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Elipson Infinite : les enceintes encastrables murales pour la HiFi et le home cinema

Elipson Infinite : les enceintes encastrables murales pour la HiFi et le home cinema

Elipson Infinite : les enceintes encastrables murales pour la HiFi et le home cinema

Elipson propose déjà un grand nombre d’enceintes pour l’intégration : pour les plafonds, les murs et l’extérieur. La nouvelle série premium Infinite comprend deux modèles rectangulaires destinés à une intégration murale.

Des enceintes discrètes

Les enceintes encastrables servent le plus souvent à la sonorisation multiroom. Installées directement dans les murs, elles permettent de gagner de la place sans encombre les pièces. Elles se font ainsi oublier, comme ces nouvelles Elipson Infinite. Au format rectangulaire, elle sont recouvertes d’une grille aimantée blanche sans contour.

  • Elipson INF IW6 – enceinte 2 voies, médium en fibre de carbone de 16 cm, tweeter à dôme titane de 25 mm, 100 Watts
  • Elipson INF IW8 – enceinte 2 voies, médium en fibre de carbone de 20 cm, tweeter à dôme titane de 25 mm, 130 Watts

Un tweeter orientable

Elipson a conçu ces enceintes afin qu’elle propose la même qualité sonore que des modèles de bibliothèque équivalente. La qualité des matériaux utilisés pour les haut-parleurs le confirme. Elle acceptent des puissances confortables et descendent suffisamment bas en fréquence pour ne pas être en manque de basses.

Elles se différencient d’autres enceintes sur le même créneau par leur tweeter orientable. En effet, celui-ci pivote avec un angle maximum de 35°. Le but est de viser la position d’écoute, même si les enceintes sont installées un peu trop bas ou un peu trop haut.

A qui s’adressent les Elipson Infinite ?

Les enceintes encastrables Elipson Infinite répondent aux besoins dans deux cas de figure. D’une part pour profiter de la musique en stéréo dans n’importe quelle pièce, sans avoir à utiliser des enceintes classiques trop encombrantes. D’autre part, elles feront d’excellentes enceintes frontales, autour d’un téléviseur ou derrière un écran de projection, et en particulier les modèles INF IW 8 avec leur woofer de 20 cm.

Source : Elipson

Fiche technique des Elipson Infinite IW 6

  • Enceintes encastrables murales
  • Haut-parleur : woofer 16 cm, tweeter orientable 25 mm
  • Puissance : 100 Watts par enceinte
  • Bande passante : 60-30.000 Hz
  • Sensibilité : 88 dB/1W/1m
  • Impédance : 8 ohms
  • Autres : vendue à l’unité
  • Dimensions (l x h x p) : 205 x 269 x 90 mm
  • Poids : 1,9 kg

Prix : 249 €

Fiche technique des Elipson Infinite IW 8

  • Enceintes encastrables murales
  • Haut-parleur : woofer 20 cm, tweeter orientable 25 mm
  • Puissance : 130 Watts par enceinte
  • Bande passante : 45-30.000 Hz
  • Sensibilité : 89 dB/1W/1m
  • Impédance : 8 ohms
  • Autres : vendue à l’unité
  • Dimensions (l x h x p) : 247 x 323 x 96 mm
  • Poids : 2,5 kg

Prix : 299 €

elipson INF IW6 in wall avant
elipson INF IW6 in wall arriere
elipson INF IW6 in wall cote
elipson INF IW6 in wall grille

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Triangle Capella : des enceintes HiFi connectées au standard WiSA

Triangle Capella : des enceintes HiFi connectées au standard WiSA

Triangle Capella : des enceintes HiFi connectées au standard WiSA

Le fabricant français Triangle dévoile de nouvelles enceintes connectées. Les Triangle Capella se différencient des modèles WiFi précdéents car elles utilisent pour la première fois le standard WiSA. Il offre une large connectivité et renforce la polyvalence.

Un style élégant osé

Comment se différencier de la concurrence sur le marché des enceintes HiFi connectées ? Triangle a bien entendu choisi les qualités musicales, ce que je pourrai vérifier d’ici quelques semaines à travers un test complet. En attendant, une différence essentielle se voit à l’œil nu : le design !

On remarque tout d’abord une base constituée de tubes carrés métalliques en bronze. En plus de l’esthétique, ils participent au son puisqu’ils surélèvent l’enceintes de quelques centimètres. Cela permet à l’évent bass-reflex placé sous l’enceinte de s’exprimer pleinement.

Mais ce sont les finitions de la caisse qui font vraiment parler. En dehors du blanc et noir classiques, Triangle a osé le brun nébuleux et le bleu astral. Tous les deux font penser à une sorte de ronce de noyer stylisée. Très original, on adore ou on déteste !

Deux enceintes, un streamer

Comme toutes les enceintes WiSA, les Triangle Capella ne savent rien faire sans un hub qui centralise les sources. C’est à lui que l’on connecte lecteur CD, platine vinyle, ordinateur ou téléviseur. Car il y a bien un port HDMI ARC.

Pour la musique sans fil, pas d’application dédiée mais la compatibilité avec les standards les plus courants : AirPlay 2, Chromecast, Roon et UPnP/DLNA.

Enfin, le hub Triangle WiSA transmet la musique sans fil vers les enceintes en haute définition. Ce standard étant partagé, il est possible d’inclure les Capella dans un système plus large et même de les utiliser en tant qu’enceintes principales dans un home cinema par exemple, constitué d’autres éléments WiSA.

A qui s’adressent les Triangle Capella ?

La paire d’enceintes HiFi Triangle Capella s’adresse à ceux qui ne veulent plus d’appareils électroniques séparés dans leur salon. Et en même temps, qui ne veulent pas faire de concession sur la qualité. Les Capella sont équipées des meilleurs haut-parleurs de la marque. Elles concurrencent des modèles tels que les B&W Formation Duo ou les KEF LS50 Wireless II. Avantage pour les Triangle : elles peuvent être calibrées acoustiquement via un micro en option.

Source : Triangle

Fiche technique des Triangle Capella

  • Paire d’enceintes HiFi connectées
  • Haut-parleur : woofer 16 cm, tweeter 25 mm
  • Puissance : 2×50 Watts par enceinte
  • Bande passante : 42-22.000 Hz
  • Connnectivité : WiFi, Bluetooth, 1x entrée analogique RCA, 1x entrée mini-jack, 3x entrées optiques, 1x entrée coaxiale, 1x entrée HDMI ARC, 1x port USB
  • Services de streaming : Spotify Connect
  • Protocoles : WiSA, AirPlay 2, Chromecast, Roon, UPnP
  • Autres : micro ZEN de calibrage en option, pieds en option
  • Dimensions (l x h x p) : 200 x 380 x 315 mm
  • Poids : 8,5 kg (par enceinte)

Prix : 2490 €

TRIANGLE CAPELLA PICTURES LIFESTYLE BROWN NEBULA 02 1200
TRIANGLE CAPELLA PICTURES PACKSHOT HUB 03 1200
TRIANGLE CAPELLA PICTURES LIFESTYLE SPACE WHITE 01 1200
TRIANGLE CAPELLA PICTURES LIFESTYLE ASTRAL BLUE 04
TRIANGLE CAPELLA PICTURES LIFESTYLE BLACK STAR 02 1200

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Que penser de la dernière mise à jour Sonos 8.0 ?

Que penser de la dernière mise à jour Sonos 8.0 ?

Que penser de la dernière mise à jour Sonos 8.0 ?

Il y a un peu plus d’un mois, le 7 mai dernier, Sonos mettait à jour son application vers une toute nouvelle version, la 8.0. Celle-ci a fait grand bruit, pas forcément pour de bonnes raisons. Analysons ce qu’il s’est passé et le contenu de cette mise à jour de l’app Sonos.

Une pluie de critiques à remettre dans son contexte

Cet article fait suite à celui-ci que je vous invite à lire : Toutes les applications mobiles des enceintes sans fil sont-elles vraiment nulles ? Il a été publié un mois avant la sortie de l’app Sonos 8.0, avec les maigres informations que je possédais à ce moment.

Je pressentais déjà que les critiques négatives allaient fuser. Et ça, sans juger de la qualité de la mise à jour puisqu’elle n’était pas disponible. Tout simplement parce que, comme je l’expliquais dans l’article précédent, baucoup d’utilisateurs n’aiment pas le changement. Auxquels s’ajoutent ceux qui pensent être des spécialistes de l’ergonomie…

Cela n’a pas raté. Malheureusement, l’aversion au changement et la critique pour critiquer ont été accompagnées de remarques négatives fondées à cause d’une application incomplète. Cependant, il ne faut pas oublier que les réseaux sociaux et les forums sont des loupes, ils ne sont pas représentatifs. Sonos a des centaines de milliers d’utilisateurs. Ce sont, comme partout, les plus virulents et les plus mécontents qui s’expriment. Pas ceux qui n’ont aucun problème.

Pourquoi sortir une application incomplète ?

Car le nœud du problème est là : le 7 mai, Sonos a sorti une nouvelle application mobile incomplète. On peut donc comprendre la colère légitime d’une partie des utilisateurs qui ont perdu du jour au lendemain une ou plusieurs fonctions qu’ils avaient l’habitude d’utiliser depuis des années.

C’était le cas des timers et des alarmes permettant d’allumer/éteindre automatiquement ses enceintes Sonos, pour se réveiller le matin par exemple. Ou encore de l’impossibilité d’ajouter un titre “à lire ensuite”. Ou bien l’accès impossible à un dossier partagé sur son réseau pour accéder à sa bibliothèque musicale personnelle.

Ces absences qui faisaient partie des plus demandées ont été remises dans l’app au bout de quelques jours ou semaine.

Alors pourquoi Sonos a “imposé” une nouvelle app mobile incomplète ? La raison est toute simple : cette version 8.0 était obligatoire pour pouvoir utiliser le nouveau casque Ace sorti au même moment.

Pas seulement. Jusqu’au 7 mai, l’app Sonos était en réalité la même app sortie en 2009, sans cesse améliorée, mais toujours sur la même base technique. Avec la version 8.0, Sonos a tout repris de zéro. Afin d’être plus au goût du jour en termes de développement, et de pouvoir accueillir le futur sereinement.

Il fallait faire un choix : repousser la sortie du casque ou repousser la sortie de l’app. Sonos a choisi de garder la date officielle pour le casque et de délivrer la nouvelle app dans une première version 8.0 incomplète.

Sonos App Home Screen Light
Sonos App Home Screen Light

Peut-on blâmer Sonos ?

En tant qu’utilisateur de plus ou moins longue date, oui on peut être légitimement énervé de perdre des fonctions du jour au lendemain. Par ailleurs, en plus des manques, elle n’est pas exempte de bugs plus ou moins bloquants. Ceux-ci sont corrigés au fur et à mesure une ou deux fois par semaine. On a pu lire certains utilisateurs perdre la fonction Trueplay, voir certaines enceintes disparaître de leur système mais pas d’autres, faire face à des ralentissements bloquants lors de la navigation…

L’utilisateur final n’a pas à comprendre comment marche le développement logiciel dans une entreprise. Son système fonctionne, il doit fonctionner tout le temps. Les personnes peu au fait de la technologie ont pu réellement se sentir abandonnées face aux manques et autres bugs.

Il est tout de même dommage que Sonos n’ait pu arriver à faire coïncider son planning de développement produit, pour le casque, et celui concernant l’app. Dans quelques semaines, tout sera rentré dans l’ordre.

Je pense que cela peut laisser une marque indélébile qui s’ajoutera à celle concernant la communication hésitante lors de la sortie de l’app S2 et du maintien des anciens produits sous S1. Cela touchera peu de personnes dans la réalité, surtout ceux présents sur les réseaux, qui ont une certaine visibilité néanmoins. Tous les autres, infiniment plus nombreux, auront vite oublié.

J’imagine que cela aurait été impossible, mais présenter l’app 8.0 sous l’appelation S3 aurait pu être une bonne idée. Cela aurait permis aux utilisateurs d’essayer Sonos S3 sans obligation, avec les manques et les bugs, tout en pouvant rester ou revenir sous S2 s’ils le souhaitaient.

Qu’est-ce que j’attends de l’app Sonos 8.0 ?

Pour ma part, je n’ai rencontré aucun bug avec la version 8.0. Je l’ai installée bien entendu le premier jour car j’ai reçu un casque Sonos Ace en test. Je trouve la nouvelle app un peu plus lente dans sa navigation par rapport à la précédente. Surtout au début, moins maintenant. Une fois que l’on a compris que le logo Sonos en haut à gauche permet de revenir en arrière, c’est plutôt logique. La réorganisation des sections me va bien.

Il manque certaines fonctions à ce jour tel que la possibilité d’affecter une zone par défaut à une entrée auxiliaire line-in, ou de configurer les Amp et Port en double mono. Le moteur de recherche qui opère aussi dans sa bibliothèque personnelle a définitivement disparu. Je pense qu’il y a peu de chance qu’il revienne, mais sait-on jamais !

Et puis j’aimerais bien que la page d’accueil de l’app désormais personnalisable le soit encore plus. Que l’on puisse modifier la liste complète des services musicaux et que l’on puisse modifier aussi les favoris Sonos que l’on veut afficher ou pas (radios, playlists, titres).

Sonos App Search Results Dark
Sonos App Search Results Dark

Une nouvelle web app pour les ordinateurs

La version 8.0 signe la fin des applications de bureau Sonos pour PC et Mac. Celles-ci n’ont pas évolué depuis de nombreuses années. Je sais que leur présentation plaisait beaucoup, avec ce tableau de bord complet en un écran : les zones à gauche, en cours de lecture au milieu et les sources musicales à droite.

