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El Salvador: Request for Extended Arrangement Under the Extended Fund Facility-Press Release; Staff Report; and Statement by the Executive Director for El Salvador

Publication du FMI de mars 2025 suite à des négociation avec le Salvador terminée le 14 décembre 2024.

Dans le cadre de l'Extended Fund Facility (EFF). Ce programme de 40 mois permettrait au Salvador d'emprunter 1,4 milliard de dollars auprès du FMI, ainsi que 2,1 milliards de dollars supplémentaires provenant de la Banque mondiale et d’autres institutions régionales.

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Le Salvador s'est bien remis de la pandémie, soutenu par des envois de fonds importants et un tourisme dynamique, dans un contexte de nette amélioration de la situation sécuritaire du pays.

L'inflation a baissé et les déséquilibres extérieurs se sont réduits plus récemment, ce qui va de pair avec une amélioration progressive des finances publiques et des termes de l'échange favorables.

Dans ce contexte, les écarts de taux souverains ont fortement diminué, les récentes opérations de rachat de la dette contribuant à atténuer les besoins de financement extérieur à court terme.

Malgré les progrès récents, les déséquilibres macroéconomiques du Salvador restent importants, en raison de déficits budgétaires et d'une dette élevés, ainsi que de faibles marges de manœuvre externes et financières, dans le contexte de la dollarisation.

Parallèlement, la productivité sous-jacente reste faible, reflétant en partie les lacunes persistantes en matière sociale et d'infrastructures, ainsi que l'héritage d'une gouvernance et d'une transparence insuffisantes, qui ont découragé l'investissement.

L'administration Bukele a l'intention d'axer son deuxième mandat sur la résolution des problèmes macroéconomiques et structurels en suspens et sur la relance de la croissance économique, dans le cadre d'un programme soutenu par le FMI.

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En ce qui concerne ce dernier point, les réformes juridiques rendront l'acceptation de Bitcoin par le secteur privé volontaire.

  • L'acceptation de Bitcoin par le secteur privé, les impôts ne seront payés qu'en dollars américains.
  • les achats de Bitcoin par le gouvernement seront interdits pendant la durée du programme.
  • la participation du public au porte-monnaie électronique cryptographique (Chivo) sera progressivement supprimée.

https://doi.org/10.5089/9798229003483.002


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GitHub - christophengelmayer/websiteToWord: Script to convert a website to a single word document

Il s'agit d'un ensemble d'outils et de scripts conçus pour simplifier le processus de conversion des pages web en un seul document Microsoft Word. Cet utilitaire est particulièrement utile pour l'archivage, l'analyse de contenu ou la lecture hors ligne. Le processus consiste à générer un plan du site, à extraire le contenu, à le convertir au format Markdown, puis à transformer le fichier Markdown en un document Word avec des ressources optionnelles intégrées.


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Web Page To WORD - Convert Web To WORD

Enregistrer n'importe quelle page web en tant que document Word

Capturez rapidement du contenu web pour l'extraction de données, l'analyse et l'établissement de rapports. Convertissez n'importe quelle page web en un document Word facilement accessible et modifiable à l'aide de Web to Word Converter. Vous pouvez activer l'option OCR pour reconnaître et extraire le texte des images contenues dans une page web. Cette option peut s'avérer utile lorsqu'il s'agit d'infographies ou de documents numérisés.
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L’Empire mérovingien. Ve-VIIIe siècle - Bruno Dumézil - YouTube

Les Mérovingiens : Une Dynastie Réhabilitée

La conférence de Bruno Dumézil à l'Agora des savoirs offre une relecture fascinante de l’histoire des Mérovingiens, une dynastie souvent reléguée à des clichés simplistes et à une réputation injustement ternie. Professeur d’histoire médiévale à Sorbonne Université, Dumézil nous invite à dépasser les images d’Épinal pour redécouvrir la richesse et la complexité de cette période méconnue.

Une dynastie méprisée par l’historiographie

Les Mérovingiens (451-751) ont longtemps souffert d’une mauvaise image, forgée notamment par les historiens du XIXe siècle comme Augustin Thierry et Jules Michelet. Ces derniers décrivaient cette époque comme une période de barbarie et de désordre, marquée par l’absence d’État et par des successions violentes. Cette vision était renforcée par des récits mythifiés tels que le vase de Soissons ou le baptême de Clovis, dont les bases historiques sont souvent fragiles. La Troisième République, en particulier, voyait dans les Mérovingiens une illustration des dangers d’un pouvoir partagé entre clans ou dominé par des femmes et des évêques.

Cependant, Dumézil souligne que ces jugements sont largement biaisés. Ils reflètent davantage les préoccupations idéologiques du XIXe siècle que la réalité historique. Par exemple, l’idée que les Mérovingiens ignoraient la notion d’État repose sur une conception anachronique de la souveraineté. En réalité, leur système politique reposait sur un équilibre subtil entre consensus aristocratique et pragmatisme.

