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CONFIG – Mercedes-AMG CLE 53 : le jouet idéal pour la crise de la soixantaine !

Il y a quelques mois, Mercedes introduisait un tout nouveau modèle dans sa gamme : la CLE. Ce coupé est chargé de remplacer à lui-seul les anciennes Classe C et Classe E coupé. La marque lui a même offert une version AMG 53 d'entrée de jeu. On vient d'ailleurs d'en configurer un exemplaire ! Au cours de sa vie, l'être humain connaît (ou peut connaître, tout dépend de l'individu) deux crises existentielles. La première arrive aux alentours des 40 ans et, la plupart du temps, le besoin inexplicable d'avoir une Porsche dans son garage survient à ce moment-là. La deuxième pointe le bout de son nez peu de temps avant la retraite, aux alentours des 60 ans. Cette fois, il faut quelque chose de confortable. Une Mercedes, par exemple ? Pourquoi pas ! Le catalogue de la marque allemande regorge de modèles luxueux et confortables, à défaut d'être véritablement sportifs comme le suggère leur badge AMG. C'est notamment le cas de la Mercedes-AMG CLE 53 4Matic+ Coupé, qui respecte elle-aussi la tradition des appellations à rallonge (« Ça rentre pas dans les cases », comme disait Marie-Anne Chazel…). Celle-ci est équipée d'un 6 cylindres en ligne 3.0 turbocompressé de 449 chevaux, qui permet de passer de 0 à 100 km/h en 4,2 secondes. Mercedes affiche ce CLE 53 AMG à partir de 92.450 euros. Malheureusement, son hybridation légère ne lui permet pas d'échapper au malus maximal de 60.000 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Mercedes CLE (2024) : Coupé haute couture

Gemballa GTR 8XX Evo-R Biturbo : cette Porsche 911 n’est pas là pour enfiler des perles !

En 2018, Gemballa présentait une version entièrement revue de la Porsche 911 Type 991 Turbo. Le préparateur allemand faisait ainsi passer la puissance de 540 à plus de 800 chevaux, bien emballés dans une carrosserie à l'allure démoniaque. Dans un souci ultime du détail, la production de ce monstre était limitée à 911 exemplaires. Gemballa est à l'origine de certaines des préparations les plus performantes, mais également les plus osées jamais mises en circulation. On pense notamment à la Mirage GT, version boostée de la Porsche Carrera GT. La marque de Stuttgart a d'ailleurs toujours eu une place de choix dans le catalogue du préparateur, qui s'est occupé aussi bien de la 911 que de la Panamera et même du Cayenne. Et justement, en parlant de la 911, en voici peut-être l'une des versions les plus méchantes. Le nom à lui-seul donne des sueurs froides : GTR 8XX Evo-R Biturbo. Le ton est donné ! Pour être raccord avec son patronyme, la 911 Type 991 Turbo se pare d'un kit carrosserie, réalisé en fibre de carbone, pour le moins exubérant. Celui-ci comprend des boucliers spécifiques, un séparateur avant, un capot nervuré, des bas de caisse, un diffuseur arrière intégrant 4 sorties d'échappement, un aileron massif ainsi que quelques appendices aérodynamiques supplémentaires. Les ailes ont été élargies de 26 mm à l'avant et 40 mm à l'arrière. Les extensions sont rivetées directement sur la carrosserie. L'engin repose sur des jantes forgées de 20 pouces.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Gemballa Mirage GT : avait-on le droit de faire ça à une Porsche Carrera GT ?

MR22.Rusty : le Range Rover vintage à la sauce Machine Revival

Machine Revival est l'un des spécialistes français du restomod. La petit entreprise, basée dans le Pays Basque, ne cache pas son amour pour la Porsche 911. Mais ça ne l'empêche pas d'exprimer son talent sur d'autres modèles, comme ce Range Rover de 1979, rebaptisée MR22.Rusty. Le secteur du restomod a le vent en poupe depuis quelques années. De nombreuses entreprises ont emboîté le pas de Singer, le préparateur californien passé maître dans le domaine et qui fait d'ailleurs office de référence. Mais nous autres Français, n'avons pas à rougir. Machine Revival représente l'Hexagone sur ce créneau de plus en plus prisé. Et l'officine basque le fait très bien ! Parmi ses réalisations, on trouve un étonnant Range Rover de 1979. Celui-ci est immédiatement reconnaissable, avec ses lignes iconiques. Toutefois, Machine Revival a procédé à quelques modifications. À commencer par la garde au sol abaissée et ses roues plus petites. Le préparateur justifie ce choix en affirmant que cela lui confère plus de dynamisme.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Machine Revival : le Singer français qui crée des chefs-d'œuvre depuis plus de 10 ans !

