe est surmontée d'un énorme aileron en carbone, en deux parties. L'habitacle plonge le conducteur dans l'ambiance dès l'entrée à bord. La planche de bord et les sièges baquets sont en alcantara. On retrouve une instrumentation numérique et un écran central. Les buses d'aération ainsi que le chrono situé au centre, sous le pare-brise, sont cerclés d'aluminium cuivré.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Côté technique, cette Sagrera embarque 4 moteurs électriques de 205 kW, placés 2 par 2 sur les roues arrière. L'ensemble fournit un total de plus de 1.100 chevaux, pour un couple impressionnant de 1.160 Nm. Les moteurs sont associés à une énorme batterie de 103 kWh, permettant de parcourir jusqu'à 480 kilomètres sur une charge. Cette hypercar électrique peut expédier le 0 à 100 km/h en seulement 2,6 secondes ! Les prix n'ont pas encore été annoncés, ni même la quantité d'exemplaires produits.

À l'occasion de son 120ème anniversaire, Hispano Suiza présente sa nouvelle hypercar 100 % électrique : la Carmen Sagrera. Cette dernière délivre 1.100 chevaux et peut parcourir 480 kilomètres en une seule charge, selon la marque. Chez Hispano Suiza, on sait se faire plaisir ! On aurait plutôt tendance à associer Hispano Suiza au luxe et au raffinement plutôt qu'à la performance pure. Après tout, l'histoire de la marque s'est écrit avec des voitures immenses, offrant une débauche de luxe et de confort à ses occupants. Mais pas avec des hypercars. Et encore moins des électriques. Du moins jusqu'à aujourd'hui, puisque le constructeur vient de présenter la Carmen Sagrera, pour célébrer ses 120 ans. Et surprise, il s'agit d'une hypercar électrique ! Attention toutefois, n'allez pas imaginer une hypercar radicale et spartiate. La marque tient à honorer son passé. C'est pourquoi elle soigne son look, déjà avec sa peinture Cava Gold. La face avant affiche une calandre noire entourée d'optiques rondes coupées par le capot. Les ailes sont gonflées et relevées, à l'avant comme à l'arrière. Un aileron en deux parties, réalisé en fibre de carbone, surplombe la poupe. On note également un diffuseur massif, une sortie d'échappement centrale ainsi que des feux ronds arborant les emblèmes de la marque, des cigognes. Les portières s'ouvrent en élytre.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : De Tomaso P72 : l'un des premiers exemplaires est en fibre de carbone marron !

Fiat vient de présenter, avec un peu d'avance, sa toute nouvelle Panda. Grande Panda, d'ailleurs, c'est son véritable nom. Le modèle iconique de la marque se réinvente donc et prend la forme d'une citadine surélevée, à la manière de la dernière Citroën C3, avec laquelle elle partage justement bon nombre d'éléments techniques. Il y a quelques mois, Fiat dévoilait les premières images de la future génération de Panda. Et si la voiture paraissait conceptuelle, on s'aperçoit finalement que la version de série l'est presque tout autant ! Son design lui permet au moins de se différencier de ses cousines techniques, notamment la Citroën C3. Car il ne faut pas oublier que Fiat appartient à Stellantis. Il est donc normal que les plateformes servent à plusieurs constructeurs. Esthétiquement, cette nouvelle Fiat Panda risque de faire tourner des têtes. Elle révolutionne à elle seule le style de la marque, avec sa face avant très abrupte, son large bandeau noir qui tient lieu de calandre et qui intègre le nom du constructeur écrit en toutes lettres. Les passages de roues sont carrés et les boucliers musclés. La signature lumineuse s'affiche via des LED, qui évoquent des pixels, à l'avant comme à l'arrière. Le logo de la marque a tout simplement disparu, remplacé par une inscription « Fiat » moulée dans le hayon et affichée dans le bandeau noir à l'avant. D'autre part, le nom du modèle apparaît en relief sur le profil et sur le coffre.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Citroën C3 / ë-C3 (2024) : Dacia risque de souffrir

