Mon beau-fils a bafoué la mémoire de mon mari, j’ai dû poser des limites claires

Le deuil n’a pas de date limite. Il s’attarde, il persiste, et parfois, il tourmente. La perte d’un être cher est douloureuse — tu vois peu à peu disparaître ses traces, et il ne te reste que des souvenirs, quelques objets ou des traditions que tu as construites pour tenir bon. Une lectrice de Sympa, Marie, a justement créé une tradition spéciale en l’honneur de son défunt mari, un rituel qui l’aide à avancer. Mais cette année, les choses ont changé.