Koenigsegg Gemera : exit le 3 cylindres, ce sera V8 ou rien !

Il y a 4 ans, Koenigsegg dévoilait la Gemera. Un véritable ovni, s'apparentant à une hypercar familiale dotée de 4 places et d'un coffre suffisamment logeable pour envisager les départs en vacances. Chose étonnante, la marque suédoise avait précisé que le modèle pourrait être équipé au choix d'un modeste 3 cylindres électrifié, développant tout de même la bagatelle de 1.700 chevaux, ou bien d'un V8. Sans surprise, le frêle 3 cylindres vient d'être supprimé avant même le début de la production. Koenigsegg avait pris tout le monde de court, en 2020, en présentant sa Gemera. Cette hypercar, dotée de 4 vraies places et d'un coffre généreux (pour une voiture de ce calibre) affichait une fiche technique pour le moins impressionnante. Ou plutôt, deux fiches techniques. Car la marque suédoise avait annoncé deux motorisations hybrides différentes : la première était construite autour d'un petit 3 cylindres, la seconde autour d'un V8, davantage à sa place. Nouveau rebondissement cette semaine, puisque Koenigsegg vient de confirmer que seul le V8 serait au programme. Le petit 3 cylindres ne verra donc pas le jour sous le capot de la Gemera, faute de demande suffisante. Une décision loin d'être surprenante. Comprenez que les rares clients fortunés prêts à dépenser au bas mot 1 million d'euros pour une hypercar de cette trempe ne soient pas très emballés par une motorisation aussi peu noble… Voilà qui rappelle d'ailleurs le cas de l'Alfa Romeo 33 Stradale, qui rappelons-le, était proposée au choix en motorisation électrique, ou avec un V6. On vous laisse deviner quelle version représente la majorité des commandes…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO - La Koenigsegg Jesko reprend sa couronne sur l'exercice du 0-400-0 km/h !

PHOTOS - Shelby Cobra : le rêve américain, presque accessible, s'échange contre 800.000 euros !

L'un des rares exemplaires de Shelby Cobra a récemment changé de propriétaire. Celui-ci était en vente sur la plateforme d'enchères Bring a Trailer et a été adjugé contre la coquette somme de 880.000 dollars, soit environ 810.000 euros ! La Shelby Cobra est certainement l'une des voitures les plus iconiques de toute l'histoire de la production automobile. Ses lignes reconnaissables entre mille, sa sonorité, son palmarès en compétition, son blason... Alors, quand un exemplaire authentique arrive sur les sites de ventes, il ne fait jamais long feu. Celui-ci a déchainé les enchères, puisqu'il s'est échangé contre la bagatelle de 810.000 euros environ. Cette Cobra de 1966 ne totalise que 5.150 kilomètres et est dans un état exceptionnel. La voiture a fait l'objet d'une restauration complète en 1989, en Angleterre. Elle a ensuite été rapatriée aux États-Unis, sa terre natale, avant de changer de propriétaire en 1993. Cet exemplaire est fini dans la teinte Guardsman Blue, avec une sellerie en cuir noir dans l'habitacle. Sous le capot, cette Cobra embarque le bloc 427ci, un V8 de 7 litres de cylindrée développant 410 chevaux qui martyrisent les roues arrière. Cet exemplaire bénéficie en plus de quelques éléments spécifiques aux versions S/C (Semi Competition), comme les ailes élargies, les amortisseurs Koni réglables ou encore le plancher de coffre en aluminium. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} La Shelby Cobra, c'est le rêve américain personnifié. Un véritable morceau de l'Amérique, "presque" accessible et "presque" pas dangereux à conduire...

Alpine abandonne le moteur Renault en Formule 1 !

