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Pagani Huayra Epitome : un one-off de plus de 800 chevaux équipé d’une boîte manuelle !

Pagani vient de lever le voile sur une nouvelle réalisation unique basée sur la Huayra. Baptisé Epitome, ce one-off a été entièrement personnalisé à la demande d'un client, aussi bien à l'extérieur, à l'intérieur et même sous le capot ! En effet, cette Epitome est la première Huayra à être équipée d'une boîte de vitesses mécanique. Même si Pagani a présenté l'Utopia il y a un moment déjà, la Huayra n'a pas dit son dernier mot. Pour preuve, un one-off vient tout juste d'être présenté par la marque italienne et il se base sur l'ancienne hypercar ! Il a été conçu et personnalisé selon les souhaits de l'acheteur, avec au programme beaucoup de carbone et une troisième pédale… Visuellement, on reconnaît la Huayra. Toutefois, on s'aperçoit rapidement que Pagani a procédé à quelques changements. À commencer par les boucliers, qui ont été remodelés. Les phares sont spécifiques à ce one-off. Ils sont cerclés d'un insert doré, reprenant la teinte des jantes en alliage d'aluminium. La quasi-totalité de la voiture est habillée de fibre de carbone bleutée. La face arrière affiche un diffuseur impressionnant et est surmontée d'un aileron fixe.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO - Pagani dévoile la sublime Huayra R Evo, destinée à faire tomber les chronos !

PHOTOS - 3 pédales et une boîte manuelle pour la nouvelle Pagani Huayra Epitome !

Pagani vient de présenter sa toute dernière création, basée sur la Huayra et baptisée Epitome. Ce one-off a été entièrement personnalisé à la demande d'un client fortuné et, cerise sur le gâteau, il est équipé d'une boîte de vitesses manuelle ! Chez Pagani, le département de personnalisation pour les commandes spéciales s'appelle Grandi Complicazioni. Et on peut dire que les équipes font du bon travail, comme en témoigne cette création unique qui vient d'être présentée. Baptisée Epitome, celle-ci se base sur la Huayra et a été conçue entièrement sur mesure, à la demande d'un client fortuné. La voiture est habillée d'une carrosserie en fibre de carbone bleu. Les boucliers ont été redessinés, tandis que les optiques avant sont spécifiques. L'habitacle mêle du cuir brun, de l'aluminium et du carbone. Un levier de vitesses à la tringlerie apparente trône au centre. Sous le capot, en position centrale arrière, l'Epitome embarque le traditionnel V12 6.0 biturbo fourni par AMG. Celui-ci développe 864 chevaux pour 1.100 Nm de couple. La puissance passe aux roues arrière via la boîte manuelle à 7 rapports. Ni les performances, ni les tarifs, n'ont été communiqués par la marque italienne. Mais on peut s'attendre à du très lourd dans les deux cas...{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Volkswagen T-Roc : à quoi a-t-on droit pour 27.540 euros ?

Alors que le segment des SUV compacts ne cesse de s'étoffer, certains modèles vendus depuis plusieurs années parviennent à tirer leur épingle du jeu, face aux nouveaux arrivants. C'est le cas du Volkswagen T-Roc, qui est le modèle le plus vendu en France par la marque allemande. Celui-ci s'affiche à partir de 27.540 euros. Ça n'est pas vraiment une surprise, le véhicule le plus vendu en France par Volkswagen est un SUV ! On aurait tout de même pu s'attendre à voir la Golf en tête du classement, mais c'est pourtant bien le T-Roc qui se place devant ! Pourtant, ce petit SUV est l'un des plus anciens au catalogue du constructeur de Wolfsburg. Plus surprenant encore, ce n'est pas le plus accessible. Ce titre revient aux Taigo et T-Cross. Le Volkswagen T-Roc est facturé à partir de 27.540 euros. Paradoxalement, c'est moins cher qu'une Golf, même d'entrée de gamme ! Voilà qui explique en partie son succès auprès des acheteurs. Mais est-ce la seule raison ? Pas sûr, puisque le T-Roc profite également d'une belle dotation en équipement, dès le premier niveau de finition.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Volkswagen Golf R : le petit démon de 333 ch est de sortie !

