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Coup de pot : les fausses sorties d’échappement chez Audi, c’est terminé !

Les puristes d'Audi grinçaient des dents depuis quelques années. En effet, le constructeur aux anneaux s'était mis en tête de remplacer les pots d'échappement traditionnels par des éléments de style… factices. Mais la nouvelle Audi S5, présentée la semaine dernière, remédie à cela. C'est un détail qui n'était vraiment pas du goûts des amateurs de la marque allemande. Audi avait en effet pris l'habitude de singer des sorties d'échappement sur certains modèles sportifs, comme le SQ5, dont le bouclier arrière présente carrément de faux pots moulés dans le plastique. Une pratique également vue chez mercedes. Cela concerne également les modèles les plus exclusifs, dans une moindre mesure toutefois. Prenez l'actuelle génération de la RS6, et vous verrez que les énormes sorties ovales cachent en fait de véritables pots d'échappement beaucoup moins impressionnants.  Il y a quelques mois, l'un des dirigeants de la marque allemande avait affirmé que ce détail peu flatteur allait être abandonné. Une annonce qui s'était déjà vérifiée lors de la présentation de l'Audi S3 restylée, qui dispose de 4 vraies sorties d'échappement. La semaine dernière, le constructeur levait le voile sur la nouvelle génération de l'A5 et de sa version S. Cette dernière arbore elle-aussi 4 véritables pots.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Audi A5 : elle se métamorphose et joue maintenant sur tous les tableaux !

Toyota Supra : 5 générations pour devenir une légende

En Europe, on a une image erronée de la Toyota Supra. Si on connaît les deux dernières générations, sa genèse remonte en réalité à l'année 1978. En tout, 5 versions se sont succédé en presque 50 ans. Remontons le temps pour retracer l'histoire de la sportive nippone. Demandez à n'importe qui de vous parler de la Toyota Supra. Dans 90% des cas, il ne vous citera que la dernière génération, qui est actuellement en vente chez nous, et l'avant-dernière, qui est devenue l'une des voitures de cinéma les plus célèbres, grâce à son apparition dans la saga Fast & Furious. Mais ce que la plupart des gens ignore, c'est que la sportive japonaise est en fait née 3 générations plus tôt, en 1978. Pour leur défense, les 3 premières sont restées confidentielles, chez nous du moins… Lire aussi : Chez Nissan, la lignée cultissime des Z fête ses 55 ans ! Toyota Celica Supra A40 : pour lancer la machine…

Jeep Dune : l’Ami du désert !

Voici le Jeep Dune ! Ce tout petit buggy est un cousin technique des Citroën Ami et Fiat Topolino, cette fois préparé pour partir à l'aventure. Toutefois ne vous emballez pas, il s'agit en réalité d'un projet virtuel, sorti de l'esprit d'un designer indépendant. Mais une version de série n'est pas si improbable, après tout… On aurait raté un épisode ? Bien sûr, on connaît très bien les Citroën Ami, Fiat Topolino et Opel Rocks-e. Cependant, on n'a jamais entendu parler d'une jumelle badgée Jeep. Et c'est bien normal, puisque ce que vous avez sous les yeux n'existe que dans le monde virtuel. Ce Jeep Dune est en effet le fruit de l'esprit du studio indépendant Klissarov Design, une entreprise qui a travaillé entre autres avec Renault. Voilà pourquoi il n'est pas impossible de voir un jour débarquer ce buggy dans le monde réel. À la manière de la Citroën Ami Buggy (version baroudeuse de l'Ami standard), ce Jeep Dune adopte un design plus adapté à l'exploration. Les boucliers sont plus massifs et, si on osait, on dirait qu'ils rappellent ceux du Wrangler. Klissarov a même intégré certains codes stylistiques propres à la marque américaine, comme la calandre à 7 lames et les phares ronds, à l'avant.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Fiat Topolino : pourquoi vous devriez la préférer à la Citroën Ami ?

Cadillac Sollei : ce concept serait-il l’héritier de la mythique Cadillac Eldorado ?

