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François Hollande veut faire mal à l’économie américaine !

François Hollande nous fait une “Lemairedite” aiguë. Oui, après Bruno Le Maire qui voulait mettre l’économie russe à genoux, voici François Hollande qui veut taper Trump là où ça fait mal. Pour Hollande, Trump ne comprend que le langage de l’argent alors il faut lui faire mal, très mal…

Je ne sais pas si vous vous rendez compte de la portée de tels propos de la part d’un ancien président de la république.

Nous sommes en “guerre” avec la Russie.

Ils ne trouvent pas mieux ni plus intelligent que de vouloir nous faire mener une guerre également contre les Etats-Unis, même si c’est une guerre économique.

Nous parlons de la France.

Pays sans croissance, sans industrie, pays qui danse sur un volcan ethnique et qui sombre dans la délinquance, nous parlons de la France, pays croulant sous 3 400 milliards d’euros de dettes, incapable de maîtriser son déficit budgétaire avec un premier ministre qui est aussi déphasé que Joe Biden et qui ne dispose même plus de sa propre banque centrale.

Nous n’avons aucune chance.

Aucune.

Et sur deux fronts encore moins de chance…

Ces déclarations sont de la folie géopolitique pure et dure car je ne crois même pas qu’il s’agisse de fanfaronnade.

Nous allons vers une crise monumentale.

La France, pas plus que l’Union Européenne n’ont les moyens de défier la Russie à l’Est et les Etats-Unis à l’Ouest.

François Hollande : “Donald Trump ne réagit que par rapport à l’argent(…); il faut le toucher là ça où ça lui fait mal. Et nous les Européens, nous devons lui faire mal, très mal” 
https://t.co/KOdP5my6WF

— BFMTV (@BFMTV) February 27, 2025

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT
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Comment les Américains considèrent Elon Musk et Mark zuckerberg

Les avis des Américains sur les deux éminents dirigeants des nouvelles technologie – Elon Musk et Mark zuckerberg – se sont fait sentir plutôt négative que positive. Musk est une figure profondément polarisante, les Républicains le regardant largement favorablement et les démocrates largement défavorablement. En revanche, c'est moins polarisées pour zuckerberg, les majorités des deux parties le regardant défavorablement.

Un peu plus de la moitié des adultes américains (54 %) déclarent avoir une vision défavorable de Musk, dont 36 % qui ont une opinion très défavorable de lui. Environ quatre sur dix (42 %) expriment un point de vue favorable, dont 11 % très favorables, selon une enquête menée par le Pew Research Center, en janvier. 27-févriers. 2, 2025.

Musk est le chef d'entreprise de Tesla et X (anciennement Twitter). Il est également actuellement un « employé spécial du gouvernement » de l’administration Trump, dirigeant le ministère de l’Efficacité gouvernementale (DOGE) alors qu’il cherche à réduire les dépenses fédérales.

Les deux tiers des Américains ont une vision défavorable de zuckerberg. Cela inclut 26 % qui sont très défavorables à son égard. Un autre quart le considère favorablement, dont seulement 2 % qui le voient très favorablement.

Il est le président et PDG de Meta, une société qui possède des plateformes de médias sociaux, dont Facebook et Instagram. Il n'a pas été à l'abri des débats politiques, y compris de sa récente décision de mettre fin à la vérification des faits sur ses plateformes.

Peu d'Américains ne connaissent pas l'un ou l'autre de ces leaders technologiques. Moins d'un sur dix disent qu'ils n'ont jamais entendu parler de Musk (3%) ou de zuckerberg (6%). Les enquêtes précédentes du Centre ont révélé que les Américains ont en grande partie le sentiment que les sociétés de médias sociaux ont trop de pouvoir dans la politique américaine.

Musk et zuckerberg vu par les parti

Avec son implication récente dans l'administration Trump, les points de vue de Musk sont profondément divisés dans le sens des partis. Les Républicains sont beaucoup plus favorables que les Démocrates envers Musk :

73 % des républicains et des indépendants à tendance républicaine - dont 84 % des républicains conservateurs - ont une opinion favorable. Cette proportion est de 12 % chez les démocrates et les indépendants à tendance démocrate.

Les démocrates sont beaucoup plus nombreux que les républicains à avoir une opinion défavorable de Musk (85 % contre 24 %).