Beaucoup plus simple et plus universel, Sonos se contrôle depuis un ordinateur maintenant via un simple navigateur web. En tapant l’adresse https://play.sonos.com, on obtient une app avec une mise en page différente de celle des smartphones et tablettes. Elle se rapproche un petit peu des anciennes applications de bureau avec l’affichage permanent de toutes les zones, cette fois-ci sur la droite de l’écran.

L’avantage d’une web app, c’est de pouvoir l’afficher facilement n’importe où : sur des iPad qui ne seraient plus mis à jour ainsi que sur des écrans domotique. J’ai un écran tactile domotique Crestron qui sait afficher une page web par défaut. Si je mets l’adresse de cette web app, j’ai alors un écran tactile avec Sonos en plein écran !

Bon, il y a tout de même un petit truc qui me gêne avec cette web app. Que ce soit sur une tablette, un ordinateur ou l’écran tactile Crestron, je suis obligé de me ré-identifier tous les 3 jours. Ca gâche pas mal l’expérience et j’espère que Sonos va désactiver ce besoin de se logger et relogger et garder les infos en mémoire. A la rigueur une fois tous les 3 mois, pourquoi pas. Mais pas tous les 3 jours !

Et vous, qu’est-ce que vous pensez de la nouvelle app Sonos 8.0 ? Partagez votre avis dans le forum Multiroom !

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Loxone Master / Client : le multiroom sur un câblage bus

Loxone Master / Client : le multiroom sur un câblage bus

Loxone Master / Client : le multiroom sur un câblage bus

Loxone innove avec une nouvelle solution de distribution audio multiroom via son câble bus Tree Turbo. Avec la fonction Master / Client, les enceintes se branchent tout simplement entre elles. Il n’y a plus de centralisation mais une distribution du son aussi bien en série, en arbre, qu’en étoile. Le câblage est grandement simplifié.

Le bus Tree Turbo pour l’audio

Lors du lancement de l’amplificateur multiroom Audioserver, Loxone a créé l’interface Tree Turbo. C’est une connexion de type bus à deux fils torsadés qui permet d’étendre le système. Ainsi, les extensions Loxone Stereo se connectent à un Audioserver via Tree Turbo. C’est par ce biais qu’elles sont pilotées et qu’elles obtiennent leur adresse IP. On peut ainsi connecter jusqu’à 10 extensions Stereo à un Audioserver. Ce qui va donner sur le réseau 11 appareils au total, chacun étant une zone audio séparée avec son adresse IP distincte.

Avec la solution Master / Client, Loxone déporte l’amplification dans les enceintes directement. Cela simplifie le tableau électrique en supprimant les extensions stéréo. Mais Loxone est allé encore plus loin en développant le concept. Chaque enceinte connectée Master avec sa connexion Tree Turbo peut gérer jusqu’à 20 enceintes Client. Ainsi, un seul Audioserver est à la tête d’un réseau potentiel de 210 enceintes.

loxone master client schema

Câblage 4 fils sur de très grandes longueurs

Afin de connecter tout ce petit monde ensemble, il faut prévoir quatre fils par enceinte. L’enceinte Master se connecte au bus Tree Turbo par la paire torsadée, les deux autres servent à l’alimentation 24V. Loxone commercialise un câble unique renfermant ces quatre fils. Ensuite, d’une enceinte Master repart le même câble à quatre fils vers l’enceinte Client suivante. Cependant, il n’y a plus de Tree Turbo. La communication entre les enceintes Client s’appelle MCI (pour Master Client Interface). La distance entre deux enceintes Client est de 30 mètres au maximum. C’est le câble 24V qui alimente l’amplification intégrée à chaque enceinte, que ce soit une Master ou une Client.

loxone master client cablage
loxone master client inside HD

Les enceintes Master ne disposent pas d’entrée locale. Elles accèdent donc à la musique en streaming via l’app Loxone (webradios & dossier partagé), Spotify Connect et AirPlay 2. Cependant, Loxone leur a tout de même ajouté le Bluetooth. Celui-ci est disponible uniquement dans une enceinte Master, pas dans les enceintes Client. Pour l’appairage avec un smartphone, il faut passer par l’app Loxone. Le Bluetooth offre la possibilité d’utiliser n’importe quel service de streaming.

loxone master client bluetooth

Les enceintes Loxone compatibles

Quatre modèles d’enceintes se trouvent dans cette gamme. Ce sont des Quadral, le fabricant d’enceintes que Loxone a racheté. On trouve deux enceintes encastrables, une enceinte close et un haut-parleur de grave. A chaque fois il existe une version Master et une version Client. Toutes peuvent être mixées et combinées pour créer le système multiroom de son choix. La Install Speaker 7 est une encastrable avec haut-parleur coaxial de 16,5 cm de diamètre. La Install Speaker 10 passe sur un coaxial de 20 cm. Tandis que le Install Sub 10 reproduit uniquement les basses fréquences. Le Satellite Speaker s’installe à l’intérieur comme à l’extérieur avec sa certification IP64.

loxone master client enceintes multiroom

Afin de réaliser une installation la plus performante possible, Loxone propose les boîtes d’encastrement pour les trois modèles Install. On peut éventuellement s’en passer dans certaines conditions pour les Install 7 et Install 10, mais la boîte me semble plus que conseillée pour le subwoofer Install Sub 10.

loxone master client boite encastrement

Le multiroom avec Loxone Master / Client

Loxone Master / Client a été créé en priorité pour la sonorisation des espaces professionnels ou recevant du public. Cela permet d’équiper de la façon la plus efficace qui soit de grands bâtiments, surtout quand on combine la distance autorisée entre les enceintes et leur nombre possible. Il est estimé que l’on a besoin de 5 fois moins de câblage qu’une installation équivalente traditionnelle (câbles haut-parleur ou audio sur IP). En outre, Loxone a travaillé sur la consommation, réduite de 84%. Ce qui était de toute façon obligatoire pour arriver à alimenter autant d’enceintes sur une unique connexion 24V partagée entre toutes les enceintes d’une ligne.

En termes de multiroom, Loxone Master / Client permet de créer 10 zones indépendantes. Car derrière une enceinte Master, les 20 enceintes Client au maximum reçoivent forcément le même flux audio. Cependant, la liaison MCI entre Master et Client ne fait pas passer que le son, il y a aussi des commandes ! Chaque enceinte Client est indépendante de la Master en ce qui concerne le niveau de volume et l’allumage/extinction.

Cette solution est donc parfaite pour le résidentiel. On peut créer des zones indépendantes et non indépendantes selon les besoins, en mixant enceintes Master et enceintes Client !

Source : Loxone

loxone master client technology

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Artsound Smart In : une enceinte encastrable active compatible AirPlay 2

Artsound présente une enceinte encastrable WiFi avec AirPlay 2

Artsound présente une enceinte encastrable WiFi avec AirPlay 2

Artsound complète régulièrement sa gamme Smart avec de nouveaux produits audio connectés pour le multiroom. Les enceintes Smart In sont des encastrables qui se branchent non pas avec du câble haut-parleur mais sur une arrivée de courant. Cela leur permet d’être pilotées en WiFi directement.

Le multiroom encastré sans avoir besoin d’une centrale

Le fonctionnement habituel d’un système multiroom où les enceintes sont encastrées passe par la présence d’une centrale. C’est à partir d’elle que partent tous les câbles haut-parleurs ver sles différentes zones sonorisées. La centrale se pilote depuis une app pour sélectionner la musique, les zones, contrôler le volume, etc.

Mais lorsque les enceintes encastrables sont actives, plus besoin de centrale ni de câblage à prévoir. Mis à part tout de même des arrivées de courant dans les plafonds. Car ces enceintes actives doivent être branchées sur le 230V. C’est ce qui les rend parfaitement autonomes.

Et c’est le cas des Artsound Smart In. Une reliée au courant, l’enceinte maître apparaît dans l’app mobile 4Stream comme une nouvelle zone audio. L’ensemble Smart In Set comprend une seconde enceinte esclave, à relier à la première, pour constituer une paire stéréo.

Un streamer dans l’enceinte

L’enceinte active Smart In intègre de l’électronique et plus particulièrement un amplificateur et un streamer. C’est ce dernier qui permet à l’enceinte de communiquer en WiFi et d’accéder à la musique sans fil. Alternativement, on peut la relier au réseau en filaire via sa prise Ethernet.

Cette enceinte encastrable connectée est compatible avec les services Spotify Connect, Tidal Connect, Amazon Music, Napster et Qobuz. Elle répond également au protocole AirPlay 2 et dispose du Bluetooth. Il y a même une entrée ligne, mais cela signifie qu’il faut prévoir un câble arrivant par exemple sur une prise murale ou derrière un téléviseur.

Que l’on choisisse une enceinte encastrable classique ou cette Artsound Smart In, il faut dans tous les cas passer un câble dans le plafond. L’avantage du modèle actif, c’est la décentralisation, une arrivée de courant que l’on pourra dériver d’une prise suffira.

Source : Artsound

Fiche technique de la Artsound Smart In

  • Enceinte encastrable WiFi
  • Haut-parleur : coaxial 16,5 cm avec tweeter 25 mm
  • Puissance : 60 Watts
  • Bande passante : 55-20.000 Hz
  • Connnectivité : Ethernet, WiFi, Bluetooth, 1x entrée analogique
  • Services de streaming : Spotify Connect, Tidal Connect, Amazon Music, Napster, Qobuz
  • Protocoles : 4Stream, AirPlay 2
  • Autres : enceinte esclave optionnelle pour la stéréo
  • Dimensions (d x p) : 235 x 108 mm
  • Poids : 1,5 kg

Prix : 449 €

artsound smart in HD
artsound smart in airplay 2

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Cabasse Myuki : l’enceinte The Pearl en mode nomade

Cabasse Myuki : l'enceinte The Pearl en mode nomade

Cabasse Myuki : l'enceinte The Pearl en mode nomade

Article modifié le 6 juin 2024

Cabasse présente une nouvelle déclinaison de son enceinte boule “The Pearl”. La Myuki est le premier modèle nomade dans la gamme. Sa conception est différente car elle abandonne les haut-parleurs alignés avec le grave au dos du médium-aigu. Elle fait fortement penser à l’une de ses concurrentes françaises.

Dans la lignée de la série The Pearl

Le style boule est clairement la signature de la gamme The Pearl, la Myuki n’y déroge pas. Tout comme les inserts métalliques que l’on retrouve ça et là. Bien que le style soit légèrement différents des autres modèles The Pearl, la filiation ne fait aucun doute.

Sur ce modèle, on retrouve un médium-aigu en façade de 45 mm sous la référence Dôme 45. Il est protégé par une grille sur laquelle s’affiche le logo Cabasse. Le grave est confié à deux woofers de 12 cm installés dos à dos sur les côtés. Immédiatement, on pense à la Devialet Mania sortie fin 2022. Mais la Cabasse Myuki a son style bien à elle, même s’il y a bien eu un peu d’inspiration quelque part.

La Myuki mesure environ 18 cm de diamètre et pèse 2,1 kg, ce qui reste compact et facile à transporter. Comparativement à la Devialet Mania, il n’y a pas de poignée de transport sur la Cabasse mais une simple encoche à l’arrière. En revanche, le sac de transport est fourni d’office. Ce qui n’est pas le cas chez Devialet. Quant aux coloris, ils restent classiques pour la Myuki : blanc ou noir.

Nomade, mais bien connectée

La puissance est de 100 Watts RMS pour un niveau sonore maximal de 103 dB en crête. Il y a déjà de quoi sonoriser correctement un bel espace extérieur. La bande passante débute à 30 Hz, ce qui est un exploit pour une si petite enceinte.

On retrouve différents réglages audio pour optimiser le résultat, réglages déjà présent sur d’autres appareils de la gamme : égaliseur dynamique selon le volume sonore et le contenu en cours d’écoute, calibration automatique et adaptation du spectre tonal. La Myuki sait lire la musique en haute résolution, y compris les fichiers DSD128.

La connectivité est plutôt très complète pour une enceinte nomade. Il y a deux entrées auxiliaires : une numérique optique et une analogique mini-jack. Le port USB permet de lire des morceaux stockés sur une clé. On peut même la relier au réseau en filaire lorsque l’on est chez soit. Sinon, ce sera du WiFi à l’intérieur et le Bluetooth en balade.

Six touches tactiles avec retour haptique sont positionnées sur le dessus de l’enceinte. Enfin, l’autonomie annoncée est de 12 heures, ce qui permet de passer une journée entière avec la musique à l’extérieur.

Source : Cabasse

Fiche technique de la Cabasse The Pearl Myuki

  • Enceinte multiroom nomade
  • Puissance : 100 Watts RMS
  • Haut-parleurs : 1x médium-aigu 45 mm, 2x woofers 12 cm
  • Connnectivité : Ethernet, WiFi, Bluetooth 1x entrée optique, 1x mini-jack, 1x port USB-C
  • Protocoles : Cabasse StreamCONTROL, AirPlay 2
  • Autonomie : 12 heures
  • Autres : sac de transport fourni
  • Dimensions (l x h x p) : 186 x 174 x 180 mm
  • Poids : 2,1 kg

Prix : 990 €

cabasse the pearl myuki front
cabasse the pearl myuki side
cabasse the pearl myuki top
cabasse the pearl myuki lifestyle 1
cabasse the pearl myuki lifestyle 2

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Marantz Model M4 : une centrale multiroom 4 zones HEOS

Marantz Model M4 : une centrale multiroom 4 zones HEOS

Marantz Model M4 : une centrale multiroom 4 zones HEOS

Article modifié le 4 juin 2024

Après le lecteur réseau amplifié 1 zone Model M1, Marantz présente une centrale multiroom 4 zones. Le hub Model M4 reprend l’esthétique des appareils HiFi de la marque en proposant du multiroom qualitatif. A nouveau, c’est une déclinaison haut de gamme d’un produit existant chez Denon.