Peugeot E-308 E Style : une nouvelle série spéciale plus accessible !

Peugeot vient de présenter une nouvelle série spéciale de sa E-308. La compacte électrique profite d'une dotation de série assez riche et d'un tarif plus accessible, établi à 37.230 euros bonus compris. On a bien compris depuis plusieurs années que les voitures électriques peinaient à séduire sans les différentes aides de l'État. En janvier, le leasing social avait mis un sacré coup de boost aux ventes des voitures à batteries, qui sont à nouveau retombées dès la fin du dispositif. Pourtant, le bonus écologique est toujours de la partie. Et si cela ne suffisait plus pour attirer les clients ? Peugeot vient d'élargir la gamme de sa E-308, avec une nouvelle série spéciale qui fait office de finition d'entrée de gamme. Celle-ci vient donc se positionner en dessous des E-308 Allure et GT, facturées respectivement 42.590 et 44.870 euros avant déduction du bonus écologique.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Peugeot 308 : a-t-elle plié le match face à la Volkswagen Golf ?

VIDÉO - La Koenigsegg Jesko reprend sa couronne sur l’exercice du 0-400-0 km/h !

Koenigsegg vient de frapper fort en établissant un nouveau record de vitesse, bien particulier. Car en plus de prendre en compte seulement l'accélération de 0 à 400 km/h, le chrono ne s'arrête qu'une fois que la voiture revient à l'arrêt complet. La marque affiche donc sa suprématie avec sa Jesko, avec un temps de 27,83 secondes. Cela faisait un moment que l'on avait plus entendu parler de la fameuse course à la vitesse ultime. Dans les années 2010, Bugatti, Koenigsegg et Hennessey se livraient une bataille sans merci, chacune des trois marques s'adjugeant le record à tour de rôle. Le constructeur français avait eu le dernier mot à l'époque mais, l'année dernière, un nouveau venu est arrivé et a mis tout le monde d'accord : Rimac. La marque croate avait signé un chrono incroyable de 29,93 secondes sur le fameux exercice du 0-400-0 km/h. Visiblement, Koenigsegg est du genre rancunier, puisque la marque suédoise vient de répondre à Rimac, avec sa Jesko. L'hypercar est équipée d'un V8 5.0 biturbo développant la bagatelle de 1.600 chevaux (avec de l'E85). Évidemment, une telle fiche technique ne laisse que peu de place au doute : cet engin est rapide, très rapide. Et il vient de le prouver !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La première Koenigsegg Jesko Absolut a été livrée, et c'est un monstre !

Porsche 924 Turbo Targa : le prototype qui aurait pu entrer en production

Chez Porsche, l'appellation Targa est principalement réservée à la 911. Toutefois, les fameuses Porsche à moteur avant, ou PMA pour les puristes, ont également eu droit à des versions Targa. Cependant, dans ce cas précis, cette dénomination désignait plus un toit ouvrant plutôt qu'un toit amovible. Mais une véritable Porsche 924 Targa avait été étudiée par la marque allemande, et était même à deux doigts d'entrer en production… Pour le commun des mortels, l'appellation Targa est purement réservée à la 911, chez Porsche. Les puristes de la première heure savent en revanche qu'une option Targa était disponible sur certains modèles à moteur avant. Toutefois, il n'était pas possible de décapoter véritablement, il s'agissait plutôt d'un petit toit ouvrant. Mais les choses auraient bien pu être différentes si Porsche avait décidé de faire entrer en production la 924 Turbo Targa, un prototype qui pour sa part méritait bel et bien cette dénomination. En 1977, Porsche met sur les rails le projet de la 924 Turbo Targa, 11 ans après le lancement de la 911 Targa. Le principe est le même que sur la 911, les lignes ne changent pas par rapport à la 924 standard. Cela dit, le toit au-dessus des sièges avant est amovible et peut être rangé dans le coffre. Cela permet de rouler cheveux au vent, tout en conservant le design général de la voiture.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche 924 Artz Kombi : l'utilitaire le plus classe des années 80 !

VIDÉO - La HWA EVO fait sa première sortie et fait écouter son V6 !