Cadillac vient de dévoiler un nouveau concept-car et, surprise, ce n'est pas un SUV ! Baptisé Sollei, celui-ci se présente sous la forme d'un grand cabriolet aux lignes élégantes. Les afficionados de la marque américaine noteront également le clin d'œil aux grandes Cadillac des années 50 et 60, parmi lesquelles la fameuse Eldorado. Reste maintenant à voir ce que le constructeur décide de faire de ce concept. Pour beaucoup, la gamme de Cadillac se résume maintenant à des SUV électriques. Et c'est vrai, chez nous en tout cas. En effet, la marque américaine opère un grand retour sur le vieux continent, avec un catalogue de modèles spécifiques. Mais outre-Atlantique, Cadillac commercialise encore ses bonnes vieilles berlines, ainsi que l'iconique SUV Escalade. Les cabriolets, en revanche, ont déserté depuis quelques années. Justement, voici un concept inédit qui pourrait annoncer leur retour…  Son nom : Sollei. Le concept a été réalisé avec l'aide du service d'ultra-luxe et de personnalisation de la marque. Et avant de rentrer dans les détails, un élément saute aux yeux. La couleur ne vous dit rien ? Cadillac l'appelle Manilla Cream et elle ne date pas d'hier. Cette teinte a été ressortie miraculeusement du nuancier des années 1957 et 1958. Un très bel hommage aux modèles de ces années-là, qui sont devenus de véritables icônes de la culture américaine.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Grâce au Lyriq, Cadillac va reposer ses valises en France !

CONCEPT OUBLIÉ - BMW M1 Hommage : si seulement BMW était allé au bout de la démarche…

À l'occasion du Concours d'Élégance de la Villa d'Este en 2008, BMW présentait la M1 Hommage, un concept-car qui, comme son nom l'indique, faisait écho à la supercar éponyme des années 70. La marque allemande n'a malheureusement jamais acté de production. Dans les années 2000, de nombreux constructeurs automobiles étaient nostalgiques de leurs grandes heures passées. C'était notamment le cas de BMW, qui avait présenté un concept-car très désirable au Concours d'Élégance de la Villa d'Este en 2008. La marque à l'hélice avait fait le déplacement jusqu'aux rives du lac de Côme avec la M1 Hommage, un coupé sport dessiné par Chris Bangle, largement inspiré de la M1 de 1978. Cette dernière fêtait justement ses 30 ans au moment de la présentation du concept. Les gimmicks qui ont fait la réputation de la M1 originelle ont été repris pour le concept. La face avant intègre une petite calandre et des phares dissimulés dans le bouclier. Le profil est quasiment identique à la supercar de 1978, tandis que les jantes reprennent le même dessin, tout en le remettant au goût du jour. À l'arrière, la M1 Hommage affiche des persiennes sur la lunette et des logos placés au-dessus des feux. La poupe préfigurait également la future i8 hybride de 2013, notamment au niveau des optiques et du travail aérodynamique au-dessus des ailes.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONCEPT OUBLIÉ - BMW Nazca C2 : elle avait tout pour prendre la relève de la M1 !

PHOTOS - Cette rarissime Ferrari Testarossa by Koenig Specials a été vendue une petite fortune !

Cette Ferrari Testarossa a été adjugée la semaine dernière contre la bagatelle de 525.000 dollars. Une somme bien au-dessus de sa valeur sur le marché, et pour cause : cette Testarossa a été préparée par Koenig Specials, en 1986. Dans les années 80, certains préparateurs n'avaient pas froid aux yeux. Koenig Specials concentrait son travail sur les modèles les plus exclusifs de la production mondiale, dont la Ferrari Testarossa. En voici d'ailleurs un exemplaire, qui a changé de propriétaire la semaine dernière. Il faut avoir de bons yeux pour reconnaître l'Italienne, sous ce kit carrosserie spectaculaire. La face avant abandonne les phares escamotables, les boucliers sont spécifiques et de nouvelles prises d'air viennent se greffer sur le profil. La poupe gagne un aileron et un capot moteur en lexan, comme sur la F40. À l'intérieur, mieux vaut aimer le rouge ! Cette teinte recouvre absolument tout, des sièges à la planche de bord en passant par les tapis de sol et le pavillon. La voiture est équipée de harnais de sécurité à 4 points et d'un volant Momo.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Le V12 à plat de 4,9 litres de cylindrée produit, selon les estimations de Koenig Specials, une puissance colossale de 1.000 chevaux. À remettre dans le contexte de la fin des années 80, bien entendu... Le bloc est épaulé par deux turbos KKK, d'un système de refroidissement revu et d'une ligne d'échappement spécifique. Cette Testarossa Competition Evolution II a été vendue contre la coquette somme de 525.000 dollars, soit un peu moins de 482.000 euros. 