Marantz de retour dans le multiroom

Marantz est un fabricant japonais reconnu pour ses produits HiFi restants dans des gammes de prix accessibles. Il y a des modèles exclusifs dont le tarif peut sembler très élevé, mais on est loin de la HiFi ésotérique à six chiffres, ou plus encore. Marantz, c’est du haut de gamme raisonnable.

La marque n’est pas novice dans le multiroom puisqu’elle fut même pionnière dans ce domaine avec la première centrale multizones sur courant porteur. Présentée en 2006, la gamme Marantz DAvED permettait de créer des zones simplement en branchant les récepteurs sur les prises de courant. La centrale ZR6001SP transmettait le son de ses sources de cette façon. C’était une innovation intéressante vite abandonnée, le courant porteur, ou CPL, n’étant pas la façon la plus fiable de transmettre de la musique malheureusement.

Par la suite, Marantz a proposé des amplificateurs de puissance multicanaux pour le multiroom. Plus tard, le protocole multiroom HEOS de la marque sœur Denon a commencé à être implanté dans différents types de produits, en commençant par les amplificateurs audio/vidéo.

4 zones HEOS

Le Marantz Model M4 arbore le design des tous derniers appareils HiFi de la marque avec ces extrémités de façade caractéristiques et ce cercle central. Ce dernier indique uniquement l’état des quatre zones. On trouve simplement un bouton marche/arrêt. Tout se passe sur l’application mobile HEOS.

Chaque zone est amplifiée par 2x100W de puissance, à l’image du streamer Model M1. Avec le M4, les canaux peuvent se ponter pour plus de watts. Marantz a prévu six entrées pour autant de sources externes : 4 analogiques et 2 numériques optiques. Il y a également quatre ports USB pour que chaque zone puisse avoir accès à ses propres contenus.

On trouve quatre sorties lignes, pour utiliser des amplificateurs plus puissants ainsi que des sorties triggers qui allumeront de concert ces appareils externes. Les sorties lignes peuvent également être utilisées pour relier un ou deux caissons de basse dans chaque zone. Marantz précise que les entrées numériques sont compatibles Dolby Digital, ce qui laisse la possibilité de diffuser le son d’un téléviseur vers toutes les zones.

Le Model M4 étant destiné à être installé dans un endroit central de la maison, il trouvera souvent sa place dans un rack technique. Marantz livre dans le carton les équerres de fixation pour rack 19″.

En bref, le Marantz Model M4 est la version haut de gamme du Denon HEOS Drive HS2. Ce dernier est un hub multiroom HEOS 4 zones moins puissant, et aussi moins cher.

Source : StereoNET

Fiche technique du Marantz Model M4

  • Centrale multiroom 4 zones
  • Puissance : 8x100W @8 ohms, 8x125W @4 ohms
  • Type d’amplification : classe D
  • Connnectivité : 4x entrée RCA, 2x entrée optique, 4x USB-A, 4x sorties ligne, 4x triggers 12V, 2x Ethernet
  • Protocoles : HEOS, Spotify Connect, AirPlay 2, UPnP
  • Autres : canaux pouvant être bridgés
  • Dimensions (l x h x p) : 442 x 106 x 415 mm
  • Poids : n.c.

Prix : 3500 €

marantz model M4 HEOS front
marantz model M4 HEOS back
marantz model M4 HEOS 4 zones
marantz model M4 HEOS detail
marantz model M4 HEOS inside
marantz model M4 HEOS rack

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Marantz Model M1 : un lecteur réseau HEOS compact et audiophile

Marantz M1 : un lecteur réseau HEOS compact et audiophile

Marantz M1 : un lecteur réseau HEOS compact et audiophile

Article modifié le 4 juin 2024

Avec le Model M1, Marantz présente son premier streamer amplifié compact. Dans la même famille, il vient se placer au-dessus d’un Denon HEOS Amp HS2 en termes de qualité audio comme de connectivité. Quant au design, il semble qu’une tendance se dégage clairement dans cette catégorie de produits.

Un mini streamer chez Marantz

Jusqu’ici, Marantz avait connecté certains de ses appareils HiFi grâce à l’ajout du protocole HEOS. C’est le cas de la mini-chaîne M-CR612, des derniers lecteurs CD ou encore du récent amplificateur premium Model 40n. Tous les amplificateurs home cinema Marantz sont connectés au réseau depuis de nombreuses années. Mais il n’existait pas encore d’appareil simple et compact comme cela existe dans la gamme Denon sous la forme du HEOS Amp HS2.

C’est chose faite désormais avec le Marantz Model M1. Ce produit se veut être le centre d’un système HiFi connecté moderne auquel il n’y a que les enceintes à ajouter. Pour cela, il délivre 2×100 Watts sous 8 ohms en classe D, et même 2x125W sous 4 ohms. Au Japon pour sa présentation, il a été associé à des enceintes Bowers & Wilkins valant plus de 40.000 €.

Discret et complet

Dans moins de 22 cm de côté, le Model M1 embarque tout le nécessiare pour profiter de ses sources musicales. HEOS donne accès aux services streaming, à la musique partagée sur un NAS, aux webradios. Cela permet de piloter le M1 intégralement depuis l’app HEOS car il est dépourvu d’écran. Comme ses concurrents chez Sonos et WiiM, des touches en façade permettent de régler le volume et de mettre la musique en pause. Et c’est tout.

Toujours au chapitre de la connectivité, on trouve les compatibilités avec Spotify Connect et AirPlay 2. Le Bluetooth est également présent. Le port USB à l’arrière accepte des supports remplis de fichiers musicaux que l’app HEOS pourra lire, le format DSD étant supporté.

Les entrée auxiliaires sont au nombre de trois avec une entrée ligne, pour une platine vinyle (avec pré-ampli phono), une entrée optique pour un lecteur CD et la fameuse prise HDMI ARC pour relier le Model M1 à un téléviseur ! Le HEOS Amp HS2, un peu ancien il est vrai, n’a toujours pas droit au HDMI ARC.

Enfin, une sortie mono subwoofer servira à relier un caisson de basse si le besoin s’en fait sentir. Bref, c’est un produit complet et qualitatif sur le papier grâce à l’amplification en classe D et à un filtrage numérique propriétaire MMDF. C’est aussi la façon de bâtir un système multiroom HEOS où la qualité sonore est primordiale.

Source : Stereo Sound Online

Fiche technique du Marantz Model M1

  • Streamer amplifié compact
  • Puissance : 2x100W @8 ohms, 2×125 W @4 ohms
  • Type d’amplification : classe D avec filtres MMDF
  • Connnectivité : 1x entrée RCA, 1x entrée optique, 1x HDMI ARC, 1x USB-A, 1x sortie sub
  • Protocoles : HEOS, Spotify Connect, AirPlay 2, UPnP
  • Autres : entrée infrarouge & pilotage domotique
  • Dimensions (l x h x p) : 217 x 84 x 239 mm
  • Poids : 2,2 kg

Prix : 999 €

marantz M1 HEOS front
marantz M1 HEOS top
marantz M1 HEOS connexions
marantz M1 lifestyle 1 HD
marantz M1 lifestyle 2 HD

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Sonos Roam 2 : une évolution en douceur mais importante

Sonos Roam 2 : une évolution en douceur mais importante

Sonos Roam 2 : une évolution en douceur mais importante

Article modifié le 4 juin 2024

La petite enceinte portable Bluetooth Sonos Roam est sortie il y a tout juste trois ans. La Roam 2 qui la remplace apporte quelques nouveautés bienvenue sans changer fondamentalement son usage.

La moins chère des enceintes Sonos

La Roam a suivi la Move, la première enceinte transportable de Sonos un peu imposante pour qu’elle soit universelle. Tandis qu’avec son mini format, la Roam répond à plus d’usages. Son tarif est aussi beaucoup plus accessible, c’est même l’enceinte Sonos la moins chère. Je la conseille en tant qu’enceinte fixe, toujours branchée sur le courant, pour les petites pièces d’un système multiroom, la salle de bains par exemple.

Quelques temps après, Sonos a sorti la Roam SL. Une version encore moins chère car dépourvue des micros, et donc des assistants vocaux. On conservait toutes les qualités de l’écosystème Sonos avec le WiFi et toujours cette possibilité de l’utiliser en version fixe dans des pièces de très petite taille. Mais avec la Roma 2, la version SL n’est pas reconduite.

Le Bluetooth sans WiFi

Les évolutions sont peu nombreuses mais elles ne sont pas négligeables. La première et la plus importante concerne le Bluetooth. Désormais, on peut utiliser directement le Bluetooth sans avoir à installer le WiFi avant. Cela permet d’utiliser immédiatement l’enceinte, même si l’on n’est pas chez soi.

Pour faciliter ce nouvel usage, un bouton dédié à l’appairage Bluetooth fait son apparition à l’arrière. Auparavant, il fallait appuyer longuement sur le bouton de marche/arrêt.

Le second changement est cosmétique. Vous avez toujours le choix entre cinq coloris et cette fois le logo Sonos est de la même couleur que l’enceinte, et non plus blanc. C’est ce qui avait déjà été appliqué aux Sonos Five et Sonos Move 2.

En revanche, la Roam 2 perd la compatibilité avec l’assistant Google de la première Roam. Vous n’avez plus le choix qu’entre Sonos Voice Control et Amazon Alexa.

La Roam 2 utilisant toujours un port USB-C, je regrette qu’il ne soit pas compatible avec l’accessoire USB-C/mini-jack pour ajouter une entrée auxiliaire, comme sur les Era 100, Era 300 et Move 2.

Le prix reste inchangé à 199 €.

Source : Sonos

Fiche technique de la Sonos Roam 2

  • Enceinte connectée portable IP67
  • Haut-parleurs : 1x tweeter, 1x mid-woofer
  • Puissance : non communiquée
  • Connnectivité : WiFi ac, Bluetooth 5.2
  • Protocoles : Sonos, Spotify Connect, Tidal Connect, AirPlay 2
  • Autres : 5 coloris (noir, blanc, bleu, vert, rouge), calibrage audio automatique Trueplay, base de recharge sans fil optionnelle
  • Dimensions (l x h x p) : 168 x 62 x 60 mm
  • Poids : 0,43 kg

Prix : 199 €

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Sonos Roam 2 blanche HD
Sonos Roam 2 bleue HD
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Meridian Ellipse : une enceinte sans fil premium à plus de 2000€

Meridian Ellipse : une enceinte sans fil premium à plus de 2000€

Meridian Ellipse : une enceinte sans fil premium à plus de 2000€

La gamme d’appareils audio connectés Meridian est très resserée. Elle s’ouvre aujourd’hui vers plus de polyvalence avec la première enceinte connectéede la marque. Il y a bien eu l’enceinte F80 par le passé, mais elle ne présentait aucune connectivité réseau. alors que cette Meridian Ellipse fait le plein avec tous les protocoles les plus courants.

Ceci n’est pas juste une autre enceinte connectée

C’est ainsi que Meridian présente l’Ellipse. Elle a été développée sans compromis à partir des mêmes technologies qui se trouvetn dans les enceintes colonnes actives de la marque telles que les DSP8000XE et DSP9. L’Ellipse inaugure à ce propos une nouvelle plateforme R2 développée spécifquement pour elle. Les DSP, c’est-à-dire les traitements audio numériques, chers à Meridian sont ici au nombre de 12. Ils gèrent entre autres choses le grave, le focus, l’adéquation avec la pièce, l’alignement temps/fréquence ou l’élévation de la scène sonore.

Avec 41 cm de large, l’Ellipse est assez imposante. Meridian en a profité pour créer un châssis inerte aux vibrations reposant sur trois pieds. Le fonctionnement en stéréo fait appel à un couple de haut-parleurs large bande de 90 mm entourant une unité de grave de 10×15 cm. La puissance totale est de 80 Watts pour une réponse en fréquence descendant assez bas (40 Hz) pour ce type d’enceinte.

Connectivité universelle

L’app Meridian Connect permet de piloter différents appareils Meridian connectés compatibles. Cependant, elle n’a rien à voir avec une app de pilotage multiroom comme on les connaît. Plutôt que d’intégrer les servcies de streaming, Meridian se repose sur les protocoles les plus courants. Ainsi, l’Ellipse fonctionnera dans un maximum de systèmes : Spotify Connect, Tidal Connect, AirPlay 2, Chromecast, UPnP et Roon.

L’enceinte Ellipse dispose de deux entrées auxiliaires. La première est un mini-jack mixte analogique et optique. Le seconde est un port DAC/USB jouant le rôle d’entrée pour un ordinateur, un baladeur ou un smartphone. Cette enceinte Meridian est donc complète avec des performances qui devraient être au rendez-vous. Reste son prix cohérent avec la marque, moins avec nos porte-monnaies à plus de 2000 €…

Source : Meridian

Fiche technique de la Meridian Ellipse

  • Enceinte connectée
  • Haut-parleurs : 2x large bande 90 mm, 1x woofer 150×100 mm
  • Puissance : 2x25W pour les large bande, 1x30W pour le woofer
  • Connnectivité : 1x entrée analogique/optique mini-jack 3,5 mm, 1x USB-C (DAC), Ethernet, WiFi, Bluetooth
  • Protocoles : Spotify Connect, Tidal Connect, AirPlay 2, Chromecast, UPnP, Roon
  • Autres : télécommande MSR2 en option
  • Dimensions (l x h x p) : 410 x 219 x 163 mm
  • Poids : 3,9 kg

Prix : 2250 €

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meridian ellipse top
meridian ellipse connexions
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AirPlay Cast : le son du vinyle vers n’importe quelle enceinte AirPlay 2

AirPlay Cast : le son du vinyle vers n'importe quelle enceinte AirPlay 2

AirPlay Cast : le son du vinyle vers n'importe quelle enceinte AirPlay 2

Article modifié le 11 juin 2024

AirPlay Cast est le protocole d’Apple permettant de recopier une source vers un récepteur. C’est ainsi que l’on affiche l’image de son smartphone sur un téléviseur compatible AirPlay. On mélange donc souvent AirPlay pour transférer la musique vers une enceinte sans fil avec AirPlay pour la recopie d’écran. Mais bien moins connu, il y a aussi AirPlay Cast pour l’audio !