Par comparaison, les majorités des deux partis ont une vision défavorable de zuckerberg, bien que les démocrates soient plus susceptibles que les républicains de le voir négativement :

Six républicains sur dix et environ les trois quarts des démocrates (76%) – dont 87 % des démocrates libéraux – en ont une opinion défavorable.
Les deux partis sont moins nombreux à avoir une opinion favorable (34 % des républicains et 17 % des démocrates).

Vues de Musk, zuckerberg selon l'âge

L'opinion publique de Musk et de zuckerberg varie également modestement selon l'âge, les jeunes adultes étant un peu plus négatifs.

67 % des adultes de moins de 30 ans ont une vision défavorable de Musk, contre environ la moitié des personnes âgées de 30 à 49 ans (53 %) et celles âgées de 50 ans et plus (49 %).
Sept adultes âgés de moins de 30 ans sur 10 et 72 % des personnes âgées de 30 à 49 ans ont une opinion défavorable de la ville. Cela est à comparer avec 62 % de ces 50 ans et plus.

Les différences d'âge sont particulièrement marquées entre les Républicains lorsqu'il s'agit de vues de Musk. Environ la moitié (47 %) des Républicains de moins de 30 ans expriment une vision défavorable de Musk. En comparaison, 23 % des personnes âgées de 30 à 49 ans et encore moins de 50 ans et plus (16 %) le voient négativement. Pour les démocrates favorable à Musk ne diffère pas d'un groupe d'âge à l'autre.
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Comme un petit vent de ras-le-bol | Hashtable

Les choses sont peut-être allé un peu vite alors récapitulons brièvement.

En 2024, l’État français a salement dérapé sur son budget. Son gouvernement a changé rapidement. Deux fois. Tous les indicateurs économiques du pays ont viré gentiment au rouge et toutes les forces vives du pays s’accordent à dire que les Français subissent la pression fiscale la plus forte du monde. Les services publics sont en berne, l’action de l’État frise le ridicule aux fers chauds et l’actuel gouvernement est essentiellement piloté à vue par un petit opisthobranche rigolo.

Ce dernier a donc décidé d’augmenter les déficits, d’augmenter la dette et d’augmenter la pression fiscale parce qu’après tout, pourquoi pas ?

Ainsi, les seuils à partir desquels les auto-entrepreneurs devront reverser la TVA collectée à l’État ont été judicieusement abaissés.

Même si un petit délai a été introduit un peu avant le vote budgétaire pour éviter de déclencher un mouvement de colère des auto-entrepreneurs qui aurait pu, hypothétiquement, forcer la main de certains députés et faire basculer la censure du mauvais côté, il apparaît à présent que le pied nickelé en charge du ministère de l’Économie a bel et bien confirmé ces nouveaux seuils de déclenchement de la déclaration de TVA qui concerne dont des dizaines de milliers d’auto-entrepreneurs.

Cela n’a été une surprise que pour les quelques naïfs qui croient encore les déclarations apaisantes des chargés de communications des politiciens. Et tout compte fait, on se dirige vers l’impact économique le plus violent depuis les confinements de 2020 : l’État provoque décidément plus de dégâts qu’un virus et on peut s’attendre à une vague assez forte de dépôts de bilan de ces micro-entreprises.

Les réactions se multiplient depuis sur les réseaux sociaux et dans les médias traditionnels. Ce sera en pure perte : la mesure, dévastatrice, restera et garantira que les petites entreprises vont rapidement péricliter dans le pays.

Rassurez-vous : les grandes entreprises et les gros patrimoines ne sont pas oubliés puisque l’Assemblée a, dans la foulée, adopté en première lecture la taxe Zucman, taxe plancher de 2% sur le patrimoine ce qui poussera vigoureusement ceux qui y seront assujettis à bien vite se tirer de cet enfer socialiste, détruisant avec leur départ emplois et perspectives de développement.

Si l’on ajoute le projet de l’Exécutif, toujours pas abandonné et régulièrement remis sur la table, de taxer à hauteur de 40% les entreprises françaises réalisant plus de 3 milliards d’euros de chiffre d’affaires, on comprend que toute la classe politique du pays, d’un côté à l’autre de l’hémicycle, est entièrement socialiste convaincue qu’il va falloir ponctionner, taxer, confisquer et fiscaliser tout ce qu’on peut avant la faillite.

C’est donc assez logique qu’on commence à entendre de plus en plus distinctement des couinements.