En fin de semaine dernière, le préparateur HWA présentait enfin officiellement son restomod basé sur la Mercedes 190E Evo II. Sobrement baptisée EVO, la voiture ne s'était montrée qu'à travers des images et des fiches techniques jusqu'à maintenant. Cette fois, on peut l'entendre faire rugir son V6 biturbo et la voir se dégourdir les jantes. C'est certainement l'un des restomods les plus enthousiasmants du moment. L'entreprise allemande HWA a enfin accouché de son nouveau restomod, l'EVO, qui rend hommage à la Mercedes 190E 2.5-16 Evo II de 1990. Un projet qui aura nécessité 18 mois de conception, depuis l'annonce jusqu'à la présentation officielle qui a eu lieu le 28 juin dernier. L'esthétique de la Mercedes 190E Evo II a été soigneusement conservée. La HWA EVO reprend les gimmicks de la voiture originelle, avec des ailes élargies, des boucliers plus enveloppants et, cerise sur le gâteau, l'imposant aileron arrière. Sous le capot, le V6 3.0 biturbo dérivé de celui de la Mercedes C43 AMG développe 450 chevaux, envoyés aux roues arrière grâce à une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports. HWA annonce une vitesse de pointe de 270 km/h, voire 300 km/h en optant pour le Pack Affalterbach, qui gonfle la puissance à 500 chevaux.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : HWA EVO : Le restomod de la Mercedes 190E 2.5-16 Evo II officiellement dévoilé

VIDÉO – Le Dacia Duster de Prior Design s’invite à Los Santos dans GTA 5 !

Depuis de nombreuses années, les jeux vidéo disponibles sur PC peuvent être modifiés grâce à des mods. La série des Grand Theft Auto n'y échappe pas. Il est par exemple possible de modifier l'apparence des personnages, les textures ou encore les voitures. Un joueur a d'ailleurs récemment remplacé de nombreux modèles par des véhicules bien réels, dont un étonnant Dacia Duster préparé par Prior Design. En fin d'année dernière, on découvrait la première bande-annonce du prochain volet de la saga Grand Theft Auto : GTA 6. Ce jeu vidéo, certainement le plus attendu depuis plus de 10 ans, s'annonce révolutionnaire pour l'industrie vidéoludique. Cela dit, sa sortie n'est prévue que pour 2025 et, en attendant, GTA 5 est toujours disponible et, surtout, mis à jour régulièrement. De quoi continuer d'attirer de nombreux joueurs. Certains se sont même amusés à modifier le jeu grâce à des Mods, notamment pour changer certains éléments. L'un d'entre eux en a d'ailleurs téléchargé pour améliorer la qualité graphique, modifier les textures et la végétation de l'univers du jeu et remplacer les véhicules fictifs par des voitures réelles. Et parmi les modèles ajoutés au jeu, on peut notamment citer un étonnant Dacia Duster, préparé par Prior Design.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDEO - Découvrez la bande-annonce de GTA VI

PHOTOS - Hyundai Inster : le nouveau petit SUV 100% électrique pixelisé !

Hyundai consent enfin à nous présenter son nouveau SUV ultra compact et 100% électrique : l'Inster. Celui-ci était annoncé depuis plusieurs semaines déjà. Cette fois, il se dévoile complètement. Voici donc le nouveau Hyundai Inster, surnommé le petit nouveau. Petit, il l'est avec seulement 3,80 m de long. Le design intègre de nombreux codes stylistiques déjà vus sur la Ioniq 5, comme les feux arrière pixelisés. Les passages de roues gonflés permettent d'apporter une impression de robustesse à l'ensemble. À l'intérieur, l'Inster compense son gabarit XXS par pas mal de petites astuces, comme une banquette arrière (à deux places) coulissante en deux parties, ou encore un double plancher dans le coffre. Celui-ci est annoncé à 351 litres une fois la banquette arrière avancée au maximum. Hyundai proposera deux versions. L'une avec une batterie de 42 kWh, l'autre avec une batterie de 49 kWh. Elles fournissent respectivement 97 et 115 chevaux, le couple de 147 Nm étant commun aux deux variantes. La plus grosse batterie permet de parcourir jusqu'à 355 kilomètres, selon la marque. Le lancement devrait arriver en fin d'année, les tarifs ne seront dévoilés qu'à ce moment-là. La Citroën Ë-C3 est clairement dans le viseur du Hyundai Inster...{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Hyundai Inster : un gabarit XXS, mais un esprit malin !