11/06/24 : WiiM a supprimé la fonction AirPlay Cast de ses appareils actuels et futurs. Sans donner plus d’informations que “pour des questions de compatibilités et des problèmes probables avec des appareils AirPlay à venir” (?). J’imagine que c’est une question de licence ou d’accord avec Apple qui n’a pu être conclu. A moins que cette fonction, que personne d’autre n’utilise, pas même Apple, soit une faille exploitée par WiiM qu’Apple a rapidement détecté. Vous pouvez conserver la fonction AirPlay Cast en en faisant la demande expresse sur la page de support WiiM, après avoir ouvert un ticket indiquant adresse MAC et UUID de votre appareil. Cela sera accordé seulement si vous avez acheté votre produit WiiM compatible avant le 06/06/24.

wiim airplay cast ending

Le concept du restream audio

Le restream consiste à transformer la sortie audio d’un appareil physique (platine vinyle, lecteur CD, sortie d’une table de mixage…) en un flux accessible via le réseau. Le son de la platine vinyle est alors restreamé vers un récepteur compatible : une enceinte connectée, un lecteur audio réseau, une smart TV…

C’est particulièrement utile pour continuer à utiliser des appareils analogiques ou numériques que l’on possède déjà et qui ne sont pas “connectés”.

Le restream propriétaire

La plupart des systèmes audio multiroom possèdent des entrées auxiliaires pour le restream. Il est ainsi possible de récupérer le son de ces sources que l’on qualifier d’anciennes. Mais cela fonctionne uniquement au sein de systèmes propriétaires. Les systèmes BluOS, HEOS, MusicCast, Sonos offrent tous la possibilité d’accéder à des sources reliées sur des entrées destinées au restream.

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Le lecteur réseau Denon HEOS Link HS2 accepte jusqu’à trois sources auxiliaires pour le restream – ©Denon

En revanche, c’est plus compliqué si l’on a mis en place un système multiroom basé sur des standards plus génériques : Alexa MRM, Chromecast et AirPlay 2. En ce qui concerne ce dernier cas, il existe désormais une solution efficace appelée AirPlay Cast.

Le restream avec AirPlay Cast

WiiM est un fabricant de lecteurs audio et d’amplificateurs réseau gavés de fonctionnalités. Ce sont à la fois parmi les plus complets du marché, mais aussi les plus accessibles en termes de tarif. Globalement, WiiM cherche à écraser la concurrence.

Prenons le WiiM Pro, un lecteur réseau compact qui se branche soit à un système audio existant pour lui apporter la musique en streaming, soit directement à un amplificateur et des enceintes. En plus de sa sortie audio, il possède une entrée audio RCA et une entrée audio numérique optique. Ces deux entrées, ainsi que le Bluetooth, peuvent être transmises en restream en multiroom vers d’autres appareils WiiM. Ca, c’est la solution propriétaire.

Il existe sur ce produit une alternative plus universelle avec AirPlay 2. Le WiiM Pro est le premier appareil audio connecté à être équipé de la fonction AirPlay Cast.

Comment ça marche ?

L’app qui pilote le lecteur réseau WiiM Pro donne accès à une multitude de sources audio, y compris les entrées auxiliaires. Une fois la source choisie, l’écran de lecture propose une fonction inédite : le choix de la sortie audio.

Habituellement, la sortie audio est unique, c’est celle du lecteur réseau. C’est le but premier de l’appareil : délivrer le son en lecture sur une sortie reliée au reste du système.

Etape 1 : sélectionner l’entrée audio en tant que source

Depuis l’écran principal, il faut choisir tout en bas de la liste des sources l’entrée ligne, c’est-à-dire l’entre audio RCA analogique. On peut aussi bien sélectionner l’entrée numérique ou le Bluetooth. Depuis l’écran de lecture, on voit que l’entrée ligne est en lecture, que la sortie audio est la sortie ligne classique.

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Etape 2 : changer de sortie audio

J’appuie sur l’indication “Sortie ligne” au bas de l’écran, un menu apparaît me permettant de changer de sortie. Si j’appuie sur récepteur AirPlay, un second menu s’affiche qui me liste tous mes lecteurs AirPlay 2 disponibles. Je sélectionne le bureau, qui est un HomePod mini.

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Etape 3 : la lecture bascule sur le récepteur AirPlay sélectionné

Je reviens à l’écran précédent qui me confirme que le récepteur AirPlay est bien le Bureau. Ici, je peux changer de récepteur et même grouper plusieurs récepteurs. En revenant sur l’écran de lecture, je peux également vérifier que la sortie audio est maintenant un récepteur AirPlay, et non plus la sortie ligne.

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Les limites de AirPlay Cast

Le lecteur réseau WiiM Pro mémorise la dernière sortie sélectionnée. Cela signifie que je n’ai pas à réassocier la sortie à un récepteur AirPlay à chaque fois, c’est automatique et c’est un bon point.

En revanche, AirPlay Cast n’est pas pris en compte par les autres applications. J’ai sélectionné un HomePod mini, mais si je me rends dans le menu AirPlay ou dans l’app Apple Home, ce HomePod mini n’indique pas ce qu’il est en train de lire. Je ne peux donc pas le contrôler par ce biais.

Il en va de même avec un appareil Sonos. Lorsque le WiiM utilise une enceinte Sonos en tant que récepteur AirPlay, cela n’est pas visible dans l’app Sonos. Si je me rends sur l’écran de lecture de cette enceinte, il n’y a rien d’indiqué, comme si elle était en pause ou en veille.

En outre, des HomePod déjà associés à une Apple TV ne seront pas affichés dans la liste des récepteurs AirPlay disponibles.

Ces limites sont peut-être dues à la façon dont fonctionne AirPlay Cast pour l’instant. Ce sont des choses qui peuvent évoluer.

Ajouter une entrée auxiliaire à un système Sonos pour pas cher

Il a souvent été reproché à Sonos le coût de l’ajout d’une entrée auxiliaire, pour connecter une platine vinyle par exemple. Désormais, les enceintes Era 100 et Era 300 peuvent recevoir une entrée mini-jack via un adaptateur en option. Mais il y a encore d’autres modèles sans entrée auxiliaire, comme les barres de son et les enceintes IKEA Symfonisk.

Si l’on veut ajouter une entrée audio à son système Sonos et rien d’autre, il faut investir au minimum dans un Sonos Port qui est un lecteur réseau avec cette fameuse entrée auxiliaire. A 449 €, cela fait cher pour une entrée audio, sachant que les autres fonctions du Sonos Port ne seront pas utilisées.

Justement, le WiiM Pro avec AirPlay Cast permet d’ajouter facilement une source audio à un système Sonos pour un prix plus raisonnable de 179 €. Comment ? Car toutes les enceintes Sonos sont compatibles AirPlay 2 !

AirPlay Cast : un système qui ne demande qu’à se développer

Nous sommes habitués maintenant à utiliser des applications mobiles pour contrôler la musique. Il est normal que nous attendions que tous les appareils et tous les systèmes deviennent interconnectés. AirPlay Cast est un formidable moyen d’y parvenir.

Dans le futur, de nombreux appareils audio pourraient intégrer AirPlay Cast : les lecteurs réseau comme le WiiM Pro, également les platines vinyles (comme la Pro-Ject T2 W), les amplificateurs home cinema, les barres de son, etc.

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Le restream : comment diffuser le son du vinyle vers ses enceintes sans fil ?

Comment écouter un vinyle ou CD en multiroom ?

Comment écouter un vinyle ou CD en multiroom ?

Article modifié le 29 avril 2024

Vous avez installé votre système multiroom, des enceintes sans fil ou bien une centrale filaire. Vous avez accès à la musique dématérialisée, aux services musicaux en streaming et aux webradios du monde entier. Mais vous possédez une collection de disques, en vinyle ou CD, dont vous souhaiteriez également profiter en multiroom. Cet article va vous expliquer comment procéder.

La musique dématérialisée en multiroom

Dans un système multiroom où les sources sont dématérialisées, vous vous connectez soit à Internet, soit à un support de stockage local pour lire votre musique :

  • d’un côté il y a les services musicaux, les radios Internet, les podcasts
  • de l’autre, des fichiers audio enregistrés dans votre ordinateur ou votre serveur personnel de type NAS

Tous les systèmes multiroom connectés, filaires ou sans fil, savent accéder à ces deux types de supports dématérialisés. Il existe certaines limites ou des contraintes selon les fabricants que nous détaillons plus loin.

La plupart des systèmes multiroom savent accéder à Spotify, Deezer ou Tidal. Mais certains n’ont pas accès à d’autres services comme Amazon Music, Apple Music ou Qobuz par exemple. Du côté des fichiers stockés, des systèmes multiroom voient les dossiers partagés (type partage Samba), d’autres voient uniquement les serveurs DLNA.

Streaming et restream des sources physiques : vinyle, CD, K7, table de mixage…

Accéder aux services musicaux ou aux fichiers audio, c’est du streaming. Ou en français de la diffusion. La musique se diffuse à travers le réseau local ou Internet depuis sa source jusqu’aux enceintes.

Vous souhaitez maintenant intégrer une source physique dans cette boucle. Typiquement, ce sera un lecteur CD, une platine vinyle, un lecteur K7, la sortie d’une table de mixage, le son d’un téléviseur

Le son de ces appareils n’est pas diffusé à travers le réseau, il sort via des prises analogiques ou numériques. Dénués de prise réseau, ils n’ont pas cette capacité de “stream”.

Il est donc nécessaire de transformer les sorties filaires de ces sources en stream. Il faut dématérialiser leurs sorties : c’est ce qu’on appelle le re-stream ou restream.

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Les deux entrées auxiliaires analogique (line-in) et numérique (optique) sont accessibles depuis l’app de l’enceinte Elipson W35

Multiroom avec entrées auxiliaires analogiques ou numériques

Il existe des enceintes connectées et des systèmes multiroom équipés d’entrées audio dédiées au restream. Il suffit de brancher n’importe quelle source externe sur l’une de ces entrées pour que le son soit disponible sur tout le système multiroom.

Une fois l’appareil relié à cette entrée, le son est numérisé puis envoyé à travers votre réseau local sous forme d’un flux “restreamé” librement accessible. Vous pouvez alors écouter le CD ou le vinyle dans n’importe quelle zone du système multiroom.

Cette entrée audio est vue comme une source disponible, au même titre que Spotify, les radios web et les dossiers de musique partagés. elle est disponible le splus souvent sous la forme d’une prise mini-jack 3.5 mm. Mais il existe aussi pour le restream des entrées audio RCA et numériques optiques.

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L’entrée auxiliaire au format mini jack 3.5mm sur l’enceinte sans fil Denon Home 250

Quels systèmes sont équipés d’une entrée audio pour le restream ?

On trouve des entrées audio pour le restream chez Sonos, Bluesound, MusicCast, HEOS et bien d’autres. Mais attention : chez ces fabricants, tous les appareils ne sont pas forcément équipés d’une entrée audio. C’est le cas chez Sonos : certains modèles sont pourvus de ce type d’entrée, d’autres nécessitent un adaptateur à acheter en option. En revanche, chez Bluesound, tous les appareils ont toujours une double entrée analogique et numérique pour le restream.

Il faut donc sélectionner son enceinte ou son système en vérifiant bien la présence d’au moins une entrée audio auxiliaire.

En multipliant les enceintes connectées, vous multipliez les entrées audio pour relier plusieurs sources si besoin. Par exemple : la TV sur l’entrée auxiliaire de l’enceinte sans fil du salon, le vinyle sur l’entrée auxiliaire de l’enceinte du bureau. Ces sources sont bien disponibles de façon indépendante sur n’importe quelle enceinte de la maison, pas uniquement sur l’enceinte à laquelle elle est reliée.

Au sein de mon système, j’ai plusieurs appareils Sonos avec entrée audio. J’en utilise deux afin d’avoir accès à des sources audio Chromecast et Alexa MRM. Pour la première, j’ai connecté la sortie audio d’un Google Chromecast Audio (au Sonos Port de la chambre A), pour l’autre j’ai utilisé la sortie audio d’un Amazon Echo Input (connectée au Sonos Port du Bureau).

sonos entree source locale
sonos chromecast alexa MRM

Bluesound et Devialet proposent pour leur part chacun un boîtier dédié tout simplement au restream. Le Bluesound Hub comprend six entrées pour autant de sources différentes à restreamer. Le boîtier Devialet Arch ne peut restreamer qu’une seule source. Mais son entrée est configurable en trois modes à partir des mêmes prises : analogique ligne, analogique phono ou numérique coaxiale.

devialet arch phono vinyle

Les platines vinyle avec restream intégré

Il existe quelques modèles de platines vinyles connectées. En plus de leur sortie audio analogique, la connectivité réseau permet de streamer le son des disques vers un récepteur audio UPnP ou AirPlay 2. La platine Pro-Ject T2 W fait partie de cette offre. Une application mobile liste les points de lecture compatibles trouvés sur le réseau vers lesquels on peut restreamer la musique : lecteur ou amplificateur réseau, enceinte sans fil, smart TV…

pro ject T2 W app 1

Victrola propose trois modèles de platines vinyles connectées avec restream. La Victrola Stream Carbon fut la première avec la compatibilité Works with Sonos. Elle est vue comme une source audio indépendante dans l’app Sonos pour écouter les vinyles sur toutes les enceintes de la marque, dans toutes les pièces de la maison. La Victrola Stream Onyx en est une déclinaison plus abordable tandis que la Victrola Stream Sapphire apporte les compatibilités UPnP et Roon Ready.