Un monde post-romain en mutation

Pour comprendre les Mérovingiens, il faut replacer leur émergence dans le contexte du déclin de l’Empire romain. À partir du IIIe siècle, des confédérations tribales comme les Francs commencent à se former sur les marges de l’Empire. Ces groupes ne constituent pas des peuples homogènes mais plutôt des alliances fluides entre tribus. Les Francs, par exemple, incluaient aussi bien des guerriers fédérés travaillant pour Rome que des pillards ou des généraux romains d’origine barbare.

Les ancêtres des Mérovingiens apparaissent dans ce contexte hybride où les frontières entre Romains et « barbares » sont floues. Certains Francs deviennent même empereurs romains, comme Magnence au IVe siècle. Cette interaction complexe entre romanité et germanité explique pourquoi les premiers rois mérovingiens sont difficiles à cerner historiquement.

Une réussite politique durable

Contrairement aux idées reçues, les Mérovingiens ne furent pas seulement des chefs de clans violents. Ils réussirent à établir un royaume durable, le regnum Francorum, qui s’étendit sur trois siècles. Cette longévité contraste avec l’effondrement rapide d’autres royaumes barbares comme celui des Wisigoths ou des Vandales.

Leur succès repose sur plusieurs facteurs :

  • L’art du consensus : Les rois mérovingiens excellaient dans la gestion des rivalités aristocratiques en s’appuyant sur un réseau complexe d’alliances.
  • Le rôle des femmes : Les reines et régentes jouèrent un rôle central dans la continuité dynastique, cumulant au total plusieurs décennies de pouvoir effectif.
  • Une intégration progressive : Les Mérovingiens adoptèrent progressivement certaines pratiques romaines tout en conservant une identité propre.

Un héritage mal compris

L’héritage mérovingien a souvent été éclipsé par la gloire des Carolingiens qui leur succédèrent en 751. Pourtant, Dumézil insiste sur le fait que les Mérovingiens posèrent les bases de nombreuses institutions médiévales. Leur capacité à maintenir un équilibre entre traditions germaniques et influences romaines fut essentielle pour la construction politique de l’Europe occidentale.

En conclusion, Bruno Dumézil nous invite à réviser notre perception des Mérovingiens. Loin d’être une période sombre et chaotique, leur règne témoigne d’une remarquable capacité d’adaptation et d’innovation dans un monde en pleine transformation. Cette redécouverte historique nous rappelle que même les périodes mal aimées méritent une attention renouvelée pour éclairer notre compréhension du passé.


Encadré : La décentralisation mérovingienne, entre pragmatisme fiscal et contrôle territorial

Un système monétaire et fiscal adapté aux réalités locales

Les Mérovingiens ont développé un modèle administratif original, fondé sur une décentralisation radicale de la frappe monétaire et de la collecte des impôts. Contrairement à l’Empire romain centralisé, le regnum Francorum privilégiait une logique de proximité :

  • Monnaie frappée localement : Plus de 3 000 ateliers monétaires étaient disséminés sur le territoire, souvent situés aux mêmes endroits que les points de perception fiscale.
  • Impôts circulaires : La monnaie, bien que de qualité esthétique médiocre, servait principalement à acquitter les taxes locales, puis était réinjectée dans le circuit royal après remontée vers le centre.
  • Coût réduit : Ce système évitait les transports risqués de métaux précieux et limitait les intermédiaires, optimisant ainsi les recettes sans nécessiter un appareil d’État lourd.

Une périphérie flexible

Le royaume présentait une gradation du pouvoir selon la distance au cœur franc :

  1. Zone centrale : Administrée directement par des comtes, avec une fiscalité régulière.
  2. Marches ducales : Régions comme la Bavière ou la Bretagne, confiées à des ducs capables d’agir avec autonomie en cas de crise. En cas d’échec, ces territoires étaient diplomatiquement « exclus » du regnum pour préserver la stabilité centrale.
  3. Zones de prédation : Au-delà des frontières stables (comme la Bohême), les expéditions militaires fournissaient esclaves et butin, alimentant un commerce lucratif avec le monde méditerranéen. L’étymologie même du mot « esclave » (issu de « Slave ») témoigne de cette pratique.

Un équilibre entre contrôle et délégation

Cette organisation révèle une vision pragmatique du pouvoir :

  • Le roi se contentait de superviser les flux financiers sans intervenir dans la gestion quotidienne.
  • La laideur des pièces – souvent critiquée – importait moins que leur fonctionnalité dans ce système circulaire.
  • Les ducs périphériques maintenaient l’ordre local tout offrant au pouvoir central une capacité de déni en cas de révolte ou d’invasion.