Hyundai vient de dévoiler officiellement son nouveau SUV 100% électrique ultra compact. Baptisé Inster, celui-ci entend bien venir jouer les trouble-fêtes sur le marché des voitures électriques abordables. Malgré sa petite taille, il se montre plutôt accueillant grâce à de petites astuces à l'intérieur. Il y a quelques semaines, Hyundai avait annoncé l'arrivée d'un nouveau modèle 100% électrique. La marque vient tout juste de le présenter officiellement. Dites bonjour à l'Inster, un SUV ultra compact à batterie, qui va essayer de se faire une place sur le marché des petites voitures électriques abordables, au milieu des Citroën Ë-C3 et autre Dacia Spring. Et petit, l'Inster l'est puisqu'il ne mesure que 3,80 m de long ! Ce nouvel Inster reprend des gimmicks déjà vus sur d'autres modèles de Hyundai. Les clignotants ainsi que les feux arrière adoptent des motifs carrés, à la manière de pixels. Les optiques avant sont circulaires et s'intègrent dans un bandeau noir. Les boucliers et les passages de roues sont gonflés et contribuent à donner un sentiment de robustesse à l'ensemble. L'Inster repose sur des jantes en alliage de 17 pouces.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Hyundai Ioniq 5 N (2024) : l'électrique la plus folle du moment, vraiment ?

CONCEPT OUBLIÉ - BMW Nazca C2 : elle avait tout pour prendre la relève de la M1 !

En 1990, BMW avait la ferme intention de marquer les esprits et, accessoirement, coller les miquettes à ses petits concurrents. La marque bavaroise présente alors une triplette de concepts ultra sportifs, dont la magnifique Nazca C2, déclinée en coupé et en Spider. Tout a commencé au Salon de Genève en 1991. BMW coupe le sifflet de tout le monde et expose sur son stand la Nazca M12, un concept-car aux lignes épurées au maximum, avec une fiche technique de véritable supercar. L'année suivante, la marque remet le couvert et dégaine la Nazca C2 au Salon de Tokyo. Même réaction qu'en Suisse un an plus tôt, tout le monde est scotché. Comme la Nazca M12, la Nazca C2 adopte des lignes toutes en fluidité. La face avant très plongeante se termine par un bouclier très fin, intégrant des optiques étirées ainsi qu'une calandre à double haricot. La lame avant guide l'air à travers des entrées qui débouchent sur le capot, pour plaquer la voiture au sol. Le cockpit s'apparente davantage à une bulle, avec son immense pare-brise bombé et son unique essuie-glace. Les rétroviseurs sont perchés sur leurs supports, presque à la verticale. Quant à la poupe, elle affiche un aileron qui relie les deux épaules, ainsi qu'un large bandeau de feux. Cette supercar du futur est aussi large que plate.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW Nazca M12 : l'incroyable concept oublié de la marque Bavaroise

La première Alpina B3 E46 a été vendue une bouchée de pain !

Un exemplaire bien particulier d'Alpina B3 E46 vient de changer de propriétaire, contre la somme de 22.000 dollars, soit environ 20.500 euros. Qu'a-t-il de si particulier ? Il s'agit en réalité du tout premier exemplaire produit sur la base de la génération E46 de la BMW Série 3, en 1999. Pour beaucoup, Alpina est un constructeur récent. Certains le considèrent même comme un simple préparateur affilié à BMW. Mais c'est bien plus que cela. En réalité, Alpina existe depuis 1965. Tous les modèles qui sont sortis de ses ateliers sont en effet basés sur des BMW, les plus connus étant certainement les B3 et B5, dérivés des Série 3 et Série 5. Justement, un exemplaire d'Alpina B3 E46 de 1999 unique en son genre a récemment été vendu aux enchères. Celui-ci est habillé d'une teinte Alpina Blue Metallic. La carrosserie est ornée des traditionnels liserés dorés et de l'inscription Alpina, typiques de la marque allemande. La voiture est chaussée de jantes de 18 pouces. À l'arrière, cette B3 dispose d'un becquet discret sur la malle, ainsi que des monogrammes « Alpina » et « B3 3.3 ».{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Vendue 145.000 euros, cette Alpina B12 est en réalité une arnaque !