Quelques jours après un Grand-Prix de Hongrie à oublier pour Alpine, l'écurie française lâche une véritable bombe. L'équipe abandonnera la fabrication de moteur à partir de 2026 et se tournera vers une autre marque, vraisemblablement Mercedes, pour équiper ses monoplaces. Depuis le début de la saison 2023, on ne peut pas dire qu'Alpine F1 Team soit dans une forme étincelante. C'est même encore pire cette année, puisque l'écurie française pointe à la huitième place au classement des constructeurs. Depuis un an et demi, l'organigramme est régulièrement chamboulé en interne, tandis que les monoplaces ne brillent guère sur la piste. Comme un cercle vicieux, les tensions dans le garage entraînent des contre-performances, qui créent des tensions, et ainsi de suite… Mais les performances et la fiabilité de la voiture ne sont pas les seules causes de la position d'Alpine au championnat. L'ambiance électrique entre les deux pilotes, Pierre Gasly et Esteban Ocon, n'arrange rien. Ces tensions devraient justement disparaître à la fin de la saison 2024, au moment du départ d'Ocon. Le pilote N°31 vient en effet de signer un contrat pluriannuel avec Haas, à partir du début de la saison prochaine.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : FORMULE 1 – SAISON 2024 : actualités, moments forts, résultats

CONFIG - Porsche Panamera GTS : pour téléporter la famille en vacances !

Il y a quelques jours, Porsche dévoilait deux nouvelles versions de sa grande berline de luxe. La Panamera se décline désormais en version GTS, plus affûtée et, surtout, 100% thermique. Elle embarque un bon vieux V8 4.0 biturbo de 500 chevaux, qui ne manquera pas d'ajouter un peu de piquant sur la route des vacances. Revers de la médaille, il implique un léger malus CO2… Nous ne saurions que trop vous conseiller d'inclure une case « voiture » dans votre budget vacances. Surtout si, comme beaucoup d'autres, vous partez à plusieurs heures de route de chez vous. Et on le sait, la route fait partie des vacances. Alors autant l'égayer et passer le trajet dans un engin plaisant, non ? On a justement trouvé un modèle parfaitement adapté aux longs trajets : la nouvelle Porsche Panamera GTS. La marque allemande l'a dévoilée la semaine dernière et les commandes sont déjà ouvertes. Au programme, de l'espace, du luxe, du confort et un V8 4.0 biturbo de 500 chevaux. Celui-ci peut catapulter ce gros bébé de 0 à 100 km/h en seulement 3,8 secondes et lui faire atteindre 302 km/h en vitesse de pointe. Évidemment, la Panamera GTS a un prix : 167.787 euros, auxquels il faut ajouter 60.000 euros de malus écologique.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche Panamera GTS et Turbo S E-Hybrid : les nouvelles versions du téléporteur de luxe allemand

Le dernier W12 est sorti de l’usine de Bentley

Bentley vient de produire le dernier W12 de son histoire. La marque anglaise ouvre donc un nouveau chapitre et se concentrera désormais sur la mobilité de luxe électrifiée. Une page se tourne, chez Bentley. L'usine historique de Crewe, en Angleterre, vient de produire son ultime W12, un moteur iconique qui aura équipé plus de 100.000 voitures au cours de sa carrière, longue de 21 ans. En effet, ce bloc avait été introduit pour la première fois dans la Continental GT, en 2003. Depuis son arrivée au catalogue de Bentley, le W12 a équipé la plupart des modèles produits en série, notamment les Continental GT et GTC, mais également la Flying Spur et le Bentayga. Certaines séries ultra limitées y ont même eu droit, à l'image des très exclusives Mulliner Batur et Bacalar.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Bentley annonce l'arrivée d'une Flying Spur hybride de presque 800 chevaux !

Frontline LE60 : le restomod amusant de la MGB avec un V8 de 380 chevaux !