Bien sûr, les auto-entrepreneurs sont les premiers à émettre des gémissements, mais ils sont rapidement rejoints par tous les chefs d’entreprise qui constatent l’avalanche maintenant ininterrompue de complications bureaucratiques débiles en plus d’une taxation devenue folle.

Il faut dire que les différents tsunamis de « simplification » qui ont heurté la France ces dernières années se sont tous traduits par ce à quoi on peut s’attendre après des tsunamis : des torrents de boue, des destructions étendues, des victimes par milliers, et des fonctionnaires, tampon encreur à la main, parcourant les ruines à la recherche d’un cerfa à tamponner jusqu’à la mort.

Souvenez-vous de la « réforme » des régions qui devait permettre d’économiser quelques deniers publics : réalisée sous Hollande avec tout le brio qu’on pouvait espérer d’un dessert lacté, elle fête ses 10 ans et, avec elle, les Français ont pu recevoir une facture salée. Quasiment aucun des doublons n’a été supprimé, et la réforme ne s’est pas traduit par quelques économie que ce soit.

Souvenez-vous aussi de ce « choc de simplification » lancé par Éd l’épicier de Matignon en 2017, qui réclamait alors que toute nouvelle norme devait en supprimer deux anciennes. Aucune simplification ne fut enregistrée depuis. C’est un échec complet. Le seul fait que cette andouille barbue se croit encore capable d’envisager, sans rire, un prochain poste à l’Élysée donne une assez bonne idée de la cuistrerie de nos dirigeants politiques moyens.

Bref, les « réformes » n’en n’ont jamais été et les « simplifications » ne sont que des fanfreluches de communicants.

Les Français, bonnes poires, commencent tout juste à s’agacer : ils estiment dans leur grande majorité (71%) beaucoup trop payer d’impôts, ce qui est un euphémisme, constatent que le système social actuellement en place est beaucoup trop généreux, et sont de plus en plus nombreux (36%) à souhaiter une (vraie) réforme de fond en combles.

Chaque jour qui passe, les réseaux sociaux recueillent de nouveaux témoignages de ce ras-le-bol. Chaque jour qui passe, les internautes constatent, chiffres à l’appui, qu’on les baratine sur les destinations et l’usage des fonds publics, et réclament à la fois transparence et remise à plat de pans entiers d’un système dont tout indique qu’il est à bout de souffle.

Les questions sont simples : où partent les piscines olympiques de billets, les montagnes d’argent public ? Pourquoi lâche-t-on des fonds précieux dans des programmes loufoques (à l’étranger, dans des associations lucratives sans but et sans audit) au lieu de ces services publics directement utiles aux Français, et largement identifiés par tous (santé, éducation, régalien) ?

Les réponses des autorités sont systématiquement confuses, embrouillées, voire carrément mensongères et on lit déjà l’effroi sur les fronts moites de certains administrateurs, certains responsables politiques qui n’ont pas encore terminé de payer les traites de leur villa dans le Sud alors que l’odeur d’audits musclés se rapproche dangereusement.

C’est d’ailleurs sans surprise que les comptes (sur le réseau de Musk) qui évoquent ces questions simples (ici ou là par exemple) et ces réponses foireuses sont minutieusement scrutés par l’Élysée, qui comprend que les beaux discours officiels ne prennent plus.

Le mouvement est encore jeune, mais alors que la France s’approche chaque jour de sa faillite, il ne fait pas le moindre doute qu’il pose les vraies questions et ne pourra se satisfaire des réponses vagues et dilatoires des clowns en place.
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Il insiste le bougre !!

Mais bonhomme, ce que tu tentes de faire là à ton petit niveau, on peut y appliquer la réciprocité, tu comprends ou tu as besoin d'un décodeur ?
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Cyril Hanouna précipite son minibus avec ses chroniqueurs du haut d’une falaise (le début du Ramadan commence bien)

Terrible drame à l’issue de la toute dernière émission de TPMP. Alors qu’il conduisait son minibus avec tous ses chroniqueurs, l’animateur l’a en fait précipité du haut d’une falaise.

Après avoir incendié son plateau, détruisant le décor à coups de masse, l’animateur avait crié “TPMP meurt avec moi” sans que personne, pour autant, ne s’inquiète outre mesure. Il avait ensuite éventré la régie de diffusion à coups de hache, assurant ensuite qu’“il était entièrement dédié au show” et que “si personne ne veut de TPMP, alors personne ne reprendra TPMP”, sans que là encore personne ne s’inquiète.

