Le jour où l'IA deviendra vivante
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tien je vais niquer le monde en payant pas de droit sur ma fortune.
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et il vienne de passer une loi comme quoi être contre les israélien c'est être antisémite
l'humanité que vous connaissez ne sera pas celle de 2050...
Les bombardements israéliens qui ont frappé l’enclave palestinienne mercredi 7 mai ont dévasté un marché ainsi que deux écoles abritant des déplacés. Depuis que l’Etat hébreu a rompu la trêve à la mi-mars, des dizaines de Palestiniens périssent chaque jour sous les frappes de son aviation.
Mercredi 7 avril, dans l’après-midi, la rue Al-Wahda de la ville de Gaza, habituellement animée par les marchés de fortune qui s’y sont installés depuis le début de la guerre, s’est transformée en un enfer à ciel ouvert. Un premier missile s’est abattu sur des étals, suivi quelques minutes plus tard d’une frappe sur une sandwicherie très populaire surnommée « Thailandy ». Les images, filmées par des journalistes locaux et partagées sur les réseaux sociaux (les autorités israéliennes interdisent toujours l’accès de l’enclave aux journalistes étrangers), sont insoutenables. La terrasse de ce snack est jonchée de corps renversés de leur chaise.
Certains semblent rendre leur dernier souffle, dans un état de stupeur, tandis que des survivants paniqués courent en hurlant. « Mon Dieu ! Mon Dieu ! » Un petit garçon, vendeur ambulant de café, gît à terre, les yeux ouverts, sa cafetière encore posée à côté de lui. Un filet de sang s’écoule de son crâne. Plus loin, deux enfants secouent désespérément le corps inanimé de leur père, criant de toutes leurs forces : « Papa ! Papa ! » A une centaine de mètres de là, au niveau du rond-point Palmyra, où le premier missile a frappé, le journaliste d’Al-Jazira Moubasher, Ayman Al-Hesi, réalise un direct. « Nous vous transmettons ces images éprouvantes de la réalité douloureuse que nous vivons à Gaza », dit-il, se filmant au milieu d’une foule en détresse.
Son téléphone capte des visions de cauchemar : un enfant mort les jambes brisées, un père, une mère et leur fils, avec son cartable sur le dos, qui gisent dans une mare de sang, un cheval qui agonise… « Tout le monde dit aux blessés de faire leurs dernières prières », commente Ayman Al-Hesi, filmant un jeune homme à l’abdomen ensanglanté, assis sur une chaise. « Appuie très fort ! », crie le journaliste à une personne qui tente de stopper l’hémorragie. Selon les autorités locales, ces attaques ont fait 33 morts et une centaine de blessés. Parmi les victimes figure le journaliste Yahya Sobeih, dont l’histoire a bouleversé les réseaux sociaux : quelques heures plus tôt, il avait partagé une photo de lui tenant son nouveau-né dans les bras, avec ces mots : « Une petite princesse a illuminé notre vie. »
Plusieurs dizaines de morts par jour
Il n’a pas été le seul reporter tué ce jour-là dans la ville de Gaza. Nourredin Matar Abdo a péri alors qu’il couvrait une frappe sur l’école Al-Karama, dans le quartier d’Al-Touffah. L’établissement, qui abritait des familles déplacées, avait été bombardé une première fois à l’aube, puis une seconde fois alors que les secouristes évacuaient les blessés. Les images tournées sur place et diffusées sur les réseaux sociaux montrent des corps blanchis par la poussière au milieu des gravats. « Celui-là est vivant », dit un secouriste, alors que les victimes sont transportées dans des couvertures. Au moins 20 personnes ont été tuées, selon la défense civile de Gaza.
A la suite de la frappe israélienne, dans un restaurant de Gaza, le 7 mai 2025.
A la suite de la frappe israélienne, dans un restaurant de Gaza, le 7 mai 2025. OMAR AL-QATTAA/AFP
Mardi soir, une autre attaque contre une école accueillant des déplacés dans le camp d’Al-Boureij, au centre de la bande de Gaza, a causé la mort d’une trentaine de personnes, dont de nombreux enfants. D’après les autorités de santé de Gaza, 92 personnes ont été tuées dans l’enclave palestinienne durant la seule journée de mercredi du fait des bombardements israéliens. Une journée d’horreur tristement ordinaire. Depuis le 18 mars, date de la rupture par le gouvernement de Benyamin Nétanyahou de la trêve conclue deux mois plus tôt avec le Hamas, plusieurs dizaines de Gazaouis périssent chaque jour sous les bombardements israéliens.
