Les véhicules hybrides et électriques sont devenus un pilier essentiel dans la réduction des émissions polluantes. Cependant, la présence d’un moteur à combustion interne dans de nombreux modèles hybrides nécessite des dispositifs de nettoyage spécifiques, tels que les convertisseurs catalytiques. Ces dispositifs, largement utilisés dans les véhicules à essence traditionnels, doivent être adaptés pour répondre aux besoins uniques des moteurs hybrides. Nous allons explorer ici les récentes innovations dans ce domaine.
Les défis des convertisseurs catalytiques pour les véhicules hybrides
Les véhicules hybrides combinent généralement un moteur à combustion interne et un moteur électrique. Cette combinaison pose des défis uniques aux convertisseurs catalytiques, car les systèmes à combustion fonctionnent de manière intermittente, ce qui peut altérer l’efficacité du convertisseur. En effet, lorsque le moteur à combustion fonctionne à des températures variables, le convertisseur peut ne pas atteindre la température optimale pour traiter efficacement les gaz d’échappement.
Des solutions technologiques ont été mises au point pour pallier ce problème. Les nouveaux convertisseurs catalytiques sont désormais capables de maintenir une performance constante même lorsque le moteur fonctionne par intermittence. Cette innovation permet de garantir une réduction maximale des émissions, indépendamment du mode de fonctionnement du véhicule.
Les améliorations dans les matériaux de fabrication des convertisseurs
Les convertisseurs catalytiques modernes intègrent des matériaux avancés pour améliorer leur efficacité. Les alliages à base de platine, de palladium et de rhodium, bien qu’onéreux, sont essentiels pour accélérer les réactions chimiques qui réduisent les émissions nocives. Les fabricants ont toutefois cherché à optimiser la quantité de ces métaux précieux afin de réduire les coûts sans compromettre la performance.
Les nouvelles technologies incluent également des structures en nid d’abeille plus fines et plus légères qui augmentent la surface de contact entre les gaz d’échappement et les catalyseurs, augmentant ainsi la conversion des polluants en substances moins nocives. Par exemple, sur le convertisseur catalytique de la 308 sur le site AUTODOC, on peut observer l’utilisation de ces matériaux de pointe qui favorisent une réduction des émissions tout en augmentant l’efficacité énergétique du véhicule.
Convertisseurs catalytiques pour véhicules hybrides rechargeables
Les véhicules hybrides rechargeables, capables de fonctionner sur une plus longue distance uniquement avec le moteur électrique, présentent des exigences spécifiques pour les convertisseurs catalytiques. Dans ces véhicules, le moteur à combustion reste inactif pendant de longues périodes, ce qui signifie que le convertisseur doit être capable de « se réveiller » rapidement lorsque le moteur est mis en marche. Les innovations récentes se sont concentrées sur cette capacité à atteindre rapidement la température optimale de fonctionnement.
Des systèmes d’échappement améliorés permettent aux convertisseurs catalytiques de fonctionner efficacement dès que le moteur redémarre, assurant une transition douce entre les modes électrique et thermique. Cela garantit que même en cas d’utilisation intermittente du moteur à combustion, les émissions restent minimisées.
Perspectives d’avenir et technologies émergentes
Alors que les régulations environnementales deviennent de plus en plus strictes, les fabricants de convertisseurs catalytiques innovent en permanence pour rester en conformité avec ces exigences. Selon un rapport publié par le Parlement européen, une réduction de 90 % des émissions de GES provenant des transports est nécessaire d’ici 2050, par rapport aux niveaux de 1990. Cette réalité pousse les constructeurs automobiles à adopter des technologies plus propres et plus efficaces telles que :
L’intégration de capteurs intelligents qui permettent au système d’échappement de s’ajuster en temps réel en fonction des conditions de conduite.
Des convertisseurs catalytiques adaptatifs, capables de modifier leur fonctionnement en fonction des besoins du véhicule et permettent une meilleure gestion des émissions en fonction des cycles de conduite et du type de carburant utilisé.
