Il s’agit peut-être aussi de considérer le nombre d’émojis connus et de s’assurer que les participants à l’enquête ici relatée les connaissaient de faon à peu près égale. On peut envisager que d’aucuns connaissent fort peu d’émoticônes et ainsi les emploient le cas échéant que quand ils sont pertinents au contexte de leurs propos. Perso, je ne connais que :), :=) 🙁 à savoir content, très content, mécontent. Ainsi je les emploie rarement, uniquement à vrai dire pour valoriser un sourire ou affaiblir une mauvaise critique façon “rien de personnel”, voire pour accentuer un mécontentement avec le 🙁
Je ne fréquente pas les réseaux sociaux : y trouve-t-on les émojis à chaque coin de phrase ?
Pour ce qui est du courriel, dans mon vécu ils ne sont pas légion.
In fine, j’ignore le contexte, le protocole de l’étude menée. Les études, on le sait, il y a à en prendre et à en laisser. Faudrait approfondir les motivations de celle qui nous est livrée. Ce que je sais par contre que tout ce qui touche à la psychologie s’inscrit dans un champ aussi vaste que libre permettant aussi bien de la pertinence que du n’importe quoi tant la rigueur n’a jamais été celle des études strictement scientifiques, infiniment plus fiables me semble-t-il. La psycho, c’est vaste, et pour ce qui est de la psychologie tout un chacun peut s’en revendiquer, même à titre professionnel tant aucun diplôme n’est requis contrairement aux professions de psychiatrie et de psychanalyse qui relèvent de la sphère médicale, ainsi de la rigueur scientifique. Un ami me disait que le psychologue est au psychanalyste ce que le kiné est au médecin : le fruit d’études courtes.
Passons.