Pour être sûr et certain que personne ne passe à côté de sa nouveauté phare, la R5 E-Tech, Renault a décidé d'opter pour un moyen de communication pour le moins original. La marque a en effet mis à disposition des codes permettant d'obtenir une R5 directement dans certains jeux vidéo. Pour pousser le détail à fond, Renault a rebaptisé ses mods « Modder5 ». Avant d'en venir au cœur du sujet, il convient de réexpliquer certaines choses, qui peuvent s'assimiler à du chinois pour les personnes qui n'ont pas été initiées au monde vidéoludique. Certains jeux offrent en effet la possibilité d'entrer des codes pour ainsi avoir accès à des éléments inédits. Certains titres sont même très coutumiers de la chose, comme la saga Grand Theft Auto. Pour rappel, les développeurs recréent des voitures inspirées de modèles réels, en remplaçant quelques détails et en les renommant autrement, pour des questions de licences. Mais il est possible, sur PC du moins, de télécharger de véritables voitures, pour remplacer les modèles fictifs. Il en va de même pour de nombreux autres jeux vidéo. Renault n'allait donc pas passer à côté de cette pratique ! Pour donner encore davantage de visibilité à sa nouvelle star, la marque au losange a décidé de la rendre accessible à tous… directement dans les jeux vidéo. La Renault 5 E-Tech débarque donc dans 9 titres différents !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault 5 E-Tech : l'entrée de gamme passée à la loupe

La nouvelle génération de BMW M5 est en approche. La marque l'a fait savoir sur ses différents réseaux sociaux, via une première image officielle. On peut d'ailleurs y voir la voiture, recouverte d'un drap. Les projecteurs et la calandre rétroéclairée sont tout de même visibles, donnant de premiers indices quant au design du modèle.  L'année dernière, BMW lançait officiellement la nouvelle génération de sa grande berline, la Série 5. Comme toujours, la primeur est revenue aux versions les plus sages, ainsi qu'à une inédite version 100 % électrique, baptisée i5. Mais comme on s'en doutait, les puristes n'attendaient qu'une chose : l'arrivée de la version la plus méchante, la M5. Si aucune date de présentation n'a pour l'heure été annoncée, BMW tient à rassurer ses fans, en confirmant que son lancement est prévu pour bientôt. Il ne devrait pas y avoir de grosses surprises côté design. La M5 devrait reprendre les lignes de la Série 5, tout en musclant son jeu avec des boucliers ainsi que d'autres éléments spécifiques plus musclés. Mais pour en avoir le cœur net, il faudra attendre sa présentation officielle. En revanche, on peut déjà poser les yeux sur quelques éléments stylistiques de la face avant, grâce à une image publiée par BMW. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW M2 restylée : elle gagne 20 chevaux mais l'inflation est passée par là !

Cela fait quelques années que l'on entend parler du grand retour de De Tomaso, avec une supercar baptisée P72. Le développement de la voiture a récemment pris fin, les premiers exemplaires devraient donc être livrés à leurs propriétaires sous peu. La marque a d'ailleurs révélé une P72 à la configuration exceptionnelle, intégralement finie en fibre de carbone marron. Depuis l'annonce de son retour, De Tomaso est sous le feu des projecteurs. Les passionnés scrutent sans relâche la moindre annonce de la marque pour tenter d'en apprendre davantage sur sa nouvelle supercar, la P72, dont les premiers exemplaires doivent être livrés avant la fin de l'année. Quelques prototypes ont d'ailleurs pu être vus sur différents événements, comme aux 24 Heures du Mans ou encore à Pebble Beach. Entre temps, la marque a dévoilé quelques détails stylistiques, comme le magnifique levier de vitesses, qui s'apparente plus à une pièce d'orfèvrerie qu'à un banal outil servant à changer les rapports, ou encore le châssis, intégralement réalisé en carbone. Cette fois, on a droit à un aperçu de la voiture finie, ici dans une configuration à couper le souffle.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Le levier de vitesses de la De Tomaso P72 pourrait faire pâlir d'envie une Pagani !

Il y a quelques jours, Mansory présentait sa dernière création. Une fois n'est pas coutume, il s'agit d'un modèle destiné à braver la boue et le sable, en dehors des rubans lisses d'asphalte. Le préparateur a en effet accouché d'une version spéciale de la Lamborghini Huracan Sterrato et, pour une fois, le résultat n'est pas si extravagant. À force de massacrer tout ce qui roule, Mansory commence à ne plus avoir des masses de choix pour ses créations. Le préparateur s'est déjà attaqué à de nombreux modèles, issus des catalogues de presque tous les constructeurs les plus exclusifs de la sphère automobile. Chez Lamborghini, Mansory a déjà tout modifié, ou presque si l'on excepte les séries spéciales comme la Reventon ou la Veneno. Mais il restait un modèle, bien spécifique, qui n'était encore jamais passé sous son scalpel : la Huracan Sterrato. L'oubli est désormais réparé, puisque la supercar italienne sur échasses a récemment fait une halte dans les ateliers du préparateur. Et pour une fois, force est de constater que le résultat ne fait pas si mal aux yeux. Évidemment, la version de série est plus sobre et plus élégante, mais on aurait pu s'attendre à bien pire, surtout quand on voit le traitement réservé à d'autres modèles comme l'Aventador ou le Urus…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Une Lamborghini Veneno Roadster a été vendue 5,5 millions d'euros