PHOTOS - La première Alpina B3 E46 est moins chère que ce qu'on aurait pu croire !

Cette Alpina B3 3.3 E46 a une particularité de taille. Outre le fait qu'il est absolument irréprochable en ce qui concerne son état de conservation, cet exemplaire est le tout premier à avoir été produit pour la génération E46, en 1999. Basée sur la BMW Série 3 E46, cette Alpina B3 est dans un état proche du neuf, malgré ses 25 ans au compteur. La voiture est habillée d'une teinte Alpina Blue Metallic, rehaussée par des liserés dorés, la signature visuelle d'Alpina. Elle repose sur des jantes élégantes de 18 pouces. Outre ces détails esthétiques, la B3 se démarque de la Série 3 grâce à son discret becquet apposé sur la malle, ainsi que les monogrammes Alpina et B3 3.3 à l'arrière. À l'intérieur, les sièges sport sont recouverts d'une sellerie en tissu bleu et vert. La planche de bord et les contreportes sont ornées de boiseries. Le volant et le pommeau de vitesses arborent le logo Alpina. Une plaque située sur le plafonnier indique que cet exemplaire est bien le premier produit pour la génération E46. Sous le capot, on retrouve un 6 cylindres en ligne 3.3 qui développe 280 chevaux. La voiture est dotée d'une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports, qui envoie la puissance aux roues arrière. Le vendeur précise que cet exemplaire est en plus équipé d'un échappement Boysen. Le compteur affiche un peu plus de 108.000 kilomètres. La voiture a trouvé preneur pour 22.000 dollars, soit environ 20.500 euros. Une bouchée de pain !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Nom de Zeus, Electrogenics convertit la Delorean à l’électrique !

Electrogenics vient de présenter un kit complet pour convertir la Delorean à l'électrique. La star de Retour Vers Le Futur cède donc à la tendance du rétrofit. L'entreprise anglaise va maintenant devoir trouver des clients et, ça, ce n'est pas gagné… Depuis une petite dizaine d'années, on assiste à la démocratisation du rétrofit. Démocratisation, entre gros guillemets, puisque le fait de convertir une voiture à l'électrique coûte bien souvent de gros euros. Évidemment, plus l'autonomie recherchée est élevée, plus il faut allonger la monnaie. Mais l'un des plus gros débats concerne le type de voitures utilisées pour cette pratique. Car si passer une Renault 5 ou une Citroën Méhari à l'électrique n'est pas en soi un sacrilège, on ne peut pas en dire autant de certaines icônes roulantes. Cette fois, c'est la société anglaise Electrogenics qui vient de présenter un kit de conversion destiné à la Delorean DMC-12, la vedette de la saga Retour Vers Le Futur. L'entreprise précise que le passage à l'électrique est complètement invisible de l'extérieur, y compris la trappe de recharge. Celle-ci est habilement dissimulée derrière la plaque d'immatriculation à l'arrière.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Toyota Land Cruiser FJ40 rétrofité : Sacrilège !

Ferrari 12Cilindri, Lamborghini Revuelto : et s’il fallait n’en choisir qu’une ?