Yamaha propose la platine MusicCast VINYL 500. Comme son nom l’indique, elle s’insère uniquement dans l’écosystème multiroom signé Yamaha. Cela permet d’ajouter la lecture des disques vinyles aux enceintes sans fil et amplificateurs de la marque, sans avoir besoin d’une liaison directe.

yamaha musiccast vinyl 500

Comment faire du restream universel ?

Ce que nous venons de voir est parfait si vous avez un système complet monomarque. Mais dans le cas où vous utilisez un standard multiroom plus universel, cela se complique !

Il existe un seul produit ayant pour but de transformer n’importe quelle source audio en un flux de restream compatible AirPlay 2, Chromecast et Alexa MRM. C’est le petit boîtier A2D2 sorti fin 2023 et qui coûte un peu moins de 200 €. Il propose une entrée RCA pour connecter, au choix, une platine vinyle (avec pré-ampli phono), un lecteur CD, un lecteur K7, la sortie d’une table de mixage, etc. Je n’ai pas encore pu le tester à ce jour.

Le fonctionnement est le suivant. Il vous faut l’application mobile A2D2 correspondante. Elle scanne le réseau et trouve toutes les enceintes compatibles. Il suffit de sélectionner vers quelle(s) enceinte(s) on souhaite restreamer le son de la source analogique reliée au boîtier. Et c’est tout !

Je n’ai pas encore pu tester ce produit actuellement en rupture de stock.

Faire du restream vinyle ou autre avec Chromecast

Le protocole Chromecast se trouve sur les enceintes Google et sur celles de nombreux autres fabricants. Seule l’enceinte Google Home Max possède une entrée auxiliaire. Elle est d’ailleurs très recherchée pour cela. Il est possible de restreamer l’entrée mini-jack de la Google Home Max vers d’autres enceintes Chromecast à partir du moment où elles font partie d’un même groupe.

La gestion des enceintes et de leur volume relatif passe par l’app Google Home ou nécessite un écran Google Nest Hub.

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Google Home Max : la seule enceinte Google Nest avec entrée audio – ©Google

Faire du restream vinyle ou autre avec Alexa MRM

Le protocole Alexa MRM se trouve principalement sur les enceintes Amazon Echo et celles de quelques autres marques comme JBL, Marshall, Polk Audio, Sony, etc. Certains appareils Amazon Echo sont équipés d’une entrée auxiliaire, comme l’enceinte Echo Studio avec son Dolby Atmos. La diffusion de l’entrée auxiliaire vers d’autres enceintes Echo ou Alexa MRM fonctionne si elles sont déjà dans un groupe commun en cours d’utilisation.

Cette fonctionnalité est limitée et n’est pas disponible dans tous les pays et pour tous les utilisateurs.

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Le lecteur audio Amazon Echo Link (vendu aux US) propose trois entrées audio pour le restream – ©Amazon

Faire du restream vinyle ou autre en AirPlay 2

Le protocole Apple AirPlay 2 ne propose par défaut aucune possibilité de diffusion d’une entrée audio auxiliaire. Apple n’a pas prévu cette fonction dans ses produits. Pourtant, il existe bien des solutions de restream vers AirPlay 2 !

Le son d’un téléviseur vers AirPlay 2

Certains téléviseurs intègrent le protocole de diffusion audio d’Apple. Le son du téléviseur peut être transmis sans fil vers des enceintes AirPlay 2, que ce soit des modèles Apple ou ceux d’autres marques.

L’astuce consiste à connecter une source audio à ce téléviseur. Cela passera par une entrée audio analogique ou numérique, ou via le Bluetooth. Ensuite, il suffit d’indiquer au téléviseur que sa sortie audio n’est plus ses haut-parleurs intégrés mais un récepteur AirPlay 2.

Le boîtier Apple TV n’a pas d’entrée audio mais c’est aussi une source qui peut streamer sa sortie vers des enceintes en AirPlay 2. Cependant, on retrouve des services identiques à ceux déjà présents sur un iPhone. L’intérêt est donc limité dans le cas qui nous intéresse.

smart tv airplay 2
Certaines marques de Smart TV sont compatibles AirPlay 2 depuis 2018-2019, en récepteur et en émetteur

Les applications mobiles de restream USB vers AirPlay 2

Une autre possibilité passe par l’utilisation d’un smartphone ou d’une tablette Apple. Il existe différentes apps mobiles dont le but est de récupérer le son qui arrive via le port Lightning ou USB-C de l’appareil pour le restreamer ensuite en AirPlay 2.

Un appareil intermédiaire peut-être nécessaire afin de transformer la sortie audio d’une platine vinyle RCA en USB, pour la brancher ensuite à la prise de l’iPhone ou de l’iPad. Là encore, il faut lancer l’app et sélectionner depuis cette dernière sur quel point de lecture AirPlay 2 on veut écouter la platine vinyle. Le Pixel Mag explique comment utiliser AirChord.

Exemples d’applications :

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Un système de restream AirPlay avec AirChord – ©Le Pixel Mag

Les applications pour Raspberry Pi ou PC vers AirPlay 2

Il est possible de réaliser la même chose sur un ordinateur, que ce soit un PC normal ou une mini carte informatique de type Raspberry Pi. Le fonctionnement est un peu plus complexe, avec parfois des lignes de commande à taper. C’est donc une solution à réserver aux plus aguerris qui savent ce qu’ils font. Instructables a publié un tutoriel complet pas à pas pour faire du restream AirPlay avec un Raspberry Pi (en anglais).

La seule limite est l’obligation d’utiliser un ordinateur constamment allumé pour diriger la source vers la ou les enceintes de son choix. Ce qui n’est pas vraiment pratique au quotidien.

Exemples d’applications :

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Le fonctionnement de l’application Soundsync – ©Soundsync

AirPlay Cast : le protocole encore trop peu utilisé

AirPlay Cast est encore trop rare. Quasiment personne ne sait que cela existe. Et pourtant, c’est bien la solution la plus universelle pour transmettre le son de n’importe quelle source vers un lecteur ou une enceinte AirPlay 2.

A ce jour, seul WiiM propose AirPlay Cast au sein de ses lecteurs réseau au tarif très avantageux. On pourrait les acheter uniquement pour cette fonction !

>> Lire notre dossier pour tout savoir sur AirPlay Cast

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La fonction AirPlay Cast dans l’app WiiM – ©WiiM

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Toutes les applications mobiles des enceintes sans fil sont-elles vraiment nulles ?

Toutes les applications mobiles des enceintes sans fil sont nulles

Toutes les applications mobiles des enceintes sans fil sont nulles

Article modifié le 7 mai 2024

A en croire les forums d’utilisateurs, les applications de contrôles des enceintes sans fil sont toutes nulles. Quelle que soit la marque, elles sont inutilisables, buggées, lentes ou mal organisées. Sonos va bientôt présenter une mise à jour majeure de son application mobile : sera-t-elle toujours aussi “nulle” ?

Une question d’adaptation

La conception de l’ergonomie d’une application mobile, comme de toute interface entre l’homme et une machine au sens large du terme, est un travail extrêmement complexe. On ne peut pas se rendre compte à quel point si l’on ne s’intéresse pas au domaine. Du point de vue de l’utilisateur final, ce dernier s’attend dans toutes les situations à une solution parfaite répondant à 100% de ses besoins et de ses intentions.

Sauf que cela ne fonctionne pas ainsi.

J’ai lu différents livres techniques sur le sujet, j’ai créé des interfaces de contrôle pour la domotique et travaillé sur la conception d’applications mobiles. Ma conclusion : c’est un vrai métier. Malgré tout, il n’existe aucune interface parfaite, aucune application de commande parfaite. Sinon, ce serait la même que l’on trouverait partout. Et je parle ici aussi bien des applications mobiles pour les enceintes multiroom que les écrans tactiles dans une voiture moderne ou ceux d’un distributeur de billets. Les concepteurs font des choix qu’ils estiment de leur point de vue de spécialiste répondre aux attentes du plus grand nombre.

C’est là que se pose toute la problématique des interfaces : être comprise par le plus grand nombre.

Les concepteurs auront beau faire tout ce qu’ils peuvent, créer des milliers de prototypes, il y aura toujours des insatisfaits qui pensent que le résultat final est nul. En réalité, il ne répond tout simplement pas à leur schéma de pensée. Celui-ci mélange à la fois une culture, une expérience ou pas, l’appréciation du graphisme, des couleurs, des formes… Autant de critères multiples, différents d’un humain à un autre, qui font qu’aucune interface ne peut vraiment convenir à tout le monde.

livre interface designing interfaces
livre interface ui is communication
livre interface simple and usable

Quelques exemples de livres de référence (en anglais) dédiés à l’ergonomie des interfaces

Une application mobile ratée, vraiment ?

Alors, lorsque l’on lit sur les forums que telle application pour enceintes sans fil est ratée ou incompréhensible, c’est surtout qu’il n’y a pas d’adéquation entre les attentes et la proposition. Mais l’utilisateur n’a pas le choix. Il n’y a qu’une seule interface pour un appareil donné. Soit on s’y habitue, soit on doit aller voir ailleurs et changer de matériel. Aucune alternative n’est possible.

Évidemment, les plus mécontents, ceux qui crient le plus fort et qui sont les plus visibles, pensent toujours détenir la vérité. Comme on dit, quand on est satisfait, on ne va pas le crier sur tous les toits, contrairement à ceux qui ne le sont pas. Ce sont donc ces derniers qui sont vus, ce qui pourrait laisser croire qu’ils représentent la vérité. Alors qu’ils ne sont qu’une minorité à se plaindre contre une immense majorité silencieuse satisfaite de l’interface proposée par le fabricant de son enceinte sans fil multiroom.

A ce propos, d’un point de vue général, lorsqu’un utilisateur découvre sa première enceinte connectée et donc sa première interface sur smartphone, il va automatiquement s’y habituer. C’est son premier contact avec ce type d’interface. Il découvre, il enregistre dans son cerveau que ça marche comme ça et il s’y adapte. C’est ainsi que fonctionnent la plupart des êtres humains. Les autres sont ceux qui ont plus d’expérience, ils comparent et se mettent ainsi à peser le pour et le contre et à se créer des attentes : j’aime bien ceci sur cette interface, cela sur telle autre. Ils imaginent dans leur tête l’interface parfaite en se pensant ergonomes. Cette fameuse interface parfaite qui n’existe toujours pas… Ils sont juste ergonomes pour eux-mêmes.

J’ai un autre exemple qui illustre mon point de vue. Lorsque je créais des interfaces pour des systèmes domotique, j’ai proposé à différents clients une page d’accueil avec un plan de la maison. On pouvait d’un coup d’œil visualiser l’état de la lumière ou la température dans chaque pièce, puis sélectionner celle que l’on souhaitait contrôler. Cette expérience m’a permis de me rendre compte que certains clients appréciaient, et d’autres pas du tout. Ceux qui ne voulaient pas de ce type d’ergonomie avaient un problème tout simple : ils étaient incapables de visualiser rapidement leur maison à travers un plan. Cela leur demandait trop d’effort de mise en situation.

L’évolution des interfaces

Les concepteurs d’interfaces pour applications mobiles prennent en compte de nombreux paramètres lors de la création puis pour toute itération ultérieure. Ils se basent évidemment sur les retours des utilisateurs et sur bien d’autres choses : l’évolution de tous les types d’interfaces en général auxquelles nous sommes confrontés au quotidien, les tendances graphiques, les polices d’écriture, leur taille, leur poids, l’évolution de la taille des écrans des interfaces, etc. Ils doivent aussi prendre en compte les nouvelles fonctions des produits à adapter à l’existant.

Dans le multiroom, on observe que les interfaces des différents fabricants d’enceintes sans fil et de lecteurs réseau se copient souvent les uns les autres. Certains tentent des choses qui sortent de l’ordinaire pour revenir sur des basiques bien implantés. Prenons justement l’exemple de l’application Sonos. Elle a permis d’imposer petit à petit la barre de menu horizontale au bas de l’écran permettant de naviguer entre les fonctions principales : accueil, lecture, recherche, paramètres. D’autres n’avaient pas retenu cette ergonomie et écarté ce menu au bas de l’écran, tels que BluOS et MusicCast. Et puis en 2023, BluOS comme MusicCast ont sorti des mises à jour majeures de leurs interfaces faisant apparaître la barre de menu horizontale !

Et bien en 2024, Sonos abandonne la barre de menu au bas de l’écran. Les premières captures que l’on peut voir de la nouvelle app Sonos illustrent une toute nouvelle proposition. Est-ce pour autant un retour en arrière ? A la place, on trouve une zone dynamique selon l’écran en cours de consultation. Par exemple : la lecture en cours depuis la page d’accueil, le multiroom depuis la page de lecture.

Nouvelle application Sonos 2024
©The Verge

Pour rappel, vous avez ci-dessous à gauche la toute première app Sonos en 2010, sans barre de menu horizontale. A droite, c’est l’app Sonos actuelle avec sa barre de menu, avant la mise à jour à venir.

sonos app 2010
sonos app 2023

Cette nouvelle évolution de l’app Sonos répond à des choix d’ergonomie mûrement réfléchis, après sans doute d’innombrables heures de test. Si Sonos abandonne un élément d’interface qui s’était généralisé, comme la barre de menu en bas, c’est qu’ils pensent que l’on peut faire mieux et différemment. Avec toujours ce même objectif : être compris et assimilable par le plus grand nombre, facilement pour les nouveaux utilisateurs, sans créer de rupture pour les utilisateurs existants. Mais sûrement pas pour répondre aux mécontents notoires des forums.

Je testerai en détail cette nouvelle version majeure de l’app Sonos dès sa sortie pour vous donner mon avis ici même. Elle devrait être disponible le 7 mai prochain.