Cette semaine, Mini a complété la gamme de sa Cooper avec la nouvelle version 5 portes. Celle-ci est disponible sur les Cooper C et S. C'est la première qui va nous intéresser, elle qui s'affiche à partir de 30.500 euros. Mais a-t-on vraiment droit à l'esprit sport-chic Mini pour ce prix ? Renouvelée en début d'année, la Mini Cooper n'était jusqu'à maintenant disponible qu'en version 3 portes, aussi bien en thermique qu'en 100% électrique. Il y a quelques jours, la marque a dévoilé la déclinaison 5 portes de sa citadine. L'accès aux places arrière est donc facilité et ne nécessite plus de numéro de contorsionniste, tandis que le volume de coffre peut grimper à 925 litres une fois la banquette arrière rabattue. La Mini Cooper devient donc encore plus fréquentable, grâce notamment à ses dimensions revues à la hausse. La gamme s'articule autour de 4 niveaux de finition, exactement comme la version 3 portes : Essential, Classic, Favoured et JCW. Chacune est disponible en 2 versions, la C avec son 3 cylindres de 156 chevaux et la S, avec son 4 cylindres de 204 chevaux. Mais à quoi a-t-on droit en choisissant une Mini Cooper C en finition Essential ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La nouvelle Mini Cooper 5 portes est disponible, à partir de 30.500 euros !

En 1987, Peugeot remplace la berline de sa gamme par un nouveau modèle, baptisé 405. L'année suivante, la marque au lion, comme piquée par une envie irrépressible d'aller titiller les berlines sportives allemandes, présente une nouvelle version de sa 405 : la Mi16. Les Allemands s'en souviennent encore… À sa sortie en 1987, la Peugeot 405 n'avait pas grand-chose d'exceptionnel. Attention, on n'est pas en train de dire que cette voiture était dénuée d'intérêt. Elle était bourrée de qualités, avec entre autres son design élégant signé Pininfarina, son habitacle bien conçu ou encore sa tenue de route saluée en son temps. Ce qu'on dit, en revanche, c'est que la 405 était pour ainsi dire la berline propre sur elle de monsieur Tout-le-Monde. En 1988, en revanche, Peugeot présente une déclinaison qui ira jusqu'à éveiller la curiosité (et un brin d'inquiétude) des ingénieurs de BMW et Mercedes : la 405 Mi16. Plus performante ? C'est certain, mais pas question de l'habiller avec un jogging pour autant. La 405 Mi16 est relativement discrète par rapport à ses rivales germaniques. Les boucliers sont tout de même légèrement redessinés et intègrent désormais des antibrouillards, le profil reçoit de fines extensions d'ailes noires et des bas de caisse peints couleur carrosserie. La malle arbore un badge Mi16 rouge et est surmontée d'un petit aileron. La voiture repose sur des jantes spécifiques de 14 pouces. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Peugeot reconnaît l'échec du label PSE et s'apprête à l'enterrer

Une écurie assez peu connue du grand public vient de présenter l'un de ses nouveaux bolides, destiné à participer au championnat d'Europe de courses de côtes. Cette écurie, c'est Bango Racing Cars et, son nouveau jouet, c'est la BRC 205T. L'engin affiche la couleur d'emblée, il n'est pas là pour vendre des cravates ! Les différentes compétitions automobiles ne sont pas réservées aux grands noms du secteur, comme on pourrait le penser. L'équipe espagnole Bango Racing Cars en est le parfait exemple. L'écurie s'est adjugée de nombreux titres, aussi bien au niveau national qu'européen, majoritairement en championnat de courses de côtes. Et elle ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Pour tenter de décrocher un nouveau trophée, Bango Racing vient de dévoiler sa nouvelle arme : la BRC 205T. Ne vous laissez pas abuser par son design vintage et ses petites roues. Cet engin embarque un moteur d'environ 450 chevaux, pour être sûr d'arriver le premier en haut des sommets.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Saurez-vous reconnaître la voiture qui se cache sous cet étrange kit carrosserie ?

