Réparation machine à laver (MAL) LG
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Vue lecture
Sam Dubberley sur X : "Today @hrw publishes its extensive report into the Oct 7 assault, documenting war crimes and crimes against humanity by Palestinian armed groups. As part of the research we analysed over 280 photos and videos. This explainer describes how we took that on. https://t.co/xXd4y17F3D" / X
7 octobre
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Le temps dira : comment Human Rights Watch identifie le temps en analysant les vidéos
7 octobre 2023
« Je ne peux pas effacer tout le sang de mon esprit : l’assaut des groupes armés palestiniens du 7 octobre sur l’État hébreu ».
https://www.hrw.org/report/2024/07/17/i-cant-erase-all-blood-my-mind/palestinian-armed-groups-october-7-assault-israel
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« Je ne peux pas effacer tout le sang de mon esprit : l’assaut des groupes armés palestiniens du 7 octobre sur l’État hébreu ».
https://www.hrw.org/report/2024/07/17/i-cant-erase-all-blood-my-mind/palestinian-armed-groups-october-7-assault-israel
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Salvator Mundi: le catalogue fantôme édité par le Louvre refait surface sur Leboncoin
C'est rigolo, la personne concernée m'a raconté le raz de marée de demandes. 🤣🤣
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(1) NETTOYEZ Windows 11 en 5 Minutes ! 🚀 (Supprimez les bloatwares, les pub et les mouchards) - YouTube
Découvrez comment nettoyer Windows 11 de tous ses bloatwares et trackers en seulement 5 minutes ! Dans ce tutoriel complet, je vous montre l'outil ultime pour retrouver un Windows propre et performant, sans publicités ni surveillance.
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Emmanuel Ruimy sur X : "« C’est un État qui a pillé nos terres ».
Voilà, les palestiniens sont des racailles, des menteurs, des terroristes et leurs enfants leur succèderont, donc pas de pitié pour les petits bâtards.
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Emmanuel Ruimy sur X : "« C’est un État qui a pillé nos terres ». Tel-Aviv est née en 1909 sur des dunes de sable et des marécages infestés de malaria. Pas sur les ruines d’un village arabe, mais sur une terre vide, stérile et insalubre, que des grands propriétaires absents de Beyrouth ou de Damas https://t.co/z7ZsjczDa1" / X
« « C’est un État qui a pillé nos terres ».
Tel-Aviv est née en 1909 sur des dunes de sable et des marécages infestés de malaria. Pas sur les ruines d’un village arabe, mais sur une terre vide, stérile et insalubre, que des grands propriétaires absents de Beyrouth ou de Damas revendaient à prix fort, tant elle n’avait aucune valeur.
Soixante-six familles juives (photo attachée) réfugiées, y ont planté des eucalyptus pour assécher les marais, construit des hôpitaux pour combattre la malaria, introduit des techniques agricoles modernes. De ce néant surgira bientôt une ville prospère.
Il faut rappeler qu’à cette époque, la « Palestine » n’était pas un État ni une entité politique : ce n’était qu’une province marginale de l’Empire ottoman, administrée depuis Istanbul, sans capitale, sans frontières définies, et sans identité nationale propre. Les Juifs qui y sont venus n’ont donc pas « envahi » un pays, ils ont immigré légalement, souvent en rachetant à prix d’or des terres en friche auprès de grands propriétaires arabes absents, et se sont installés sur la terre de leurs ancêtres.
Les Juifs ne s’installent pas sur une terre étrangère : ils reviennent sur leur terre ancestrale, où des communautés juives n’ont jamais cessé d’exister malgré les exils. Un peuple sans refuge, chassé d’Europe par les pogroms et bientôt du monde arabe par des expulsions massives, n’avait nulle part ailleurs où aller.