Source : The Verge

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NuPrime MCX-800MZ : un puissant amplificateur pour 4 zones

NuPrime MCX-800MZ : un puissant amplificateur pour 4 zones

NuPrime MCX-800MZ : un puissant amplificateur pour 4 zones

Article modifié le 4 juin 2024

Tout système multiroom nécessite des amplificateurs pour alimenter les enceintes dans les différentes pièces. Parfois, il faut de la puissance, beaucoup de puissance : pour des enceintes haut de gamme ou des enceintes d’extérieur principalement. NuPrime a la solution avec le MCX-800MZ et ses 8×260 Watts réels.

Plus de 2000 Watts

Dans les demandes d’accompagnement qui me sont envoyées, on me pose régulièrement la question de la puissance des amplificateurs multiroom. Parfois, je conseille de mettre le paquet. Ce n’est pas pour créer une boite de nuit ou sonoriser tout le quartier. C’est avant tout une question de réserve pour des enceintes encastrables haut de gamme utilisant des haut-parleurs de grand diamètre. Il leur faut des vrais Watts pour disposer de la réserve dynamique adaptée à une écoute haute-fidélité.

La solution la plus simple serait d’utiliser des amplificateurs professionnels. On va trouver des modèles avec des milliers de Watts sans problème. Seul problème : ils ne sont pas du tout adaptés à un usage résidentiel, pour des questions de connectivité et de consommation excessive. Mais aussi le plus embêtant : ils sont équipés de ventilateurs extrêmement bruyants. Le NuPrime MCX-800MZ est ses 8x260W tombe à point nommé.

Configurations multiples

Avec ses huit canaux, le MCX-800MZ peut couvrir quatre zones en stéréo. Il possède bien quatre paires d’entrées RCA. Cela permet d’associer une source distincte à chaque sortie stéréo. Mais il est également possible de grouper les zones grâce aux entrées Bus. Elles servent à relier une ou deux sources vers plusieurs sorties. Dans ce cas, une seule source peut alimenter les quatre zones si on le souhaite. On peut donc créer selon ses besoins 1, 2, 3 ou 4 zones séparées.

La forte puissance disponible répond également aux besoins de sonorisation en extérieur. Les enceintes sont en demande dans ce domaine pour une diffusion efficace malgré l’absence de murs : il faut forcément augmenter le niveau. En outre, un raccordement en série de multiples enceintes sera idéal avec tant de Watts disponibles.

Source : Next Audio

Fiche technique du NuPrime MCX-800MZ

  • Amplificateur 8 canaux
  • Puissance : 8x150W sous 8 ohms, 8x260W sous 4 ohms
  • Connectivité : 8x entrées RCA, 2x entrées Bus sur RCA & XLR
  • Configuration : sélection des entrées par switch pour créer 1, 2, 3 ou 4 zones stéréo
  • Contrôle : trigger 12V in/out, bornier mute par paires de canaux
  • Autres : contrôle de gain indépendant par canal, équerres pour rack 19″ fournies
  • Dimensions (l x h x p) : 430 x 330 x 105 mm
  • Poids : 10,5 kg

Prix : 2599 €

nuprime MCX 800MZ connexions
nuprime MCX 800MZ side
nuprime MCX 800MZ schema

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Le lecteur réseau Beoconnect Core modernise les anciennes enceintes Bang & Olufsen

Le lecteur réseau Beosound Core modernise les anciennes enceintes Bang & Olufsen

Le lecteur réseau Beosound Core modernise les anciennes enceintes Bang & Olufsen

Bang & Olufsen présente un nouveau lecteur réseau qui est bien plus que ça. Si l’on reste dans l’univers B&O, ce petit appareil apporte la connectivité moderne à n’importe quelle paire d’enceintes de la marque équipée du port Power Link. Tout cela est rendu possible par la présence de la plateforme Mozart.

La connectivité la plus complète

Le Beoconnect Core fait suite aux Beosound Essence et Beosound Core. Ces deux modèles apportaient déjà la liaison réseau et des entrées auxiliaires. Le Beoconnect Core va encore plus loin, il est encore plus complet.

Ce lecteur réseau se pilote depuis l’application B&O qui contrôle déjà les différentes enceintes connectées de la marque. Il s’inscrit donc parfaitement dans l’écosystème multiroom. Mais il ne possède pas de sortie audio traditionnelle pour s’insérer dans un ensemble HiFi multimarques. Sa seule sortie est un port Power Link stéréo sur prise RJ45.

Les enceintes amplifiées B&O disposent justement d’une entrée Power Link. Le Beoconnect Core se destine donc à elles. Il leur apporte la multi-connectivité pour raccorder une source externe telle qu’une platine vinyle, le son d’un ordinateur via la prise USB-C et, mieux encore, le son d’un téléviseur grâce au HDMI eARC. Différentes configurations sont possibles, de la plus simple à la plus complexe.

Quant à la musique en streaming, B&O est compatible avec Tidal Connect, Spotify Connect et Deezer. Pour les autres services, il suffit de passer via AirPlay 2, Chromecast ou en Bluetooth

Plateforme évolutive Mozart

Afin d’obtenir une cohérence de gamme et de positionnement, le Beoconnect Core intègre la plateforme Mozart. Le principe repose sur l’usage d’un circuit interne facilement interchangeable afin de recevoir les futures technologies sans avoir à jeter l’appareil.

B&O a déjà intégré Mozart dans ses dernières enceintes sans fil telles que la Beosound A5. On ne peut que féliciter B&O de s’être engagé dans cette voie contre l’obsolescence. Il faut juste espérer que les produits seront bien suivis et qu’il n’y aura pas une nouvelle plateforme différente qui rendrait Mozart inutilisable.

Pour revenir au Beoconnect Core, son prix est élevé, en cohérence avec le positionnement global des produits B&O. Il s’adresse uniquement à ceux qui possèdent des enceintes actives B&O non connectées. Et à ce titre, c’est une évolution raisonnable pour leur permettre de poursuivre leur cycle de vie en bénéficiant de tout ce dont on peut avoir besoin aujourd’hui. Le Beoconnect Core est en lui-même un produit anti-obsolescence.

Source : Bang & Olufsen

Fiche technique du B&O Beoconnect Core

  • Lecteur réseau
  • Connexions : 1x entrée mixte ligne & optique, 1x USB-C, 1x HDMI eARC, 1x Ethernet, 1x port COMM pour Beosound Shape, 1x Power Link (stéréo)
  • Connectivité réseau : Tidal Connect, Spotify Connect, Deezer, webradios, AirPlay 2, Chromecast
  • Bluetooth : 5.3 (SBC, AAC)
  • Multiroom : B&O Beolink
  • Autres : compatible avec les télécommandes B&O
  • Dimensions (l x h x p) : 162 x 46 x 122 mm
  • Poids : 0,75 kg
  • Prix : 1099 €
beoconnect core front
beoconnect core connexions
beoconnect core schema
beoconnect core lifestyle

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Le Classé Delta Pre Mk II est le plus cher des lecteurs réseau HEOS

Le Classé Delta Pre MKII est le plus cher des lecteurs réseau HEOS

Le Classé Delta Pre MKII est le plus cher des lecteurs réseau HEOS

Classé Audio est une marque très haut de gamme qui fait partie du même groupe que Denon et Marantz. Pour la première fois, l’un des produits Classé embarque le streaming avec HEOS, c’est le préamplificateur connecté Delta Pre Mk II. Ce qui en fait le plus cher des appareils compatibles HEOS !

Un préamplificateur connecté

Les produits Classé actuels sont destinés à la composition de systèmes haute-fidélité. Il y a quelques années, avant le rachat par le groupe qui comprend également Denon et Marantz, il existait plusieurs gammes et certains produits Classé pouvaient rester “accessibles”. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas avec aucun produit à moins de 12.000 €.

On parle ici de produits pour une cible d’amateurs fortunés. Ils trouveront leur place dans des intérieurs spacieux, accompagnés d’autres éléments électroniques du même acabit. Le tout afin d’alimenter des enceintes tout aussi exclusives. Et pourtant, le Classé Delta Pre Mk II se pilote avec la même application HEOS que l’enceinte WiFi Denon Home 150 à 189 € !

Sachez que ceux qui possèdent déjà un préamplificateur Delta Pre peuvent le faire évoluer en version connectée Mk II via une mise à jour matérielle.

Le multiroom HEOS très haut de gamme

HEOS est le protocole multiroom des appareils Denon/Marantz qui existe depuis plus de dix ans. A l’image de leurs concurrents tels que Sonos, Yamaha, Bose et d’autres, ce protocole est propriétaire. On ne peut constituer un système multiroom HEOS uniquement avec des produits Denon, Marantz ou encore Definitive Technology, une autre marque issue du même groupe.

Les appareils HEOS sont bien entendu les enceintes sans fil Home, mais aussi les barres de son, les amplificateurs home cinema et certains appareils HiFi. Des lecteurs réseau et des amplificateurs stéréo Denon et Marantz embarquent HEOS. Jusqu’ici, le produit le plus haut de gamme avec HEOS était le processeur Home Cinema Marantz AV10 à 7000€.

Avec le Classé Delta Pre Mk II, on passe à un niveau supérieur. Le groupe Masimo qui possède toutes ces marques audio met HEOS à disposition des amateurs de HiFi les plus exigeants. Ils retrouveront dans leur app le contrôle complet du Delta Pre Mk II, la sélection des sources et l’accès aux services de streaming suivants : Spotify, Tidal, Deezer, Amazon Music HD, TuneIn, Napster et Soundcloud.

Seul regret pour un appareil de ce niveau, que Qobuz ne soit toujours pas disponible au sein de l’app HEOS ! On peut toujours passer en AirPlay 2, disponible sur le Delta Pre Mk II, mais ce serait dommage.

Source : Classé

Fiche technique du Classé Delta Pre Mk II

  • Préamplificateur connecté stéréo
  • DAC intégré 384 kHz, DSD256
  • Connexions : 8x entrées numériques (USB-B, AES/EBU, coaxiales, optiques), 5x entrées analogiques (RCA, XLR, phono), USB-A, Ethernet
  • Connectivité réseau : Tidal Connect, Spotify Connect, Deezer, Amazon Music HD, Napster, Soundcloud, webradios, AirPlay 2
  • Multiroom : application HEOS
  • Autres : 5x sorties paramétrables (stéréo, bi-amplification, multi subs)
  • Dimensions (l x h x p) : 444 x 120 x 448 mm
  • Poids : 13,5 kg
  • Prix : 12000 €
classe delta pre mkII HEOS front
classe delta pre mkII HEOS back
classe delta pre mkII HEOS banner

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Le WiiM Amp reçoit un iF Design Award 2024

Le WiiM Amp reçoit un iF Design Award 2024

Le WiiM Amp reçoit un iF Design Award 2024

Le WiiM Amp est un mini amplificateur connecté dont les multiples fonctionnalités embarquées en font un appareil quasiment parfait. Il remplace aisément une chaîne HiFi complète à lui tout seul. En plus de la technique, son design est récompensé par un prix du design.

Un amplificateur connecté ultra complet

Le WiiM Amp est sorti il y a quelques semaines. Depuis, il a beaucoup fait parler de lui. Pourquoi ? Tout d’abord par son prix affiché très accessible dans son domaine au regard de son équipement.

Cet amplificateur tout-en-un sait tout faire, ou presque. Il est connecté pour accéder aux services de streaming : Spotify, Deezer, Tidal, Qobuz, Amazon Music. Il sait parler les protocoles principaux que sont AirPlay 2 Chromecast et Roon. Sans oublier le Bluetooth.

Trois entrées sont disponibles pour relier des sources externes, dont le HDMI ARC. A côté de son amplification de 2×60 Watts sous 8 ohms, une sortie mono est destinée à la connexion d’un caisson de basse. Que demander de mieux ?

Côté ergonomie, c’est l’application mobile Linkplay qui gère tout cela. Ajoutons un bouton de volume en façade toujours pratique pour baisser le son rapidement et une télécommande Bluetooth. Pour ceux qui préfèrent le contrôle vocal, le WiiM Amp se laisse piloter par Amazon Alexa, Google Assistant et Apple Siri.

Pourquoi le WiiM Amp se fait tant remarquer ?

La liste des caractéristiques suffit déjà à créer l’intérêt. Tout cela, avec une puissance suffisante dans un boîtier plutôt compact, on touche beaucoup de monde. Et quand on évoque le tarif auquel est proposé le WiiM Amp, alors là on enterre définitivement la concurrence. A seulement 369 €, il n’y a plus personne.

Comment WiiM arrive à être aussi compétitif ? Tout d’abord parce que les technologies sont éprouvées et déjà commercialisées depuis des années dans d’autres produits de la marque. Et puis parce que c’est la même société qui se trouve derrière Linkplay, l’application de contrôle audio et multiroom utilisée par de nombreux fabricants en marque blanche.

A titre de comparaison, le Sonos Amp est positionné à 799 €, avec pas mal de fonctions en moins. Le Bluesound Powernode Edge à 699 € est un peu plus complet que le Sonos Amp mais toujours pas autant que le WiiM Amp. Peut-être le Yamaha MusicCast WXA-50 à 549 € alors ? Lui aussi ne va pas aussi loin en termes de fonctionnalités.

Il reste l’Elipson Connect 250. Un minuscule amplificateur connecté à 249 €. Il n’a pas de HDMI ARC ni les protocoles audio multiroom. Il délivre 2×30 Watts, ce qui est normal pour un si petit appareil. On a beaucoup moins de choses, mais le tarif est le point fort de l’Elipson. Et puis il fonctionne avec l’application mobile Linkplay, comme le WiiM Amp !

