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Le classement général du Dakar 2025 après la 4e étape, Nasser Al-Attiyah lâche du temps

Après l'abandon de Sébastien Loeb mardi soir, Nasser Al-Attiyah est le grand favori de l'épreuve. Mais ce mercredi, il a lâché plusieurs dizaines de minutes sur ses concurrents lors de la 4e étape reliant Al Henakiyah à Alula. Il a même été éjecté du podium. Pour la 1ère fois de cette édition 2025 c'est un pilote saoudien qui s'est imposé sur le Dakar. Il s'agit de Yazeed Al Rajhi. Il a fini l'étape avec le meilleur devant l'équipage sud africain Toyota Gazoo Racing Lategan - Cummings. Pas de quoi faire trembler ces derniers qui restent leader du classement général au terme de cette 1ère étape marathon. De son côté, Nasser Al-Attiyah a concédé 33 min 27 sur la tête de course. La faute à une double crevaison / problème de direction. Heureusement, il a bénéficié de l'aide de son équipière chez Dacia, Cristina Gutierrez et de son copilote mécanicien Pablo Moreno. Au classement général, le duo Al-Attiyah - Boulanger est relégué à la 7e place avec 35 min 53 de retard sur la tête de course. Rien d'insurmontable car il reste encore 8 étapes et plusieurs milliers de kilomètres à parcourir. Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb Où sont les Français au classement général de ce Dakar 2025 ? Sans la présence de Sébastien Loeb, véritable chance de victoire sur le papier, le public français est un peu orphelin. Pourtant, il y a un équipage qui est aux portes du podium au sein de l'équipe Century Racing Factory Team. Il s'agit de Mathieu Serradori et de Loic Minaudier. Il pointe à la 4e place du classement général à seulement 30 min 25 du leader. S'approcher du podium et de la victoire s'annonce compliqué pour le 2e équipage français de ce Dakar 2025 au classement. À savoir Guerlain Chicherit et Alex Winocq. Ils sont actuellement 12e à 1h20 du leader. Lire aussi - le classement de la 4e étape du Dakar 2025 Le classement général du Dakar 2025 après la 4e étape Lategan/Cummings | Toyota Gazoo Racing Al-Rajhi/Gottschalk | Overdrive Racing M.Ekström - E.Bergkvist | Ford M-Sport M.Serradori - L.Minaudier | Century Racing Factory Team L.Moraes - A.Monleon | Toyota Gazoo Racing M.Guthrie - K.Walch | Ford M-Sport Al-Attiyah/Boulanger | Dacia Sandriders J.Yacopini - D.Oliveiras | Overdrive Racing J.Ferreira - F.Palmeiro | X-Raid Mini JCW Team U.Männama - R.Lepik | Overdrive Racing B.Baragwanath - L.Cremer | Century Racing Factory Team G.Chicherit - A.Winocq | X-Raid Mini JCW Team S.Quintero - D.Zenz |Toyota Gazoo Racing N.Cavigliasso - V.Petergarini | Team BBR M.Prokop - V.Chytka | X-Raid Mini JCW Team B.Vanagas - S.Gospodarczyk |Toyota Gazoo Racing C.Leaverton - T.Perry | Red Bull Off Road G.Guerreiro - C.Sachs | Red Bull Off Road M.Macik - F.Tomasek - D.Svanda | MM Technology P.Spierings - J.Van Der Stelt | Team Rebellion & Spierings Crédit photo : A.S.O./C.Lopez.

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PHOTOS - Afeela 1, la voiture électrique de Sony est une réalité

