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Les plus anciens génomes d'humains modernes jamais séquencés - Sciences et Avenir

Une équipe internationale dirigée par des chercheurs de l'Institut Max-Planck d'Anthropologie Évolutive est parvenue à séquencer les plus anciens génomes d’Hommes modernes connus à ce jour. Leur travaux, qui constituent une véritable prouesse technologique, dévoilent de nouvelles et capitales informations sur le parcours des premiers humains modernes en Europe, tout juste sortis d'Afrique, et sur leurs interactions avec Néandertal.
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Ding Junhui — Wikipédia

Ding Junhui se révèle lors de l’Open de Chine 2005, en battant Peter Ebdon, Stuart Bingham, Marco Fu et Ken Doherty, avant de se défaire en finale de Stephen Hendry (9-5). Il récidive quelques semaines plus tard en remportant son second tournoi majeur ; le championnat du Royaume-Uni. En finale, il y bat l'ancien champion du monde Steve Davis.

En 2006, Ding poursuit son ascension et remporte un troisième tournoi de classement en seulement un an ; le trophée d'Irlande du Nord. Pour ce faire, il élimine Ronnie O'Sullivan, au terme d'une finale bien maîtrisée, finale qu'il remporte sur le score de 9 à 67.
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🇫🇷 Camille 🇪🇺 sur  X Blasphème

«Je le répéterai autant que nécessaire :

Les religions sont des systèmes de domination traditionnels, permettant de régir la société et les groupes sociaux (Cf. Max Weber).

Le blasphème est donc une simple création purement religieuse, imposée et défendue par les religions, pour perpétuer un respect minimal à leur égard, par tout un chacun et voulant forcer, de fait, les non-croyants à entrer dans son cadre référentiel, dans son système de pensée et de valeurs, sous la contrainte, la menace, la peur et la violence.

C'est un impérialisme idéologique qui essaie d'obliger le non-croyant, le non-dogmatique, celui qui ne reconnaît pas l'autorité desdites religions, à justement, la reconnaissance d'un système auquel ils n'appartiennent pas, d'un système au sujet duquel ils se fichent totalement.

Pour que l'idée même de blasphème puisse exister et être valable, il faut donc a minima, reconnaître aux religions, (1) un droit au respect, (2) une autorité ontologique, et (3) croire en leur message.

Sans cette reconnaissance préalable l'idée se détruit d'elle-même. Le blasphème ne concerne donc réellement que les croyants eux-mêmes, qui doivent se conformer à leur propres croyances, craintes, peurs, imaginaires, pour être de bons croyants.

Les autres ne sont pas concernés par cette injonction et n'ont absolument rien à respecter dans un système imaginaire qui ne les concernent pas. Le non-croyant se fiche de plaire à vos idoles et se fichent de vos pudeurs.»
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