Les témoignages du XIXe siècle sont unanimes : Mark Twain, en 1867, décrit la Palestine comme “désolée”, “silencieuse”, “une contrée presque sans habitants”. Le consul britannique James Finn parle d’un territoire “couvert de marécages et de fièvres”. Même les rapports ottomans reconnaissent que “les fièvres emportent quiconque tente d’y vivre”. Loin d’être une terre prospère et peuplée, c’était une contrée délaissée, où la population totale n’atteignait que quelques centaines de milliers d’habitants, mêlant Arabes, Juifs, Druzes, Circassiens et chrétiens.
C’est dans ce pays ravagé par les maladies et la misère que les réfugiés juifs ont bâti écoles, hôpitaux, routes, champs et vergers.
En 1947, l’ONU propose deux États : les Juifs acceptent, les dirigeants arabes refusent et appellent à la guerre. Ils disent aux populations arabes de partir, promettant qu’elles reviendraient une fois les Juifs jetés à la mer. La guerre fut perdue, certains Arabes restèrent, d’autres partirent : ainsi naquit la tragédie.
Rien n’empêche de reconnaître aujourd’hui qu’il y a place pour deux peuples sur cette terre : les Arabes qui y vivent depuis des siècles, et les Juifs qui y sont revenus, chez eux aussi. Mais raconter l’histoire en parlant de “pillage” est une plaisanterie révisionniste.
Les faits sont têtus : il n’y avait ni nation palestinienne, ni État, mais des terres en friche au sein d'un Empire en décadence, rachetées à prix d'or et mises en valeur par des réfugiés persécutés depuis des siècles.»
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Tel-Aviv est née en 1909 sur des dunes de sable et des marécages infestés de malaria. Pas sur les ruines d’un village arabe, mais sur une terre vide, stérile et insalubre, que des grands propriétaires absents de Beyrouth ou de Damas revendaient à prix fort, tant elle n’avait aucune valeur.
Soixante-six familles juives (photo attachée) réfugiées, y ont planté des eucalyptus pour assécher les marais, construit des hôpitaux pour combattre la malaria, introduit des techniques agricoles modernes. De ce néant surgira bientôt une ville prospère.
Il faut rappeler qu’à cette époque, la « Palestine » n’était pas un État ni une entité politique : ce n’était qu’une province marginale de l’Empire ottoman, administrée depuis Istanbul, sans capitale, sans frontières définies, et sans identité nationale propre. Les Juifs qui y sont venus n’ont donc pas « envahi » un pays, ils ont immigré légalement, souvent en rachetant à prix d’or des terres en friche auprès de grands propriétaires arabes absents, et se sont installés sur la terre de leurs ancêtres.
Les Juifs ne s’installent pas sur une terre étrangère : ils reviennent sur leur terre ancestrale, où des communautés juives n’ont jamais cessé d’exister malgré les exils. Un peuple sans refuge, chassé d’Europe par les pogroms et bientôt du monde arabe par des expulsions massives, n’avait nulle part ailleurs où aller.
Les témoignages du XIXe siècle sont unanimes : Mark Twain, en 1867, décrit la Palestine comme “désolée”, “silencieuse”, “une contrée presque sans habitants”. Le consul britannique James Finn parle d’un territoire “couvert de marécages et de fièvres”. Même les rapports ottomans reconnaissent que “les fièvres emportent quiconque tente d’y vivre”. Loin d’être une terre prospère et peuplée, c’était une contrée délaissée, où la population totale n’atteignait que quelques centaines de milliers d’habitants, mêlant Arabes, Juifs, Druzes, Circassiens et chrétiens.
C’est dans ce pays ravagé par les maladies et la misère que les réfugiés juifs ont bâti écoles, hôpitaux, routes, champs et vergers.
En 1947, l’ONU propose deux États : les Juifs acceptent, les dirigeants arabes refusent et appellent à la guerre. Ils disent aux populations arabes de partir, promettant qu’elles reviendraient une fois les Juifs jetés à la mer. La guerre fut perdue, certains Arabes restèrent, d’autres partirent : ainsi naquit la tragédie.