On aurait pu imaginer que, à la manière de l'Apple Car, le véhicule de Sony ne voit jamais le jour. Que nenni ! Grâce à un partenariat bien senti avec Honda, elle est désormais proposée à la vente. Mais il y a un mais… Lancer une marque de voitures n'est pas à la portée de tous. Pour y arriver, rien de tel que de nouer une collaboration avec un constructeur de grande envergure pour s'assurer d'une mise en production. C'est ce qu'a fait Sony avec Honda. Le fruit de cette collaboration, l'Afeela 1, peut être commandée. Une Playstation pour la route En 2020, Sony - la célèbre entreprise japonaise à qui l'on doit notamment la Playstation ou le Compact Disc - présente au Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas une grande berline électrique prenant l'appellation Vision-S Concept. Contrairement à Apple, elle ne lâchera jamais le morceau. Pour y parvenir, rien de tel qu'un partenariat avec un constructeur automobile de grande envergure. Le choix se porte sur Honda avec qui elle crée une joint-venture en 2022, Sony Honda Mobility Inc. (ou SHM). Un prototype plus avancé verra le jour en janvier 2023 sous la marque Afeela, résultat de cette union. Et pour cette édition 2025, voici venu l'heure de la commercialisation. Les réservations ouvertes en Californie Non, non, pas besoin de vous rendre dans une concession Honda. Pour le moment, l'Afeela 1 ne peut être commandée qu'en Californie (toujours ce même État américain…). Le look de cette première voiture signée Sony est somme toute relativement classique. Il s'agit d'une grande berline tricorps de 4,92 m de long et de 1,46 m de haut (soit à peu de chose près la taille d'une Mercedes EQE, 4,95 m) aux lignes douces, sans arêtes, dont l'objectif est de fendre l'air au mieux. Deux moteurs électriques et un peu moins de 500 km d'autonomie 100 % électrique, elle est dotée de deux moteurs (un à l'avant, un à l'arrière) faisant d'elle une transmission intégrale et ayant une puissance de 490 ch environ. Sa batterie de 91 kWh donne une autonomie théorique de 300 miles (482 km environ). Pas fou ! Surtout que la puissance de charge n'est pas exceptionnelle non plus : 150 kW. Sur une Tesla Model S, autre concurrente de cette Afeela 1, on grimpe à 250 kW. Un prix plus élevé que la Tesla Model S Le prix de base s'élève à un non négligeable 89 900 $ (un peu plus de 87 000 €). Pas négligeable en effet quand on sait que la Model S démarre à 73 490 $ aux Etats-Unis (environ 71 000 €) avec 400 miles de rayon d'action selon la norme locale EPA (644 km). SHM espère livrer les premiers clients californiens l'année prochaine. Le Japon suivra dans la foulée. Pour l'Europe, rien n'est prévu à date. 

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PHOTOS - Duo de concept-cars excentriques pour Honda au CES

Ils avaient été annoncés il y a quelques jours. Les voici officiellement, les deux showcars que Honda comptait présenter au CES de Las Vegas qui a ouvert ses portes mardi. Présentation en images. Le Consumer Electronics Show (ou CES en forme courte) de Las Vegas a beau être un événement consacré aux technologies futures, on y trouve des voitures car elles y ont parfaitement leur place après tout. À l'image des deux concepts de la Série 0 (avec un accent comme en français, ça fait plus chic) signés Honda dévoilés à l'occasion de cette nouvelle édition. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Honda Une berline et un SUV Berline Saloon Série 0 La Série 0, ce n'est pas nouveau chez Honda. Il y a un an tout pile, la marque japonaise avait donné un aperçu de ce qui était censé représenter son avenir électrique. Mais aujourd'hui, nous sommes plus proches que jamais d'une sortie en série. L'un des deux modèles mis en avant au CES 2025 l'avait été l'année dernière, il s'agit de la berline dite “Saloon” (c'est la traduction de ce mot en anglais britannique). Pourtant, elle n'en a pas tout à fait l'air avec son profil bicorps et sa partie arrière on ne peut plus originale la faisant davantage passer pour un véhicule de l'univers Star Wars. SUV Série 0 Tout en faisant preuve d'originalité, le SUV se veut néanmoins un peu plus conventionnel par ses formes générales. À l'avant, on retrouve un masque noir faisant office de calandre rappelant ce que proposait la défunte Honda e, à ceci près que les phares ne sont pas ronds mais constitué de multiples pixels à la façon d'une Hyundai de la série Ioniq. L'inspiration est d'ailleurs à aller chercher chez le constructeur coréen. Le profil globalement classique étonne néanmoins par la petite vitre de custode laissant beaucoup de place à la carrosserie et le hayon presque parfaitement vertical mais traité de même manière que la berline avec une cellule arrière qui se démarque du reste et un large bandeau lumineux entourant la partie basse de la lunette arrière. L'habitacle visiblement partagé par les deux évoque la disposition de la Honda e (encore elle) avec une succession d'écran juxtaposé. Les deux placés de part et d'autre de la planche de bord permettent de voir ce qu'il se passe à l'extérieur et retransmettent ce que les rétroviseurs caméras filment. Notons aussi la présence d'un volant rectangulaire qui ne dépareillerait pas dans une Tesla. Vers une arrivée courant 2026 Qui dit CES dit technologies avancées, ils sont tous deux équipés d'un nouveau système d'exploitation (ASIMO OS) mis au point par Honda ainsi que d'une technologie de conduite automatisée de niveau 3. Ils ont beau avoir un look futuriste, ces deux modèles connaîtront une traduction en série dès l'année prochaine. Pour le SUV, on parle même d'un lancement sur le marché nord-américain dès le premier semestre. Dans les deux cas, le Japon et l'Europe suivront.