Ferrari Testarossa Competition Evolution II : la terreur des années 80 signée Koenig Specials

Dans les années 80, il n'était pas rare que les modèles les plus exclusifs de la production automobile passent entre les griffes de certains préparateurs, qui les transformaient alors en monstres routiers. Parmi ces entreprises, Koenig Specials est certainement l'une des plus folles. On se souvient notamment de sa version revue et optimisée de la Ferrari Testarossa. Le terme « préparateur automobile » serait-il galvaudé ? De nos jours, il suffit de quelques morceaux de fibre de carbone, d'une peinture rose saumon ou vert pomme et de quelques chevaux supplémentaires pour avoir droit à ce titre. Mais il y a quelques décennies, les préparateurs ne fabriquaient pas des voitures d'influenceurs et d'influenceuses. Non, les exemplaires qui passaient par leurs ateliers étaient de véritables monstres, redoutés par les modèles les plus puissants de la production mondiale. C'est le cas de la Ferrari Testarossa Competition Evolution II, mise au point par Koenig Specials, en quelque sorte l'alter ego de la TT1000 créée par Lotec à la même époque. L'un des rares exemplaires a d'ailleurs changé de propriétaire récemment. L'occasion de voir que l'Italienne est complètement transfigurée, avec un kit carrosserie pour le moins démonstratif.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lotec TT1000 : la Ferrari Testarossa qui se prenait pour une F40

MZR Roadsport a réussi à sublimer la Datsun 240Z au travers de ce restomod !

MZR Roadsport voue un culte non dissimulé pour la Datsun 240Z. Le préparateur anglais en a même fait sa spécialité, puisqu'il ne travaille que sur des réalisations basées sur l'iconique japonaise. En 2022, l'officine présentait d'ailleurs un restomod baptisé Evolution. Celui-ci est certainement l'un de ses plus beaux projets ! Décidément, le secteur de l'automobile recèle de nombreuses entreprises relativement méconnues, qui gagneraient justement à l'être. C'est notamment le cas de MZR Roadsport, une petite officine basée en Angleterre, spécialisée dans la restauration et la préparation de Nissan 240Z. Ou de Datsun. L'entreprise compte déjà 3 réalisations majeures, dont ce magnifique restomod baptisé Evolution, dévoilé en 2022. L'objectif n'était pas de transformer la voiture originelle, mais plutôt de la sublimer. C'est pourquoi l'intégralité de la carrosserie est identique au modèle commercialisé dans les années 60. Toutefois, tous les éléments extérieurs sont fabriqués en fibre de carbone, pour alléger l'auto au maximum. Une lame vient se positionner sous le bouclier, à l'avant. MZR Roadsport a également conservé les pare-chocs chromés. À l'arrière, une double sortie d'échappement émerge, au centre du bouclier. L'ensemble repose sur des jantes qui peuvent être finies dans différents coloris.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nissan Z Heritage Edition : elle fête les 55 ans de la lignée des Z, sans nous…

CONFIG - BMW 840d xDrive : pour cruiser aux abords de Saint-Tropez cet été

Voici l'une des voitures parfaites pour passer un été agréable. La BMW Série 8 cabriolet permet de bronzer même en roulant ! Tant qu'à faire, autant choisir la déclinaison la plus performante existant en découvrable, à savoir la 840d xDrive. Quoi, un Diesel ? Oui, mais un Diesel de 340 chevaux s'il vous plait ! On a eu droit à un hiver tellement long qu'il a carrément remplacé le printemps. Mais ça y est, il semble que la météo déprimante soit enfin derrière nous et que le soleil ait enfin décidé de poser ses valises en France. On a donc suffisamment patienté, on mérite maintenant de se faire plaisir en configurant un joli cabriolet pour l'été. On a été faire un tour du côté de chez BMW et on a trouvé la voiture idéale : la Série 8 cabriolet. Mais pas n'importe quelle version, la 840d xDrive. On aurait apprécié une M8, mais elle n'existe malheureusement qu'en coupé… Qu'à cela ne tienne, ce bon vieux Diesel fera l'affaire. Il s'agit d'un 6 cylindres en ligne 3.0 turbo de 340 chevaux, qui envoie sa puissance aux 4 roues via une boîte de vitesses automatique à 8 rapports. De quoi passer des moments sympathiques sous le soleil ! Tant que vous avez 124.600 euros, du moins…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle BMW M5 : plus de 700 chevaux et pas de malus écologique !

