Pour mieux s’y retrouver, la Cour Pénale Internationale demande aux pays en guerre d’étiqueter leurs missiles
À partir du 1er Juillet, chaque pays en guerre devra impérativement se soumettre à une toute nouvelle règle : étiqueter systématiquement chaque bombe ou missile envoyé sur un territoire ennemi sous peine de recevoir une amende salée de 125 dollars. Taille, poids, pays de l’expéditeur, date d’envoi, composition, nutriscore, sans oublier quelques lignes justifiant l’envoi dudit missile et la signature d’une personne majeure. “Cela nous permettra enfin de faire un suivi détaillé de chaque explosion pour savoir quel état a dépassé les bornes” nous confie Ernest Djibal, juge à la CPI, en faisant les gros yeux.
Une mesure stricte mais unanimement acceptée par les pays concernés. “Désormais, grâce à l’adresse de l’expéditeur mentionnée sur chaque missile, nous saurons encore plus facilement à qui les retourner” explique enjoué le cheikh Naïm Qassem, nouveau chef du Hezbollah au Liban. Même son de cloche du côté de la Russie. “Ces directives nous prennent en otage mais bon, il faut se plier aux règles internationales. Voilà pourquoi nous avons décidé qu’il valait mieux en faire trop que pas assez et étiqueter également toutes nos ogives nucléaires, juste au cas où.” explique de son côté Vladimir Poutine, une flûte de champagne à la main, avant d’ajouter “on n’est jamais trop prudent”.
Face à une situation mondiale instable, la CPI a également décidé de jouer la carte de la prudence en annonçant la création prochaine d’un “visa de guerre”, indispensable pour autoriser chaque missile à atterrir sur un sol étranger sans risquer l’expulsion vers son pays d’origine.
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