En un an environ, Lamborghini et Ferrari ont renouvelé leurs fleurons, en présentant les Revuelto et 12Cilindri. L'une et l'autre proposent des philosophies différentes, mais ont un point commun : le V12. La première choisit la modernité, avec une assistance électrique pour un total de plus de 1.000 chevaux, tandis que la seconde continue à faire l'éloge de l'atmosphérique, pour plus de 800 chevaux. Mais est-il possible de choisir entre ces deux chefs-d'œuvre ? Depuis quelques années, une vague d'électrification touche le milieu automobile à tous les étages. Le marché des super-sportives n'est pas épargné, mais deux constructeurs sont particulièrement observés : Lamborghini et Ferrari. Ces deux marques ont résisté plus longtemps que les autres, mais ont toutes les deux cédé récemment. La firme au taureau a remplacé sa légendaire Aventador par la Revuelto, tandis que celle du cheval cabré a donné une suite à sa 812 Superfast, baptisée 12Cilindri.  Évidemment, ces deux nouveaux modèles ont fait couler beaucoup d'encre au moment de leur présentation. Car si elles conservent leur fabuleux V12, elles proposent des approches, et donc des philosophies différentes. Chez Lamborghini, on a fait le choix de l'électrification. Le 12 cylindres est donc assisté par 3 moteurs électriques, l'ensemble produisant un total de 1.015 chevaux. La Revuelto revendique un 0 à 100 km/h pulvérisé en 2,5 secondes et une vitesse de pointe de 350 km/h. Les performances sont donc bien là, mais cette hybridation n'est évidemment pas du goût de certains puristes.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lamborghini Revuelto (2023) : prendre la relève de l'Aventador, mission délicate

CONFIG – Toyota GR Yaris : on avait 100.000 euros qui traînaient

Cette semaine, Toyota a ouvert les carnets de commandes pour sa nouvelle GR Yaris. La citadine sportive nippone rempile donc avec une grosse mise à jour et des tarifs toujours relativement abordables au vu des prestations, du moment qu'on ne l'achète pas en France. Car chez nous, la GR Yaris est assassinée par un malus de 60.000 euros… La Toyota GR Yaris, dont la nouvelle version vient justement d'être lancée sur le marché, est certainement l'une des meilleures, si ce n'est la meilleure citadine sportive actuellement proposée. Avec son petit 3 cylindres 1.6 turbo de 280 chevaux et 390 Nm de couple, la nippone a de quoi coller la banane. D'autant que Toyota la propose aussi bien en boîte automatique qu'en manuelle et ça, c'est assez rare pour être souligné ! Les commandes de cette nouvelle mouture ont ouvert hier, l'occasion d'aller configurer notre propre exemplaire. La version équipée de la boîte mécanique à 6 rapports s'affiche à partir de 46.300 euros, contre 48.800 pour la version automatique. Des sommes rondelettes, qui restent toutefois correctes compte tenu des prestations offertes par la voiture. Malheureusement, nous sommes en France… {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Plus de 100.000 euros pour la nouvelle Toyota GR Yaris, pas mal non ? C'est Français !

La Ferrari F8 Tributo passe en mode manga grâce à Liberty Walk !

Liberty Walk vient de dévoiler un nouveau kit carrosserie destiné à la Ferrari F8 Tributo. L'Italienne se retrouve habillée d'un survêtement japonais pour gagner en crédibilité dans les rues de Tokyo, à la nuit tombée. Voilà qui risque en tout cas de diviser les puristes de la marque au cheval cabré ! Parmi les nombreux préparateurs automobiles exerçant à travers le monde, Liberty Walk est certainement l'un des plus réputés pour la qualité de son travail. Et à l'inverse de beaucoup d'autres, qui ne travaillent qu'avec des marques en particulier, le Japonais modifie à peu près tout ce qui lui tombe sous la main, de la Nissan Z à la Ferrari F40, en passant par la Lamborghini Aventador. Cette fois-ci, Liberty Walk s'est affairé à modifier une Ferrari F8 Tributo. Le préparateur a donc conçu un kit carrosserie sur mesure pour la belle italienne. Celui-ci comprend des boucliers avant et arrière, des jupes latérales, un diffuseur, une lame avant et des extensions d'ailes rivetées. Les clients ont également le choix entre un grand aileron fixe ou un becquet en forme de queue de canard, plus discret.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ferrari 296 GTS Novitec : un cabriolet de près de 900 ch habillé de carbone !

PHOTOS - Liberty Walk s'occupe du cas de la Ferrari F8 Tributo !