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Dakar 2025 : Sébastien Loeb sur sa disqualification, “vraiment frustrant”

Ce n'est pas encore cette année que Sébastien Loeb remportera le Dakar. Le pilote Dacia n'a pu reprendre le départ de la course mercredi matin suite à son crash lors de la 3e étape sur décision de la FIA. Le pilote français s'est exprimé via Dacia sur ce retrait forcé. 2025 sera une année à oublier sur le Dakar pour Sébastien Loeb. Le pilote français repart bredouille et aura vécu cinq jours galère. Dimanche déjà, il a frôlé l'abandon en raison d'un problème ses ventilateurs qui provoquaient une surchauffe du moteur. Celui-ci fonctionnant au ralenti. Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb La FIA ne le laisse pas repartir Mardi, il est parti en tonneaux lors de la 3e étape. À l'arrivée de la spéciale, il pensait pouvoir repartir pour la 4e étape de ce mercredi. Sauf que les commissaires de la FIA qui ont inspecté la voiture ont constaté que l'arceau de sécurité de la Dacia n'était plus conforme. Hors de question de prendre le moindre risque avec la santé de l'équipage. Comme Carlos Sainz la veille, Sébastien Loeb a dû abandonner. Une situation qui frustre considérablement le Français qui avait encore toutes ses chances de gagner : “C'est vraiment frustrant de rentrer à Jeddah au lieu d'être dans la voiture et de se battre là-bas. Surtout quand on voit ce qui se passe aujourd'hui, il y avait encore tellement de choses à jouer. Avec 1h15 de retard sur les leaders, rien n'était encore perdu. Certes, on aurait pu repartir loin, mais il y avait des opportunités à saisir. Malheureusement, c'est comme ça que ça se passe. Pour ce qui est de notre tonneau, je suis un peu sans mots. Ce n'est pas à cause d'un excès d'attaque, on s'est juste fait piéger par une mauvaise compression, c'est aussi simple que ça. On ne pouvait pas faire grand-chose sur le moment. Ce sont des choses qui arrivent, mais ça n'en est pas moins frustrant”. Les images du crash de Sébastien Loeb lors de la 3e étape du Dakar 2025
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Dakar 2025 : le classement de la 4e étape, Nasser Al-Attiyah perd une grosse demi-heure