L'année dernière, Frontline a décidé de fêter les 60 ans de la MGB en dévoilant un restomod équipé d'un V8 de 380 chevaux. L'entreprise anglaise, spécialisée dans la restauration et l'optimisation de modèles MG, prévoit d'en produire 30 exemplaires, et pas un de plus. L'iconique MG B soufflait l'année dernière ses 60 ans de carrière. À cette occasion, le préparateur Frontline, spécialiste MG, lui a offert un nouveau restomod. Le petit coupé anglais bénéficie donc d'un design retravaillé, d'éléments mécaniques revus et de performances améliorées. Malgré les changements opérés à l'extérieur, on reconnaît clairement le style de la MGB. La voiture se débarrasse néanmoins de ses éléments de protection en chrome et adopte des boucliers retravaillés. La face avant gagne donc en agressivité et rappelle la version de compétition de la MGB. Même chose pour la poupe, qui gagne en pureté et qui laisse apparaître deux sorties d'échappement. La voiture repose sur des jantes noires à fixation centrale chromée. Enfin, les optiques avant sont désormais à LED, avec une signature circulaire.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : MZR Roadsport a réussi à sublimer la Datsun 240Z au travers de ce restomod !

Coup de pot : les fausses sorties d’échappement chez Audi, c’est terminé !

Les puristes d'Audi grinçaient des dents depuis quelques années. En effet, le constructeur aux anneaux s'était mis en tête de remplacer les pots d'échappement traditionnels par des éléments de style… factices. Mais la nouvelle Audi S5, présentée la semaine dernière, remédie à cela. C'est un détail qui n'était vraiment pas du goûts des amateurs de la marque allemande. Audi avait en effet pris l'habitude de singer des sorties d'échappement sur certains modèles sportifs, comme le SQ5, dont le bouclier arrière présente carrément de faux pots moulés dans le plastique. Une pratique également vue chez mercedes. Cela concerne également les modèles les plus exclusifs, dans une moindre mesure toutefois. Prenez l'actuelle génération de la RS6, et vous verrez que les énormes sorties ovales cachent en fait de véritables pots d'échappement beaucoup moins impressionnants.  Il y a quelques mois, l'un des dirigeants de la marque allemande avait affirmé que ce détail peu flatteur allait être abandonné. Une annonce qui s'était déjà vérifiée lors de la présentation de l'Audi S3 restylée, qui dispose de 4 vraies sorties d'échappement. La semaine dernière, le constructeur levait le voile sur la nouvelle génération de l'A5 et de sa version S. Cette dernière arbore elle-aussi 4 véritables pots.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Audi A5 : elle se métamorphose et joue maintenant sur tous les tableaux !

Toyota Supra : 5 générations pour devenir une légende

En Europe, on a une image erronée de la Toyota Supra. Si on connaît les deux dernières générations, sa genèse remonte en réalité à l'année 1978. En tout, 5 versions se sont succédé en presque 50 ans. Remontons le temps pour retracer l'histoire de la sportive nippone. Demandez à n'importe qui de vous parler de la Toyota Supra. Dans 90% des cas, il ne vous citera que la dernière génération, qui est actuellement en vente chez nous, et l'avant-dernière, qui est devenue l'une des voitures de cinéma les plus célèbres, grâce à son apparition dans la saga Fast & Furious. Mais ce que la plupart des gens ignore, c'est que la sportive japonaise est en fait née 3 générations plus tôt, en 1978. Pour leur défense, les 3 premières sont restées confidentielles, chez nous du moins… Lire aussi : Chez Nissan, la lignée cultissime des Z fête ses 55 ans ! Toyota Celica Supra A40 : pour lancer la machine…

Jeep Dune : l’Ami du désert !

Voici le Jeep Dune ! Ce tout petit buggy est un cousin technique des Citroën Ami et Fiat Topolino, cette fois préparé pour partir à l'aventure. Toutefois ne vous emballez pas, il s'agit en réalité d'un projet virtuel, sorti de l'esprit d'un designer indépendant. Mais une version de série n'est pas si improbable, après tout… On aurait raté un épisode ? Bien sûr, on connaît très bien les Citroën Ami, Fiat Topolino et Opel Rocks-e. Cependant, on n'a jamais entendu parler d'une jumelle badgée Jeep. Et c'est bien normal, puisque ce que vous avez sous les yeux n'existe que dans le monde virtuel. Ce Jeep Dune est en effet le fruit de l'esprit du studio indépendant Klissarov Design, une entreprise qui a travaillé entre autres avec Renault. Voilà pourquoi il n'est pas impossible de voir un jour débarquer ce buggy dans le monde réel. À la manière de la Citroën Ami Buggy (version baroudeuse de l'Ami standard), ce Jeep Dune adopte un design plus adapté à l'exploration. Les boucliers sont plus massifs et, si on osait, on dirait qu'ils rappellent ceux du Wrangler. Klissarov a même intégré certains codes stylistiques propres à la marque américaine, comme la calandre à 7 lames et les phares ronds, à l'avant.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Fiat Topolino : pourquoi vous devriez la préférer à la Citroën Ami ?