Quand la forme indique la fonction

Enfin, parlons de son design qui lui vaut cette récompense. Le iF Design Award est remis aux produits qui sortent un peu de l’ordinaire. Le WiiM Amp se caractérise par son coloris gris clair ou gris focné au choix, ses arêtes arrondies et sa façade quasiment vide, mis à part le gros bouton de volume avec la touche play en son centre. C’est peut-être bien ce détail qui a fait la différence. Comme si cette unique icône de lecture représentait à elle toute seule l’objet de l’appareil : lire la musique, toute la musique, quel qu’elle soit, d’où qu’elle vienne.

Source : WiiM

Fiche technique du WiiM Amp

  • Amplificateur connecté stéréo
  • Puissance : 2x60W sous 8 ohms
  • Connexions : 1x entrée RCA, 1x entrée numérique optique, 1x HDMI eARC, 1x USB, 1x sortie mono sub, Bluetooth, WiFi, Ethernet
  • Connectivité réseau : Tidal Connect, Spotify Connect, DLNA, webradios, AirPlay 2, Chromecast, Alexa Cast
  • Multiroom : application Linkplay
  • Autres : télécommande Bluetooth, égaliseur 10 bandes graphiques / 4 bandes paramétriques
  • Dimensions (l x h x p) : 190 x 63 x 190 mm
  • Poids : 1,84 kg
  • Prix : 369 €
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wiim amp front HD
wiim amp back HD
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Tout savoir sur Google Chromecast Audio

Tout savoir sur Google Chromecast Audio

Tout savoir sur Google Chromecast Audio

Article modifié le 2 mars 2024

Google propose depuis 2015 la possibilité de transmettre le son à travers le réseau grâce à des streamers. Ce sont les fameux Chromecast. Par extension, c’est devenu le nom du standard de diffusion audio et vidéo sans fil de Google. Le standard Chromecast est désormais largement répandu car utilisé par de nombreux fabricants d’enceintes, de téléviseurs et de matériel audio. Nous nous intéresseons ici uniquement à l’aspect audio du standard Chromecast car il offre des fonctions multiroom.

Qu’est-ce que Chromecast ?

Chromecast est un standard de diffusion audio et vidéo entre un émetteur et un récepteur. Il a pour but de transmettre les contenus à travers le réseau, WiFi ou filaire, sans connexion directe physique. Il est caractérisé par la présence d’une icône Chromecast sur laquelle on appuie pour initier la transmission.

chromecast audio icon
La petite icône Chromecast Audio facilement reconnaissable – ©Google

Le premier appareil Chromecast est sorti en 2013. C’était un mini lecteur multimédia à raccorder à un téléviseur pour lui ajouter les fonctions Google TV et Google Cast. D’un côté, une interface à l’écran donnait accès à différentes applications de streaming vidéo. De l’autre, le Google Cast avait pour but de réceptionner et d’afficher la vidéo provenant d’un ordinateur ou d’un smartphone. C’était un concurrent direct au Miracast poussé par Microsoft dès 2014.

Le Chromecast Audio est un appareil que Google a commercialisé de 2015 à 2019. Ce mini appareil permettait de rendre connecté n’importe quel système audio disposant d’une entrée auxiliaire. Il devenait possible de transmettre de la musique depuis un smartphone vers ses enceintes en toute simplicité.

Comment est né Chromecast ?

En diversifiant ses activités, et avant de fabriquer des produits physiques, Google s’était lancé dans les services. Il y a tout d’abord eu le rachat de YouTube en 2006. Puis en 2010, c’est l’apparition de Google TV, une interface pour téléviseurs capable d’afficher des applications, dont YouTube.

Pour le côté audio, la firme américaine a lancé son service de streaming Google Play Music en 2011 pour concurrencer les pionniers du domaine tels que Spotify et Deezer.

Les appareils Chromecast et Chromecast Audio ont avant tout servi de tremplin aux services de Google : le premier pour afficher Google TV, le second pour écouter Google Play Music. Bien qu’ils permettent de fonctionner avec la plupart des services de streaming concurrents.

Google TV est devenu Android TV en 2014 puis redevenu Google TV en 2020. Quant au service Google Play Music, il a été remplacé par YouTube Music en 2020.

Google Play Music logo hd
Google Play Music remplacé par YouTube Music – ©Google

Quelle est la différence entre Chromecast et Google Cast ?

Chromecast est le nom des lecteurs audio et vidéo connectés de Google. Tandis que Google Cast est le nom exact du protocole permettant la transmission d’une source vers un récepteur. “Cast” signifie diffuser en français. En appuyant sur l’icône correspondante pour initier une transmission, on “cast to”, on “diffuse vers”.

Au départ, Google Cast était la fonction intégrée au navigateur Chrome de Google pour transmettre l’image vers un récepteur Chromecast vidéo. On comprend alors le cheminement Google Cast > Chrome Cast > Chromecast. Lorsque la même chose pour l’audio s’est développée quelques temps plus tard, la technologie s’appelait initialement Google Cast for Speakers.

Afin de bien différencier les produits de la fonction, aujourd’hui les appareils compatibles devraient être Google Cast Ready, un terme qui a existé quelques temps. C’est un abus de langage sûrement volontaire qui a mené à ne conserver finalement qu’un seul terme pour les produits et la technique. Le terme Google Cast subsiste dans certains cas où il est utilisé à bon escient : dans l’app Spotify, pour partager l’écran de son ordinateur avec un téléviseur connecté, etc.

google cast ready logo
Le logo Google Cast Ready a rapidement été remplacé par le logo Chromecast built-in – ©Google

Comment utiliser Chromecast ?

Chromecast Audio fonctionne sur le principe de la transmission directe d’une source vers un récepteur :

  • sources – lecture audio sur un smartphone, tablette, ordinateur…
  • récepteurs – streamer, amplificateur connecté, enceintes connectées, téléviseur…

C’est la source qui initie la liaison. Elle peut être terminée par la source ou par le récepteur.

Depuis un smartphone ou une tablette Android

Les appareils fonctionnant sous Android intègrent directement la transmission Chromecast. Depuis le menu principal accessible en haut de l’écran en permanence, à n’importe quel moment il est possible de transmettre le son en cours de lecture vers un récepteur Chromecast.

Il suffit de sélectionner l’icône Screen Cast ou Screen/Audio Cast selon la version Android. Il est bizarre de passer par le transfert d’un écran vers une enceinte pour la musique, mais le son est correctement transmis. Avantage de cette solution : les boutons physiques de volume du smartphone contrôlent le volume de l’enceinte.

android screen cast
android cast to

Depuis une application de streaming

Que l’on se trouve sur un smartphone Android ou un iPhone, il est possible de transmettre la musique vers un appareil Chromecast depuis les apps de streaming. L’icône permettant de caster vers est soit celle d’une enceinte, soit l’icône Chromecast. On ne peut sélectionner qu’une seule enceinte à la fois.

Vous avez ci-dessous trois exemples depuis les apps Qobuz, Spotify et Soundcloud. L’app Spotify affiche dans la même liste les enceintes qui sont compatibles Spotify Connect.

android qobuz chromecast
android spotify google cast
android soundcloud google cast

Contrôle vocal depuis Google Assistant grâce à l’app Google Home

Tous les appareils Chromecast Audio peuvent être ajoutés à l’application mobile Google Home, sur Android comme sur iPhone. Une fois l’enregistrement d’un appareil Chromecast effectué, il devient possible de le piloter à la voix depuis le smartphone ou une enceinte intelligente équipée de Google Assistant.

Même s’ils se peuvent tous se piloter vocalement, les appareils Chromecast Audio n’ont donc pas besoin d’intégrer un micro eux-mêmes.

google home chromecast zones
google home chromecast lecture
google home chromecast multiroom

Contrôle tactile depuis un écran Google Nest

Google commercialise des assistants vocaux avec écrans tactiles tels que le Nest Hub. Ce type d’appareil sert à superviser les fonctions connectées de sa maison et de les combiner avec d’autres informations importantes telles que son calendrier. Les écrans Google offrent un contrôle direct de la musique en Chromecast.

Lorsque l’on se rend dans l’onglet “Contrôle de la maison”, on trouve le bouton “Enceintes et TV”. En appuyant dessus, on peut voir la liste de tous les lecteurs audio Chromecast, y compris l’écran tactile Nest Hub.

Il n’est pas possible de sélectionner la musique, seulement de reprendre le dernier morceau en cours de lecture. Sinon, il faut utiliser la voix pour demander la lecture d’un morceau précis ou d’une webradio.

Ensuite, l’écran permet de visualiser la musique en cours de lecture, de contrôler le volume, de mettre en pause. Il est également possible de grouper plusieurs enceintes Chromecast ou de transférer la musique vers une autre pièce.

nest hub chromecast audio zones
nest hub chromecast audio multiroom
nest hub chromecast audio lecture

Comment faire du multiroom avec Chromecast ?

Le protocole de diffusion audio de Google intègre la possibilité de contrôler plusieurs récepteurs audio simultanément. Mais cela n’est pas accessible depuis la fonction Chromecast au sein des applications ou depuis le menu Android.

Il faut obligatoirement utiliser l’application Google Home, ou bien un écran Google Nest Hub. Dans les deux cas, la liste des appareils Chromecast apparaît pour :

  • ajouter des enceintes au groupe,
  • basculer la musique d’une enceinte à une autre,
  • contrôler le volume de chaque enceinte du groupe,
  • dégrouper les enceintes.

Cependant, il est possible de créer préalablement des groupes d’enceintes prédéfinis au sein de l’app Google Home. Par exemple, toutes les enceintes des pièces de vie comme le salon, la cuisine et la salle à manger. Ce groupe apparaîtra dans la liste des appareils Chromecast disponibles comme un appareil à part entière.

google home groupe chromecast

Chromecast multiroom multizones le moins cher :

Il est possible de créer un système multiroom Chromecast complet et pratique à utiliser, pas seulement à la voix avec les éléments suivants :

  • un Google Nest Hub (2ème génération) à 99,99 €, pour le contrôle visuel et une zone audio,
  • un ou plusieurs Google Nest Mini à 59,99 € pour les autres pièces.

Il existe un très grand nombre d’appareils audio multi marques compatibles Chromecast pour monter en gamme. Des composants haute-fidélité réputés intègrent Chromecast ! Entre les deux, vous avez le choix entre les amplificateurs home cinema, les enceintes sans fil et toutes sortes de lecteurs audio en réseau.

Quelle est la qualité audio de Chromecast ?

Contrairement à son concurrent AirPlay 2 limité à la qualité CD, le Chromecast Audio est capable de restituer la Hi-Res. Il accepte les fichiers et le streaming jusqu’à 96 kHz et 24 bits. Cependant, cela dépend des capacités maximales de chaque appareil Chromecast qui peuvent être limitées pour certains, par exemple à 48 kHz et 24 bits.

A ce jour, Chromecast transmet uniquement la stéréo. Les contenus en audio immersif de type Dolby Atmos, 360RA ou MPEG-H ne peuvent être transmis via Chromecast Audio.

Quels sont les formats de fichiers audio compatibles Chromecast ?

Le standard de Google supporte les formats de fichiers principaux. Ce sont ceux utilisés par les services de streaming mais également les formats de fichiers locaux que vous pouvez stocker dans un smartphone, un ordinateur ou un NAS.

Les formats de fichiers reconnus

  • FLAC
  • HE-AAC
  • LC-AAC
  • MP3
  • Opus
  • Vorbis
  • WAV (LPCM)
  • WebM

Quels sont les services de musique compatibles Chromecast ?

Lorsque vous vous rendez dans l’application Google Home, vous pouvez associer un service de streaming préféré à votre système. C’est ce service qui sera utilisé lorsque vous demanderez vocalement à Google de jouer un morceau sur l’un des appareils Chromecast.

Cependant, Chromecast est intégré à la quasi-totalité des applications musicales. Dans ce cas, vous ne pouvez pas demander vocalement d’utiliser ce service, il faut préalablement sélectionner la musique dans l’app concernée et la transmettre ensuite vers un appareil compatible Chromecast. Certaines des applications sont compatibles Chromecast sur iOS et Android (Qobuz, Soundcloud), d’autres uniquement depuis un appareil Android (Amazon Music).

Les services musicaux supportés nativement

  • YouTube Music
  • Spotify
  • Apple Music
  • Deezer
  • TuneIn
google chromecast services musique

Quels sont les appareils Google compatibles Chromecast Audio ?

Tous les appareils connectés Google avec Google Assistant sont compatibles Chromecast ainsi que les lecteurs vidéo. Tous les téléviseurs équipés du système d’exploitation Google TV peuvent recevoir la musique via Google Cast.

A ce jour, il n’existe qu’une seule génération du standard Chromecast. Les tout premiers produits sont donc synchronisables avec les plus récents.

Enceintes

  • Google Home
  • Google Nest Mini (2ème génération)
  • Google Home Mini (1ère génération)
  • Google Home Max
  • Google Nest Audio
  • Google Nest Wifi (point d’accès)

Ecrans tactiles

  • Google Nest Hub Max
  • Google Nest Hub
  • Google Nest Hub (2ème génération)
  • Google Pixel Tablet en mode Hub

Lecteur audio

  • Chromecast Audio

Lecteurs vidéo

  • Chromecast avec Google TV (HD)
  • Chromecast avec Google TV (4K)
  • Chromecast (2ème et 3ème générations)
  • Chromecast Ultra
Chromecast built-in

Quels sont les produits compatibles Chromecast des autres fabricants ?

Les appareils compatibles Chromecast sont très nombreux, il serait difficile d’en faire la liste exhaustive ici. Ces appareils sont appelés Chromecast built-in. Ils sont apparus peu après le lancement du lecteur Google Chromecast Audio, au début de l’année 2016.

Voici quelques exemples de produits dans différentes catégories.

