Afin de proposer des modèles moins chers que la concurrence, Citroën pourrait utiliser l’architecture « Smart Car » de sa récente citadine C3 pour la remplaçante de la C4, rivale des Peugeot 308 et autres Volkswagen Golf.
Le rappeur américain DDG ne manque pas d'imagination pour faire parler de lui. Pour preuve, l'artiste vient d'offrir une Ferrari F8 Tributo à son fils pour son premier anniversaire.
Les ventes de l’étrange pick-up de Tesla restent basses, même s’il reste loin devant les autres modèles électriques du marché. Le constructeur va sans doute devoir baisser son prix et lancer ses versions moins chères pour trouver plus de clients.
Sébastien Loeb vise la victoire pour cette édition 2025 du Dakar qui se tiendra à partir du 3 janvier en Arabie saoudite. Il affiche une nouvelle fois son ambition sur les réseaux sociaux au travers d'une petite vidéo.
Sébastien Loeb disputera à partir du 3 janvier en Arabie saoudite sa 9e participation au Dakar. Et plus que jamais cette année, le nonuple champion du monde des rallyes WRC vise la victoire et a les moyens de ses ambitions au volant du Dacia Sandrider. Dans cette vidéo publiée sur Instagram en fin de journée lundi, on y voit Sébastien Loeb faire le compte de ses participations au rallye-raid depuis 2016 puis tout effacer et remplacer par un tag du Dakar 2025.
Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb
Le nouveau petit SUV électrique chinois aura très probablement droit au bonus écologique français mais il composera avec de petites batteries et une autonomie maximale limitée. Pour qu’il plaise à la clientèle, il lui faudra clairement un prix très doux.
Alexandre Bataille, journaliste essayeur, nous dresse son bilan de l'année écoulée. Produit, économie ou encore politique, il nous livre son impression et ses souhaits pour 2025.
Les vacances de cette conductrice ont tourné court. Elle a été flashée sur l'autoroute en grand excès de vitesse. Ce qui la prive de son permis de conduire et de sa voiture pendant un long moment.
Samedi dernier, les feux étaient au vert sur les routes selon Bison futé. Mais les forces de l'ordre veillaient au grain. Notamment sur l'autoroute A77 dans les environs de Préfontaines dans le département du Loiret. C'est en réalisant des contrôles de vitesse qu'ils sont tombés sur une conductrice flashé à 177 km/h. Un excès de vitesse qui a entraîné une interception de la chauffard au volant d'une Peugeot.
Le permis probatoire abaisse la vitesse
Au moment de contrôler l'identité de l'automobiliste, les gendarmes s'aperçoivent que celle-ci possède bien le permis de conduire. Mais il n'est que probatoire. Autrement dit, pour elle, la vitesse sur autoroute est de 110 km. Vous aurez fait vous même le calcul mais l'écart entre la vitesse relevée et la vitesse autorisée est supérieur à 50 km/h. Et même en abaissant la vitesse retenue à 168 km/h, les comptes n'y sont pas.
Comme son concurrent le Skoda Kylaq, le nouveau petit SUV thermique de Kia devrait coûter moins de 10 000€ dans sa version de base. Hélas, il snobe notre marché et ses normes si exigeantes.
Fini le support physique ? Une simple attestation numérique consultable en ligne et téléchargeable sur son smartphone permet désormais de prouver être détenteur d’un permis de conduire en cas de contrôle.
Les rumeurs disaient vrai au sujet d'une potentielle fusion entre Nissan et Honda. Cela a été confirmé ce jour dans un communiqué par la première des deux marques citées.
Nous avons eu l'occasion de l'évoquer ces dernières semaines, Nissan est mal en point. Tellement mal en point que le constructeur japonais va devoir tailler dans sa masse salariale. Et si le chiffre est moins impressionnant que le groupe Volkswagen, qui a annoncé la suppression de 35 000 emplois, les 9 000 suppressions de postes prévues par Nissan sont loin d'être négligeables.
Il fallait agir. Or, depuis quelques jours, il se murmurait que le salut pourrait venir d'une probable alliance avec Honda. C'est juste, Nissan a confirmé cette rumeur en ce début de semaine.
Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Honda
Une fusion pour devenir le n°3 mondial de l'automobile
Les négociations sont ouvertes de manière officielle, rien n'est encore acté. Un calendrier précis a pourtant été partagé. Objectif principal : parvenir à une fusion en juin 2025. Cela ferait de Honda-Nissan le numéro trois mondial après Toyota et Volkswagen et devant Stellantis. Mitsubishi devrait les rejoindre un peu plus tard. L'entité créée serait introduite en Bourse l'année suivante.
Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Nissan
Carlos Ghosn sort du silence
On ne s'attendait pas nécessairement à entendre parler de lui mais l'ex-patron de l'Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi Carlos Ghosn - toujours au Liban après sa fuite rocambolesque - a tenu à faire connaître sa position sur ce sujet. Il a fait savoir à la télévision américaine avant même l'annonce officielle qu'il s'agissait selon lui d'un “geste désespéré”. Il estime que cette fusion ne servirait à rien puisque Nissan et Honda sont sur les mêmes marchés et leur offre produits est trop similaire. Reste à voir comment les investisseurs vont réagir, eux, tout en sachant que ces derniers jours, les rumeurs d'une potentielle fusion ont profité à la cotation en Bourse de Renault.
Crédit photo : Nissan.
Audi aura des choses à nous montrer en 2025 après une année 2024 plutôt riche. La rédaction vous propose un tour d'horizon de ce que le constructeur pourrait annoncer / lancer en Europe, et donc en France, dans les 12 prochains mois.
Après quelques années de calme, le constructeur allemand a lancé une première vague de nouveautés en 2024. Celle-ci va se prolonger en 2025 avec plusieurs modèles dans les cartons. Principalement thermiques avec les Audi A7, Q3, Q5 voire Q7 et pourquoi pas quelques nouveautés sportives de sa gamme RS.
Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Audi
Sur le même thème :
Les nouveautés attendues chez Toyota en 2025
Les nouveautés attendues chez Renault en 2025
Les nouveautés attendues chez Alfa Romeo en 2025
Les nouveautés attendues chez Jeep en 2025
Remodelé en mai dernier, le SUV ultra-luxueux profite aujourd'hui d'une préparation signée Mansory… qui ne devrait pas être du goût de tout le monde. À vous d'en juger avec les photos.
Pour son restylage de mi-carrière, Rolls Royce n'a pas fait les choses à moitié pour son SUV avec des modifications bien visibles, surtout à l'avant, avec notamment une signature lumineuse démarrant toujours au-dessus des phares mais descendant désormais amplement sur le bouclier avant. Des évolutions qui, sans le métamorphoser pour autant, modifient assez radicalement son regard. Mais puisqu'on parle de métamorphose, comment ne pas évoquer les nouvelles préparations réalisées par le spécialiste allemand Mansory ?
Voir aussi - notre page dédiée aux nouveautés Rolls-Royce
Deux Cullinan pour le prix d'u… euh… de quatre
Ce sont en effet deux exemplaires que Mansory affiche fièrement dans son dernier communiqué. Une livrée gris clair avec des éléments bleutés (au niveau de la calandre, du Spirit of Ecstasy ou encore du fin trait latéral) et une autre presque entièrement noire mais avec des éléments contrastés façon marbre.
Ils ont néanmoins quelques points en commun. À l'image du motif en lamelle de la calandre repris sur les entrées d'air latérales et inférieures lui donnant un air carrément féroce ou encore le fait qu'ils sont équipés d'une double sortie d'échappement plus suggestive. Deux sorties hexagonales placées sur le diffuseur sur le modèle gris et deux doubles sorties en forme de parallélogrammes placées sur les côtés.
Voir aussi - notre page dédiée au Rolls-Royce Cullinan
Des performances plus que “suffisantes”
Sur le plan technique, ces Cullinan reprennent naturellement le V12 6.0 ¾ de 600 ch et 900 Nm mais dans une version portée 720 ch et 1 050 Nm. Les accélérations sont donc rapides, y compris pour une Rolls Royce, avec un 0 à 100 km/h pouvant être abattu en 4,8 secondes. La vitesse de pointe est limitée électroniquement à 250 km/h. Le prix n'a pas été partagé mais on imagine qu'il faudra a minima doubler la mise…
Lire aussi - Rolls-Royce Cullinan : le temple greco-anglais s'offre un restylage !
Pierre Gasly fait parti des 10 pilotes les mieux payés en 2024 par leur écurie selon les informations du magazine Forbes. Mais combien a-t-il touché au total lors de l'année écoulée ? Réponse dans la suite de cet article.