Cadillac Sollei : ce concept serait-il l’héritier de la mythique Cadillac Eldorado ?

Cadillac vient de dévoiler un nouveau concept-car et, surprise, ce n'est pas un SUV ! Baptisé Sollei, celui-ci se présente sous la forme d'un grand cabriolet aux lignes élégantes. Les afficionados de la marque américaine noteront également le clin d'œil aux grandes Cadillac des années 50 et 60, parmi lesquelles la fameuse Eldorado. Reste maintenant à voir ce que le constructeur décide de faire de ce concept. Pour beaucoup, la gamme de Cadillac se résume maintenant à des SUV électriques. Et c'est vrai, chez nous en tout cas. En effet, la marque américaine opère un grand retour sur le vieux continent, avec un catalogue de modèles spécifiques. Mais outre-Atlantique, Cadillac commercialise encore ses bonnes vieilles berlines, ainsi que l'iconique SUV Escalade. Les cabriolets, en revanche, ont déserté depuis quelques années. Justement, voici un concept inédit qui pourrait annoncer leur retour…  Son nom : Sollei. Le concept a été réalisé avec l'aide du service d'ultra-luxe et de personnalisation de la marque. Et avant de rentrer dans les détails, un élément saute aux yeux. La couleur ne vous dit rien ? Cadillac l'appelle Manilla Cream et elle ne date pas d'hier. Cette teinte a été ressortie miraculeusement du nuancier des années 1957 et 1958. Un très bel hommage aux modèles de ces années-là, qui sont devenus de véritables icônes de la culture américaine.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Grâce au Lyriq, Cadillac va reposer ses valises en France !

CONCEPT OUBLIÉ - BMW M1 Hommage : si seulement BMW était allé au bout de la démarche…

À l'occasion du Concours d'Élégance de la Villa d'Este en 2008, BMW présentait la M1 Hommage, un concept-car qui, comme son nom l'indique, faisait écho à la supercar éponyme des années 70. La marque allemande n'a malheureusement jamais acté de production. Dans les années 2000, de nombreux constructeurs automobiles étaient nostalgiques de leurs grandes heures passées. C'était notamment le cas de BMW, qui avait présenté un concept-car très désirable au Concours d'Élégance de la Villa d'Este en 2008. La marque à l'hélice avait fait le déplacement jusqu'aux rives du lac de Côme avec la M1 Hommage, un coupé sport dessiné par Chris Bangle, largement inspiré de la M1 de 1978. Cette dernière fêtait justement ses 30 ans au moment de la présentation du concept. Les gimmicks qui ont fait la réputation de la M1 originelle ont été repris pour le concept. La face avant intègre une petite calandre et des phares dissimulés dans le bouclier. Le profil est quasiment identique à la supercar de 1978, tandis que les jantes reprennent le même dessin, tout en le remettant au goût du jour. À l'arrière, la M1 Hommage affiche des persiennes sur la lunette et des logos placés au-dessus des feux. La poupe préfigurait également la future i8 hybride de 2013, notamment au niveau des optiques et du travail aérodynamique au-dessus des ailes.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONCEPT OUBLIÉ - BMW Nazca C2 : elle avait tout pour prendre la relève de la M1 !

PHOTOS - Cette rarissime Ferrari Testarossa by Koenig Specials a été vendue une petite fortune !