L’adoption de plus en plus systématique des systèmes « Start-Stop » qui permettent d’arrêter automatiquement le moteur lorsque la voiture est à l’arrêt, même pour de courtes durées.
Les innovations dans le domaine des convertisseurs catalytiques sont essentielles pour garantir l’efficacité des véhicules hybrides et électriques en matière de réduction des émissions polluantes. Grâce à l’utilisation de matériaux avancés, de technologies de gestion thermique et de systèmes d’échappement plus intelligents, ces dispositifs continuent d’évoluer pour répondre aux défis environnementaux actuels et futurs. Ces progrès permettent aux véhicules hybrides de fonctionner de manière plus propre et plus efficace, tout en contribuant à la transition vers des transports plus durables.
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Choisir un VTC électrique bien équipé et à grande autonomie, cela peut faire monter rapidement le coût. La qualité se paie c’est évident, mais de nombreuses marques chinoises tentent de percer sur le marché européen et français avec des prix très concurrentiels.
Le Lankeleisi MX600, c’est ainsi une promesse de vélo électrique trekking à moins de 2 000 euros. Il figure dans un catalogue fourni de fat-bikes, speedbikes et VAE aventuriers, dont le cousin Dukawey Silvertip8 (plus typé fatbike) et le grand frère VTTAE GT800 (tout suspendu).
Son atout phare, c’est une batterie qui flirte avec 1 000 Wh de capacité. Mais est-ce suffisant pour convaincre ? Ce vélo électrique a-t-il d’autres qualités ou paie-t-il son prix bas par des concessions ? Nous avons roulé plusieurs jours avec le Lankeleisi MX600Pro sur divers terrains pour s’en faire une belle idée.
Où acheter le Lankeleisi MX600pro au meilleur prix ?
Énorme autonomie : 90 km en mode maximal, et recharge relativement vite,
Polyvalence : il est fait pour la ville et les sentiers,
Le feu stop : pour avertir les usagers en cas de freinage,
Position confortable : on ne souffre pas du dos après une randonnée,
Le prix bas : moins de 2 000 euros, c’est cadeau !
Les moins
Suspension décevante : la fourche est trop souple, dégradant le confort.
Freins peu mordants : c’est non pour aller au-delà de 25 km/h.
La transmission inadaptée : 7 vitesses, trop peu pour une utilisation randonnée.
Pas de connectivité : un bel écran, mais peu d’infos et un suivi flou de batterie.
Un vélo à immatriculer impérativement pour pouvoir rouler avec.
Selon la loi, le MX600pro dépasse le maximum autorisé (250W) et n’a donc pas le droit d’être utilisé sur la voie public – seulement sur chemin privé. A moins que vous ne le fassiez immatriculé et assuré, comme pour un scooter. Il est important de préciser et de noter que ce vélo est considéré comme un speedbike en France.
Unboxing
Lankeleisi ne fonctionne que par une commande en ligne, alors pas le choix, le vélo électrique apparaît au pas de la porte (ou de l’immeuble) dans un carton. Il faut monter la roue avant, puis redresser la potence, fixer le guidon, l’écran, les leviers de freins, la selle, etc. On doit même démonter puis remonter les garde-boues pour enlever les derniers morceaux de plastique, pour finir par une manivelle et les pédales. Au moins, la marque est généreuse dans la livraison, avec son lot de clés allen et une clé plate pour ne manquer de rien. On y trouve même une pompe et un antivol. Tout le déballage, le montage, et le nettoyage résultant des déchets nous a pris du temps. C’est long pour la mise en marche, sachant que l’on ne peut profiter en sécurité du vélo une fois sur ses roues et fonctionnel. Nous avons eu la mauvaise surprise de freins non rôdés – c’est normal sur un vélo neuf – mais nécessitant au moins 40 à 50 km avant d’atteindre leur mordant. Dans le cas d’un vélotaf de 10 km/jour, il faut compter une petite semaine de roulage avec précaution.