Opel Insignia OPC : quand le Blitz voulait défier Munich et Ingolstadt

Nous sommes en 2008. Opel présente sa nouvelle berline, l'Insignia, chargée de remplacer la Vectra. La voiture est bien accueillie par le public, si bien qu'elle reçoit une déclinaison break l'année suivante. Opel ira même jusqu'à proposer une version sportive, portant le badge OPC, forte de plus de 300 chevaux. De quoi mettre un petit coup de pression à BMW, Audi et Mercedes… De nos jours, Opel n'a plus véritablement une image sportive. La marque allemande compte aujourd'hui plus de SUV que de berlines et de compactes. Et si les responsables du département marketing vantent fièrement leur nouveau label « sportif » GSe, on rappelle qu'il ne s'agit en réalité que de l'appellation de la motorisation hybride rechargeable… partagée avec les cousines de chez Peugeot, entre autres. Pas de quoi se relever la nuit, donc. Mais il n'y a encore pas si longtemps, on trouvait bel et bien un véritable badge sportif dans la gamme Opel. « Opel Performance Center », ça vous parle ? Non ? Peut-être en version raccourcie, alors : OPC. Trois lettres qui se sont retrouvées apposées sur certains des modèles les plus énervés de l'histoire de la marque à l'éclair. Corsa, Astra, Vectra… Même le monospace Zafira a eu droit à sa version OPC ! Alors, quand Opel a présenté sa nouvelle Insignia, en 2008, on savait déjà inconsciemment ce qui allait se passer.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Opel Astra IRC par Irmscher : Esprit OPC, es-tu là ?

Hyundai i30 : à partir de 28.500 euros, elle est mieux placée que la Peugeot 308 !

Sur le marché des compactes, la Hyundai i30 n'est clairement pas la voiture la plus représentée. Elle survit tout de même, dans l'ombre des Volkswagen Golf et Peugeot 308. Pourtant, son tarif d'accès de 28.500 euros est inférieur à ceux de ses concurrentes. Paierait-elle finalement un certain manque d'image ? Il faut tout d'abord reconnaître qu'il n'y a de moins en moins de place sur le marché des compactes. Non pas que le segment soit saturé, loin de là. Certains modèles ont même disparu, remplacés par des SUV. Cependant, certaines des représentantes restantes trustent la majeure partie des ventes. La Volkswagen Golf et la Peugeot 308, pour ne citer qu'elles, jouissent d'une image de marque solide. La Hyundai i30 fait donc office d'outsider. Ce qui ne signifie pas qu'elle est dénuée d'intérêt… Comme pour la 308, Hyundai fait déjà un effort sur la présentation extérieure. La i30 est habillée de série d'une teinte Engine Red, bien plus flatteuse que le Gris Urano de la Volkswagen Golf d'entrée de gamme. La Coréenne repose sur des jantes en alliage de 17 pouces et adopte de série les projecteurs à LED et les vitres arrière surteintées.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Hyundai Inster : un gabarit XXS, mais un esprit malin !

Porsche Panamera GTS et Turbo S E-Hybrid : les nouvelles versions du téléporteur de luxe allemand

Porsche vient de dégainer deux nouvelles versions de sa grande berline de luxe, la Panamera. Celle-ci se décline désormais en versions GTS et Turbo S E-Hybrid, avec des puissances respectives de 500 et 782 chevaux. Bonne nouvelle, la plus puissante des deux échappe au malus écologique de 60.000 euros ! Quelques jours après avoir ajouté deux nouvelles variantes à la gamme de son Macan 100% électrique, Porsche s'occupe maintenant de sa grande berline, la Panamera. Celle-ci était jusqu'à maintenant disponible en versions normale, 4, 4 E-Hybrid, 4S E-Hybrid et Turbo E-Hybrid. Le catalogue s'enrichit donc aujourd'hui de deux nouvelles variantes, GTS et Turbo S E-Hybrid. L'une et l'autre embarquent un V8, avec toutefois deux approches bien distinctes. La Panamera GTS est conçue pour la performance et, contrairement à la Turbo S E-Hybrid, celle-ci est 100% thermique. Son V8 4.0 biturbo développe 500 chevaux, soit 20 équidés de plus que la précédente mouture. Elle revendique une vitesse de pointe de 302 km/h et peut abattre le 0 à 100 km/h en 3,8 secondes. Cette version est dotée du système d'échappement sport, de la suspension pneumatique PASM et du Porsche Torque Vectoring Plus. Côté esthétique, elle se distingue des autres versions grâce à son bouclier avant unique et son pack Sport Design de série. Le pack Sport Chrono est également inclus.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche Macan : les nouvelles versions propulsion et 4S rejoignent le catalogue !