Après avoir fait installer ses chroniqueurs dans son minibus, l’animateur avait alors roulé à tombeau ouvert, réalisant plusieurs refus d’obtempérer et franchissant des barrages de la police et de la gendarmerie, avant d’échapper à un hélicoptère du GIGN.

L’animateur a ensuite repris le direct sur ses réseaux tandis qu’il lançait son minibus du haut d’une falaise en criant “C’est la grande darka !”
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Intelligence artificielle : « Les gains de productivité ne se traduisent pas forcément par une diminution des horaires ou de l’intensité du travail »

De l’option à l’obligation

Dit autrement, les gains de productivité ne se traduisent pas forcément par une diminution des horaires ou de l’intensité du travail. Ces gains, dans une situation de concurrence, peuvent être empochés par les consommateurs qui paient alors moins cher pour le même produit ou service. Ils peuvent aussi être récupérés par les actionnaires sous forme d’une hausse des dividendes. La question de la répartition de la valeur ajoutée est ouverte, et dépend pour l’essentiel − aujourd’hui comme hier − des mobilisations et des rapports de force.

Avec l’IA générative, le travail évolue pour un grand nombre de salariés, chargés désormais de contrôler des tâches qu’ils accomplissaient auparavant, d’où une perte d’autonomie et de savoir-faire, constatent les deux chercheuses Marion Beauvalet et Lucie Rondeau du Noyer, dans une tribune au « Monde ».

L’intelligence artificielle générative (IAG) va-t-elle améliorer la vie des salariés, en diminuant le nombre de leurs tâches répétitives et en allégeant leur charge ? Ou bien va-t-elle engendrer une dégradation de leurs conditions de travail en facilitant le contrôle de leurs activités et en les dépossédant d’une partie de leurs savoir-faire ?

Ce débat sur l’impact d’une innovation technologique sur le travail n’a rien de nouveau. Pour comprendre ce qui se joue, une relecture des travaux menés à la fin des années 1960 par le sociologue américain Harry Braverman (1920-1976) se révèle fructueuse.

Que disait-il en effet, voici cinquante ans, dans cette période de forte innovation et de croissance économique qui rendait beaucoup optimistes ? Il démontrait que l’innovation technologique pouvait très bien restreindre l’effort humain nécessaire à la production et, en même temps, aboutir, dans les faits, à une dégradation de la situation des salariés.
De l’option à l’obligation

Dit autrement, les gains de productivité ne se traduisent pas forcément par une diminution des horaires ou de l’intensité du travail. Ces gains, dans une situation de concurrence, peuvent être empochés par les consommateurs qui paient alors moins cher pour le même produit ou service. Ils peuvent aussi être récupérés par les actionnaires sous forme d’une hausse des dividendes. La question de la répartition de la valeur ajoutée est ouverte, et dépend pour l’essentiel − aujourd’hui comme hier − des mobilisations et des rapports de force.

Harry Braverman allait plus loin dans l’analyse, en expliquant que l’innovation technologique pouvait bien sûr favoriser l’autonomie des salariés en leur donnant plus de pouvoir d’agir, mais que, tout aussi bien, elle pouvait servir à accroître le fossé entre les dirigeants et les « exécutants », donnant aux premiers un pouvoir de contrôle accru sur les seconds. La question-clé, pour lui, était celle de l’organisation du travail.

On le voit aujourd’hui avec l’IAG. Mettre à disposition des créatifs ces nouveaux outils, c’est, dans bien des cas, leur donner la possibilité de travailler plus vite, de partir du brouillon conçu par l’IA plutôt que de rien, en peaufinant par la suite. Ces outils ont quelque chose de fascinant à cet égard. Mais on parle là de salariés qui choisissent de les utiliser, pas de salariés sommés de s’en servir.

Or, si le recours à l’IAG est parfois une option, il devient très souvent une obligation au sein des entreprises, dès lors que les gains de productivité ont été démontrés. Et les changements induits par les nouvelles technologies ne sont pas forcément un progrès pour les salariés.