Précision sur les accessoires : vous remarquerez l’absence de sonnette dans le carton. Il n’y en a tout simplement pas, car l’avertisseur est électronique.
Une impression cossue
Lankeleisi présente ce vélo électrique comme “de randonnée” ou “trekking”. Il joue donc la carte de ces engins hésitant entre le VTTAE et le VTC électrique. On remarque l’aspect VTT avec ses pneus larges crantés Maxxis, son large guidon pour le tout-terrain et la présence d’une fourche à 120 mm de débattement. La marque ajoute même un gros logo et des bandes oranges sur notre version (une variante gris uni existe).
Le cadre de type semi-ouvert ou stagger est un bon compromis pour le style, la rigidité, et un enjambement facile. On apprécie la peinture flatteuse, les soudures à l’avant étant invisibles. Ce soin s’estompe à l’arrière, où les soudures sont bien présentes, mais le porte-bagages rattrape le coup avec une belle allure.
Un équipement complet, pas aux exigences européennes
Le Lankeleisi MX600Pro est équipé d’office comme un VTC. Ses garde-boues sont en plastique, long à l’avant pour la protection des pieds, mais trop court à l’arrière, projetant eau et boue sur l’arrière et le dos. La béquille est épaisse, or non ajustable, tandis que le porte-bagages est original.
On apprécie sa largeur pour porter de gros objets – on a testé une table – mais il ne possède aucun standard de fixation type MIK ou QL, ni certification. Le poids maximal supporté par le vélo est de 150 kg, sans compter le poids du vélo lui même d’environ 30 kg. Oui, le VAE est très lourd, à cause de la grande batterie, mais aussi des gros pneus et de l’équipement complet.
Quant à l’éclairage, il est suffisant à l’avant, avec un spectre large et long. Le feu arrière est joli, large, donc particulièrement visible dans la circulation. Il ajoute une fonction stop à la pression des leviers (même lorsque l’éclairage est inactif), parfait !
Un grand écran, certes limité
Lorsque l’on se procure un vélo électrique chinois bon marché, on s’attend à une électronique dépassée. Oui et non répond le Lankeleisi MX600pro, qui porte au centre du guidon un large écran de 5 pouces.
À première vue, on croirait presque à un smartphone, mais l’affichage est toutefois plus suranné, de type LCD à dominante bleue. Au moins, tout est visible en grands caractères, bien pour la lecture facile. En termes de luminosité, c’est perfectible, car en plein soleil, c’est moins évident, surtout si l’on veut rouler avec l’éclairage activé. Avec ce dernier, la luminosité baisse drastiquement, rendant l’écran du MX600pro presque illisible en plein jour.
Une application aux fonction uniques, à peaufiner
Sur cet écran, on consulte la vitesse en proéminence, le mode activé, la jauge de batterie et un petit déroulement d’informations : kilométrage en cours, total et vitesse moyenne. Ces infos se pilotent via la console à gauche du guidon, intuitifs avec ses boutons faciles à utiliser.
On peut aussi creuser un peu pour changer quelques paramètres : unité de vitesse, mode au démarrage, ou encore la définition d’un mot de passe à l’allumage. Autres modifications possibles, celle de la vitesse maximale (jusqu’à 100 km/h en théorie) ou choisir le mode de fonctionnement entre assistance, accélérateur ou les deux.
Enfin, le Lankeleisi MX600pro n’offre aucune connectivité ni appli pour consulter d’autres informations.
Bien pour des randonnées, mais courtes !
Bien qu’aux aspirations d’aventure, le MX600Pro reste un vélo électrique visant le confort sur les randonnées. Pour ce faire, la position de conduite est semi-active, grâce à une selle légèrement plus basse que le guidon. Cette géométrie laisse donc un dos plus droit que d’autres VTC électriques. En tous cas, cela convient tout juste à notre gabarit (1m84) où la selle atteint sa hauteur maximale. Au-delà de 185 cm, on émet ainsi des réserves.