Bentley annonce l’arrivée d’une Flying Spur hybride de presque 800 chevaux !

Bentley poursuit l'électrification de sa gamme et annonce l'arrivée imminente d'une nouvelle version de sa Flyng Spur. La grande berline de luxe anglaise aura droit à la fameuse motorisation Ultra Performance Hybrid, comme sa petite sœur la Continental GT. Cette déclinaison électrifiée sera la plus puissante de l'histoire de la Flying Spur. La transition électrique est en marche, chez Bentley. Après avoir présenté sa nouvelle Continental GT Speed il y a quelques semaines, la marque britannique s'apprête à remettre le couvert, cette fois avec la grande Flying Spur. La grande berline de luxe se déclinait jusqu'à présent en différentes versions, équipées de V8, de W12 ou de V6 électrifié. La gamme va donc bientôt s'élargir, avec l'ajout d'une nouvelle motorisation. Cette motorisation, on la connaît déjà depuis quelques semaines. C'est en effet celle-ci qui se trouve sous le capot de la récente Continental GT Speed. Bentley l'appelle Ultra Performance Hybrid. Elle se compose d'un V8 4.0 biturbo et d'un moteur électrique. La fiche technique détaillée n'a pas encore été communiquée. Cependant, la marque annonce une puissance cumulée de 782 chevaux et 1.000 Nm de couple, soit 150 chevaux de plus que la plus puissante des Flying Spur de la gamme actuelle !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Bentley Continental GT Speed : pour les nobles décoincés !

Alpine A290 : qu’a-t-elle de plus que la Renault 5 E-Tech ?

Le mois dernier, Alpine dévoilait enfin sa nouvelle A290. La citadine dieppoise, alter-ego sportif de la Renault 5 E-Tech, était en effet extrêmement attendue. Maintenant qu'elle est là, l'heure est venue de jouer au jeu des 7 différences. Car si elle est effectivement plus puissante que sa sœur frappée du losange, qu'a-t-elle réellement de plus à offrir ? Pourquoi choisir une Alpine A290 plutôt qu'une Renault 5 E-Tech ? Voilà une bonne question, qui peut d'ailleurs être posée dans l'autre sens. Depuis la première annonce de la marque dieppoise, on savait que les deux modèles seraient extrêmement proches, tout au moins sur le plan du design. Et c'est tant mieux, d'ailleurs, puisque la R5 E-Tech est une franche réussite, objectivement et (presque) sans aucun chauvinisme. On est alors tenté de répondre, bêtement : pour les chevaux ! Et c'est vrai que, côté motorisation, l'A290 prend l'avantage avec une puissance allant de 180 à 220 chevaux, selon la version choisie. De son côté, la R5 E-Tech doit se contenter de « seulement » 150 chevaux. Ce qui est finalement amplement suffisant pour ce qu'on lui demande, à savoir être une bonne citadine. La Renault prend néanmoins sa revanche au rayon de l'autonomie, annoncée à 412 kilomètres en cycle WLTP, contre 380 kilomètres environ pour l'Alpine.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alpine A290 : la R5 énervée est enfin là, jusqu'à 220 chevaux !

PHOTOS - Voici comment est fabriquée la Porsche 911 Cuaranta Edition. Et c'est beau !