Questionnée par Le Monde sur les objectifs des attaques de mercredi, survenues en pleine journée, dans des zones très densément peuplées, l’armée israélienne n’a pas apporté de réponses très détaillées. Concernant les tirs sur la rue Al-Wahda, elle affirme avoir « frappé deux terroristes-clés du Hamas », sans fournir davantage de précision. Tout en se disant « au courant des allégations de victimes civiles », l’armée israélienne assure qu’en amont de la frappe « de nombreuses mesures ont été prises pour atténuer le risque de porter atteinte à des civils non impliqués, notamment par l’usage d’une munition précise, de surveillance aérienne et d’autres moyens de renseignement ».
Un système de terreur
Ce type d’argumentation, qui revient rituellement dans les communiqués de l’armée israélienne, scandalise les Palestiniens et les défenseurs des droits humains, qui dénoncent un système de terreur, sans le moindre égard pour les vies civiles. La plupart de ces organisations, dont Amnesty International et Human Rights Watch, de même qu’un grand nombre d’experts en droit international, pour certains israéliens, estiment que la guerre en cours dans la bande de Gaza constitue un génocide. Et celle-ci ne se limite d’ailleurs pas aux bombardements. Aucune denrée alimentaire n’est entrée depuis le 2 mars dans l’enclave, soumise à un blocus hermétique de l’armée israélienne. L’Autorité palestinienne a qualifié, mercredi, la bande de Gaza de « zone de famine » et exhorté le Conseil de sécurité de l’ONU à agir immédiatement.
Les corps de victimes touchées par la frappe de l’armée israélienne sur un restaurant, à l’hôpital Al-Shifa, à Gaza, le 7 mai 2025.
Les corps de victimes touchées par la frappe de l’armée israélienne sur un restaurant, à l’hôpital Al-Shifa, à Gaza, le 7 mai 2025. JEHAD ALSHRAFI/AP
Ce même jour, plus de 30 experts indépendants, mandatés par le Conseil des droits de l’homme des Nations unies, ont appelé, dans un communiqué, à une action urgente pour éviter « l’annihilation » des Palestiniens à Gaza. « Le monde regarde. Les Etats membres respecteront-ils leurs obligations et interviendront-ils pour arrêter le massacre, la faim et les maladies, ainsi que d’autres crimes de guerre et crimes contre l’humanité qui sont perpétrés quotidiennement en toute impunité ? », demandent les auteurs du texte, parmi lesquels figure la rapporteuse spéciale de l’ONU pour les territoires palestiniens occupés, Francesca Albanese.
Lundi 5 mai, le premier ministre de l’Etat hébreu, Benyamin Nétanyahou, avait annoncé le lancement imminent d’une nouvelle offensive militaire majeure contre la bande de Gaza. Baptisée « Les Chariots de Gédéon », cette opération vise, sur le papier, à anéantir le Hamas, le mouvement islamiste auteur du massacre du 7-Octobre, qui détient toujours 59 otages israéliens, dont une vingtaine sont considérés comme vivants. Dans la pratique, le plan de Benyamin Nétanyahou prévoit un redécoupage brutal du territoire côtier, un regroupement forcé de sa population à son extrémité sud, autour de la ville en ruines de Rafah, et une pérennisation de la présence militaire israélienne dans l’enclave palestinienne.
En réaction, l’Union européenne (UE) a durci sa position à l’égard de l’Etat hébreu. Plusieurs Etats membres, dont la France, ont dénoncé les violations du droit international et le blocage de l’aide humanitaire. Les Pays-Bas ont proposé une révision de l’accord d’association économique entre l’UE et Israël. Selon les autorités de santé de Gaza, 52 653 habitants de ce territoire ont été tués par Israël depuis le 7 octobre 2023.
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soirée de lancement ce 21 mai 12025: https://www.demailnagement.net/soiree-de-lancement/
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Des centaines d'applications et de jeux surveillent les utilisateurs de smartphones grâce à leurs microphones.
Ils disposent d'une technologie qui peut même reconnaître l'audio lorsque l'utilisateur met son téléphone dans sa poche, ou si les applications fonctionnent en arrière-plan.
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« A Pékin, une plaque minéralogique s’obtient par loterie [les autorités ont mis en place ce système pour limiter le nombre de véhicules en circulation]. Donc, les chances de pouvoir conduire sont infimes, raconte-t-il. Sauf si tu t’engages à ne rouler qu’en électrique, que ton épouse a aussi le permis et que tu as des enfants. » En effet, des quotas élargis sont ouverts aux familles prétendant à une voiture électrique.
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Attentat terroriste d’extrême droite ?
" « Le lycéen, les gens le connaissaient comme dépressif, il disait qu’il adorait Hitler. Il a envoyé un mail de 13 pages à tout le monde pour expliquer tous ses problèmes à midi », a-t-elle ajouté. "
"« Après on a été regroupés dans une salle polyvalente où il y a une grande baie vitrée. On a vu la police arriver et les pompiers ensuite. Le lycéen, les gens le connaissaient parce qu’il était bizarre, il suivait des groupes néo-nazis sur les réseaux. On est tous un peu choqués », a-t-il ajouté."
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