Lecteurs réseau

  • Argon Audio
  • Audio Pro
  • Cambridge
  • Elipson
  • Naim
  • Primare
  • WiiM

Enceintes sans fil

  • Audio Pro
  • Bang & Olufsen
  • Elipson
  • JBL
  • KEF
  • McIntosh
  • Naim
  • Sonus faber

Amplificateurs connectés

  • Cambridge
  • Lyngdorf
  • Naim
  • Onkyo
  • Pionner
  • Primare
  • Rotel
  • Sony
  • Technics
  • VSSL
  • WiiM

Exemples d’enceintes, barre de son et streamers compatibles :

Quels sont les concurrents de Chromecast ?

Chromecast fait partie de ces standards de diffusion audio partagés donc multi marques. Il est en concurrence avec les principaux standards dans ce domaine. Notez que Chromecast est compatible avec Roon.

Concurrents multiroom

  • AirPlay 2
  • Amazon MRM
  • Roon
  • DTS Play-Fi

Chromecast en résumé

multiroom minus
google chromecast icon square

  • Compatible iOS & Android

  • Multi marques

  • Multiroom simplifié

  • Peu de services musicaux

  • Audio Hi-Res pas forcément présent

  • Pas de re-stream des sources auxiliaires (TV, CD, vinyle)

Sources :

L’article Tout savoir sur Google Chromecast Audio est apparu en premier sur Multiroom.

Sonos TV : une app de contrôle unifié des services de streaming vidéo

Sonos TV : une app de contrôle unifié des services de streaming vidéo

Sonos TV : une app de contrôle unifié des services de streaming vidéo

Sonos travaillerait sur une app dédiée aux services de streaming vidéo : Netflix, Disney+, AppleTV+, etc. Sonos TV serait à la fois une app sur mobile et une interface à l’écran affichée par son téléviseur. Il existe plusieurs façons de la rendre disponible que nous ne connaissons pas encore. Voici quelques pistes de réflexion.

Sonos parvient plutôt bien à garder secrets ses développements et futurs produits. Il y a parfois des fuites, mais elles n’interviennent qu’au dernier moment. Souvent quelques jours avant la présentation officielle d’une nouveauté.

Les suppositions partent alors dans tous les sens. On a entendu parler par le passé d’un casque Bluetooth Sonos par exemple. Qui n’est toujours pas sorti.

La dernière idée sur laquelle travaillerait Sonos s’appelle Sonos TV. Comme souvent, nous en savons un peu plus grâce aux brevets déposés par Google que les médias américains scrutent avec attention.

Sonos TV ???

Sonos TV est l’équivalent de l’app Sonos actuelle pour la vidéo. Au lieu de naviguer dans les contenus Spotify ou Deezer, l’app Sonos TV propose Netflix, Disney+ et autres.

Une fois son contenu choisi, on l’envoie vers un téléviseur compatible Sonos TV. Les informations que l’on trouve dans les brevets s’arrêtent là. Il faut un peu imaginer comment tout cela pourrait fonctionner dans la réalité.

L’idée est bonne en soi, car Sonos a bâti son succès sur son application et son intégration complète de quasiment tous les services de streaming audio qui peuvent exister. Pourquoi ne pas dupliquer ce succès avec les services de streaming vidéo ?

Si ce produit devait voir le jour, on ne sait pas vraiment si Sonos sortira un lecteur multimédia “Sonos TV” à brancher sur sa TV. Ou bien si c’est seulement une app à télécharger depuis une smart TV.

Dans les deux cas, je ne suis pas certain à ce stade de voir l’intérêt de la solution. Il existe déjà des produits qui font la même chose, le boîtier Apple TV par exemple. Ce dernier sait déjà analyser vos différents abonnements pour effectuer un suivi et faire des recommandations. Si l’app de contrôle est la seule force du produit, ce ne sera pas suffisant.

sonos tv app tv

Une barre de son avec lecteur multimédia intégré

En revanche, les barres de son Sonos Arc et Beam qui se branchent en HDMI ARC à votre TV pourraient elles-mêmes intégrer l’app Sonos TV. Là, c’est déjà beaucoup plus intéressant !

Sans ajouter de boîtier, ni avoir d’app à installer sur sa TV, une barre de son Sonos serait à la fois un lecteur audio et un lecteur vidéo. A ce sujet, j’avais déjà remarqué dans mes différents tests que les barres de son Sonos envoient le logo Sonos vers la TV via la connexion HDMI. Elles savent donc déjà afficher quelque chose.

Alors ce pourrait être de nouvelles versions des barres Arc et Beam qui intégreraient ce lecteur multimédia. Et si les Arc et Beam existantes pouvaient être simplement mises à jour car elles intègrent déjà ce lecteur média en sommeil ? Ne rêvons pas trop non plus.

sonos tv app mobile

Si l’on observe les maquettes de l’app Sonos TV ci-dessus disponibles dans les brevets, on remarque qu’une “Sonos TV” est identifiée par un téléviseur et une barre de son. Sonos TV peut donc être aussi bien : un téléviseur Sonos (pourquoi pas !), une app sur un téléviseur Sonos ou encore une barre de son avec Sonos TV intégré. Les trois fonctionnent, mais jamais sans barre de son. D’où ma théorie de la barre de son embarquant un lecteur multimédia.

A ce jour, la seule barre de son avec lecteur multimédia intégré était la JBL Link Bar que j’ai testée il y a 4 ans. Elle possédait un module Chromecast vidéo. Elle n’a pas eu de descendante et aucun autre fabricant n’a repris le flambeau.

Pilotage via HDMI CEC sans télécommande dédiée

Dans son article dédié à Sonos TV, Digital Trends indique que dans les brevets Sonos, il n’y a pas de télécommande prévue, que tout passe par l’app. Il me semble qu’ils oublient la fonction HDMI CEC liée au HDMI ARC. Si une barre de son Sonos embarque un lecteur multimédia Sonos TV, alors la télécommande du téléviseur pourra le piloter sans problème comme elle pilote déjà la barre !

Mais tout cela n’est que supposition… A suivre !

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Matter Casting : un standard multiroom audio & vidéo universel

Matter Casting : le nouveau standard multiroom universel

Matter Casting : le nouveau standard multiroom universel

Le standard de diffusion audio et vidéo sur réseau domestique Matter Casting est apparu en janvier 2024. Ce standard fait partie du protocole Matter, une solution domotique universelle portée par la plupart des fabricants dans le monde. Matter Casting a pour objectif de remplacer les solutions propriétaires telles que AirPlay d’Apple, Alexa MRM d’Amazon et Chromecast de Google.

Qu’est-ce que Matter ?

Matter est un standard domotique. Porté initialement par Amazon, Apple et Google, il est maintenant suivi par plus de 200 fabricants. En gros, tous ceux qui vendent des appareils connectés ont rejoint Matter : éclairage, chauffage, volets roulants, robots aspirateurs, électroménager, téléviseurs, etc.

Matter a pour but d’être universel afin que les consommateurs n’aient plus à se poser de question sur qui fonctionne avec quoi. Avec Matter, par exemple, n’importe quelle ampoule intelligente puisse être pilotée par n’importe application domotique. Elle peut même être associée à plusieurs hubs domotique concurrents en même temps s’ils sont tous Matter.

C’est évidemment une très bonne chose, qui aura mis du temps à voir le jour depuis le temps qu’existe la domotique.

Pourquoi Matter Casting ?

Amazon a effectué la première démonstration de Matter Casting lors du salon CES 2024 de Las Vegas.

Dans cette vision universelle du monde des objets connectés, il y a une catégorie où la concurrence est rude et bien compartimentée : la diffusion audio et vidéo à travers les réseaux domestiques. Chaque géant de la tech a son propre standard de diffusion :

  • Amazon Alexa MRM – audio
  • Apple AirPlay 2 – audio & vidéo
  • Google Chromecast ou Google Cast – audio & vidéo
  • Microsoft Miracast – vidéo

Évidemment, aucun de ces protocoles n’est compatible avec les autres.

Pourtant, ce sont les mêmes sociétés qui proposent des protocoles de casting propriétaire et qui développent Matter ! C’est en bonne voie pour la domotique, alors pourquoi pas pour les enceintes et les téléviseurs ?

L’objectif est de faire disparaître Alexa MRM, AirPlay, Chromecast et Miracast. Tout comme Matter va supprimer tous les protocoles domotique propriétaires (HomeKit, ZigBee, Z-Wave…). Même si dans un premier temps, cela risque simplement d’ajouter un nouveau protocole.

Prime Video vers Matter Casting

Amazon est le premier promoteur de Matter Casting

Dans un article de décembre 2021, l’équipe de développement de Chris DeCenzo, ingénieur chez Amazon, expliquait déjà travailler sur un Matter de la télévision, une solution de diffusion vidéo universelle et open source. Le protocole a été officialisé en octobre 2023 sur le site de la Connectivity Standards Alliance (CSA). En 2024, Amazon se lance le premier dans Matter Casting,

Le casting vidéo est un domaine avec au moins cinq protocoles propriétaires aujourd’hui. Le résultat est une perte d’opportunité complète pour tout le monde.

Chris DeCenzo, ingénieur en chef au Lab126 d’Amazon

En mettant en œuvre Matter Casting le premier, Amazon cherche à créer une expérience de streaming unifiée sur ses propres appareils et sur des produits tiers. Et au passage, à proposer comme ses concurrents un standard de diffusion vidéo sur le réseau, car le protocole actuel Amazon Alexa MRM ne gère que l’audio. Mais plutôt que de développer un standard propriétaire supplémentaire, Amazon a fait le choix de l’ouverture et de l’open source en s’appuyant sur Matter.

Le Matter Casting permet aux utilisateurs de diffuser sans effort leur contenu préféré sur n’importe quel appareil pris en charge, quelle que soit la marque ou la plateforme. Notre objectif est de créer une expérience de streaming fluide qui met l’utilisateur aux commandes.

Mary Wilson, vice-présidente des services de streaming d’Amazon

Matter Casting, c’est quoi exactement ?

Matter Casting est une norme ouverte permettant principalement la diffusion en streaming de contenus vidéo sur des appareils de manière transparente. Cette technologie est spécifiquement conçue pour résoudre les problèmes de compatibilité existants entre différents appareils de marques distinctes.

Le fonctionnement est identique à celui des protocoles existants. L’utilisateur peut transférer la vidéo d’un smartphone, d’une tablette ou d’un ordinateur vers un téléviseur ou tout autre écran connecté.

Pour cela, il doit trouver la petite icône “Matter Casting” au sein des applications compatibles. Il suffit d’appuyer sur l’icône qui ouvre la liste des appareils détectés pouvant recevoir la vidéo.

Actuellement, l’icône Matter Casting matter casting icon est identique à celle de Chromecast/Google Cast.

Matter Casting app
Matter Casting dans l’app Prime Video – ©The Verge

Intégration : streaming vidéo, domotique, salles de réunion

Matter Casting vise une intégration transparente au sein des services et des plateformes de streaming existants. En plus de sa propre plateforme Prime Video, Amazon a collaboré avec des grands fournisseurs de contenu, tels que Netflix et Hulu, pour assurer un large soutien à Matter Casting.

Matter Casting permet aux propriétaires de diffuser facilement du contenu vidéo depuis leurs smartphones, tablettes ou ordinateurs vers des téléviseurs intelligents, des enceintes et d’autres appareils compatibles. Cela permettrait également un contrôle vocal unifié de tous les appareils compatibles Matter Casting.

Les appareils connectés seraient aussi concernés, comme les interphones vidéo. Par exemple, aujourd’hui seuls certains interphones peuvent afficher leur image via une Apple TV lorsque quelqu’un sonne à la porte. Avec Matter Casting, tous les interphones vidéo compatibles pourraient s’afficher sur n’importe quel récepteur vidéo ou téléviseur équipé également.

De plus, Matter Casting serait connecté à la domotique Matter. Cela signifie qu’un téléviseur compatible serait capable de recevoir et d’afficher des notifications concernant le fonctionnement de la maison.

Les applications potentielles du Matter Casting vont au-delà du divertissement. Matter Casting pourra aussi remplacer Miracast et ses concurrents dans les entreprises et plus particulièrement dans les salles de réunion. Les utilisateurs pourront diffuser facilement des présentations depuis leurs appareils mobiles vers les écrans compatibles.

Cette technologie étant ouverte et sans licence, son objectif est d’être présente partout, sur tous les appareils et au sein de toutes les applications de lecture audio & vidéo.

Matter Casting pour la musique

Matter Casting cherche à régler le problème des protocoles de diffusion vidéo dans un premier temps. Quand on dit vidéo, c’est son et image. Cependant, si ce nouveau standard arrive à s’imposer, rien n’empêchera de l’utiliser ensuite pour la musique uniquement. Cela se fera naturellement, les utilisateurs seront prêts et déjà habitués.

AirPlay 2, Chromecast, mais aussi UPnP ainsi que tous les standards multiroom propriétaires pourraient alors être balayés par Matter Casting.

Appareils compatibles Matter Casting

  • Amazon Echo Show 15 (janvier 2024)
  • Amazon FireHD (courant 2024)
  • Panasonic TV avec FireHD intégré (courant 2024)

Applications compatibles Matter Casting

  • Amazon Prime (janvier 2024)
  • Plex, Pluto TV, Sling TV, STARZ, ZDF (courant 2024)

Compatibilité AirPlay, Chromecast et Miracast

Par défaut, les appareils sous iOS ou Android seront compatibles à travers les applications intégrant Matter Casting. Rien n’empêchera de transmettre depuis l’app YouTube d’un iPhone via Matter Casting vers un récepteur compatible.

A ce jour, Apple, Google ou Microsoft n’ont montré aucun signé d’intérêt pour Matter Casting. Ni pour remplacer leurs propres protocoles, ni pour l’intégrer à leurs équipements. C’est ce qui sera le plus compliqué à faire évoluer. Mais Matter a réussi à le faire pour la domotique, alors pourquoi pas pour le multiroom audio & vidéo ?

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