Sans Sébastien Loeb, le Dakar a repris la route pour la 4e étape du classement, une étape marathon entre Al Henakiyah et Alula. Découvrez le classement auto de ce mercredi 8 janvier. 588 km étaient au programme de ce mercredi 8 janvier. Les pilotes devaient relier Al Henakiyah et Alula avec une portion chronométrée de 415 km. La spécificité de cette étape c'est qu'à l'arrivée à Alula, les équipages ne pourront pas bénéficier de l'aide de leur équipe. Si réparations il doit y avoir, elles doivent se faire sur place avec les moyens du bord. Ou il faudra attendre l'arrivée à Hail jeudi soir. Une étape de 492 km dont 428 km de spéciale. La journée de repos de vendredi sera la bienvenue pour les organismes et les mécaniques. Lire aussi - Dakar 2025 : les dates, le parcours, chaîne TV et présence de Sébastien Loeb Nasser Al-Attiyah perd du temps Journée galère pour Nasser Al-Attiyah. Au volant de son Dacia Sandriders, il a crevé deux pneus. Une première fois au kilomètre 97 puis une seconde fois 21 km plus tard. Il a perdu 45 minutes sur la tête de la course. Et c'est une nouvelle fois Cristina Gutierrez qui est venu à sa rescousse comme ce fut le cas dimanche et mardi pour Sébastien Loeb. À l'arrivée de l'étape, le pilote qatari cède 33min27 au vainqueur de l'étape, le Saoudien Al Rajhi. Au classement général, le duo Al-Attiyah - Boulanger rétrograde à la 7e à 35min53 de Lategan - Cummings.
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Dacia Spring en LLD : le prix du loyer pour la version Electric 45

Dacia a lancé en début de semaine les commandes pour sa Spring électrique restylé avec un plus petit moteur. Découvrez les prix de cette version en Location Longue Durée. À l'achat, et sans bonus car elle n'y est pas éligible, la Dacia Spring dans sa version 45 chevaux est disponible à partir de 16 900€, dans sa finition Essential. Ce qui en fait la voiture électrique la moins chère en France. Cependant, il faudra faire des concessions sur le confort et l'autonomie. En clair, difficile de l'envisager comme le véhicule principal du foyer. En revanche, en véhicule de complément pour un des membres de la famille, cela peut être une bonne solution. Surtout en LLD. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Dacia La Dacia Spring 45 en LLD Dans cette formule, le prix du loyer débute à 79€ par mois pour la finition Essential. La durée des mensualités est de 49 mois avec un premier loyer fixé à 4700€ pour un kilométrage maximum de 40 000 km. Avec la finition Expression, le loyer est forcément plus élevé. Il passe à 90€ par mois pendant 49 mois avec un premier loyer majoré à 4700€. Le kilométrage est identique, 40 000 km. Finition Mensualités Loyer 1er loyer Total Essential 48 79€ 4700€ 8492€ Expression 48 90€ 4700€ 8930€ Voir aussi - notre page dédiée à la Dacia Spring Peu de puissance et d'équipements Forcément, en baissant le prix de sa voiture électrique, Dacia a rogné sur les performances et les équipements. Ainsi, le 0 à 100 km de cette version de 45 ch est couvert en près de 20 secondes. Et côté équipements, la finition Essential fait l'impasse sur les vitres électriques et la climatisation automatique par exemple. C'est mieux pour la finition du dessus, Expression. Elle ajoute la climatisation automatique et une instrumentation numérique. Vous avez également un plus large choix de couleurs. Pour moins de 500€ de plus sur l'addition totale, il vaut mieux privilégier cette finition. Voir aussi - notre essai de la Dacia Spring restylée (2024)
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Rétromobile 2025 : la liste des constructeurs présents pour la 49e édition

