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Avec à peine 320 joueurs simultanés sur Steam malgré une campagne marketing de plusieurs millions de dollars, ce jeu d’Amazon Games s’impose comme le fiasco vidéoludique le plus retentissant de cette année.
Le président de la République a tenu un discours sur l'anonymat sur Internet beaucoup plus modéré que d'autres positions publiques qu'il a pu tenir. Il s'est montré opposé à l'idée d'une levée immédiate et a priori de l'anonymat en ligne, mais a rappelé qu'il faut malgré tout s'attaquer à certaines dérives qui l'exploitent.
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Peugeot bouleverse discrètement la gamme de ses 208 et 2008 en retirant leur moteur essence le plus accessible. Il ne respecte pas les nouvelles normes européennes.
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Mise à jour : 11 décembre 2025 Nous avons cherché des codes ! Le très attendu jeu de mode Roblox de la YouTuber Lana Rae, StyleVerse, est enfin arrivé, et il est temps pour vous de plonger ! De la sélection de votre style préféré à la mise en valeur de votre créativité dans des […]
Il y a quand même des gens très intelligents qui se penchent sur le sujet et hier, c’est un nouveau standard qui vient de sortir pour dire stop à cette comédie ! Cela s’appelle
Really Simple Licensing (RSL) 1.0
et ça propose quelque chose de radical : Arrêter de bloquer, et commencer à facturer ! Miam !
Concrètement, c’est un petit fichier texte pour passer du fuck-off à la négociation commerciale. Car oui on le sait, le problème avec le robots.txt, c’est que c’est comme demander poliment à des cambrioleurs de ne pas rentrer chez vous. Ça marchait en 1994 quand le web était rempli de gens bien élevés mais en 2025, avec
OpenAI, Anthropic, Meta et compagnie qui aspirent notre contenu
pour alimenter leurs modèles à plusieurs milliards de dollars, la politesse a ses limites. RSL, c’est donc le passage à l’âge adulte du web où si l’une de ces entreprise veut nos données, c’est possible mais va falloir allonger la moula.
Techniquement, RSL se présente comme un complément au Robots Exclusion Protocol (RFC 9309) où en gros, c’est un vocabulaire XML qui permet d’exprimer des règles de licence machine-readable. Le standard définit trois niveaux de permissions : ai-all (tout autoriser), ai-input (indexation uniquement), ai-index (utilisation limitée). Vous pouvez aussi définir une option “Contribution” pour les organisations non-commerciales qui voudraient utiliser votre contenu à des fins de recherche par exemple.
Le truc intelligent, c’est que RSL s’intègre partout où vous avez déjà l’habitude de mettre des métadonnées : robots.txt, headers HTTP, flux RSS, balises HTML. Pas besoin de réinventer la roue donc, mais juste d’ajouter quelques lignes qui disent “Mon contenu coûte X par requête” ou “Contactez-moi pour négocier”. Le standard supporte aussi d’autres protocoles complémentaires comme Open License Protocol (OLP), Crawler Authorization Protocol (CAP) ou Encrypted Media Standard (EMS).
RSL débarque avec les gros calibres derrière comme
Cloudflare et Akamai
, qui gèrent une bonne partie du trafic web mondial.
L’idée initiale
de Matthew Prince de Cloudflare est donc en train de prendre forme tout doucement. Et ils sont rejoints par l’Associated Press et Stack Overflow. Et surtout, il y a
Supertab
, un service de micropaiement qui teste le système depuis deux trimestres avec une douzaine de clients.
Leur modèle, c’est le “tab” à l’américaine. En gros, vous lisez des articles, ça s’accumule sur une ardoise virtuelle, et vous payez seulement quand vous atteignez 1$ ou 5$. Pas besoin comme ça de sortir la carte bleue pour chaque article à 50 centimes derrière l’un de ces paywalls de merde. Et ça semble bien fonctionner puisque le système
a multiplié par trois le nombre de lecteurs payants
, et que
10% de ceux qui ouvrent un “tab” finissent par s’abonner
dans les 3-4 mois.
Supertab applique maintenant le même principe aux bots IA qui “consomment” le contenu. Ça s’accumule sur un compteur, et ils payent après sauf que contrairement aux humains qui peuvent oublier de payer leur note de bar, les robots ont un budget de scraping bien défini
Alors RSL ne va pas sauver le journalisme ni régler magiquement le bordel du droit d’auteur mais au moins, ça permet d’arrêter de faire semblant. Les créateurs de contenu sont devenus des fournisseurs d’API malgré eux, et RSL assume juste le modèle économique sous-jacent.