En résumé, les Mérovingiens ont su transformer une apparente faiblesse (absence de centralisation romaine) en atout, créant un réseau fiscal et monétaire résilient qui s’adaptait aux réalités géopolitiques complexes du haut Moyen Âge.


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Can bitcoin mining empower energy transition and fuel sustainable development goals in the US? - ScienceDirect

La transition vers les énergies renouvelables aux États-Unis, vitale pour les objectifs de développement durable (ODD) 7 et 13, se heurte à des obstacles économiques, ce qui laisse un vide de connaissances concernant les solutions innovantes potentielles pour accélérer ce changement.

Simultanément, la nature énergivore des applications de la blockchain, comme le minage de bitcoins, suscite des inquiétudes sur le plan climatique. Ce travail aborde la question de recherche jusqu'ici sans réponse de savoir si le minage de bitcoins peut être utilisé stratégiquement pour exploiter le surplus d'énergie renouvelable des installations d'énergie propre à venir, comblant ainsi le fossé entre la viabilité économique et les objectifs de développement durable (ODD).

Plus précisément, nous menons une analyse complète, comparant les rendements économiques de l'extraction de bitcoins avec trois systèmes alternatifs de stockage d'énergie à base de produits chimiques, notamment l'hydrogène, l'ammoniac et le méthanol, tous alimentés par des sources renouvelables planifiées.

Des programmes linéaires mixtes ont été formulés pour déterminer les bénéfices maximaux qui peuvent être obtenus sur la base de l'utilisation de l'énergie provenant d'installations renouvelables planifiées utilisant des alternatives variées.

Les résultats suggèrent que le minage de bitcoins est rentable dans 80 des 83 installations planifiées examinées, générant un profit maximal de 7,68 millions de dollars et exploitant 62 % de l'énergie renouvelable disponible.

Par conséquent, l'intégration du minage de bitcoins dans des installations renouvelables planifiées offre une double solution pour stimuler les investissements dans le secteur des énergies renouvelables tout en répondant aux préoccupations climatiques associées aux opérations minières conventionnelles.


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EP35: Bitcoin, une solution écologique insoupçonnée ? - YouTube

9 déc. 2024
Bitcoin est considéré comme un désastre écologique. D'autres acteurs défendent l'inverse. Ce qui est sur c'est que les choses bougent fortement dans ce monde des cryptos. Qu'est ce que finalement le bitcoin nous raconte sur l'électricité ? Il est tant de faire un bilan.

0:00 Introduction
1:29 Consommation électrique
3:10 Bitcoin inarrêtable
3:58 Utilité du bitcoin
8:52 Bitcoin et méthane
12:34 Stabilité du réseau
15:11 Positif pour le climat ?
17:09 Mineurs, héros du climat ?
18:16 Gestion du surplus d'électricité
22:18 Conclusion

Article généré par Perplexity sur la base de cette vidéo.

Bitcoin et écologie : une relation complexe et controversée

Le Bitcoin, souvent critiqué pour sa consommation énergétique élevée, pourrait paradoxalement jouer un rôle positif dans la transition écologique. Cette analyse explore les implications économiques et environnementales du Bitcoin, en mettant en lumière ses opportunités et ses limites.

Réduction des émissions de méthane grâce au minage

Le Bitcoin offre une solution innovante pour réduire les émissions de méthane, un gaz à effet de serre particulièrement nocif. Dans l'industrie pétrolière, le méthane est souvent libéré dans l'atmosphère ou brûlé (torchage), une pratique imparfaite et polluante. L'utilisation de ce méthane pour produire de l'électricité, ensuite employée pour miner du Bitcoin, permet non seulement de limiter les émissions mais aussi de générer des revenus là où le torchage représentait un coût[1].

Des projets pilotes menés par des entreprises comme ExxonMobil et ConocoPhillips montrent que cette approche pourrait réduire les émissions de méthane liées à l'extraction pétrolière de 63 %[1]. En outre, cette méthode s’étend à d’autres sources de méthane, comme les décharges ou les élevages bovins. Le Bitcoin crée ainsi une incitation économique à valoriser ces gaz plutôt que de les rejeter dans l’atmosphère.

Stabilisation des réseaux électriques intermittents

L’essor des énergies renouvelables, telles que le solaire et l’éolien, pose des défis majeurs pour la stabilité des réseaux électriques. Ces sources intermittentes produisent parfois plus d’électricité que nécessaire, entraînant des surcharges et des prix négatifs. En Australie, par exemple, les gestionnaires ont dû déconnecter temporairement certaines installations solaires pour éviter un effondrement du réseau[1].