Le salon Rétromobile poursuit sa campagne de promotion. Au programme cette semaine : la liste des constructeurs qui ont confirmé leur participation pour cette édition 2025 qui se tient du 5 au 9 février prochain porte de Versailles. C'est quasiment une vingtaine de constructeurs auto et moto qui exposeront cette année porte de Versailles. Pour le moment en tout cas. Car dans la liste communiquée par l'organisation, il manque encore Citroën. Or, la participation du constructeur français nous a été confirmée cet automne par le constructeur. Au rang des constructeurs français présents, il y aura Renault et DS. Ce dernier rendra un hommage au 70 ans de la DS au travers d'une exposition qui prendra place dans le Hall 1. Peugeot sera indirectement présent sur le salon au travers de l'exposition consacrée à la F1. Rappelons-nous que le constructeur sochalien a été motoriste de plusieurs écuries jusque dans les années 1990 (McLaren, Jordan, Prost GP). Plusieurs constructeurs internationaux seront également présents. L'organisation a enregistré la participation de Cadillac, Skoda, Bentley, Mercedes, Porsche ou encore Maserati et Toyota. Mitsubishi exposera pour la première fois de l'histoire du salon. Elle rendra hommage à ses succès sur le Dakar et exposera le nouvel Outlander hybride rechargeable. Mazda a aussi confirmé sa présence. Cette fois pour un hommage à la MX-5. Lire aussi - Rétromobile 2025 : le programme, les dates & horaires, le prix des billets La liste des constructeurs auto présents au Rétromobile 2025 Bentley Cadillac DS Maserati Mazda Mercedes Mitsubishi Porsche Renault Skoda Touring Superleggera Toyota La moto au rendez-vous Quelques constructeurs moto seront présents. Ce sera le cas de Honda, Indian Motorcycle ou encore Triumph. La liste des constructeurs moto présents au Rétromobile 2025 Honda Kawazaki Indian Motorcycle Royal Enfield Triumph
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PHOTOS - Nouveau Skoda Enyaq (2025) : le restylage de la version coupé en images

Même si elle a été lancée un peu plus tard, la variante coupé du Skoda Enyaq profite des mêmes évolutions que le SUV électrique standard. Regardons cela de plus près. Des deux versions existantes dans la gamme Enyaq, c'est le coupé qui avait le plus besoin d'un petit coup de jeune pour relancer ses ventes. De fait, malgré un lancement plus tardif (en 2021 et pas en 2020), il passe lui aussi par la case restylage. Et quoi qu'on en dise, malgré des ventes en régression de 12 % de janvier à novembre 2024 en Europe (nous attendons le détail jusqu'à décembre), il représentait malgré tout 15 % des ventes totales de ce modèle. Pas trop mal. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Skoda Comme l'Enyaq normal et donc comme l'Elroq Logiquement, les évolutions sont les mêmes que sur l'Enyaq normal. Le coupé profite de la même partie avant largement remaniée pour le faire ressembler au plus petit Elroq. Les phares s'étirent, s'amincissent, la calandre est aplatie et illuminée, la partie basse du bouclier accueille un grand élément noir aéré et des blocs optiques LED sur les côtés donnant à cet Enyaq coupé un regard sur deux étages. Éclairage matriciel en option. Même possibilité d'opter pour de nouvelles jantes et une nouvelle teinte verte dite Olibo. Voir aussi - notre page dédiée au Skoda Enyaq Toujours plus aérodynamique À l'instar de l'Enyaq coupé, les évolutions permettant au coupé d'afficher un meilleur coefficient aérodynamique. Il avait déjà grâce à sa chute de pavillon un score plus bas que son équivalent SUV classique, c'est toujours le cas. Il passe de 0,234 à 0,225. De quoi espérer des autonomies en progression. Nous allons y revenir dans un prochain article. Lire aussi - Nouveau Skoda Enyaq (2025) : restylage en profondeur pour le SUV et sa variante coupé

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Nouveau Skoda Enyaq (2025) : restylage en profondeur pour le SUV et sa variante coupé

Dévoilé par petites touches ces dernières semaines, l'Enyaq restylé se montre aujourd'hui officiellement dans le plus simple appareil. Comme prévu, les changements sont assez nombreux. Pour sa première incursion dans l'univers de l'électrique, Skoda a plutôt bien réussi son coup. Alors non, il n'est pas parvenu à faire de l'ombre au Tesla Model Y. Mais, par rapport à d'autres de ses concurrents (Nissan Ariya, Toyota bZ4X ou Volkswagen ID.4), il s'en sort mieux voire nettement mieux. Tous les compteurs sont donc au vert pour l'Enyaq. Et pour le porter encore un peu plus vers le haut, il profite aujourd'hui d'un facelift assez profond. L'Enyaq coupé, lancé pourtant un an plus tard (en 2021), est également concerné. Zoom sur les nouveautés de ce cru 2025. Voir aussi - notre page dédiée aux essais et nouveautés Skoda Des évolutions surtout à l'avant
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