Cette semaine, à l'occasion du 40ème anniversaire de sa branche espagnole, Porsche a dévoilé une série spéciale de sa 911, sobrement baptisée Cuaranta Edition. Cette version est malheureusement réservée au marché espagnol. Vous êtes jaloux ? On comprend... Pour cette série spéciale, Porsche a mis les petits plats dans les grands. La 911 Cuaranta Edition est habillée d'une teinte spécifique Quercusverde, issue du catalogue Paint To Sample Plus. La marque précise que cette couleur évoque le chêne, un arbre que l'on retrouve justement sur le badge "911 Cuaranta", apposé sur la grille d'aération du moteur. La voiture repose sur des jantes RS Spyder Design peintes en noir satiné. Le clou du spectacle se trouve à l'intérieur. La planche de bord et les contreportes sont recouvertes de cuir marron Truffe et marron Cohiba. Les sièges reprennent ces deux teintes, avec en plus de tissu tartan. L'ambiance est délicieusement vintage à bord. Cette série spéciale anniversaire se base sur la 911 Type 992.2 GTS. Le flat-6 3.6 est associé à un turbo, dans lequel se situe un petit moteur électrique. Un autre électro-moteur est logé dans la boîte PDK. L'ensemble développe 541 chevaux et permet d'accélérer de 0 à 100 km/h en 3 secondes, et d'atteindre 312 km/h.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Porsche Iberica ne produira que 40 exemplaires de cette 911 Cuaranta Edition. Chaque voiture peut être personnalisée selon les souhaits des clients. Les tarifs sont fixés à 284.439 euros.

Cette Porsche 911 Cuaranta Edition est réservée à l’Espagne ! Les veinards…

Porsche vient de dévoiler une série spéciale de sa 911, baptisée Cuaranta Edition. Celle-ci a été créée pour célébrer les 40 ans de la branche espagnole de la marque, Porsche Iberica. Seules 40 unités seront produites. Vous la trouvez belle ? On vous comprend, il faudrait être difficile pour dire le contraire. Mauvaise nouvelle, elle est réservée à nos voisins espagnols. La tuile… Pour fêter dignement ses 40 ans de présence sur le marché espagnol, Porsche vient de lever le voile sur la 911 Cuaranta Edition. Cette série spéciale se dote de tout un tas d'équipements issus du catalogue Exclusive Manufaktur ainsi que de certains éléments spécifiques, aussi bien à l'extérieur que dans l'habitacle. Elle se base sur la nouvelle 911 GTS, dotée de sa motorisation hybride. Les réjouissances commencent à l'extérieur. La 911 Cuaranta Edition se pare d'une teinte Quercusverde, conçue spécialement pour cette série spéciale. Ce coloris a d'ailleurs été introduit dans le catalogue Paint To Sample Plus. La marque précise que cette couleur évoque les feuilles de chêne, un arbre qui pousse énormément en Espagne. Des logos spéciaux ont également été ajoutés, sur la grille d'aération du moteur ainsi que sur le profil. La voiture repose sur des jantes RS Spyder Design, finies en noir satiné.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche Macan : les nouvelles versions propulsion et 4S rejoignent le catalogue !

Alfa Romeo TZ3 Stradale : design italien, moteur américain !

En 2011, Alfa Romeo et Zagato présentent un concept-car pour célébrer près de 100 ans de collaboration entre la marque italienne et le célèbre carrossier. Baptisée TZ3 Stradale, cette réalisation fait suite à la TZ3 Corsa, dévoilée un an plus tôt. Mais contrairement à sa devancière, la Stradale a un cœur bien Américain. Elle embarque en effet un énorme V10 8.4 repris à une très méchante Dodge Viper ! Les concepts sont souvent des objets bien particuliers. Dans 99% des cas, on sait très bien que les chances de les voir entrer en production sont infimes, notamment à cause du fait qu'ils ne sont absolument pas prévus pour ça. Leur développement coûterait bien trop d'argent, surtout dans le contexte actuel où les constructeurs comptent le moindre centime pour optimiser leur rentabilité. Ça a toujours été valable, mais ça l'est encore plus de nos jours. Mais en remontant ne serait-ce qu'une décennie en arrière, les choses étaient différentes. Les concept-cars n'étaient pas systématiquement remisés dans les musées après leur présentation. Prenons par exemple le cas de l'Alfa Romeo TZ3 Stradale, un concept dévoilé en 2011, qui a justement eu droit à une production en petite série. 9 exemplaires ont en effet vu le jour.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfa Romeo 164 Procar : on nous a privé de cette pépite et de son V10

CONFIG - Porsche Macan Turbo : 24.000 euros pour le transformer en baroudeur ! Ou presque…