Rien n’empêche de reconnaître aujourd’hui qu’il y a place pour deux peuples sur cette terre : les Arabes qui y vivent depuis des siècles, et les Juifs qui y sont revenus, chez eux aussi. Mais raconter l’histoire en parlant de “pillage” est une plaisanterie révisionniste.
Les faits sont têtus : il n’y avait ni nation palestinienne, ni État, mais des terres en friche au sein d'un Empire en décadence, rachetées à prix d'or et mises en valeur par des réfugiés persécutés depuis des siècles.»
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Liste caracteres speciaux clavier
Raccourcis clavier
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Aston Martin Valhalla : l’hybride ultra haute performance - Hoonited
Au cœur de la Valhalla, un V8 bi-turbo de 4 litres conçu par AMG délivre une puissance de 750 chevaux. Ce bloc thermique est épaulé par deux moteurs électriques, positionnés sur les essieux avant et arrière, portant la puissance combinée à 950 chevaux. Cette configuration permet à la Valhalla d’abattre le 0 à 100 km/h en seulement 2,5 secondes, pour une vitesse de pointe de 330 km/h.
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Rainbow - Mistreated (Live in Munich 1977) HD - YouTube
Mistreated par Rainbow.
Dio est génial et n'a pas besoin d'autotune comme les petits fragiles du rap.
Blackmore est monstrueux.
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Dio est génial et n'a pas besoin d'autotune comme les petits fragiles du rap.
Blackmore est monstrueux.
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Un vigile en magasin peut-il vous demander votre carte d’identité ?
Un vigile en magasin peut-il vous demander votre carte d’identité ? Non, vous pouvez refuser ! ✅
📜 L’article 78-2 du Code de procédure pénale précise que seuls les policiers et gendarmes peuvent exiger une pièce d’identité. Un agent de sécurité ne peut pas vous y contraindre, sauf pour appeler la police en cas de flagrant délit.
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📜 L’article 78-2 du Code de procédure pénale précise que seuls les policiers et gendarmes peuvent exiger une pièce d’identité. Un agent de sécurité ne peut pas vous y contraindre, sauf pour appeler la police en cas de flagrant délit.
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Tout savoir sur l’empreinte eau de nos vêtements | Particuliers | Agir pour la transition écologique | ADEME
À l'ADEME ce sont des crasseux.
Sans surprise, il est conseillé de porter ses sous-vêtements un seul jour avant de les laver. À l’inverse, l’Ademe recommande de porter un jean entre… 15 et 30 fois avant de le laver !
Les sous-vêtements : 1 fois
Un soutien-gorge : 7 fois
Un pyjama : 1 semaine
Un vêtement de sport : 1 à 3 fois, selon le degré de transpiration
Un top en coton : 4 à 5 fois
Un pull en laine : 10 à 15 fois
Une robe : 4 à 6 fois
Un jean : entre 15 et… 30 fois !
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Sans surprise, il est conseillé de porter ses sous-vêtements un seul jour avant de les laver. À l’inverse, l’Ademe recommande de porter un jean entre… 15 et 30 fois avant de le laver !
Les sous-vêtements : 1 fois
Un soutien-gorge : 7 fois
Un pyjama : 1 semaine
Un vêtement de sport : 1 à 3 fois, selon le degré de transpiration
Un top en coton : 4 à 5 fois
Un pull en laine : 10 à 15 fois
Une robe : 4 à 6 fois
Un jean : entre 15 et… 30 fois !
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Cet été, photographiez le ciel et la Voie lactée avec votre smartphone (c'est facile) - Les Numériques
Sans le savoir, vous avez peut-être dans la poche de quoi photographier le ciel étoilé. Les progrès récents des smartphones donnent accès à la Voie lactée, malgré la miniaturisation de leurs modules photo.
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