En 2024, Pierre Gasly a touché au total 12 millions de dollars. Cela comprend son salaire fixe, 10 millions de dollars, et ses primes, 2 millions de dollars. S'il occupe la 10e position des salaires, il est très des sommes versées à Carlos Sainz, 9e de ce classement ou encore Sergio Perez chez Red Bull ou Oscar Piastri chez McLaren. La Scuderia Ferrari a versé 19 millions de dollars au pilote espagnol quand l'écurie autrichienne a versé 19,5M$ à son désormais ancien pilote et 22 M$ pour le pilote australien.
Voir aussi - notre page dédiée à la saison 2024 de Formule 1
Quel sera son salaire en 2025 ?
Pierre Gasly ayant prolongé son contrat jusqu'en 2026 au moins, on peut imaginer que son salaire fixe a augmenté et que ses primes seront plus élevées en 2025. En effet, les performances de son Alpine était en nette amélioration en fin de saison. Au point de décrocher une 3e place au Brésil, une 3e place sur la grille de départ à Las Vegas et une 5e place en course à Abu Dhabi lors du dernier Grand Prix du championnat. D'ailleurs, Flavio Briatore, le nouvel homme fort d'Alpine F1 depuis l'été, a confirmé que les améliorations de la monoplace fin 2024 servaient à préparer 2025 :
“On n'a pas simplement corrigé les erreurs pour 2024, on a déjà développé la monoplace pour 2025. On a amélioré la voiture d'une demi-seconde par tour quasiment”.
Lire aussi - Saison 2025 de F1 : découvrez les pilotes qui composeront la grille l'année prochaine
Les louanges de Flavio Briatore
D'ailleurs, l'ancien patron de Benetton et Renault a loué les qualités et les progrès de Pierre Gasly pendant la saison :
"Pierre a fait un travail extraordinaire. Il m'a surpris énormément cette année. C'est vraiment NOTRE pilote. Je le remercie vraiment. Il a changé complètement d'attitude cette saison. Il n'a jamais eu d'accident. Si on réussit à être 6e c'est grâce à lui. Je suis sûr que Pierre continuera son super travail".
Signer pour une BMW 850i boîte manuelle promet normalement de belles virées sur les routes. Cela dit, cet exemplaire disponible à la vente dispose d'une configuration qui désamorce toute envie d'y accorder le moindre kopeck.
2e lors de l'édition 2024, le pilote belge Guillaume de Mevius affiche ses ambitions pour cette édition du Dakar 2025 en Arabie saoudite. Il envisage de faire aussi bien alors que la concurrence s'annonce rude.
Le Dakar 2025 s'approche à grands pas. Il débutera dans une dizaine de jours en Arabie saoudite. Au rang des favoris de cette édition, on trouve Sébastien Loeb bien sûr mais aussi Carlos Sainz, le tenant du titre, Nasser Al-Attiyah mais également Guillaume de Mevius. Dauphin du pilote espagnol au début de l'année 2024, le pilote belge au volant d'une Toyota va tenter de briller autant que lors de sa 3e participation. Il ne s'en est d'ailleurs pas caché dans une interview sur le site de Red Bull publié ce lundi 23 décembre :
“Mon ambition est claire : j'ai terminé deuxième, donc la prochaine étape logique est de gagner. Mais il faut rester réaliste. Le Dakar est une course où l'expérience joue un rôle clé, et je suis encore jeune. Si je finis à nouveau sur le podium cette année, ce sera déjà un excellent résultat”.
Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb
Gommer ses points faibles pour gagner
Dans cette même interview, il aborde les points sur lesquels il peut progresser. Notamment la compensation de son manque d'expérience en profitant de celle de son co-pilote :
“Il y a certaines situations où je manque encore d'expérience. Mon nouveau copilote m'aidera certainement à prendre rapidement les bonnes décisions. Et comme tout le monde, je peux toujours apprendre à aller encore plus vite. Dans les dunes, par exemple, il faut parfois une technique de conduite très spécifique, et je peux encore m'améliorer là-dessus”.