Les fermes de minage Bitcoin, très consommatrices d’électricité, offrent une solution en absorbant ces surplus d’énergie à bas coût. Ce modèle "gagnant-gagnant" permet aux producteurs d’électricité renouvelable de vendre leur excédent tout en stabilisant le réseau[1]. De plus, la modularité et la mobilité des infrastructures de minage rendent cette solution particulièrement adaptée aux zones isolées ou mal desservies.

Un mix énergétique en évolution

Bien que le minage du Bitcoin reste encore majoritairement carboné, environ 56 % de son activité mondiale repose sur un mix électrique bas carbone selon certaines estimations[1]. Ce chiffre est toutefois sujet à débat en raison du lobbying exercé par l’industrie des cryptomonnaies. À mesure que les énergies renouvelables se développent, cette proportion pourrait augmenter.

Cependant, la dépendance du Bitcoin à l’électricité bon marché soulève des préoccupations. Les mineurs privilégient les sources peu coûteuses sans considération écologique. Par exemple, au Texas, ils continuent à miner même lorsque l’énergie est fortement carbonée, sauf si des incitations financières les poussent à arrêter[1]. Cela souligne la nécessité de maintenir les énergies bas carbone compétitives pour éviter un recours accru aux combustibles fossiles.

Alternatives au minage Bitcoin pour gérer les surplus

Si le Bitcoin apporte une solution immédiate aux surplus d’électricité renouvelable, d’autres usages pourraient être envisagés à long terme. Parmi eux :

  • La production d’hydrogène vert à partir des excédents énergétiques.
  • La recharge massive de véhicules électriques.
  • L’entraînement d’intelligences artificielles gourmandes en énergie lors des périodes de surplus[1].

Ces alternatives nécessitent cependant des infrastructures plus complexes ou une évolution technologique qui n’est pas encore pleinement opérationnelle à grande échelle.

Un débat énergétique et économique

Le Bitcoin pourrait également contribuer à résoudre certains cercles vicieux économiques dans les régions sous-développées. Par exemple, dans la République démocratique du Congo, un barrage hydroélectrique inutilisé faute de réseau électrique local trouve une utilité grâce au minage Bitcoin. Cela permet non seulement de valoriser l’énergie produite mais aussi d’encourager le développement d’infrastructures électriques[1].

Enfin, certains défenseurs du Bitcoin avancent un argument philosophique : en limitant la création monétaire illimitée propre aux monnaies fiduciaires, le Bitcoin pourrait freiner la surconsommation systémique et encourager une économie plus durable[1]. Cet aspect reste toutefois très spéculatif et dépendant du contexte macroéconomique global.

Conclusion : opportunités et limites du Bitcoin écologique

Le rôle du Bitcoin dans la transition énergétique est complexe. S’il offre des solutions innovantes pour réduire les émissions de méthane et stabiliser les réseaux électriques intermittents, il reste dépendant d’un mix énergétique qui doit encore évoluer vers le bas carbone. Par ailleurs, ses effets positifs sont souvent conditionnés par des incitations économiques plutôt qu’écologiques.

Dans un monde en quête de décarbonation rapide, le Bitcoin ne doit pas être vu comme une panacée mais comme une option parmi d’autres pour gérer les surplus énergétiques. À mesure que les technologies alternatives se développent (hydrogène vert, batteries électriques), son utilité pourrait diminuer. Cependant, dans l’immédiat, il représente une solution pragmatique face aux défis environnementaux et économiques actuels.


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Les bains publics, un luxe partagé | LOW←TECH MAGAZINE

Pas d’eau courante à domicile

Dans les sociétés industrielles, peu d’activités exigent autant d’intimité que le lavage et les soins corporels. Nous le faisons généralement seuls, dans nos salles de bains privatives, portes fermées à clé. Dans le passé, ce n’était pas la norme. Se baigner en présence d’autres personnes était la règle plutôt que l’exception. Jusqu’à la première moitié du XXe siècle, de nombreux foyers, même dans les sociétés les plus modernes, ne disposaient pas d’eau courante… Et encore moins d’une salle de bains privative. 1

Une salle de bains nécessite une alimentation en eau domestique, mais aussi une évacuation des eaux usées et une source d’énergie pour chauffer l’eau. Bien sûr, il est possible de prendre un bain chaud chez soi sans ces infrastructures. Depuis l’Antiquité, les plus riches ont construit des bains privatifs dans leurs maisons. Le plus souvent, ils pouvaient le faire parce que des personnes moins aisées – serviteurs ou esclaves – remplissaient et vidaient leurs baignoires avec des seaux d’eau et ramassaient du bois pour les chauffer.

Cependant, il était généralement plus pratique d’aller à l’eau au lieu de la faire venir. Certains se baignaient dans une rivière, un lac ou une source. D’autres, surtout en milieu urbain, se rendaient aux bains publics.


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