Liberty Walk, préparateur japonais mondialement reconnu pour ses créations toutes plus dingues les unes que les autres, vient de présenter sa dernière réalisation en date, basée sur une Ferrari F8 Tributo. Certains préparateurs affichent clairement leurs préférences en ne travaillant qu'avec des marques en particulier. Ce n'est pas le cas de Liberty Walk, qui modifie aussi bien des Nissan Z que des Lamborghini Aventador. Cette fois, c'est à une Ferrari F8 Tributo que le préparateur nippon s'est attaqué, et le résultat est pour le moins agressif. La voiture est rabaissée et est entièrement rhabillée par un kit carrosserie sur mesure. Celui-ci comprend des boucliers avant et arrière, des jupes latérales, une lame avant, des extensions d'ailes et un diffuseur. Les clients ont le choix entre un becquet façon queue de canard et un aileron arrière massif. Visiblement, aucune modification n'a été apportée au moteur. Malgré tout, on peut imaginer des performances légèrement meilleures, notamment grâce à l'appui aérodynamique supplémentaire généré par les nombreux appendices ajoutés par le préparateur. Il faut compter 28.500 euros pour le kit avec le becquet façon queue de canard et 30.500 euros pour le kit avec le grand aileron. Liberty Walk propose également les mêmes kits, réalisés en fibre de carbone, mais il faut ajouter 15.000 euros environ...{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

PHOTOS - Volkswagen Golf R Variant, le break qui n'a peur de rien !

Volkswagen vient de présenter le dernier chaînon manquant de la gamme de la Golf : la version R. Celle-ci est la plus puissante de la lignée et se décline en berline compacte traditionnelle, mais aussi en break, baptisé Variant. Les amateurs de la Volkswagen Golf ont désormais l'embarras du choix. La gamme est complète, la dernière version venant tout juste d'être présentée, en compacte et en break. La Golf R Variant reprend les caractéristiques visuelles du modèle le plus sage, en adoptant certains gimmicks spécifiques comme des boucliers retravaillés. À l'intérieur, le volant avec ses grandes palettes de changements de rapports et la sellerie lui sont exclusifs. Sous le capot, la compacte et le break reprennent la même motorisation. La Golf R Variant est donc animée par un 4 cylindres 2.0 turbo de 333 chevaux et 420 Nm de couple. La puissance est transmise aux 4 roues, toutefois il est possible de privilégier l'essieu arrière en cochant le pack R-Performance optionnel. La principale différence se situe finalement à l'arrière : le coffre est forcément plus grand sur la Variant, de quoi s'amuser sur la route des vacances avec enfants et bagages !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Les prix n'ont pas encore été communiqués pour le marché français. En Allemagne, la Volkswagen Golf R Variant s'affiche à partir de 55.065 euros. Les tarifs français devraient se situer dans les mêmes sphères, à ceci près que chez nous, il faudra ajouter le malus écologique de 60.000 euros...

Nouvelle Bentley Continental GT Speed : pour les nobles décoincés !

Bentley vient de lever le voile sur la quatrième génération de sa Continental GT Speed. Cette version met l'accent sur la performance en n'oubliant toutefois pas de choyer ses occupants. Cette nouvelle mouture embarque une motorisation hybride rechargeable et devient la plus puissante de l'histoire du modèle. Elle se décline en coupé et en cabriolet. On ignore si les clients de Bentley se sont déjà plaints de la puissance de leurs Continental GT. C'est peu probable, étant donné que ce coupé luxueux produit déjà plus de 500 chevaux… Mais comme dit le vieux proverbe, prudence est mère de sureté. Pour parer à toute éventualité, la marque anglaise décline sa Conti GT en version Speed, dont la quatrième génération vient d'ailleurs tout juste d'être présentée. Et il y a du nouveau ! Visuellement, pas de surprise. Cette version Speed reprend les lignes de la Continental GT, tout en prenant soin de muscler le tout. Muscler avec parcimonie, entendons-nous bien. C'est une Bentley, pas une vulgaire Audi RS5, il faut savoir rester digne. Les boucliers sont légèrement retravaillés et intègrent de nouvelles optiques, qui ne sont d'ailleurs plus que 2 au lieu de 4. La calandre se pare de noir. À l'arrière, les feux sont plus étirés. La voiture repose sur des jantes de 22 pouces de série.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Bentley Batur : vous n'avez pas pu vous offrir le coupé ? Voici maintenant le cabriolet !
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