On aurait aimé que Lankeleisi complète cela par des poignées ergonomiques, car ici droite et en mousse. Un matériau assez confortable, toutefois peu adhérent en conduite tout-chemin, et dont on appréhende l’endurance dans le temps (car absorbe la pluie).
Un confort qui mérite des améliorations
En conduite, la suspension avant offre 120 mm de débattement. En théorie, cette fourche maison estampillée “Lankeleisi Factory 34” devrait offrir un amortissement suffisant pour un VTC. Par contre, elle se révèle peu performante, atteignant la butée très tôt, et l’on préfère la bloquer sur certains terrains tant elle sautille.
Le confort du Lankeleisi MX600pro est donc médiocre, surtout à l’arrière renvoyant beaucoup d’à-coups dans la colonne vertébrale. Seuls les pneus jouent un excellent filtre des vibrations et un petit amortissement. Les Maxxis Ardent rassurent avec une belle accroche sur les sentiers, résistent aux petits obstacles du quotidien (trottoirs-pistes, marrons tombés du printemps), et ne bloquent pas au freinage.
On ajoute que la selle est peu adaptée aux longs trajets, trop souple. Elle donne des douleurs passés 10 km, et sa forme penchée vers l’avant a tendance à faire glisser le fessier. Dommage, car on ne profite pas assez de la large assise.
Une application aux fonction uniques, à peaufiner
Nous avons toutefois pris le guidon de ce vélo avec une bride de 25 km/h. Le moteur de 500 W est clairement à la peine en accélération (même sans bride), là où des assistances Bosch et Bafang font bien mieux à 250 W. De plus, il est un peu bruyant façon Bosch CX, et envoie des vibrations dans le pédalier et la selle en vitesse de croisière.
En mode maximal 5, le Lankeleisi MX600Pro peut toutefois grimper des montées soutenues de 20% à 25 km/h sans peiner, grâce au couple de 45 Nm. La montée en vitesse s’accompagne d’une transmission peu adaptée au pedigree, un dérailleur Shimano Altus 7 vitesses. Les passages sont parfois ratées malgré nos réglages, on préfèrerait un Cues 9 ou 10 vitesses concordant aux envies d’escapades.
Au-delà de 25 km/h, la résistance au roulement des gros pneus limite la possibilité de pédaler à 30 km/h. Il faudrait donc débloquer la limite. On déconseille cependant de faire cela au regard des freins Dyisland manquant de mordant, surtout en début de pression des leviers. La distance de freinage est déjà un poil longue à 25 km/h et trop dangereuse à 40 km/h. Ces freins hydrauliques à disques sont cependant progressifs et ne bloquent pas prématurément la roue arrière, c’est réussi sur ce point.
Une belle autonomie !
Dans son épais tube diagonal, le Lankeleisi MX600Pro embarque une très grande batterie. De coutume, la norme des VAE tourne autour de 500 Wh. Ici, on parle d’une capacité de 960 Wh ! Le système fonctionnant en 48 V, cela amenuise toutefois la valeur brute à 20 Ah.
Officiellement, le site indique entre 60 et 150 km d’autonomie, incluant le fonctionnement avec un accélérateur. Nous avons roulé sans cet élément, en conformité avec la législation française, en bridant à 25 km/h. Nos différents trajets ont mêlé principalement de la ville, soit de nombreuses accélérations, ainsi que quelques kilomètres hors bitume. Les températures, idéales autour de 25°C, n’ont en théorie aucun impact.
En mode 5 uniquement, le plus élevé, nous obtenons pile 90 kilomètres, avant que la jauge ne clignote. Le MX600Pro fonctionne encore, mais en mode très dégradé, proche du musculaire. Déjà, après 85 km, on sent une nette perte de puissance, équivalente à un mode 3. La perte devient progressive, et il devient alors compliqué d’atteindre 25 km/h sur plat.
90 km, c’est énorme pour un vélo électrique en mode maxi ! Or avec autant de capacité, on aurait pu attendre mieux. Le moteur peu efficient, le poids élevé et surtout les larges pneus ont probablement une incidence sur ce résultat.