On a souhaité se faire notre propre avis sur le nouveau Porsche Macan 100% électrique. Certes, le V6 de l'ancienne génération laisse un gros vide, mais le nouveau cru doit bien avoir quelques qualités, après tout ! Pour le découvrir, nous avons configuré notre propre exemplaire, avec pour but d'en faire un SUV capable de sortir des rubans d'asphalte. Il y a quelques semaines, nous avions configuré l'un des derniers Porsche Macan de l'ancien monde, en version GTS. En toute bonne foi, nous avions affirmé qu'il était forcément mieux que la nouvelle génération, qui est passée au 100% électrique. Butés que nous étions… Alors, pour confirmer nos dires (ou pas d'ailleurs), nous avons décidé d'aller faire mumuse avec le configurateur du nouveau modèle. Porsche vient d'ailleurs d'étoffer la gamme de son nouveau Macan, en ajoutant des versions propulsion et 4S. Mais peu importe, nous avons choisi la plus puissante du catalogue, la Turbo. Celle-ci est dotée de 2 moteurs électriques (1 à l'avant, 1 à l'arrière) qui envoient jusqu'à 639 chevaux aux 4 roues. Porsche annonce un 0 à 100 km/h abattu en 3,3 secondes et une vitesse de pointe de 260 km/h. Côté autonomie, la batterie de 100 kWh (capacité brute) autorise une autonomie de 554 kilomètres en cycle WLTP. Le Macan Turbo s'affiche à partir de 118.910 euros et, contrairement à son prédécesseur, celui-ci n'écope d'aucun malus CO2 ! Tiens, ne serait-ce pas un premier bon point pour la nouvelle génération ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche Macan : les nouvelles versions propulsion et 4S rejoignent le catalogue !

Jaguar fait le grand ménage dans sa gamme et ne conserve que le F-Pace !

Il y a quelques mois, on apprenait que Jaguar arrêtait la production de sa sportive, la F-Type. D'après de récentes annonces de la marque, pas moins de 4 modèles seraient également en passe d'être retirés du catalogue ! Un constat que l'on a pu vérifier en allant faire un tour sur le configurateur en ligne. Seul le Jaguar F-Pace va être conservé. Depuis une grosse dizaine d'années, Jaguar avait revu sa stratégie et avait tout fait pour se positionner en face des constructeurs premiums allemands, notamment BMW et Mercedes. Une tactique qui pouvait sembler bonne sur le papier, mais qui n'a malheureusement pas porté ses fruits, comme l'a récemment reconnu le PDG de Jaguar - Land-Rover à nos confrères d'Automotive News. Ce dernier a déclaré que la marque allait arrêter la production des modèles qui ne génèrent pas assez de bénéfices. Outre les revenus générés par les voitures concernées, force est de reconnaître que les volumes de ventes de Jaguar sont en berne depuis maintenant plusieurs années. Une décision qui intervient alors que la plupart des modèles du catalogue sont en fin de cycle.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Jaguar F-Type : la fin d'une ère, le début d'une autre

Porsche Macan : les nouvelles versions propulsion et 4S rejoignent le catalogue !

Présenté en début d'année, le nouveau Porsche Macan 100% électrique a d'abord été lancé avec deux versions. L'entrée de gamme était assurée par le Macan 4, tandis que la version Turbo chapeautait le tout. Aujourd'hui, la marque allemande ouvre les carnets de commandes pour deux nouvelles variantes. La première vient se positionner sous le Macan 4, avec un seul moteur à l'arrière. La seconde, baptisée 4S, profite de la transmission intégrale avec 448 chevaux. Le moment est venu pour Porsche d'élargir la gamme de son premier SUV 100% électrique, le Macan. D'abord commercialisé en versions 4 et Turbo, celui-ci ajoute deux nouvelles cordes à son arc, avec les déclinaisons Macan et 4S. De quoi élargir l'offre et satisfaire les besoins d'une clientèle plus large, tout en abaissant le tarif d'accès, jusque-là fixé à 86.439 euros.  La version Macan vient se positionner en entrée de gamme, avec son unique moteur électrique de 340 chevaux et 563 Nm de couple, envoyant sa puissance aux roues arrière. Le launch control permet même d'activer un boost de 20 chevaux supplémentaires, disponibles pendant quelques secondes. Porsche annonce un 0 à 100 km/h abattu en 5,7 secondes. Néanmoins, ce que le Macan perd en efficacité, il le compense avec une meilleure efficience grâce à son poids réduit de 110 kg par rapport à la version 4. Ainsi, la batterie de 100 kWh (capacité brute) autorise un rayon d'action de 641 kilomètres en cycle mixte WLTP.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche Taycan Turbo GT : plus de 1.100 chevaux pour s'offrir la tête de la Tesla Model S plaid
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