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La FACE CACHÉE de la GUERRE contre la DROGUE - Stupid Economics

bonne vidéo de stupid economics sur le sujet des politiques déficientes d'un siècle de "guerre contre la drogue".

ils nous rappellent que ça a un siècle, que ça n'a jamais été efficace et qu'il pourrait bien y avoir dérrière ça une volonté politique de contrôle de la population et en particulier de harcèlement des minorités. c'était d'ailleurs déjà le cas aux origines de cette "guerre" en dans les années 1930.
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deepmusk

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Donald Trump veut prendre le contrôle d’institutions culturelles pour restaurer la « vérité dans l’histoire américaine »

Le président des Etats-Unis a signé un décret visant à reprendre le contrôle du contenu des musées Smithsonian de Washington, une institution datant de 1846, qu’il accuse d’être soumise à un « endoctrinement idéologique ».

La centaine est dépassée. Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a signé un nombre sans précédent de décrets présidentiels. Certains représentent des ruptures majeures, contestées en justice, comme la remise en cause du droit du sol. D’autres sont des marqueurs identitaires ou purement symboliques. Dans ce tourbillon, le contenu précis de ces textes officiels est souvent négligé, personne n’ayant le temps de tout suivre.

Signé le 27 mars, celui consacré à la restauration de « la vérité et la raison dans l’histoire américaine » mérite doublement l’attention. Ce décret vise à prendre le contrôle d’institutions culturelles incontournables à Washington : les musées Smithsonian, une institution fondée en 1846, regroupant aujourd’hui 21 musées et un zoo gratuits, une vingtaine de bibliothèques, des centres éducatifs. Sur un plan idéologique, il confirme que cette administration Trump 2 porte un soin nouveau à la réécriture du roman national, en attaquant les programmes et les discours sur les discriminations raciales et la promotion de la diversité.

Le décret commence par une mise en accusation. Les Etats-Unis seraient victimes, depuis des années, d’un « mouvement révisionniste » qui placerait « sous un jour négatif » les accomplissements et les principes du pays. Selon le texte, « l’héritage incomparable de notre Nation dans la promotion de la liberté, des droits individuels et du bonheur humain est reconstruit comme étant foncièrement raciste, sexiste, oppresseur, ou bien défectueux de façon irrémédiable. » Une entreprise qui accentuerait « les divisions sociétales » et imposerait « un sentiment de honte nationale ».
Un cas de partenariat public-privé

Les exemples qui sont présentés en disent plus sur les auteurs du décret que sur la réalité de ce « mouvement ». Il évoque par exemple une exposition au Musée d’art américain du Smithsonian, à Washington, intitulée « La forme du pouvoir : histoires de race et la sculpture américaine ». Le décret présidentiel s’émeut : l’exposition prétend que « la sculpture a été un outil puissant pour promouvoir le racisme scientifique » et que « la race est une invention humaine ». Le décret n’apprécie pas l’idée que les valeurs américaines et occidentales puissent être présentées sous un jour défavorable. Autre exemple cité : le Musée national de l’histoire et de la culture africaine américaine aurait proclamé que « le travail acharné », « l’individualisme » et la « famille nucléaire » seraient des aspects de la « culture blanche ».

Le décret estime que les musées de Washington ne doivent plus être soumis « à un endoctrinement idéologique ou à des récits controversés qui déforment notre histoire commune ». La cible est claire : le Smithsonian. Il s’agit d’un cas exemplaire de partenariat public-privé. Un conseil d’administration de 17 membres accueille notamment le président de la Cour suprême, le juge John Roberts, le vice-président J. D. Vance, 3 sénateurs et 3 représentants de la Chambre. Y siègent aussi 9 citoyens.

Le décret présidentiel signé par M. Trump dessine une volonté de reprise en main du Smithsonian, comme le président l’a déjà fait avec le Kennedy Center, haut lieu culturel dans cette même capitale. Il reviendra au vice-président de faire la chasse à « l’idéologie impropre » qu’infecterait le réseau de musées. M. Vance travaillera notamment avec le Congrès pour que le financement futur du Smithsonian soit conditionné et interdise des programmes et des expositions qui « dégradent les valeurs américaines communes, divisent les Américains sur une base raciale » ou bien qui n’opéreraient pas une distinction claire entre hommes et femmes, par exemple dans le sport. M. Vance devra veiller avec le speaker de la Chambre, Mike Johnson, et le chef de file républicain au Sénat, John Thune, à ce que les citoyens choisis pour siéger au conseil d’administration s’engagent à promouvoir ces priorités.
Revanche contre la capitale

Le dernier volet du décret mentionne l’action nécessaire du secrétaire de l’intérieur, Doug Burgum. Celui-ci devra déterminer si, depuis 2020, des statues, des monuments publics ou des mémoriaux ont été retirés ou modifiés au nom d’une « fausse reconstruction de l’histoire américaine ». Le département de l’intérieur doit veiller à ce qu’aucun contenu ou représentation ne « dénigre des Américains du passé ou du présent (dont des personnes vivant aux temps coloniaux) ». Le Smithsonian travaille actuellement sur deux projets de musées. Le premier sera consacré à l’Amérique latine. Le second, à l’histoire des femmes américaines.

Si le décret présidentiel s’inscrit dans la guerre culturelle déclenchée par le mouvement MAGA (Make America Great Again), il a aussi une autre dimension : la revanche de M. Trump contre la capitale, Washington, forteresse des élites qui lui ont toujours été largement hostiles. Outre le Kennedy Center et le Smithsonian, M. Trump veut prendre le contrôle de la ville, qui dispose d’une autonomie relative. Depuis longtemps, des républicains au Congrès plaident pour qu’elle tombe sous l’autorité fédérale, attaquant le bilan de la maire Muriel Bowser. Donald Trump est sur cette ligne.

Il a signé un autre décret jeudi, établissant une « D.C. Safe and Beautiful Task Force », soit un groupe opérationnel consacré à une capitale « sûre et belle ». L’objectif est de se débarrasser des graffitis – très rares, par rapport à Paris – sur les bâtiments publics ou dans les parcs, ou de démanteler les campements de personnes sans domicile fixe. « Je travaillerai avec la maire sur ce sujet, et si cela ne se passe pas, je n’aurai d’autre choix que de le faire moi-même », a averti M. Trump vendredi sur son réseau Truth Social.
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Procès Depardieu : 18 mois de prison avec sursis requis contre l’acteur | Mediapart

«Le ministère public a requis jeudi 27 mars une peine de 18 mois de prison avec sursis probatoire et 20 000 euros d’amende contre Gérard Depardieu, jugé depuis lundi à Paris pour deux agressions sexuelles, qu’il conteste, sur le tournage du film Les Volets verts, en 2021. « Vous allez déclarer Gérard Depardieu coupable », a lancé le procureur Laurent Guy devant le tribunal correctionnel de Paris, qui a regretté l’« absence totale de remise en cause » de l’acteur.»
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Procès Sarkozy-Kadhafi : le parquet requiert sept ans de prison ferme contre l’ancien président | Mediapart

«Les magistrats du PNF ont demandé sept ans de prison ferme et 300 000 euros d’amende à l’encontre de Nicolas Sarkozy pour corruption, association de malfaiteurs, recel de détournements de fonds publics et financement illicite de campagne électorale. Une peine assortie d’une inéligibilité et interdiction d’exercer une profession juridictionnelle.»
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