On pense aux préparateurs de commande dans les entrepôts de plus en plus souvent dirigés à distance par des robots à commandes vocales. Leur savoir-faire, leur autonomie disparaissent. Ils ne décident plus de la manière dont ils remplissent leurs palettes, pour que celles-ci soient plus faciles à décharger, par exemple. Casque sur les oreilles, ils suivent les consignes de l’algorithme qui optimise leurs trajets dans le hangar.
Contrôler plutôt que créer

La situation des créatifs ou des programmeurs informatiques est a priori moins aliénée. Avec l’IAG, ils vont plus vite, mais semblent rester aux commandes. Pourtant, leur travail change. Ils créaient des images, des slogans ou du code. Désormais, pour l’essentiel, comme beaucoup d’autres professionnels, on leur demande de contrôler ce que produit l’IAG.

Est-ce humainement un progrès de devoir contrôler plutôt que de créer ? Le salarié est moins autonome. Il prend en charge une part plus restreinte du processus de production. En 2023, les scénaristes d’Hollywood ne s’y sont pas trompés. Ils ont mené une grève dure, faisant perdre des milliards à l’industrie du divertissement pour, entre autres choses, obtenir des garanties qu’ils n’allaient pas être désormais obligés de superviser des écrivains robots.

Avec l’IAG, le risque principal ne semble pas être, en réalité, le remplacement massif des salariés par des « machines à penser ». Le vrai sujet est la manière dont la coexistence des humains et des IAG va être organisée, la qualité des nouveaux emplois qui vont remplacer les anciens. Au temps de Marx, c’était le travail des ouvriers qui était mis en cause par la mécanisation. A l’époque de Braverman, les employés étaient aussi concernés. Aujourd’hui, les professions intellectuelles et créatives sont à leur tour visées.

Vont-elles être davantage capables de se mobiliser pour que leurs métiers, leurs savoir-faire soient préservés ? Pour que la valeur créée par les nouveaux outils ne leur échappe pas ?
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Trouble de la personnalité histrionique

Le trouble de la personnalité histrionique est une affection mentale caractérisée par un schéma généralisé d’émotivité et de recherche d’attention excessives.

Symptômes
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Diagnostic
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Traitement

Les personnes atteintes du trouble de la personnalité histrionique exigent d’être en permanence au centre de l’attention et cherchent souvent à le faire en s’habillant et en adoptant des comportements de séduction et de provocation inappropriés, et en s’exprimant de façon très théâtrale.

Le diagnostic du trouble de la personnalité histrionique repose sur des symptômes caractéristiques, y compris la gêne de ne pas être le centre de l’attention, un rapport avec les autres caractérisé par des comportements de séduction et de provocation excessifs, et un comportement et une expression émotionnelle exagérés.

Une psychothérapie axée sur les conflits sous-jacents peut être utile.

Les troubles de la personnalité sont des affections mentales caractérisées par des schémas omniprésents et persistants de pensées, de perception, de réaction et de relations qui entraînent une souffrance importante pour la personne et/ou nuisent considérablement à sa capacité à fonctionner.

Les personnes atteintes du trouble de la personnalité histrionique utilisent leur apparence physique et adoptent des comportements de séduction et de provocation inappropriés pour attirer l’attention des autres. Elles se comportent souvent de manière soumise pour conserver l’attention des autres.

Le trouble de la personnalité histrionique affecte environ 2 % de la population générale aux États-Unis. Certaines études suggèrent qu’il affecte les hommes et les femmes de façon égale.

Souvent, d’autres troubles sont également présents. Cela peut être un ou plusieurs des troubles suivants :

D’autres troubles de la personnalité (antisociale, borderline et narcissique)

Un trouble somatoforme, qui peut être la raison de la consultation médicale

Trouble dépressif majeur ou trouble dépressif persistant

Trouble de conversion

Symptômes du trouble de la personnalité histrionique
Besoin d’attention

Les personnes atteintes du trouble de la personnalité histrionique cherchent continuellement à être le centre de l’attention et elles sont souvent déprimées lorsqu’elles ne le sont pas. Elles sont souvent vives, théâtrales, enthousiastes et séduisantes, et parfois charmantes pour les nouvelles connaissances.

Les personnes atteintes de ce trouble s’habillent et adoptent souvent des comportements de séduction et de provocation inappropriés, non seulement à des fins de conquête amoureuse, mais dans de nombreux contextes, y compris le travail et l’école. En raison de leur désir d’impressionner les autres par leur apparence, elles sont souvent préoccupées par leur apparence.
Problèmes émotionnels

Les émotions sont très volatiles et peuvent sembler superficielles aux yeux d’autrui. En même temps, les émotions sont souvent exprimées d’une manière exagérée. Les personnes atteintes de ce trouble parlent de façon théâtrale, exprimant des opinions définitives, mais avec peu de faits ou de détails pour les étayer.