Lire aussi - Dakar 2025 : 5 choses que vous ne saviez pas sur... Sébastien Loeb
Un des favoris selon Luc Alphand
Le nom de Guillaume de Mévius comme vainqueur possible a été cité par un ancien vainqueur du rallye-raid, Luc Alphand :
“J'aime bien Guillaume de Mévius parce que j'ai couru avec son père, il finit quand même 2e du Dakar l'année dernière. Ce n'est pas n'importe qui. C'est quelqu'un qui peut aller très vite, qui a récupéré un bon co-pilote avec Mathieu Bommel. C'est un équipage qui peut surprendre avec une voiture qu'on connait très bien, la Toyota, qui est peut-être moins évoluée que les autres mais qui a déjà gagné le Dakar”.
Et s'il venait à remporter l'épreuve, ce serait le premier belge à le faire depuis 1983 et un certain Jacky Ickx. Forcément une donnée que le pilote a en tête ? Pas sûr :
“Pas encore vraiment, mais je vais tout faire pour suivre son exemple ! Je n'ai pas encore totalement intégré que c'est réellement possible, mais je vais donner le maximum pour décrocher cette victoire”.
Crédit photo - A.S.O./Julien Delfosse/DPPI
Alors que Nissan entame officiellement ses discussions officielles avec Honda, Renault prend acte de cet éloignement en préparation. Bientôt la fin d’une histoire d’amour aux dernières années tumultueuses.
On n'arrête plus les constructeurs venus de Chine. En 2025, de nouveaux entrants vont faire leur arrivée en Europe. Polestar ou encore Firefly, nouvelle et troisième marque du groupe Nio, lequel est déjà présent chez certains de nos pays européens et pourrait justement faire son entrée dans l'Hexagone à cette même période. La Firefly pourrait-elle débarquer un peu avant. Chez nous aussi ?
Des atouts pour l'Europe et la France
Que le Vieux Continent soit considéré de très près par le premier modèle de Firefly qui porte le même nom que la marque, cela se comprend. Avec ses dimensions réduites (non précisées, mais elles se situeraient quelque part entre une Mini et le SUV Smart #1), son look sympathique à mi-chemin entre la Mini Cooper électrique (qui serait clairement sa concurrente principale) et la Honda e dessiné en Europe par un ancien de chez BMW et ses motorisations électriques, elle a de sérieux atouts pour s'imposer.
Petite mais pratique, elle dispose - chose unique dans la catégorie - d'un petit coffre sous le capot avant (un frunk, pour les connaisseurs) d'un beau volume : 92 litres. On connaît également la valeur du coffre avec les sièges repliés : 1 250 litres (c'est mieux que le Smart #1 et ses 986 litres).
Hélas, c'est tout ce que nous savons à son sujet. Puissance des moteurs, architecture de traction ou de propulsion, nombre de batteries proposées (une ou plusieurs, capacité), rien n'a été été précisé à ce stade.
Voir aussi - notre page dédiée aux nouveautés et essais Nio
Un prix plus agressif
Si, une chose tout de même, le prix de base annoncé à 148 800 yuans (environ 19 600 €), un peu plus bas qu'une Mini Cooper électrique de base (189 800 ¥, autour de 25 000 €). Comme toujours, il est agressif.
Elle sera lancée dès le mois d'avril en Chine et sa venue en Europe - on l'a dit - est déjà actée. Reste à savoir si la France sera concernée. Une production en Chine serait un frein entre des droits de douane trop élevés au niveau européen et la quasi-certitude qu'elle ne soit pas éligible au bonus dans l'Hexagone.
Alfa Romeo profite d’une petite vidéo de célébration pour montrer les premiers détails du style de son prochain SUV. Bon, pour l’instant il faut se contenter d’un seul détail à vrai dire.
La stratégie de renouveau d'Alfa Romeo n'a pas encore porté ses fruits sur le plan commercial. Il n'empêche que le constructeur italien a quelques atouts dans sa manche pour faire parler d'elle l'année prochaine.
Comme beaucoup de constructeurs, l'année 2024 est difficile pour Alfa Romeo. Ses ventes sont en recul. De l'ordre de 13% à l'échelle européenne. Le Tonale et le nouveau Junior n'ont pas encore permis au constructeur de retrouver sa gloire d'antan. Toutefois, ce sont deux modèles sur lesquels elle compte en 2025 pour retrouver des couleurs. Et pas seulement. On fait le point sur ce qu'Alfa Romeo pourrait / devrait annoncer l'année prochaine.
Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Alfa Romeo