Plus de 1500 organisations
soutiennent déjà ce standard, mais est-ce qu’OpenAI, Anthropic, Google et les autres vont jouer le jeu ? On verra bien…
Nouvel ajout fort intéressant à la série MAGNUS chez ZOTAC avec le modèle EN275060TC, disponible en barebone et totalement équipé : d'un volume de 2.65 litres, il embarque un processeur Intel Core Ultra 7 255HX et une carte graphique NVIDIA RTX 5060 Ti desktop. Un ensemble homogène taillé pour le jeu, notamment, qui devrait proposer de jolies performances avec une consommation réduite.
D'une épaisseur de 62.2 mm, ce nouveau MAGNUS fait l'impasse sur la fixation VESA en bundle pour aller derrière un écran et s'accompagne d'un wall mount. Pourquoi pas ?
[…]
Google et le CA/Browser Forum viennent d’annoncer la mise à mort de 11 méthodes de validation de domaine pour les certificats HTTPS. Bye bye les emails, les coups de fil, les fax (oui, y’en avait encore qui utilisaient ça) et le courrier postal pour valider les certificats car d’ici mars 2028, tout ça sera du passé.
Car quand vous demandez un certificat SSL/TLS pour votre site, l’autorité de certification doit vérifier que vous êtes bien le proprio du domaine. Historiquement, ça pouvait se faire via un email envoyé à l’adresse WHOIS, un coup de téléphone, ou même un courrier papier mais le problème, c’est que ces méthodes sont faciles à falsifier.
Des chercheurs en sécurité ont montré qu’il était possible de manipuler les données WHOIS ou d’intercepter les communications pour obtenir des certificats frauduleux et quand, malheureusement, un attaquant peut se faire passer pour le propriétaire légitime d’un domaine et obtenir un vrai certificat, ça ouvre la porte à des attaques man-in-the-middle bien méchantes.
Donc le
CA/Browser Forum a voté le ballot SC-090
pour éliminer progressivement ces vieilles méthodes. Juin 2025 a vu la fin de la validation WHOIS par email, mars 2026 découragera l’utilisation des méthodes email en général, et mars 2028 ce sera le grand ménage final.
À la place, il faudra donc passer par des méthodes plus directes tels qu’un enregistrement DNS TXT avec une valeur aléatoire que l’autorité vérifiera, ou un fichier HTTP placé à un endroit précis de votre serveur. Ces méthodes permettent de prouver cryptographiquement que vous contrôlez bien le domaine, sans intermédiaire chelou.
Pour les utilisateurs lambda, ça ne change rien évidemment, vous continuerez à voir le petit cadenas dans votre navigateur. Mais pour les admins système et les responsables de sites, ça veut dire qu’il va falloir automatiser tout ça. Si vous utilisez encore des certificats validés par email, c’est donc le moment de migrer vers des outils comme
ACME
(le protocole derrière Let’s Encrypt).
Ce mouvement s’inscrit également dans une tendance plus large puisque le
ballot SC-070
prévoit aussi de réduire la durée de validité des certificats pour les passer à 10 jours de réutilisation de la validation dès mars 2028, puis des certificats de 47 jours seulement en mars 2029. Donc autant dire que sans automatisation, ça va devenir ingérable.
Google pousse donc clairement l’écosystème vers plus de sécurité, quitte à forcer la main aux retardataires. Moins de maillons dans la chaîne, c’est moins d’opportunités pour les attaquants et je trouve que c’est plutôt une bonne nouvelle.
Amazon vient d’annoncer un truc qui va faire plaisir à tous les lecteurs d’ebooks. A partir du 20 janvier 2026, les auteurs auto-édités pourront proposer leurs ebooks sans DRM en formats EPUB et PDF via la plateforme KDP (Kindle Direct Publishing). Vous pourrez enfin télécharger vos achats dans un format lisible ailleurs que sur Kindle et ça, ça fait plaisir parce que
DeDRM
ça commençait à bien faire ^^.