L’intimité émotionnelle ou sexuelle peut être difficile à atteindre pour ces personnes. Elles peuvent, souvent sans s’en rendre compte, jouer un rôle (comme celui de victime). Elles peuvent essayer de contrôler leur partenaire en utilisant la séduction ou des manipulations émotionnelles, tout en devenant très dépendantes dudit partenaire.
Autres symptômes

Les personnes atteintes du trouble de la personnalité histrionique sont facilement influencées par les autres et par les tendances du moment. Elles sont extrêmement influençables. Par ailleurs, elles ont tendance à faire trop confiance, surtout aux figures d’autorité qui, selon elles, sont capables de résoudre tous leurs problèmes.

Elles ont tendance à croire que leurs relations sont plus intimes qu’elles ne le sont vraiment.

Les personnes atteintes du trouble de la personnalité histrionique ont soif de nouveauté et ont tendance à s’ennuyer facilement. De ce fait, elles peuvent changer fréquemment d’emploi et d’amis. Elles sont facilement frustrées par l’attente de récompenses, de sorte que leurs actions sont souvent motivées par l’obtention d’une satisfaction immédiate.
Diagnostic du trouble de la personnalité histrionique

Examen clinique, sur la base de critères standards du diagnostic psychiatrique

Les médecins diagnostiquent généralement les troubles de la personnalité d’après les critères du Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux), 5e édition, révision du texte (DSM-5-TR), référence standard pour le diagnostic psychiatrique de l’American Psychiatric Association.

Les médecins diagnostiquent un trouble de la personnalité histrionique quand la personne exagère ses émotions et cherche à attirer l’attention constamment, comme en témoignent au moins 5 des manifestations suivantes :

Elle est mal à l’aise dans des situations où elle n’est pas le centre de l’attention.

L’interaction avec autrui est souvent caractérisée par un comportement de séduction inadapté, ou d’attitude provocante.

Ses émotions changent rapidement, donnant une impression de superficialité.

Elle utilise régulièrement son aspect physique pour attirer l’attention.

Sa manière de parler est extrêmement vague et manque de détails.

Elle exprime ses émotions de manière spectaculaire, théâtrale et exagérée.

Elle est facilement influencée par les autres ou par les circonstances.

Elle considère que ses relations sont plus intimes qu’elles ne le sont vraiment.

En outre, les symptômes doivent avoir fait leur apparition au début de l’âge adulte.
Traitement du trouble de la personnalité histrionique

Psychothérapie

Les principes généraux du traitement du trouble de la personnalité histrionique sont identiques à ceux de tous les troubles de la personnalité.

On en sait peu sur l’efficacité de la thérapie cognitivo-comportementale et des médicaments pour le trouble de la personnalité histrionique.

La psychothérapie psychodynamique peut être utilisée. Ce type de psychothérapie se concentre sur les conflits sous-jacents. Le thérapeute pourra commencer par encourager la personne à substituer la parole au comportement pour mieux se comprendre. Cette approche aide la personne atteinte de ce trouble à communiquer avec les autres d’une façon moins théâtrale. Ensuite, le thérapeute pourra l’aider à réaliser que ses comportements histrioniques sont une façon inefficace et inappropriée d’attirer l’attention des autres, et il pourra l’aider à se sentir mieux dans sa peau.
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blablabla BIS

Désespérant !!!

Par contre, toi le seul neurone qui te reste dans ce qui te sert de boîte crânienne me semble bien inerte pour aller dans un sens ou dans l'autre....

Pauvre civilisation !
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Blablabla

Tu juges les gens sans même les avoir vu, ou sans même les connaître.... Ferme-là bordel de merde à la fin....

Extrême droite ? Pouahahaha je ne suis d'aucun parti pour commencer, je n'ai jamais voté qui ou quoi que ce soit depuis que je suis en âge de voter... Et j'ai 49 ans.
Va donc chanter ta mascarade anti je ne sais quoi ailleurs, tu t'es foutrement trompé de personnage là.

Rien à branler de la politique et des politicards .... Pour moi, tous les mêmes, raclures sur raclures, ça va pas plus loin que ça.
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