Alpine dévoile enfin la version définitive de son A290, quelques jours avant le départ des 24 Heures du Mans. Sans surprise, la voiture de série est moins exubérante que le concept originel, mais elle se distingue tout de même de la Renault 5 E-Tech grâce à de nombreux attributs sportifs. Les tarifs n'ont pas encore été communiqués. Enfin, elle entre dans le monde réel ! Depuis la présentation du concept au printemps 2023, Alpine n'avait égrainé que de rares informations au sujet de la version de série de son A290. Aujourd'hui, l'attente est terminée, on peut enfin poser les yeux sur la version définitive de la citadine sportive 100% électrique. Toutes les informations, ou presque, sont désormais connues. La Renault 5 E-Tech a maintenant officiellement une cousine. Et celle-ci risque de moins bien se tenir en public… On s'en souvient, le concept affichait des lignes musclées, à la limite de la caricature. Exit le design bodybuildé, la version de série de l'A290 se rapproche de la R5 E-Tech. Toutefois, elle n'en oublie pas son caractère sportif, avec notamment des boucliers revus, plus agressifs, des passages de roues élargis et des jupes latérales. Elle repose sur de grandes jantes en alliage de 19 pouces. Elle se distingue de la Renault grâce à quelques détails stylistiques, notamment la signature lumineuse en forme de X, présente à la fois dans les phares principaux, mais également dans les blocs additionnels. Alpine justifie l'absence d'aileron arrière par le fait que cela aurait nuit à l'aérodynamisme de la voiture, et donc à l'efficience. Côté couleurs, le nuancier comportera 4 teintes au lancement, dont le nouveau Bleu Alpine Vision.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Une Alpine A110 à votre image, ça vous dit ?

Trois grands constructeurs, européens qui plus est, viennent d'annoncer leur grand retour au Mondial de Paris 2024 ! De quoi susciter l'intérêt des passionnés, après une édition 2022 dominée par les marques chinoises. La liste des participants à l'édition 2024 s'allonge donc, avec Audi, Volkswagen et Skoda. Ces dernières années, les salons automobiles traditionnels ont pris du plomb dans l'aile. La majorité des grands constructeurs, d'ordinaire habitués à ce genre d'événements, ont préféré délaisser la moquette des grands halls pour la pelouse des golfs où se déroulent les concours d'élégance et autres rassemblements huppés. Pour preuve, le Salon de l'Auto de Genève, qui était le plus grand de tous, a récemment annoncé sa délocalisation au Qatar. On l'avait également constaté à Paris, en 2022. Les grands noms de l'industrie automobile, comme Mercedes, BMW, Porsche ou encore Volkswagen, avaient tous déserté. Seul le groupe Renault, ainsi que Peugeot, DS et Jeep, avaient fait acte de présence, au beau milieu d'une déferlante de marques chinoises. Pas de quoi battre des records d'affluence donc… Mais la donne pourrait changer cette année, avec le retour de 3 constructeurs bien connus.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Après le bide de l'édition 2024, le Salon de Genève dit adieu à la Suisse !

BMW vient de présenter la version restylée de sa Série 2. La marque en a profité pour rafraîchir la version Motorsport, qui gagne 20 chevaux pour l'occasion et atteint donc 480 chevaux, toujours issus de son 6 cylindres en ligne. Bonne nouvelle, la boîte manuelle est toujours disponible, en option. Les commandes ouvriront à la fin de l'été, les prix débutant à 84.700 euros. Sur le marché des coupés sportifs, la BMW M2 fait partie des références. Outre son bloc rageur, elle est l'une des rares représentantes de la catégorie à encore être équipée d'une boîte de vitesse manuelle, pour le plus grand bonheur des puristes. Ce restylage est donc important, BMW n'a pour ainsi dire pas le droit à l'erreur. Pour minimiser la prise de risques, la voiture n'évolue qu'en douceur. Cela dit, les nouveautés pourraient faire une vraie différence, dans le bon sens ! Visuellement, la M2 reste fidèle à elle-même. On a toujours affaire à un coupé musclé, avec des boucliers massifs et un regard acéré. À ce propos, la signature lumineuse ne change pas d'un iota. La voiture est chaussée de série de jantes en alliage léger de 19 pouces à l'avant et 20 pouces à l'arrière. Le catalogue d'options s'enrichit de nouvelles roues, tandis que le nuancier s'étoffe de nouvelles teintes de carrosserie, dont le Portimao Blue, le Fire Red Metallic ou encore le Sao Paulo Yellow Solid.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW Série 2 restylée : qu'est-ce qui change ?