Cette Ferrari Testarossa a été adjugée la semaine dernière contre la bagatelle de 525.000 dollars. Une somme bien au-dessus de sa valeur sur le marché, et pour cause : cette Testarossa a été préparée par Koenig Specials, en 1986. Dans les années 80, certains préparateurs n'avaient pas froid aux yeux. Koenig Specials concentrait son travail sur les modèles les plus exclusifs de la production mondiale, dont la Ferrari Testarossa. En voici d'ailleurs un exemplaire, qui a changé de propriétaire la semaine dernière. Il faut avoir de bons yeux pour reconnaître l'Italienne, sous ce kit carrosserie spectaculaire. La face avant abandonne les phares escamotables, les boucliers sont spécifiques et de nouvelles prises d'air viennent se greffer sur le profil. La poupe gagne un aileron et un capot moteur en lexan, comme sur la F40. À l'intérieur, mieux vaut aimer le rouge ! Cette teinte recouvre absolument tout, des sièges à la planche de bord en passant par les tapis de sol et le pavillon. La voiture est équipée de harnais de sécurité à 4 points et d'un volant Momo.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Le V12 à plat de 4,9 litres de cylindrée produit, selon les estimations de Koenig Specials, une puissance colossale de 1.000 chevaux. À remettre dans le contexte de la fin des années 80, bien entendu... Le bloc est épaulé par deux turbos KKK, d'un système de refroidissement revu et d'une ligne d'échappement spécifique. Cette Testarossa Competition Evolution II a été vendue contre la coquette somme de 525.000 dollars, soit un peu moins de 482.000 euros. 

Ferrari Testarossa Competition Evolution II : la terreur des années 80 signée Koenig Specials

Dans les années 80, il n'était pas rare que les modèles les plus exclusifs de la production automobile passent entre les griffes de certains préparateurs, qui les transformaient alors en monstres routiers. Parmi ces entreprises, Koenig Specials est certainement l'une des plus folles. On se souvient notamment de sa version revue et optimisée de la Ferrari Testarossa. Le terme « préparateur automobile » serait-il galvaudé ? De nos jours, il suffit de quelques morceaux de fibre de carbone, d'une peinture rose saumon ou vert pomme et de quelques chevaux supplémentaires pour avoir droit à ce titre. Mais il y a quelques décennies, les préparateurs ne fabriquaient pas des voitures d'influenceurs et d'influenceuses. Non, les exemplaires qui passaient par leurs ateliers étaient de véritables monstres, redoutés par les modèles les plus puissants de la production mondiale. C'est le cas de la Ferrari Testarossa Competition Evolution II, mise au point par Koenig Specials, en quelque sorte l'alter ego de la TT1000 créée par Lotec à la même époque. L'un des rares exemplaires a d'ailleurs changé de propriétaire récemment. L'occasion de voir que l'Italienne est complètement transfigurée, avec un kit carrosserie pour le moins démonstratif.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lotec TT1000 : la Ferrari Testarossa qui se prenait pour une F40

MZR Roadsport a réussi à sublimer la Datsun 240Z au travers de ce restomod !

MZR Roadsport voue un culte non dissimulé pour la Datsun 240Z. Le préparateur anglais en a même fait sa spécialité, puisqu'il ne travaille que sur des réalisations basées sur l'iconique japonaise. En 2022, l'officine présentait d'ailleurs un restomod baptisé Evolution. Celui-ci est certainement l'un de ses plus beaux projets ! Décidément, le secteur de l'automobile recèle de nombreuses entreprises relativement méconnues, qui gagneraient justement à l'être. C'est notamment le cas de MZR Roadsport, une petite officine basée en Angleterre, spécialisée dans la restauration et la préparation de Nissan 240Z. Ou de Datsun. L'entreprise compte déjà 3 réalisations majeures, dont ce magnifique restomod baptisé Evolution, dévoilé en 2022. L'objectif n'était pas de transformer la voiture originelle, mais plutôt de la sublimer. C'est pourquoi l'intégralité de la carrosserie est identique au modèle commercialisé dans les années 60. Toutefois, tous les éléments extérieurs sont fabriqués en fibre de carbone, pour alléger l'auto au maximum. Une lame vient se positionner sous le bouclier, à l'avant. MZR Roadsport a également conservé les pare-chocs chromés. À l'arrière, une double sortie d'échappement émerge, au centre du bouclier. L'ensemble repose sur des jantes qui peuvent être finies dans différents coloris.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nissan Z Heritage Edition : elle fête les 55 ans de la lignée des Z, sans nous…