Une charge rapide, mais une batterie très lourde
Amovible, la batterie est à retirer par le bas du cadre après le déverrouillage par clé. Ce n’est pas l’endroit le plus facile, car gêné par la roue avant, et demandant à bien poser les deux mains. La grande capacité induit un poids conséquent, mesuré à 5,2 kg ! Ce pack est associé à un chargeur de 3 A, soit en théorie de 6 à 7 heures de charge. En pratique, nous avons enregistré 7h20 et bonne nouvelle, le chargeur chauffe peu.
Le suivi de charge est possible directement sur les 4 voyants de la batterie. Cependant, ils sont inutiles, car le premier s’allume en quelques minutes, et le quatrième dès la moitié de charge. Impossible donc de viser une charge classique de 80%, il faut plutôt choisir l’option de laisser la batterie sur le vélo. En effet, l’écran et ses 5 voyants est plus fiable.
Faut-il acheter le Lankeleisi MX600pro ?
Dans l’optique de l’achat d’un vélo à assistance électrique conventionnel, nous le déconseillons. Le Lankeleisi MX600pro est bien un speedbike avec un moteur de puissance 500 W (contre 250 W maximum) livré avec un accélérateur (interdit sur un VAE en France).
Ce MX600pro dispose néanmoins de belles qualités, comme un style cossu, un bel écran et d’excellents pneus Maxxis pour la polyvalence. Il intègre aussi une énorme batterie assurant 90 km au minimum par charge. En contrepartie, sa fourche avant est décevante, tout comme la selle, résultant en un confort mitigé. Le Lankeleisi MX600pro pourrait séduire grâce à son meilleur argument qui est sans doute le prix, en prévente à 1 799 € et 1 999 € à terme. C’est très compétitif pour un vélo trekking électrique au vue de l’autonomie. Pour un modèle encore plus pratique, le Lankeleisi X3000max est tout aussi attractif et surtout plus puissant.
Si vous utilisez, comme la plupart d’entre nous, le tiroir de votre four comme espace de rangement, il est possible que vous ratiez une fonction très utile de cet emplacement.
Vous avez sûrement déjà remarqué un tiroir juste sous votre four. Tiroir dans lequel vous placez vos ustensiles de cuisine, vos papiers sulfurisés, votre poêle à crêpes ou vos plats. Pourtant, sur une grande partie des fours, notamment ceux situés sous vos plaques, cet emplacement a une tout autre fonction, méconnue, et pourtant très pratiques quand vous cuisinez.
Pour deviner l’utilité de ce tiroir, il ne faut pas chercher bien loin. Avec la chaleur dégagée par votre four, il semblerait étonnant de transformer l’espace situé en dessous en réfrigérateur. En réalité, il permet de garder vos plats au chaud en attendant de les servir. Votre gratin est prêt à être servi, mais vos invités n’en sont qu’à l’entrée ? Placez-le dans le tiroir pour éviter qu’il refroidisse.
Vous allez me dire : le four peut aussi garder le plat au chaud. Détrompez-vous, laisser dans le four votre gratin prolonge sa cuisson et l’assèche en dégageant une chaleur sèche, qui a tendance à dégrader votre plat. Le tiroir, lui, garde un taux d’humidité et une chaleur idéale pour garder intact votre plat sorti du four. Vous pouvez aussi mettre vos recettes chaudes préparées avec vos plaques de cuisson, à la condition que votre four ait été en marche.
Comment bien utiliser le tiroir chauffant du four ?
Retirer donc tout ce que vous avez entreposé dans votre tiroir pour l’utiliser avec sa vraie fonction. Mais, avant cela, vérifiez bien que ce dernier soit bien compatible avec sa fonction « garder au chaud ». En effet, certains tiroirs sont trop éloignés de la chaleur du four et restent froids. C’est le cas des tiroirs situés sous un four encastré dans une cuisine — repérables par leur couleur différente.
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