BMW vient de présenter la nouvelle gamme de sa Série 2 restylée. Le coupé se met donc à jour, mais n'évolue que légèrement pour rester dans le match face à ses concurrentes. La Série 2 restylée sera disponible à la fin de l'été, aussi bien en essence qu'en Diesel, à partir de 50.600 euros. C'est un restylage qui arrive plus tôt qu'on ne l'aurait pensé ! Alors que la BMW Série 2 s'était renouvelée en 2021, avec l'arrivée de la nouvelle génération, la marque allemande lui offre déjà un lifting. Toutefois, la voiture n'évolue que très légèrement. BMW a préféré concentrer son travail sur une réorganisation de la gamme de la Série 2, qui ne sera désormais plus disponible qu'en finition M Sport.  Visuellement, la voiture ne change donc pas de recette. La signature lumineuse reste la même, à l'avant comme à l'arrière. Elle sera équipée de série de jantes en alliage léger de 18 pouces, de l'entourage de vitres Shadow Line M et du kit aérodynamique M. De nouvelles roues seront ajoutés au catalogue d'options, tandis que le nuancier s'enrichira de trois teintes supplémentaires : Fire Red, Skyscraper Grey et M Zandvoort Blue. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW Série 1 : voici la nouvelle génération, 20 ans après la première !

À l'approche de l'été, le moment est venu pour certains de se faire plaisir en achetant un cabriolet pour profiter du soleil. Parmi les voitures idéales pour la saison estivale, le BMW Z4 se classe plutôt bien ! Et plus particulièrement la version M40i, avec ses 340 chevaux. Ne perdez pas de temps à configurer votre exemplaire, on s'en est chargé pour vous. Si les beaux jours finissent par revenir, ce qui n'est pas gagné pour l'instant, certains vont avoir envie de s'offrir un cabriolet pour profiter du soleil cheveux au vent. Même si les voitures découvrables sont moins nombreuses qu'il y a une dizaine d'années, il reste tout de même du choix, pour peu que vous soyez prêt à dépenser entre 30.000 et 500.000 euros, voire davantage… Mais pas de panique, on n'a pas choisi une Ferrari SF90 Spider. On vous a plutôt configuré un magnifique BMW Z4, mais pas n'importe lequel. On a bien évidemment choisi le Z4 M40i. Tant qu'à faire, autant avoir des chevaux. Et ça tombe bien, le roadster allemand n'en manque pas. Son 6 cylindres en ligne 3.0 turbo développe 340 chevaux pour 500 Nm de couple. Il permet d'abattre le 0 à 100 km/h en 4,5 secondes et d'atteindre une vitesse de pointe bridée électroniquement à 250 km/h. Le jouet parfait pour s'amuser sur des petites routes sinueuses, grâce à ses roues arrière motrices et sa capote en toile rétractable. Le plaisir a un prix : 70.900 euros. Sans options et sans malus…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG – Elle vous plaît, notre nouvelle BMW M135 violette ?

La saga cinématographique Largo Winch, débutée en 2008, s'apprête à faire son grand retour au cinéma cet été, avec un troisième opus. Et si le personnage central, incarné par Tomer Sisley, n'est pas particulièrement féru d'automobiles, cela ne l'empêche pas de jouer au casse-cou en Alpine A110 en pleine montagne, sous la neige ! À priori, la saga Largo Winch n'a pas grand-chose à voir avec le monde de l'automobile. On y suit les aventures de l'héritier du Groupe W, avec les avantages et les inconvénients qui vont avec ce statut. Tentatives d'enlèvement ou d'assassinat, escroqueries… La vie de multimilliardaire ne semble pas si facile qu'on voudrait bien le croire. Et justement, nous allons bientôt avoir droit à un nouvel aperçu, puisqu'un nouvel épisode de la saga, que l'on croyait définitivement arrêtée depuis 2011, s'apprête à sortir dans les salles obscures cet été. Le synopsis est pour l'instant assez vague (tant mieux pour la découverte au cinéma), on sait simplement que le fils de Largo Winch se fait kidnapper et qu'on devrait assister à une chasse à l'homme aux 4 coins du globe. Pour le retrouver, notre bon vieux Largo devrait utiliser tous les moyens possibles et imaginables, notamment… des voitures ! Et plus particulièrement une Alpine A110.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Une Alpine A110 à votre image, ça vous dit ?