Toutefois, cette décision d’activer ou non le DRM reste entre les mains des auteurs et vu les réactions sur les forums KDP, beaucoup risquent de garder les verrous en place. Pour les titres déjà publiés, rien ne change automatiquement et les auteurs qui le souhaitent devront se connecter au portail KDP et modifier manuellement les paramètres de chaque livre s’ils veulent proposer les versions sans DRM. Et Amazon dans sa grande bonté, prévient que les modifications prendront jusqu’à 72 heures pour être effectives…
Donc si vous désactivez le DRM sur vos ouvrages, tous les acheteurs vérifiés pourront télécharger les fichiers EPUB et PDF. Et si vous réactivez le DRM plus tard, les nouveaux téléchargements dans ces formats seront bloqués. Rassurez-vous quand à vos royalties, elles restent identiques dans les deux cas.
Ce qui est dingue dans cette histoire, c’est qu’Amazon renforce en parallèle le DRM sur ses liseuses Kindle de 11e et 12e génération. Une mise à jour récente a en effet introduit un nouveau système de protection qui empêche les utilisateurs de sauvegarder leurs ebooks, sauf en jailbreakant l’appareil. Ils ont aussi supprimé la possibilité de télécharger et transférer des livres via USB.
Du coup, d’un côté Amazon ouvre une porte aux formats ouverts pour les auteurs indépendants, et de l’autre ils cadenassent encore plus leur écosystème Kindle pour les éditeurs traditionnels. La grande majorité des livres sur le Kindle Store restera donc protégée par DRM…
Bref, pour les lecteurs qui jonglent entre différentes plateformes (Apple Books, Google Play, Kobo et j’en passe), ça pourrait quand même faciliter les choses puisque vous pourrez importer vos achats KDP sans protection dans la liseuse de votre choix.
Mais encore faut-il que les auteurs jouent le jeu ? On verra bien !
Vous vous souvenez de Revolt ? Cette alternative open source à Discord que je vous avais présentée et qui promettait de vous libérer des griffes des plateformes qui monétisent vos données ? Et bien accrochez-vous, parce que Revolt vient de se prendre un joli coup de bambou juridique. Le projet s’appelle maintenant Stoat, et ce n’est pas un choix marketing savamment orchestré.
Le 1er octobre dernier, l’équipe a reçu
un cease & desist
concernant l’utilisation du nom “Revolt”. Pas de détails sur qui a envoyé la lettre (pour éviter le shitstorm et ne pas plomber les négociations…), mais le message est clair : Changez de nom ou ça va mal se passer ! Et comme personne n’a envie de finir au tribunal pour une histoire de marque déposée, voilà comment Revolt est devenu Stoat du jour au lendemain.
Avant que vous ne paniquiez sachez que vos serveurs sont toujours là. Vos potes vous attendent, vos
memes deep-fried
n’ont pas disparu et la promesse de base reste intacte à savoir, proposer une plateforme de chat où vous êtes le personnage principal, et pas des actionnaires ou des executives en costard qui se demandent comment monétiser votre life.
Le stoat (la belette en français, animal natif d’Eurasie et d’Amérique du Nord), c’est pas juste un nom pris au hasard. C’est un petit animal rapide, malin, étonnamment puissant et impossible à ignorer. Un peu comme le projet lui-même qui est petit par la taille, mais avec des ambitions de géant. L’équipe promet d’ailleurs une mascotte officielle qui arrive bientôt (je vous laisse deviner ce que ce sera…).
Alors qu’est-ce qui change en vrai ? Le nom, le domaine
stoat.chat
au lieu de revolt.chat, le handle (@stoatchat), et les liens d’invitation serveur (stt.gg). Pour le reste, absolument rien n’a bougé. Vos identifiants fonctionnent exactement pareil. Vos communautés sont intactes et même l’équipe de développement est restée la même. Ils ont juste des cartes de visites plus classes ^^.
Le projet
reste open source
, auto-hébergeable et
RGPD-copain
ce qui veut dire que vous pouvez toujours héberger votre propre instance, contrôler vos données, et éviter le tracking invasif. C’est d’ailleurs tout ce qui fait l’intérêt de Stoat par rapport à Discord.
Voilà, si vous utilisiez déjà Revolt, vous n’avez rien à faire. Continuez comme avant, juste avec un nouveau nom à retenir. Et si vous cherchiez une alternative à Discord qui respecte votre vie privée,
Stoat
est toujours là, avec la même philosophie et les mêmes valeurs.
Le télescope spatial James Webb vient de dénicher une nouvelle merveille astronomique, soit une supernova (GRB 250314A) remontant à près de 13 milliards d’années, alors que l’Univers n’était âgé que de 730 millions d’années. Cette prouesse se double de l’identification de la galaxie hôte, ce qui est totalement …