CONFIG - BMW 840d xDrive : pour cruiser aux abords de Saint-Tropez cet été

Voici l'une des voitures parfaites pour passer un été agréable. La BMW Série 8 cabriolet permet de bronzer même en roulant ! Tant qu'à faire, autant choisir la déclinaison la plus performante existant en découvrable, à savoir la 840d xDrive. Quoi, un Diesel ? Oui, mais un Diesel de 340 chevaux s'il vous plait ! On a eu droit à un hiver tellement long qu'il a carrément remplacé le printemps. Mais ça y est, il semble que la météo déprimante soit enfin derrière nous et que le soleil ait enfin décidé de poser ses valises en France. On a donc suffisamment patienté, on mérite maintenant de se faire plaisir en configurant un joli cabriolet pour l'été. On a été faire un tour du côté de chez BMW et on a trouvé la voiture idéale : la Série 8 cabriolet. Mais pas n'importe quelle version, la 840d xDrive. On aurait apprécié une M8, mais elle n'existe malheureusement qu'en coupé… Qu'à cela ne tienne, ce bon vieux Diesel fera l'affaire. Il s'agit d'un 6 cylindres en ligne 3.0 turbo de 340 chevaux, qui envoie sa puissance aux 4 roues via une boîte de vitesses automatique à 8 rapports. De quoi passer des moments sympathiques sous le soleil ! Tant que vous avez 124.600 euros, du moins…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle BMW M5 : plus de 700 chevaux et pas de malus écologique !

Opel Insignia OPC : quand le Blitz voulait défier Munich et Ingolstadt

Nous sommes en 2008. Opel présente sa nouvelle berline, l'Insignia, chargée de remplacer la Vectra. La voiture est bien accueillie par le public, si bien qu'elle reçoit une déclinaison break l'année suivante. Opel ira même jusqu'à proposer une version sportive, portant le badge OPC, forte de plus de 300 chevaux. De quoi mettre un petit coup de pression à BMW, Audi et Mercedes… De nos jours, Opel n'a plus véritablement une image sportive. La marque allemande compte aujourd'hui plus de SUV que de berlines et de compactes. Et si les responsables du département marketing vantent fièrement leur nouveau label « sportif » GSe, on rappelle qu'il ne s'agit en réalité que de l'appellation de la motorisation hybride rechargeable… partagée avec les cousines de chez Peugeot, entre autres. Pas de quoi se relever la nuit, donc. Mais il n'y a encore pas si longtemps, on trouvait bel et bien un véritable badge sportif dans la gamme Opel. « Opel Performance Center », ça vous parle ? Non ? Peut-être en version raccourcie, alors : OPC. Trois lettres qui se sont retrouvées apposées sur certains des modèles les plus énervés de l'histoire de la marque à l'éclair. Corsa, Astra, Vectra… Même le monospace Zafira a eu droit à sa version OPC ! Alors, quand Opel a présenté sa nouvelle Insignia, en 2008, on savait déjà inconsciemment ce qui allait se passer.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Opel Astra IRC par Irmscher : Esprit OPC, es-tu là ?

Hyundai i30 : à partir de 28.500 euros, elle est mieux placée que la Peugeot 308 !

Sur le marché des compactes, la Hyundai i30 n'est clairement pas la voiture la plus représentée. Elle survit tout de même, dans l'ombre des Volkswagen Golf et Peugeot 308. Pourtant, son tarif d'accès de 28.500 euros est inférieur à ceux de ses concurrentes. Paierait-elle finalement un certain manque d'image ? Il faut tout d'abord reconnaître qu'il n'y a de moins en moins de place sur le marché des compactes. Non pas que le segment soit saturé, loin de là. Certains modèles ont même disparu, remplacés par des SUV. Cependant, certaines des représentantes restantes trustent la majeure partie des ventes. La Volkswagen Golf et la Peugeot 308, pour ne citer qu'elles, jouissent d'une image de marque solide. La Hyundai i30 fait donc office d'outsider. Ce qui ne signifie pas qu'elle est dénuée d'intérêt… Comme pour la 308, Hyundai fait déjà un effort sur la présentation extérieure. La i30 est habillée de série d'une teinte Engine Red, bien plus flatteuse que le Gris Urano de la Volkswagen Golf d'entrée de gamme. La Coréenne repose sur des jantes en alliage de 17 pouces et adopte de série les projecteurs à LED et les vitres arrière surteintées.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Hyundai Inster : un gabarit XXS, mais un esprit malin !
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