Le préparateur de renom Kalmar Automotive vient de lever le voile sur sa nouvelle réalisation, comme toujours basée sur la Porsche 911. Baptisé 7-97 Classic C1 pour, ce restomod entend bien rappeler à Singer Vehicle Design qu'il n'a pas le monopole de la restauration de 911 ! Dans le milieu de la restauration automobile, la Porsche 911 est certainement le modèle le plus convoité. Chaque entreprise, et elles sont de plus en plus nombreuses, propose sa propre approche, certaines jouant la carte de l'exubérance, quand d'autres préfèrent la simplicité et l'authenticité. Aux côtés de l'incontournable californien Singer Vehicle Design, on trouve également Kalmar Automotive. Ce préparateur s'est déjà fait la main sur la 911, avec des réalisations qui valent le coup d'œil. Cette semaine, une nouvelle création a été présentée : la C1. Celle-ci s'inscrit dans la lignée des 7-97 Classic. Ici, il n'est pas question d'aileron disproportionné, de boucliers proéminents ou de bas de caisse saillants. La C1 est une déclaration d'amour à la 911 Type 964, sur laquelle elle se base. La simplicité a été poussée au maximum. Mais Kalmar ne s'est pas contenté de simplement peaufiner une voiture existante. La carrosserie est reproduite en fibre de carbone. Les boucliers sont cerclés d'un discret liseré noir, une couleur reprise pour les jantes Fuchs en alliage léger. Les phares avant et arrière sont remplacés par des blocs à LED. À l'arrière, la grille d'aération du moteur est positionnée entre la lunette et le monogramme Kalmar. Le préparateur indique qu'il est possible d'opter pour un becquet façon queue de canard. Une double sortie d'échappement trône au centre. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi :  Singer 911 DLS Cherry Red Metallic : la plus belle œuvre d'art germano-américaine !

Après avoir renouvelé sa Cooper en version 3 portes, Mini ouvre désormais les commandes de la déclinaison 5 portes. La Cooper devient donc encore plus habitable grâce à ses dimensions plus généreuses. Elle est déjà disponible, en versions C et S, à partir de 30.500 euros. Aujourd'hui, la gamme Mini s'enrichit avec une nouvelle version de la Cooper, elle-même lancée sur le marché il y a quelques mois à peine. Alors qu'elle n'était jusqu'alors disponible qu'en version 3 portes, elle se décline maintenant en 5 portes. Visuellement, aucun doute possible, c'est bien une Mini. Les codes stylistiques introduits sur la nouvelle génération sont toujours bien visibles, avec les phares ronds et les feux arrière triangulaires, évoquant toujours le drapeau anglais avec leurs LED. Cependant, cette version 5 portes s'allonge de 172 mm et progresse de 72 mm au niveau de l'empattement. Des ajouts qui peuvent sembler anecdotiques, mais qui permettent tout de même d'améliorer l'habitabilité, notamment aux places arrière. L'accès y est d'ailleurs plus facile. Côté coffre, la nouvelle Mini Cooper 5 portes revendique un volume de chargement de 275 litres, et jusqu'à 925 litres une fois la banquette rabattue.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mini dégaine l'Aceman, son nouveau SUV urbain !

Quelques mois après avoir ouvert les carnets de commandes de la nouvelle génération de sa Cooper en 3 portes, Mini lance officiellement la version 5 portes, disponible sur les Cooper C et S. Les tarifs débutent à 30.500 euros. On prend les mêmes et on recommence. Cette nouvelle Mini Cooper 5 portes ne diffère presque pas de la version 3 portes. Elle s'allonge toutefois de 172 mm, tandis que l'empattement progresse de 72 mm. L'habitabilité à bord s'en ressent donc forcément, notamment aux places arrière. L'accès y est en plus facilité. L'habitacle reprend le même mobilier que dans la Mini Cooper 3 portes, avec le fameux écran central circulaire. Côté pratique, cette nouvelle Mini Cooper 5 portes offre un volume de chargement de 275 litres, qui peut être porté à 925 litres une fois la banquette arrière rabattue.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Deux versions sont d'ores et déjà disponibles : la C et la S. La première embarque un 3 cylindres essence de 156 chevaux, tandis que la deuxième est dotée d'un 4 cylindres essence de 204 chevaux. La Mini Cooper C débute à 30.500 euros, contre 34.500 euros pour la Cooper S. L'une et l'autre sont déclinées en finitions Essential, Classic, Favoured et JCW.